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Spiritualité - Page 359

  • La loi, un phare et non une borne (Mt 5, 17-37) / Prédication du Père Michel-Marie Zanotti-Sorkine pour le 6e dimanche du temps ordinaire

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    Prédication (archive du 16 février 2014) par le père Michel-Marie Zanotti-Sorkine (Mt 5, 17-37) pour le 6e dimanche du temps ordinaire.

    http://www.delamoureneclats.fr / http://www.unfeusurlaterre.org

    Évangile :

    Sermon sur la montagne. Surpasser la justice des scribes et des pharisiens (Matthieu 5, 17-37)

    Comme les disciples s'étaient rassemblés autour de Jésus, sur la montagne, il leur disait : « Ne pensez pas que je suis venu abolir la Loi ou les Prophètes : je ne suis pas venu abolir, mais accomplir. Amen, je vous le dis : Avant que le ciel et la terre disparaissent, pas une lettre, pas un seul petit trait ne disparaîtra de la Loi jusqu'à ce que tout se réalise. Donc, celui qui rejettera un seul de ces plus petits commandements, et qui enseignera aux hommes à faire ainsi, sera déclaré le plus petit dans le Royaume des cieux. Mais celui qui les observera et les enseignera sera déclaré grand dans le Royaume des cieux. Je vous le dis en effet : Si votre justice ne surpasse pas celle des scribes et des pharisiens, vous n'entrerez pas dans le Royaume des cieux. Vous avez appris qu'il a été dit aux anciens : Tu ne commettras pas de meurtre, et si quelqu'un commet un meurtre, il en répondra au tribunal. Eh bien moi, je vous dis : Tout homme qui se met en colère contre son frère en répondra au tribunal. Si quelqu'un insulte son frère, il en répondra au grand conseil. Si quelqu'un maudit son frère, il sera passible de la géhenne de feu. Donc, lorsque tu vas présenter ton offrande sur l'autel, si, là, tu te souviens que ton frère a quelque chose contre toi, laisse ton offrande là, devant l'autel, va d'abord te réconcilier avec ton frère, et ensuite viens présenter ton offrande. Accorde-toi vite avec ton adversaire pendant que tu es en chemin avec lui, pour éviter que ton adversaire ne te livre au juge, le juge au garde, et qu'on ne te jette en prison. Amen, je te le dis : tu n'en sortiras pas avant d'avoir payé jusqu'au dernier sou. Vous avez appris qu'il a été dit : Tu ne commettras pas d'adultère. Eh bien moi, je vous dis : Tout homme qui regarde une femme et la désire a déjà commis l'adultère avec elle dans son coeur. Si ton œil droit entraîne ta chute, arrache-le et jette-le loin de toi : car c'est ton intérêt de perdre un de tes membres, et que ton corps tout entier ne soit pas jeté dans la géhenne. Et si ta main droite entraîne ta chute, coupe-la et jette-la loin de toi : car c'est ton intérêt de perdre un de tes membres, et que ton corps tout entier ne s'en aille pas dans la géhenne. Il a été dit encore : Si quelqu'un renvoie sa femme, qu'il lui donne un acte de répudiation. Eh bien moi, je vous dis : Tout homme qui renvoie sa femme, sauf en cas d'union illégitime, la pousse à l'adultère ; et si quelqu'un épouse une femme renvoyée, il est adultère. Vous avez encore appris qu'il a été dit aux anciens : Tu ne feras pas de faux serments, mais tu t'acquitteras de tes serments envers le Seigneur. Eh bien moi, je vous dis de ne faire aucun serment, ni par le ciel, car c'est le trône de Dieu, ni par la terre, car elle est son marchepied, ni par Jérusalem, car elle est la Cité du grand Roi. Et tu ne jureras pas non plus sur ta tête, parce que tu ne peux pas rendre un seul de tes cheveux blanc ou noir. Quand vous dites 'oui', que ce soit un 'oui', quand vous dites 'non', que ce soit un 'non'. Tout ce qui est en plus vient du Mauvais. »

  • Le message du pape pour le Carême 2017 : la parabole de l’homme riche et du pauvre Lazare

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    De zenit.org :

    Carême: « La Parole est un don, l’autre est un don », message du pape (Texte complet)

    Un temps pour se convertir et changer de vie

    Le message du pape François pour le Carême 2017 intitulé « La Parole est un don. L’autre est un don », a été publié ce 7 février. Le pape y médite sur la parabole du riche et de Lazare, mettant en garde contre l’attachement à l’argent et encourageant à « une conversion sincère ».

    « Le pauvre devant la porte du riche ne représente pas un obstacle gênant mais un appel à nous convertir et à changer de vie », écrit-il. Le pape recommande notamment de lire la Parole de Dieu qui est « une force vivante, capable de susciter la conversion dans le cœur des hommes et d’orienter à nouveau la personne vers Dieu ».

    Le temps du Carême commencera le 1er mars, Mercredi des Cendres, jusqu’au Dimanche de Pâques, 16 avril.

    Message du pape François

    La Parole est un don. L’autre est un don.

    Chers Frères et Sœurs,

    Le Carême est un nouveau commencement, un chemin qui conduit à une destination sûre: la Pâques de la Résurrection, la victoire du Christ sur la mort. Et ce temps nous adresse toujours un appel pressant à la conversion: le chrétien est appelé à revenir à Dieu «de tout son cœur» (Jl 2,12) pour ne pas se contenter d’une vie médiocre, mais grandir dans l’amitié avec le Seigneur. Jésus est l’ami fidèle qui ne nous abandonne jamais, car même lorsque nous péchons, il attend patiemment notre retour à Lui et, par cette attente, il manifeste sa volonté de pardon (cf. Homélie du 8 janvier 2016).

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  • Uccle, 14 mars : Le Dialogue des Carmélites de Bernanos par le Théâtre de l'Arc-en-Ciel

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    " Ne pas tomber dans le piège de croire le mal vainqueur !"

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  • Être sel de la terre par des actes; prédication du Père Michel-Marie Zanotti-Sorkine pour le 5e dimanche du temps ordinaire

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    Être sel de la terre par des actes / Michel-Marie Zanotti-Sorkine (223e)
    Prédication (archive du 9 février 2014) pour le 5e dimanche du temps ordinaire

    http://www.delamoureneclats.fr / Références bibliques : http://aelf.org/

    Évangile : Sermon sur la montagne. Le sel de la terre et la lumière du monde (Matthieu 5, 13-16)

    Comme les disciples s’étaient rassemblés autour de Jésus, sur la montagne, il leur disait : « Vous êtes le sel de la terre. Si le sel se dénature, comment redeviendra-t-il du sel ? Il n’est plus bon à rien : on le jette dehors et les gens le piétinent. Vous êtes la lumière du monde. Une ville située sur une montagne ne peut être cachée. Et l’on n’allume pas une lampe pour la mettre sous le boisseau ; on la met sur le lampadaire, et elle brille pour tous ceux qui sont dans la maison. De même, que votre lumière brille devant les hommes : alors en voyant ce que vous faites de bien, ils rendront gloire à votre Père qui est aux cieux. »

  • Dimanche 5 février 2017: messe du premier dimanche du mois à l'église du Saint-Sacrement à Liège

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    Messe du 1er dimanche du mois

    IMG_1 (3).jpg 

    célébrée à Liège

    en l’église du Saint-Sacrement, Boulevard d’Avroy, 132

    (face à la statue équestre de Charlemagne) 

    Saint-Sacrement 1er dimanche du mois_2.0 (2).jpg

    Cette messe mensuelle est organisée avec le concours de l’Ensemble instrumental Darius, l’organiste Patrick Wilwerth et la Schola grégorienne de cette église, avec un programme approprié à la célébration du jour (livrets à votre disposition)

    Voir et entendre ici :

    http://eglisedusaintsacrementliege.hautetfort.com/archive/2017/01/25/dimanche-5-fevrier-2017-messe-du-premier-dimanche-du-mois-a-5903186.html

     JPSC

  • Ordre de Malte : les enjeux de la crise

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    Bergoglio.jpgAprès l’intervention pontificale dans les affaires  de l’Ordre souverain de Malte, l’hebdomadaire « Famille Chrétienne » fait le point  en publiant,  sous la signature d’Aymeric Pourbaix,  un article de synthèse qui pose un diagnostic d’une clarté remarquable, sans langue de buis ni idéologie partisane :

    « EXCLUSIF MAG – Le pape François a obtenu, le 25 janvier, la démission du grand maître de l’ordre souverain de Malte, après deux mois de tensions, et demandé un profond renouvellement spirituel et moral.

    En interne, la démission du grand maître de l’ordre de Malte, le 25 janvier, a sonné comme un coup de tonnerre. « Moment difficile », lâche timidement un diplomate de l’ordre, qui provoque une certaine « perplexité », y compris chez les donateurs de cette œuvre millénaire. Sans parler des très nombreux bénévoles, qui ont suivi cette pénible affaire à travers la presse.

    De fait, en demandant au Britannique Fra’Matthew Festing, 79e grand maître depuis neuf ans, de renoncer à sa charge, le pape François a tranché pour dénouer un climat de tensions de plusieurs longues semaines. Depuis le 6 décembre en fait. Date à laquelle le grand maître exige la démission de son « numéro trois », l’Allemand Albrecht von Boeselager. Officiellement pour rupture de la « confiance » entre les deux hommes. Mais le grand chancelier Boeselager proteste contre les accusations portées contre lui, et en appelle au Vatican.

    Il est entendu puisque, le 22 décembre, le Saint-Siège nomme une commission pour tirer au clair les raisons de cette éviction. De son côté, l’ordre de Malte rétorque qu’il s’agit d’une « affaire interne », et diligente sa propre enquête sur les membres de cette commission pontificale. Il y a en effet « conflit d’intérêts », affirme alors le grand maître, pour certains membres de cette commission, liés entre eux par un important legs géré par un fonds d’investissement en Suisse. Depuis cette date, les observateurs assistent médusés à un échange de communiqués peu amènes entre l’ordre et le Saint-Siège, sans qu’aucune issue ne semble pouvoir être trouvée à ce conflit.

    Le 24 janvier, au terme d’un entretien tendu avec le pape, le grand maître est ainsi conduit à « présenter sa démission », selon les termes du communiqué du Saint-Siège, pour le « bien de l’ordre et de l’Église ». La tutelle d’un délégué pontifical est aussi annoncée, pour rétablir l’ordre et la confiance, et le grand chancelier Boeselager réinstallé dans ses fonctions.

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  • L'intention de prière du pape pour février 2017

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    De zenit.org :

    Intention de prière du pape pour février 2017

    L’accueil des personnes en situation difficile 

    Tout au long du mois de février 2017, le pape François demande aux catholiques de prier avec lui pour l’accueil des personnes en situation difficile. Il a rédigé ainsi cette intention :

    Prions pour toutes les personnes qui connaissent l’épreuve, en particulier celles qui sont pauvres, réfugiées ou marginalisées, pour qu’elles trouvent dans nos communautés accueil et réconfort.

    « Sans les pauvres, pas de Royaume »: nous publions cet édito de Marie-Dominique Corthier, de l’équipe France du Réseau Mondial de Prière du Pape et coordinatrice européenne, sur l’intentionde prière universelle proposée par le pape François aux catholiques tout au long de ce mois de février 2017: l’accueil des personnes en situation difficile.

    Sans les pauvres, pas de Royaume.

    Ce mois de février,  le Pape François attire notre attention sur les personnes qui sont mises à l’épreuve, que ce soit à cause de la pauvreté, de la marginalisation, ou à cause d’un déracinement, et sur l’urgence pour nos communautés chrétiennes de les accueillir et de les soutenir. Une urgence qui nous semble tellement en lien avec l’Evangile que nous avons intitulé notre magazine : « Sans les pauvres, pas de Royaume ».

    Certes beaucoup de choses sont faites en direction des plus pauvres dans notre société, mais ce ne sera jamais suffisant, tant que les inégalités demeureront, et iront même en s’aggravant. Or les derniers rapports d’associations telles que le Secours Catholique, le Secours Populaire, ou ATD Quart-Monde nous alertent précisément aujourd’hui sur l’aggravation du niveau de la pauvreté, en France et en Europe, en raison en particulier de la crise économique qui éprouve durement les plus fragiles. Nous avons essayé d’ouvrir les yeux, mais surtout notre cœur, et d’aller à la rencontre de ces personnes en difficulté.

    Tout d’abord, laissons-nous interpeller par la Parole de Dieu pour entendre ce qu’elle nous dit  de l’épreuve et de ceux qui la subissent, et comment elle nous interpelle. Le P. J. Marie Dezon nous fait découvrir que l’épreuve a son sommet dans la Croix et que « l’Esprit fait discerner dans le mystère de la Croix le triomphe de l’amour sur l’égoïsme, de la vie sur la mort. »

    Par ailleurs le Pape François n’hésite jamais à nous mettre en face de nos responsabilités face à ceux qui vivent l’épreuve : « Il faut s’inquiéter, lorsque la conscience est anesthésiée et ne prête plus attention au frère qui souffre à côté de nous »

    « Des pauvres, vous en aurez toujours » dit Jésus… et nous réalisons qu’ils sont nombreux si nous ouvrons les yeux autour de nous. Nous vous proposons plusieurs témoignages dans ce magazine. C’est ainsi que nous avons travaillé avec Anne, Sœur de la Bonne Nouvelle, dont la mission est de marcher avec les personnes du Quart-Monde, suivant l’intuition du Père Joseph Wresinski. Elle nous dit ce qu’elle, et les sœurs de sa communauté, vivent dans la proximité de ces personnes, et surtout comment elles se laissent évangéliser par eux : « Leur prière me fait entrer autrement dans la prière des psaumes que nous prions si souvent comme religieuses. Nous nous sommes mises à « tresser » les psaumes, nous les actualisons avec les paroles des pauvres. »

    Nous entendrons également le témoignage de François, jeune cadre d’Airbus, participant aux maraudes auprès des SDF de Toulouse, qui voit dans ces personnes « des hommes et femmes comme nous, des frères en humanité avec qui nous avons beaucoup de points communs ».

    Enfin – mais peut-être aurait-il fallu commencer par là – nous ne pouvions pas nous contenter de parler de l’extérieur des personnes vivant la pauvreté et l’exclusion, en les laissant à la marge de nos réflexions, nous nous devions de leur donner la parole et de les écouter. Aussi prierons-nous avec leurs mots, leurs cris, leur foi impressionnante qui s’adresse à Dieu avec une infinie confiance.

    Oui vraiment, après avoir lu et prié avec les mots de toutes ces personnes, nous pouvons témoigner que sans les pauvres, il n’y a pas de Royaume !

    Marie Dominique Corthier, Equipe France

  • La plus grande force de l’Église aujourd’hui est dans les petites Églises persécutées

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    D'Anne Kurian sur zenit.org :

    La « plus grande force » de l’Eglise est dans les petites communautés persécutées

    Homélie du pape à Sainte-Marthe

    « Une Église sans martyrs… est une Église sans Jésus », a estimé le pape François le 30 janvier 2017, lors de la messe matinale en la chapelle de la Maison Sainte-Marthe au Vatican. D’ailleurs, a-t-il assuré, « la plus grande force de l’Église aujourd’hui est dans les petites Églises, toute petites, … persécutées ».

    « Sans mémoire, il n’y a pas d’espérance », a souligné le pape dans son homélie sur la Lettre aux Hébreux (He 11, 32-40) : l’Eglise doit faire mémoire « des grands gestes » et « des martyrs ». Elle est en effet « ce peuple de Dieu », « pécheur mais docile », « qui fait de grandes choses et qui rend témoignage à Jésus-Christ jusqu’au martyre ».

    « Les martyrs sont ceux qui font avancer l’Église, a affirmé le pape François, ceux qui soutiennent l’Église (…). Et aujourd’hui, ils sont plus nombreux que dans les premiers siècles. Les médias ne le disent pas parce que cela ne fait pas l’événement, mais beaucoup de chrétiens dans le monde sont bienheureux parce qu’ils sont persécutés, insultés, emprisonnés. Il y en a beaucoup en prison, seulement parce qu’ils portent une croix ou confessent Jésus-Christ ! »

    Les martyrs sont la gloire de l’Église

    Les martyrs, a-t-il poursuivi, sont « la gloire de l’Église et notre soutien, et aussi notre humiliation : nous, qui avons tout, tout semble facile pour nous et s’il nous manque quelque chose, nous nous lamentons… Mais pensons à ces frères et sœurs qui, aujourd’hui, en nombre plus grand que dans les premiers siècles, souffrent le martyre ».

    Le pape a rendu hommage à « ce prêtre et cette sœur » qui ont témoigné devant lui dans la cathédrale de Tirana (Albanie) en 2014 : il a créé cardinal le père Ernest Simoni, torturé et emprisonné sous la persécution communiste, le 19 novembre 2016.

    « Quand nous voyons un grand acte ecclésial, qui a eu un grand succès, les chrétiens qui se manifestent… Est-ce de la force ? Oui, c’est de la force », a concédé le pape. Mais « la plus grande force de l’Église aujourd’hui est dans les petites Églises, toute petites, avec peu de personnes, persécutées, avec leurs évêques en prison. C’est cela notre gloire aujourd’hui, c’est notre gloire et notre force ».

    En effet, « le sang des chrétiens, le sang des martyrs est semence des chrétiens » : « Avec leur martyr, leur témoignage, avec leur souffrance, et aussi en donnant leur vie, en offrant leur vie, ils sèment des chrétiens pour l’avenir et dans les autres Églises ».

    « Une Église sans martyrs, oserai-je dire, est une Église sans Jésus », a conclu le pape en invitant à prier « pour nos martyrs qui souffrent tant », « pour ces Églises qui ne sont pas libres de s’exprimer ».

  • Le silence de nos clochers

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    De Riposte-catholique.fr, ce constat qui vaut très largement pour notre pays :

    Les cloches ne sonnent plus

    Philippe de Villiers se demandait si les cloches de nos églises sonneront encore demain, mais une enquête récente indique qu’elles ne sonnent déjà plus. L’Etat laïciste et l’Eglise du silence ont préparé le terrain à l’Etat islamique…

    Si les cloches font partie du « patrimoine sonore », un patrimoine protégé au titre « historique et culturel de la nation », et la Société française de campanologie (SFC) explique que « la Commission supérieure des Monuments historiques lui prête une attention toute particulière », une étude publiée samedi 28 janvier sur 250 paroisses à l’occasion de la 14e Semaine du son sous le patronage de l’Unesco, explique les causes du silence, partiel ou total, de nos clochers.

    • Dans 10 % des cas, c’est la contrainte financière qui est avancée : entretenir les cloches ou les électrifier pour pouvoir les sonner plus facilement coûte cher aux communes, si l’église a été construite avant 1905, ou aux diocèses, si le bâtiment est postérieur à 1905.
    • C’est aussi la diminution du nombre de prêtres et celle de la pratique religieuse qui peuvent conduire à une diminution de l’utilisation des cloches, notamment dans les campagnes.
    • L’autocensure des sonneurs de cloches qui ne veulent pas froisser les voisins de l’église est aussi en cause. Une église sur cinq ne sonne plus l’angélus le matin ou le week-end et une église sur deux ne fait plus résonner ses cloches pendant les messes de la semaine.

    La SFC dénonce aussi un appauvrissement du langage des cloches où glas, tocsin ou baptême deviennent interchangeables.

    Selon Éric Sutter, président de la SFC :

    « Pour les habitants, même ceux qui ne sont pas croyants, la suppression des cloches, véritables archives sonores, c’est la mort du village, un peu comme quand on ferme le dernier bistrot. »

  • Le pape inquiet face aux nombreux abandons dans la vie consacrée

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    De Cyprien Viet sur Radio Vatican :

    Le Pape exprime son inquiétude face aux nombreux abandons dans la vie consacrée

    Le Pape François a reçu ce samedi matin les membres de la Congrégation pour les Instituts de Vie consacrée et les Sociétés de Vie apostolique, réunis à Rome pour leur assemblée plénière consacrée à la fidélité et aux abandons dans la vie communautaire.

    Dans son discours, le Pape s’est appuyé sur le thème de cette assemblée, consacrée à la fidélité et aux abandons dans la vie religieuse. Exprimant sa vive préoccupation face à cette «hémorragie» qui «fragilise la vie consacrée et la vie même de l’Église», le Pape a appelé à un renouveau de la vie fraternelle en communauté.

    «En ce moment la fidélité est mise à l’épreuve : les statistiques le démontrent (…). Les abandons dans la vie consacrée me préoccupent beaucoup», s’est attristé le Saint-Père. «C’est vrai que certains partent par un acte de cohérence, parce qu’ils reconnaissent, après un discernement sérieux, de ne jamais avoir eu la vocation. Mais d’autres, avec le temps qui passe, sont moins fidèles, parfois peu d’années après la profession perpétuelle. Que s’est-il passé ?», s’est interrogé le Pape François.

    Le Pape, qui avait lui-même dû accompagner le départ de certains de ses confrères lorsqu’il était provincial des Jésuites d’Argentine, a exprimé ses inquiétudes face à la diffusion, y compris parmi les jeunes catholiques, de cette «culture du provisoire» qui conduit à être «esclave des modes», qui «alimente le consumérisme et oublie la beauté de la vie simple et austère, en provoquant de nombreuses fois un grand vide existentiel».

    François a aussi évoqué les «contre-témoignages» de certaines communautés, comme «la routine, la fatigue, le poids de la gestion des structures, les divisions internes, la recherche de pouvoir, une manière mondaine de gouverner les institutions, un service de l’autorité qui parfois devient un autoritarisme ou d’autres fois un laisser-faire».

    Pour éviter ces facteurs de découragement, il faut prendre soin de la «vie fraternelle en communauté», à travers notamment une «communication sincère», ainsi que dans la prière et les sacrements. De nombreux jeunes sont en quête de vie spirituelle et de solidarité : il faut donc leur faire partager la «joie de l’Évangile», mais la «flamme de la vocation» ne peut être maintenue qu’avec le «regard fixé sur le Seigneur», a averti le Pape François.

    Et d'Anne Kurian sur zenit.org :

    Vie consacrée: faire grandir la fidélité pour stopper « l’hémorragie »

    Les critères du pape pour un bon accompagnement

    Pour stopper l’« hémorragie » des abandons de vocation et remédier à la crise de la « fidélité » dans la vie consacrée, le pape François a recommandé notamment une vie fraternelle saine et un bon accompagnement spirituel. Devant les participants à l’assemblée plénière de la Congrégation pour les Instituts de vie consacrée et les sociétés de vie apostolique, le 28 janvier 2017, il a formulé les critères d’un accompagnement équilibré.

    Les membres du dicastère étaient réunis au Vatican sur le thème “Fidélité et persévérance : entrelacement de responsabilités”. A une époque où « la fidélité est mise à l’épreuve » et où « il est difficile d’assumer des engagements sérieux et définitifs », le pape a diagnostiqué « une ‘hémorragie’ qui affaiblit la vie consacrée et la vie même de l’Eglise ».

    « Les abandons dans la vie consacrée nous préoccupent », a-t-il confié. Si certains « partent dans un acte de cohérence, parce qu’ils reconnaissent, après un discernement sérieux, n’avoir jamais eu la vocation », d’autres cependant connaissent l’érosion de leur fidélité « avec le temps », souvent « quelques années seulement après la profession perpétuelle ».

    Le pape François a énuméré les facteurs qui « conditionnent la fidélité » aujourd’hui : d’abord, le contexte social et culturel « du provisoire », où l’on peut vivre « à la carte » et être « esclaves des modes ». Cette culture, a-t-il noté, « induit le besoin d’avoir toujours des ‘portes latérales’ ouvertes sur d’autres possibilités, alimente le consumérisme et oublie la beauté de la vie simple et austère, en provoquant souvent un grand vide existentiel ». Dans cet environnement, a-t-il ajouté, « tout est jugé en fonction d’une auto-réalisation très souvent étrangère aux valeurs de l’Evangile. (…) Les règles économiques se substituent aux règles morales, (…) la dictature de l’argent et du profit prône une vision de l’existence selon laquelle celui qui ne rapporte pas est mis à l’écart ».

    Autre facteur : « on ne manque pas de jeunes très généreux, solidaires et engagés au niveau religieux et social », mais beaucoup sont « victimes de la mondanité », a déploré le pape. Il l’a synthétisée ainsi : « recherche du succès à tout prix, de l’argent facile et du plaisir facile ».

    Les contre-témoignages des consacrés

    Il a mis en relief un troisième facteur dans la vie consacrée elle-même : s’il y a « beaucoup de sainteté », il y a aussi « des situations de contre-témoignage qui rendent la fidélité difficile ». Par exemple « la routine, la lassitude, le poids de la gestion des structures, les divisions internes, la recherche du pouvoir – les arrivistes –, une manière mondaine de gouverner les instituts, un service de l’autorité qui parfois devient autoritarisme » et d’autres fois permissif. La vie consacrée, a insisté le pape, doit « montrer la beauté de la suite du Christ et rayonner l’espérance et la joie ». Des signes qui « montrent comment va une communauté ».

    Le pape François a alors recommandé de prendre soin de la vie fraternelle : « car quand un frère ou une sœur ne trouve pas de soutien pour la vie consacrée à l’intérieur de la communauté, il ira le chercher à l’extérieur, avec tout ce que cela implique ». Il a préconisé aussi « une bonne formation théologique et spirituelle ».

    La vocation est « un trésor » qu’il faut « protéger » comme « les choses les plus précieuses », a-t-il souligné, car ce « don » est aussi « une responsabilité ». Cela implique de garder « le regard fixé sur le Seigneur, en faisant toujours attention à marcher selon la logique de l’Evangile et à ne pas céder aux critères de la mondanité ». Si souvent, a mis en garde le pape, « les grandes infidélités commencent par des petites déviations ou distractions ».

    Choisir entre le bien et le mieux

    Enfin, le pape jésuite a longuement évoqué l’importance de l’accompagnement, invitant à investir « dans la formation d’accompagnateurs compétents », prêtres ou laïcs, car « le charisme de l’accompagnement spirituel est un charisme ‘laïque’ ».

    « Beaucoup de vocations se perdent par manque d’accompagnateurs valables », a-t-il estimé : « Il est difficile de rester fidèle en marchant seul, ou en marchant sous la direction de frères et de sœurs qui ne sont pas capables d’une écoute attentive et patiente, ou qui n’ont pas d’expérience adéquate de la vie consacrée ». Il faut pour cela « des frères et sœurs experts des chemins de Dieu ».

    Le pape a donné des critères pour un bon accompagnement spirituel : « éviter tout type de modalité d’accompagnement qui crée des dépendances, qui protège, contrôle ou rend infantile ». L’accompagnement doit être « proche, fréquent et pleinement adulte ».

    Le discernement, a-t-il poursuivi, exige de la part de l’accompagnateur et de la personne accompagnée « une fine sensibilité spirituelle » et de savoir se mettre « face à soi-même et face à l’autre » en étant « détaché des préjugés et des intérêts personnels ou de groupe ».

    Le pape a aussi rappelé que le discernement ne consiste pas seulement à « choisir entre le bien et le mal, mais entre le bien et le mieux, entre ce qui est bon et ce qui conduit à l’identification avec le Christ ». Il doit conduire « à découvrir la volonté de Dieu, à chercher en tout ce qui est le plus agréable au Seigneur ».

  • Heureux les pauvres, heureux les doux... Homélie pour le 4e dimanche du temps ordinaire

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    Du Père Simon Noël osb :

    Les béatitudes homélie

    Jésus avait choisi ses 12 apôtres dans le dessein formel de les envoyer prêcher la bonne nouvelle au monde entier. Il fallait donc qu'il les instruisît sur cette bonne nouvelle à annoncer. C'est ce qu'il fit sans tarder dès le début de son ministère. Le premier grand sermon que Jésus prononça est le sermon sur la montagne et il commence par la proclamation des 8 béatitudes.

    En parlant alors comme il le fit, Jésus a voulu nous donner les lois fondamentales du véritable bonheur. Ces principes du vrai bonheur avaient été corrompus par les passions du paganisme et par les préjugés du judaïsme. Ces lois du vrai bonheur sont encore aujourd'hui ignorées et méprisées par le monde. Notre monde est en effet dominé par ces fausses valeurs que sont le pouvoir, l'argent et la recherche effrénée des jouissances de cette vie. L’Évangile au contraire nous parle d'humilité, de pauvreté et de pureté.

    Examinons de plus près deux des béatitudes proposées. D'abord la toute première : Heureux ceux qui sont pauvres en esprit. Les pauvres en esprit sont ceux qui sont détachés des biens de la terre. Leur cœur en effet est libre et ils possèdent déjà le royaume des cieux, parce que dès à présent, sans crainte ni sollicitude, ils sont établis dans la paix, qui est un avant-goût du bonheur céleste.

    Qui sont ces pauvres en esprit dans la pratique ? Ce sont ceux qui d'abord sont économes dans leurs dépenses et qui se contentent de ce qu'ils ont en ne se laissant pas prendre par les mirages et les illusions de la société de consommation. Le monde actuel nous pousse à acheter sans cesse de nouvelles choses ? Certaines personnes ne savent pas s'empêcher de faire du lèche-vitrine, de se laisser tenter et d'entrer dans les magasins pour acheter sans cesse de nouvelles choses, dont elles n'ont pas vraiment besoin : vêtements, bijoux, appareils de plus en plus sophistiqués, que sais-je encore ? Mais au bout du compte elles ne récoltent qu'un vide affreux dans le cœur. Par contre celui qui reste maître de lui et qui vit dans une certaine sobriété goûte en lui-même une plénitude intérieure et une joie profonde, que le monde ne peut lui ravir.

    Une autre manière de vivre la pauvreté, c'est le partage. Si on a du superflu, il s'agit de le donner à ceux qui sont dans le besoin ou à de bonnes œuvres. En pratiquant ainsi l'aumône on s'enrichit pour Dieu, car qui donne aux pauvres prête à Dieu.

    Une autre béatitude qui doit retenir notre attention est celle-ci : Heureux les doux. Elle s'oppose à une autre caractéristique de notre monde, qui est la violence, la dureté, l'agressivité. L'un des chemins pour vivre cette douceur c'est de prendre conscience de la douceur infinie de Dieu. Cette douceur divine nous enveloppe et dans la prière, nous pouvons la goûter, la savourer et nous plonger en elle. Une personne qui prie beaucoup finit par devenir tout à fait douce, car elle est pénétrée par la douceur même de Dieu. Même si naturellement cette personne est portée à l'impatience, à la colère ou au ressentiment, elle finira par s'adoucir et ainsi elle sera plus heureuse. Elle acquerra une entière liberté d'esprit et une paix inaltérable au milieu des vicissitudes de la vie.

    Restons-en là. Notre choix est le suivant : vivre selon les passions du monde dans la violence ou la recherche effrénée des jouissances de ce monde, ou croire vraiment en la parole du Christ et préférer le bonheur dont son Évangile nous livre quelques secrets.

  • Opus Dei : entrée de Mgr Fernando Ocariz dans l’église prélatrice

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    messe27janvier2017_20170127224536931659.jpegMgr Fernando Ocariz, prélat de l’Opus Dei, a célébré l’entrée solennelle dans l’église prélatice de Sainte Marie de la Paix, le 27 janvier 2017, après avoir été nommé par le Pape François :

    «  Benedictus Dominus qui dedit requiem populo suo (1 Rois 8, 56). Ces mots de la première Lecture font référence au peuple d’Israël, et nous les reprenons maintenant pour rendre grâce au Seigneur pour cette paix qu’est l’unité de l’Œuvre pour nous. Nous remercions le Seigneur, Lui qui nous accorde l’unité de l’Œuvre, unité qui est source de paix authentique.

    Nous nous rendons compte aussi que cette paix c’est Jésus Lui-même. Nous devons en avoir habituellement conscience. Comme l’écrit saint Paul, Ipse enim est pax nostra (Ephésiens 2, 14) : Lui même est notre paix. L’unité dépend fondamentalement de la grâce de Dieu, qui ne nous fera jamais défaut. Mais elle dépend aussi de nous, selon notre union avec Jésus Christ. Il est notre paix ; Il est la source de notre unité dans le Saint Esprit.Dans la seconde Lecture, nous avons entendu des mots que saint Josémaria médita et nous conseilla de méditer si souvent : Elegit nos in Ipso ante mundi constitutionem ut essemus sancti (Ephésiens 1,4). Elegit nos in Ipso : dans le Christ ; nous retrouvons l’identification avec le Seigneur, comme filles et fils de Dieu le Père.Voilà le fondement de notre esprit : nous savoir vraiment filles et fils de Dieu, source de paix pour nos âmes et qui fait de nous des semeurs de paix et de joie, en toutes circonstances.

    Il est normal que nous méditions aujourd’hui sur la figure du Père dans l’Œuvre. Parmi les qualités requises pour le Père que saint Josémaria énumère, aussi bien dans Statuta que sur le siège de cette église, on trouve la prudence : je vous prie de demander au Seigneur de me l’accorder. La prudence, vertu propre du gouvernement. Prudence également pour toutes et tous –parce que ce qui est bien pour le Père est bien pour tous-. Prudence pour être très fidèle à l’esprit de l’ l’Œuvre, à tout moment, dans les circonstances changeantes, de temps et de lieux. Que le Père ait toujours la prudence d’être fidèle, extrêmement fidèle, à l’esprit de notre fondateur, qui est l’esprit que Dieu a voulu pour nous.

    Le Père doit également être pieux, très pieux. Saint Josémaria affirmait que la piété est « le remède des remèdes », comme vous vous en souviendrez. Demandez donc que le Père soit pieux, que vous soyez tous pieux, et que vous souteniez la piété du Père par votre piété. Ainsi nous formerons tous ensemble avec le Seigneur une unité de tête, de cœur, d’intentions.

    Autre caractéristique : l’amour pour l’Église et le Pape. Combien de fois le Père, don Javier, nous a demandé avec insistance –comme le faisaient le bienheureux Alvaro et saint Josémaria- de beaucoup, beaucoup prier pour l’Église et pour le Pape. Demandez donc au Seigneur que le Père, maintenant et toujours, traduise en une réalité cette devise de notre fondateur : Omnes cum Petro ad Iesum per Mariam ! Priez pour que nous avancions tous à l’unisson avec le Pape, aujourd’hui le Pape François, vers Jésus, par Marie.

    Il nous faut considérer ces qualités un peu rapidement ; chacune d’elles pourrait donner lieu à plusieurs homélies…

    Saint Josémaria soulignait une autre caractéristique : l’amour du Père pour l’Opus Dei et pour toutes ses filles et ses fils. Je vous demande de prier pour moi aussi pour cela : pour que ces mots de l’Écriture : Dilatatus est cor meum (2 Cor 6, 11) deviennent réalité dans ma vie : que mon cœur s’agrandisse. Cela vaut aussi pour vous tous. Le Père, don Javier, nous disait si souvent : « Aimez-vous, aimez-vous ! ». Nous sommes tous unis grâce à cette vraie fraternité : une fraternité qui jaillit du cœur du Christ.

    En 1933 (vous l’avez sans doute lu dans une biographie ou ailleurs) saint Josémaria adressait au Seigneur cette prière, que nous faisons nôtre : « Seigneur ! Fais que je sois tellement tien, qu’aucun élan d’amour, même le plus saint, ne pénètre dans mon cœur sans être passé par ton cœur blessé ! ». Il en est vraiment ainsi : nous devons passer par le cœur de Jésus Christ pour pouvoir aimer vraiment toutes les personnes, à commencer par celles qui font partie de cette si belle famille que Dieu nous a donnée. 

    Considérons brièvement maintenant l’Évangile du jour : la Visitation. Nous contemplons tous les jours cette scène merveilleuse du Rosaire : celle de la générosité avec laquelle la Sainte Vierge se donne. Qu’Elle nous aide à être comme ça : généreux pour servir. Demandez cela aussi pour le Père : qu’il soit le serviteur de tous, parce que l’autorité est un service. Si elle ne l’était pas, elle ne servirait à rien. Que cette autorité soit toujours un service.

    Le Magnificat de la Sainte Vierge : Magnificat anima mea, Dominum. Nous louons le Seigneur avec ces mots de la Sainte Vierge. Nous pouvons aussi comprendre ces mots selon un commentaire de Benoît XVI : ce magnificat peut signifier « faire que Dieu soit grand dans nos âmes » (Benoît XVI, homélie du 15 août 2005). Donnons toute la place au Seigneur dans notre cœur. Nous aurons ainsi un grand élan apostolique, une soif d’âme qui ne nous laisse pas vivre, allais-je dire… mais c’est plutôt une soif d’âmes qui nous fait vivre et nous pousse à chercher tout le temps le bien des âmes, par amour de Jésus Christ.

    Nous allons nous adresser à la Sainte Vierge, Mère de l’Église, Reine de l’Opus Dei : nous confions toute l’ Œuvre à sa médiation maternelle, pour que, avec son aide, cette nouvelle page de notre histoire soit toujours, continue d’être, l’histoire des miséricordes de Dieu. Ainsi soit-il. »

    Ref. Homélie de Mgr Fernando Ocariz lors de l’entrée solennelle dans l’église prélatice

    JPSC