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Spiritualité - Page 463

  • Des chrétiens, pas des idéologues...

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    Disciples du Christ et non de l’idéologie

    2013-10-18 L’Osservatore Romano

    « Quand un chrétien devient disciple de l’idéologie, il a perdu la foi et n’est plus disciple de Jésus ». Et l’unique antidote contre ce danger est la prière. Tel est le message que le Pape François a tiré de la liturgie de la Parole de la Messe célébrée ce jeudi 17 octobre, à Sainte-Marthe.

    Le Pape a centré son homélie sur le passage évangélique de Luc (11, 47-54) qui rapporte l’admonition de Jésus aux docteurs de la loi – « Malheureux êtes-vous, docteurs de la Loi, parce que vous avez enlevé la clé de la connaissance ; vous-mêmes n’êtes pas entrés, et ceux qui essayaient d’entrer, vous les en avez empêchés » – y associant l’image d’« une Eglise fermée » dans laquelle « les gens qui passent devant ne peuvent pas entrer » et où « le Seigneur qui est à l’intérieur  ne peut pas sortir ». D’où l’avertissement à ces « chrétiens qui ont la clé à la main et l’emportent, n’ouvrent pas la porte » ; où pire, « s’arrêtent à la porte » et « ne laissent pas entrer ».

    Mais quelle est la cause de tout cela ? Le Saint-Père  l’a identifiée dans le « manque de témoignage chrétien », qui apparaît encore plus grave si le chrétien en question « est un prêtre, un évêque, un Pape ». Du reste, Jésus est très clair quand il dit : « Allez, partez jusqu’aux extrémités du monde. Enseignez ce que j’ai enseigné. Baptisez, allez aux carrefours des routes et faites les tous entrer, les bons et les méchants. Ainsi dit Jésus. Tous à l’intérieur ! ».

    Chez le chrétien qui prend « cette attitude de ‘clé dans la poche et de porte fermée’ », il existe, selon le Pape, « tout un processus spirituel et mental » qui conduit à faire passer la foi « pour un alambic », en la transformant en « idéologie ». Mais « l’idéologie – a-t-il averti – n’appelle pas. Jésus ne se trouve pas dans les idéologies. Jésus est tendresse, amour, douceur, et les idéologies, de toute orientation, sont toujours rigides ». Au point qu’elles risquent de rendre le chrétien « disciple de cette attitude de pensée » plutôt que « disciple de Jésus ».

    Il faut alors se demander ce qui provoque « dans le cœur de ce chrétien, de ce prêtre, de cet évêque ou de ce Pape » une attitude du genre. Pour le Pape François la réponse est simple : « Ce chrétien ne prie pas. Et si la prière est absente », la porte se ferme.

    Donc, « la clé qui ouvre la porte à la foi est la prière ». Car « quand un chrétien ne prie pas, son témoignage et orgueil ». Et lui-même est « un vaniteux, un orgueilleux, c’est quelqu’un plein d’assurance, il n’est pas humble. Il recherche sa promotion. En revanche, quand un chrétien prie il ne s’éloigne pas de la foi : il parle avec Jésus ».

    En conclusion, le Pape a invité à demander au Seigneur la grâce de ne jamais cesser « de prier  pour ne pas perdre la foi » et de « rester humble » de manière à ne pas devenir des personnes fermées « qui bloquent la route au Seigneur ».

  • La nouvelle version du Notre Père, la victoire d'un camp ?

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    Le Notre Père nouvelle version n’est pas la victoire d’un camp !

    Le "boulevard Voltaire" propose un entretien au sujet de cette nouvelle version avec le Père Louis-Marie Guitton (responsable de l'Observatoire socio-politique du diocèse de Fréjus-Toulon)

    • Le pape propose une « nouvelle version » du Notre Père. Pourquoi maintenant ?

    Le bon Dieu a de l’humour… La popularité du pape François est telle et son invitation souvent répétée à nous « laisser surprendre » qu’on lui attribue maintenant cette nouvelle traduction du Notre Père. C’est en fait un travail de longue haleine, commencé en 1996, qui est en train d’aboutir, avec la reconnaissance donnée par Rome cet été, puis la publication de la traduction officielle au mois de novembre prochain. Cette traduction de la Bible pour la liturgie francophone, qui n’arrivera que dans quelques mois à la messe, lorsque les nouveaux lectionnaires auront été édités, prépare une autre traduction, qui suscitera sans doute beaucoup d’autres débats dans le monde francophone : celle du missel romain.

    • Peut-on y voir une invitation à l’unité pour les chrétiens ?

    La nouvelle traduction en français du Pater avait été annoncée le 29 décembre 1965, puis confirmée le 4 janvier 1966, dans un communiqué commun avec les représentants des chrétiens orthodoxes et réformés : on y précisait qu’elle serait commune aux trois confessions chrétiennes, dans un esprit d’unité. Les protestants ont déclaré, par la voix du pasteur Jean Tartier, que la nouvelle traduction est « de toute façon meilleure que l’ancienne ». De même Antoine Arjakovsky, orthodoxe, s’est réjoui car « l’ancienne formule de 1966 laissait sous-entendre que Dieu était à l’origine du mal ». Il est probable que l’on sera attentif à cette dimension œcuménique lors de la promulgation du missel, pour que l’on utilise la même formule dans les églises et dans les temples et que l’on puisse continuer à réciter ensemble cette prière.

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  • Musique sacrée et musique ancienne: Verviers 2013

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    http://www.quefaire.be/4eme-festival-de-musique-459204.shtml

    http://www.quefaire.be/4eme-festival-de-musique-459212.shtml

    JPSC

  • Prosélyte, non; missionnaire, oui !

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    Certains ont relevé les propos assez durs que le pape a tenus à l'égard du prosélytisme en l'accusant de manière plus ou moins directe de renoncer à convertir les non-chrétiens. Sandro Magister remet les pendules à l'heure dans un billet publié sur chiesa.espresso, intitulé Non au prosélytisme. Oui à la mission :

    Le premier est "une solennelle sottise", a dit le pape François. Mais la seconde est la priorité de son pontificat. Cela après des décennies de déclin de l'expansion missionnaire de l'Église, racontées aujourd'hui par un témoin exceptionnel qui en révèle des aspects jusqu'ici ignorés 

    À l’occasion de l'audience générale de mercredi dernier, sur une place Saint-Pierre qui était archicomble comme à l’accoutumée, le pape François a insisté une nouvelle fois sur l’un des points essentiels de son pontificat : le devoir qu’a l’Église de se faire "missionnaire", autrement dit de "continuer sur le chemin de l’histoire la mission même que Jésus a confiée à ses apôtres : Allez donc et faites de tous les peuples des disciples, en les baptisant au nom du Père et du Fils et du Saint-Esprit, et en leur apprenant à observer tout ce que je vous ai commandé".

    Le dimanche 20 octobre sera la journée mondiale des missions, marquée par le message pontifical relatif à cette question, dans lequel on peut en particulier lire ceci :

    "Le caractère missionnaire de l’Église n’est pas un prosélytisme mais un témoignage de vie qui illumine le chemin, qui porte espérance et amour. L’Église n’est pas une organisation d’assistance, une entreprise, une ONG mais une communauté de personnes animées par l’action de l’Esprit Saint, qui ont vécu et vivent l’étonnement de la rencontre avec Jésus-Christ et désirent partager cette expérience de joie profonde, partager le Message de salut que le Seigneur nous a apporté".

    Le pape Jorge Mario Bergoglio a déjà insisté à de nombreuses reprises sur le fait que l’Église "n’est pas une ONG d’assistance". Et qu’elle ne fait pas non plus de "prosélytisme" : une pratique qu’il a condamnée, au cours du célèbre entretien qu’il a eu avec Eugenio Scalfari, comme étant "une solennelle sottise", qui "n’a pas de sens".

    Mais, d’après le pape François, cela ne veut pas dire que l’Église doive se renfermer sur elle-même et renoncer à convertir. C’est tout le contraire. Depuis le moment où il a été élu successeur de Pierre, le pape Bergoglio n’a pas arrêté d’inciter l’Église à "s’ouvrir", à atteindre les hommes jusque dans leurs plus lointaines "périphéries existentielles".

    En effet, le ralentissement de l’élan missionnaire est l’un des points les plus critiques pour l’Église catholique des dernières décennies.

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  • L’abbaye de Wisques (Saint-Omer) : rediviva

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    Octobre 2013 : une deuxième vie pour l’abbaye de Wisques, dans le Pas-de-Calais, grâce à un essaimage des Bénédictins de Fontgombault (congrégation de Solesmes). Premières images:

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    JPSC

  • Dies Academicus à la Communauté Saint-Martin

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    C’est maintenant la rentrée dans cette communauté destinée à fournir des prêtres aux diocèses en manque de vocations. Lesquelles ne lui font pas défaut : 31 séminaristes ont rejoint la communauté cet automne, en première année…

     dies ac 5.jpgLe Dies academicus, c’est un peu la pré-rentrée pour les séminaristes. Il permet d’aiguiser leur curiosité intellectuelle avant le début des cours. A cette occasion, plusieurs prêtres membres ou amis de la communauté les ont rejoint pour une journée de formation, à Candé. Le thème choisi cette année était celui de « la théologie du corps selon Jean-Paul II ». Le professeur Yves Semen, auteur d’ouvrages à succès sur ce sujet* était l’invité d’honneur du séminaire. Il a brillamment analysé en quoi l’enseignement du pape polonais sur le mariage, la sexualité et la vie conjugale constitue une heureuse « bombe à retardement pour le troisième millénaire », selon l’expression de son biographe George Weigel.

    La vocation d’époux : cœur de la vie chrétienne

    Qu’il soit prêtre, religieux ou laïc, tout chrétien est appelé à vivre de l’amour que le Christ-Epoux donne à l’Eglise son épouse. Les noces que Dieu veut célébrer avec l’humanité sont d’ailleurs le thème central de la Bible, depuis la Genèse jusqu’à l’Apocalypse, en passant par Cana et le Cantique des cantiques. 

     Le couple : lieu de sanctification

    Si le Salut est accordé à chacun de manière individuelle, les époux ont une responsabilité dans la sanctification de leur conjoint. Ils ont également charge d’âmes envers leurs enfants dont ils sont les premiers éducateurs dans la foi. Le couple et la famille sont donc le lieu privilégié de la sainteté.

     Don Francois-Régis, directeur de l'Ecole de Théologie de la Communauté

     * Nous conseillons particulièrement son dernier ouvrage : La préparation au mariage selon Jean-Paul II et la Théologie du corps, Ed. Presses de la Renaissance, 2013, 446 pages.

     Ref. Dies Academicus

    JPSC

  • La Rédemption et la liturgie

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    De notre ami Jean-Pierre Snyers :

    La Rédemption et la liturgie

    On ne le dira jamais assez, l'une des grandes vérités qui rend le Christianisme unique par rapport à toutes les autres religions est que nous sommes d'abord sauvés par grâce et non en vertu de nos propres mérites. En affirmant cela, je ne veux évidemment pas dire que notre manière de vivre n'a pas d'importance et qu'elle n'aura pas d'incidence sur notre salut éternel. Mais autant il est vrai que nos comportements doivent tendre vers le bien, autant il est vrai qu'ils ne suffisent pas pour être trouvé juste devant Dieu. Du péché, l'homme ne peut se sauver lui-même. Toutes les bonnes actions que nous pouvons faire ne suffiront jamais pour que nous méritions la vie éternelle. Sur ce point-là, nous sommes à des années-lumière de ceux qui croient qu'ils deviendront  purs à force de se réincarner. Seule la grâce de Dieu peut nous sauver. Comment ? Uniquement à travers le sacrifice accompli par le Christ sur la croix. Seul, son sang versé pour chacun de nous nous délivre du péché et de la mort. Nier cette réalité, c'est nier tout saint Paul. Fidèle à l'Ecriture, à travers la liturgie eucharistique, l'Eglise affirme avec force l'importance de la rédemption. Voici quelques exemples significatifs...

    Lors de la confession de nos péchés : « Seigneur Dieu, Agneau de Dieu, le Fils du Père ; toi qui enlèves le péché du monde, prends pitié de nous ; toi qui enlèves le péché du monde, reçois notre prière. » Dans le Credo : « Pour nous les hommes et pour notre salut, il descendit du ciel. Crucifié pour nous sous Ponce-Pilate, il souffrit sa passion et fut mis au tombeau » A l'offertoire : « C'est Lui que tu as envoyé comme Rédempteur et Sauveur... Il étendit les mains à l'heure de sa passion afin que soit brisée la mort et que la résurrection soit manifestée ». A la consécration : « Au moment d'être livré et d'entrer librement dans la passion... Prenez et mangez-en tous, ceci est mon corps livré pour vous...Prenez et buvez-en tous, car ceci est la coupe de mon sang, le sang de la nouvelle alliance qui sera versé pour vous et pour la multitude en rémission des péchés ... Faisant ici mémoire de la mort et de la résurrection de ton Fils, nous t'offrons, Seigneur, la pain de la vie et la coupe du salut. » Avant la communion : « Agneau de Dieu, qui enlève le péché du monde, prends pitié de nous... Voici l'Agneau de Dieu qui enlève le péché du monde. »

    Comme on le voit, il n'est pas possible d'être catholique (ni chrétien) sans accepter l'amour salvifique de notre Rédempteur. Puisse la catéchèse offerte par la liturgie nous aider à en prendre conscience.

    Jean-Pierre Snyers - jpsnyers.blogspot.be

  • Clôturer l'année liturgique et entamer la nouvelle sur "prier en famille . com"

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    accueil_01B.gifLettre d'information du site - n° 6 - 15 octobre 2013
     
    Nous arrivons en fin d'année liturgique !
    Grandes étapes à vivre avec les enfants :
    - Vendredi 1er novembre : fête de TOUS LES SAINTS
    - Samedi 2 novembre : la prière pour ceux qui sont morts
    - Dimanche 24 novembre : le CHRIST, ROI DE L'UNIVERS
     
    Puis ce sera la nouvelle année liturgique (début : dimanche 1er décembre) :
    la période de l'AVENT va nous préparer à la grande fête de NOËL.
     
    Livre pour toute l'année liturgique : Vivre l'année liturgique avec les enfants
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    L'Avent, un temps pour bien préparer Noël
    Texte sur site - En livret chez l'éditeur - En livret par Amazon
     
    Éduquer pour le bonheur : guide pour la formation morale de l'enfant
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    Ancien Testament : nouvelle série de 50 dessins

  • Une nouvelle évangélisation appelée à avoir le courage d'aller à contre-courant

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    L'annonce du Christ doit utiliser le langage de la miséricorde

    Promotion de la nouvelle évangélisation (Zenit.org

    « La nouvelle évangélisation, qui est appelée à avoir le courage d'aller à contre-courant, de se convertir des idoles vers l'unique vrai Dieu, ne peut qu'utiliser le langage de la miséricorde, fait de gestes et d'attitudes avant même les paroles », déclare le pape François.

    Le pape a reçu en audience les participants de l'Assemblée plénière du Conseil pontifical pour la promotion de la nouvelle évangélisation, ce 14 octobre 2013, au Vatican.

    Discours du pape François

    Chers frères et soeurs,

    Je vous salue tous et vous remercie pour ce que vous faites au service de la nouvelle évangélisation, et pour le travail de l’Année de la foi. Merci de tout cœur ! Ce que je voudrais vous dire aujourd'hui peut se résumer en trois points : primat du témoignage ; urgence d'aller à la rencontre ; projet pastoral centré sur l’essentiel.

    1. A notre époque se vérifie souvent une attitude indifférence envers la foi, qui n'est plus estimée importante dans la vie de l'homme. Nouvelle évangélisation signifie réveiller dans le cœur et dans l'esprit de nos contemporains la vie de la foi. La foi est un don de Dieu, mais il est important que nous chrétiens montrions que nous vivons la foi de façon concrète, à travers l’amour, la concorde, la joie, la souffrance, car cela suscite des questions, comme aux débuts de la marche de l’Église : pourquoi vivent-ils ainsi ? Qu'est-ce qui les pousse ? Ce sont des interrogations qui amènent au cœur de l’évangélisation, qui est le témoignage de la foi et de la charité. Ce dont nous avons besoin, spécialement en ces temps, ce sont de témoins crédibles qui par leur vie et par leur parole rendent visible l'Evangile, réveillent l’attraction pour Jésus-Christ, pour la beauté de Dieu.

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  • Je crois en l'Eglise, apostolique

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    L'Eglise n'est pas fondée sur une idée mais sur le Christ

    Catéchèse du pape François - 16 octobre 2013 (Zenit.org

    Chers frères et sœurs, bonjour !

    Quand nous récitons le « Je crois en Dieu », nous disons : « Je crois en l’Église une, sainte, catholique et apostolique ». Je ne sais pas si vous avez déjà réfléchi à ce que veut dire l’expression « l’Église est apostolique ». Peut-être jamais, ou peut-être que quelquefois, en venant à Rome, vous avez pensé à l’importance des apôtres Pierre et Paul qui ont donné ici leur vie pour apporter l’Évangile et en témoigner.

    Mais il y a plus encore. Professer que l’Église est apostolique signifie souligner le lien constitutif qu’elle a avec les apôtres, avec ce petit groupe de douze hommes qu’un jour Jésus a appelés à lui, en les appelant par leur nom, pour qu’ils demeurent avec lui et pour les envoyer prêcher (cf. Mc 3,13-19). En fait, le mot « apôtre » est un terme grec qui veut dire « envoyé ». Un apôtre est une personne qui est envoyée pour faire quelque chose et les apôtres ont été choisis, appelés et envoyés par Jésus pour poursuivre son œuvre, c’est-à-dire prier – c’est le premier travail de l’apôtre – et deuxièmement, annoncer l’Évangile. Ceci est important parce que, quand nous pensons aux apôtres, nous pourrions imaginer qu’ils sont seulement allés annoncer l’Évangile, réaliser beaucoup d’œuvres. Mais dans les premiers temps de l’Église, il y a eu un problème : les apôtres devaient faire tellement de choses que les diacres ont été institués pour que les apôtres aient plus de temps pour prier et annoncer la Parole de Dieu. Lorsque nous pensons aux successeurs des apôtres, les évêques, y compris le pape parce qu’il est lui aussi évêque, nous devons nous demander si ce successeur des apôtres commence par prier et ensuite s’il annonce l’Évangile : c’est cela être apôtre et c’est pour cette raison que l’Église est apostolique. Nous tous, si nous voulons être des apôtres, comme je vais l’expliquer maintenant, nous devons nous demander : est-ce que je prie pour le salut du monde ? Est-ce que j’annonce l’Évangile ? C’est cela l’Église apostolique ! C’est un lien constitutif que nous avons avec les apôtres.

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  • Liège, 17 octobre : Nightfever à Liège avec la participation de Mgr Delville

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    Église ouverte – Cœur ouvert (Diocèse de Liège)

    La « Nightfever » arrive à Liège : soirée de rencontre, de chants et de prière pour tous, le jeudi 17 octobre à Saint-Jean !

    Pour la première soirée, le jeudi 17 octobre 2013, notre évêque sera avec nous :
    19h30 : Eucharistie présidée par Mgr Jean-Pierre Delville
    20h30-22h30 : soirée de prière, adoration, rencontre,...
    et à 21h : Témoignage de notre évêque

    Nightfever, c’est quoi ? (extraits du site http://www.nightfeverliege.be/cest-quoi/)

    Nightfever est organisé par de jeunes chrétiens dont la foi est centrale dans leur vie et qui aspirent à créer des liens entre les individus, les paroisses et les communautés. Grâce à notre initiative, nous aimerions aborder les jeunes qui sont restés loin de l’Église et de les rapprocher à nouveau de la foi. Tout devrait se passer sans aucune obligation, comme il est dit dans l’évangile de Jean Venez et voyez (Jn 1,46). Nightfever est un réseau international (www.nightfever.org) qui collabore avec de nombreuses paroisses et communautés chrétiennes.

    L’origine de Nightfever date de 2005, à Cologne, après les JMJ qui s’y étaient déroulées durant l’été.

    À Liège, les initiateurs de Nightfever sont :

    Communauté du chemin Neuf
    Dominicains de Liège / Projet Logos
    Communauté de l’Emmanuel
    Fraternité de Tibériade
    Frères et soeurs de St Jean 
    Diocèse de Liège & service diocésain des jeunes liège
    Les Jésuites de Belgique
    Salésiens de Belgique
    Medias catholiques belges francophones
    Saint Lambert
    Notre Dame des Ponts 
    Communauté Annonciation

    Plus d’info ? Venez voir ;-) mais aussi via info@nightfeverliege.be et www.nightfeverliege.be ou encore via Facebook !