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Culture - Page 395

  • Irina Bokova reçue au Vatican

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    "Le Directeur général de l’Unesco a été reçu par Benoît XVI, ce lundi matin au Vatican. Madame Irina Bokova, s’est également entretenue avec le cardinal Tarcisio Bertone, Secrétaire d’État et avec Mgr Dominique Mamberti, Secrétaire pour les rapports avec les États.

    Selon un communiqué du Bureau de presse du Saint-Siège, cette visite a permis un échange fructueux au sujet de l’engagement de l’UNESCO dans le domaine de l’éducation, de la science et de la culture, qui revêt un grand intérêt également pour le Saint-Siège. Ce dernier participe activement aux travaux de cette organisation.

    Les deux parties ont souligné la nécessité de garantir un développement intégral de la personne humaine et une éducation de qualité pour tous. Les entretiens ont par ailleurs porté sur certains aspects de la protection du patrimoine culturel mondial et de l’environnement, ainsi que sur l’importance du dialogue entre les cultures." Radio Vatican

  • Philippe de Woot, Fabrice Hadjadj, Mgr Léonard et le Pr Bricmont à l'Institut Sophia

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    Trois conférences (ouvertes à tous) à ne pas manquer :


    * le 26 janvier 2011 à 20 h :

    "Rendre à l’action économique ses dimensions éthique et politique".
    par le Professeur de WOOT.
    A l’Institut d’Etudes Théologiques (IET) , 24 boulevard St Michel, 1040 Bruxelles (Montgomery)

    * Le lundi 21 février, à 20h,

    "Le paradis pour les nuls".
    par le philosophe et écrivain Fabrice HADJADJ.
    A l’Institut d’Etudes Théologiques (IET) , 24 boulevard St Michel, 1040 Bruxelles (Montgomery)

    * Le mardi 5 avril, à 20h,

    "Concilier la science et la foi, est-ce raisonnable".
    par Monseigneur André-Joseph LEONARD, archevêque de Malines-Bruxelles, et par le Professeur Jean BRICMONT.
    A l’Auditoire Socrate, à Louvain-la-Neuve

    Réservations : institutsophia@yahoo.fr

    http://www.institutsophia.org/

  • Jean Dutourd évoque Chesterton

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    Membre de l’Académie française, Jean Dutourd a publié, il y a quelque temps, un livre chez Flammarion intitulé "La Chose écrite"; il s’agit d’un recueil de chroniques littéraires. Jean Dutourd y évoque Chesterton. Jean Dutourd fut l’un des traducteurs de Chesterton, pour la collection dirigée par Jorge Luis Borges et dont le volume chestertonien, L'Œil d'Apollon, a été réédité récemment. aux éditions du Panama (première édition 1977 chez Retz, Franco Maria Ricci). 
    Peut-être peut-on déceler une parenté entre lui et Chesterton et voir en Dutourd un "Chesterton français". Dutourd estimait cette comparaison trop flatteuse mais elle n'était pas pour lui déplaire.
    Rien d’étonnant donc de voir Chesterton évoqué par Jean Dutourd. Qu’en dit-il ? « Deux choses me frappent dans Chesterton, écrit Dutourd. D’abord sa foi catholique qui était puissante et joyeuse comme celle de Bernanos ; ensuite une méthode qu’il emploie constamment et que son ami Belloc appelait le “parallélisme”. Cela consiste à démontrer des vérités obscures ou douteuses en les comparant à des vérités claires et incontestables. En fait, c’est la démarche du poète, qui pénètre à l’intérieur des secrets grâce à la métaphore ».
    La conclusion de cette chronique sur Chesterton est aussi à retenir :
    « Chesterton est un des plus grands écrivains anglais du XXe siècle (il est mort en 1936). Belloc prétend qu’il est mal connu en France parce qu’il n’a jamais été bien traduit, au rebours de Kipling qui lui est très inférieur ».
    Dans La chose écrite, Dutourd évoque encore Chesterton à propos d’André Maurois qui se disait marqué par le rire de GKC qui « ressemblait à celui des dieux de l’Olympe ».

    (http://chesterton.over-blog.com/article-29415989.html)

  • Les nonante ans d'Eugenio Corti

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    2-8251-0636-4_1.jpgVendredi prochain, Eugenio Corti aura nonante ans. Auteur du Cheval Rouge, immense fresque romanesque mais surtout historique, cet auteur, rescapé des camps soviétiques, s'est construit une notoriété qui ne doit rien aux chroniqueurs littéraires ni aux canaux habituels de la pensée unique. Profondément catholique, ce fils de la Brianza (au nord de Milan) a dépeint, dans son oeuvre, le processus qui a dévoyé les élites catholiques italiennes en les éloignant des racines chrétiennes fondatrices de notre culture européenne.

    S'il y a un héros de l'Iliade que j'aime plus que tous les autres, confie-t-il, c'est Hector. Il incarne l'homme qui ne se rend jamais et qui ne craint pas la défaite parce qu'il se donne lui-même, tout entier.

    Actuellement, il travaille à une réédition de "Il fumo nel tempio", ouvrage consacré au naufrage des cathoiliques en politique où il fait la synthèse des erreurs de la Démocratie Chrétienne italienne (seulement italienne?) dont le naufrage a laissé le champ libre à l'opportunisme et à l'arrivisme politiques.

    Les chrétiens, dit-il, ont été exposés au martyre tout au long de leur histoire, et ont survécu aux idéologies du XXe siècle, mais, plus que la pédophilie ou les menaces du fondamentalisme musulman, ce qui menace l'Eglise aujourd'hui, c'est la perte de la foi ou la tiédeur de la foi. Un des problèmes majeurs, c'est qu'il y a trop de gens, y compris dans le clergé, qui veulent apprendre au Pape comment faire le Pape...

    Son oeuvre majeure, Le Cheval Rouge, est à lire absolument; cette oeuvre en est à sa vingt-cinquième édition et est traduite dans de nombreuses langues, y compris en japonais. L'édition française (L'Age d'Homme) est actuellement épuisée.

    (http://www.labussolaquotidiana.it/ita/articoli-eugenio-corti-90-anni-in-prima-linea-538.htm)