
Spiritualité - Page 546
-
Job sur les planches parisiennes, avec Michaël Lonsdale
-
Les 45 ans des éditions "L'Age d'Homme"
LES 45 ANS DES EDITIONS L’AGE D’HOMME
1966-2011
HOMMAGE A VLADIMIR DIMITRIJEVIc
Andonia Dimitrijevic et toute l’équipe de L’Age d’Homme
vous invitent
LE SAMEDI 26 NOVEMBRE 2011 (14-19H)
MAIRIE DU VIe ARRONDISSEMENT
PLACE ST-SULPICE (75006 PARIS)
HOMMAGE A NOTRE FONDATEUR ET DIRECTEUR VLADIMIR DIMITRIJEVIc (1934-
28 JUIN 2011)
FLORILEGE DES EDITIONS L’AGE D’HOMME : LES PLUS BELLES HISTOIRES
EDITORIALES
RENCONTRES AVEC LES DIRECTEURS DE COLLECTIONS ET DE REVUES, ET LES
AUTEURS
LECTURES D’EXTRAITS D’OEUVRES DE GRIPARI, HALDAS, VOLKOFF… PAR GUY
MOIGN ET NELL REYMOND
FILMS : SABLIER DU SIECLE. PIERRE MARIE GALLOIS, PAR CLAUDE HERDHUIN
(AVANT-PREMIERE MONDIALE) ; PERSONNE DEPLACEE. PORTRAIT DE VLADIMIR
DIMITRIJEVIc, PAR JEAN-CLAUDE BONNEAU ET LE PERE NICOLAS OZOLINE)
LIBRAIRIE L’AGE D’HOMME ET VENTE DE LIVRES RARES
EXPOSITION DE PHOTOS D’ECRIVAINS DE L’AGE D’HOMME PAR LOUISMONIER
CHOEUR ORTHODOXE SAINT SIMEON DE LA CATHEDRALE SERBE SAINT SAVA A
PARIS, DIRIGE PAR NANA PERADZE
EXPOSITION DES CARNETS DE DESSINS DE VLADIMIR VOLKOFF
CONCERT BALKANIQUE SOUS LA DIRECTION DE DRAGOSLAV DJURIC
pour tout renseignement
Librairie L’Age d’Homme - 5 rue Férou 75006 PARIS - 01 55 42 79 79
lagedhomme@orange.fr lydwine.helly@free.fr 06 75 87 17 02
http://librairieagedhomme5rferouparis.blogspot.com/ -
Maximes et sentences spirituelles de saint Jean de la Croix
Lien permanent Catégories : Foi, Livres - Publications, Patrimoine religieux, Spiritualité 0 commentaire -
Castellucci à Rennes : une réaction catholique intelligente
Le blog « Salon Beige » a reproduit ce communiqué de la Paroisse Saint Germain de Rennes :
"Depuis, quelques jours, l’organisation du spectacle/happening de Romero Castellucci a créé un profond malaise parmi les catholiques en France dans un contexte de cathophobie et de persécution des chrétiens dans de nombreux pays dans le monde. Après avoir fait scandale à Paris, le spectacle de Romero Castellucci « Sur le concept de visage du fils de Dieu » va faire l’objet de plusieurs représentations à Rennes. Au-delà de la réaction compréhensible de certains catholiques face à un spectacle qui outrage le visage du Christ, les catholiques de la Paroisse [diocésaine] Saint Germain de Rennes souhaitent proposer une alternative artistique et culturelle à ce spectacle. C’est pour cette raison qu’ils invitent tous les catholiques - quels qu’ils soient - choqués par cette vision volontairement scatologique de la figure du Christ à une lecture/concert intitulée : « Méditation sur le visage du Christ » à partir de l'œuvre de Francis Jammes "le crucifix du poète", qui sera organisé le jeudi 10 novembre 2011 à 20 h 30 à l’église Saint Germain Place St Germain à Rennes à quelques minutes du TNB lieu du spectacle
Cette lecture sera suivie d’une veillée de prière avec Salut du St Sacrement. Cette soirée culturelle gratuite et de prières est ouverte." Ici : Castellucci à Rennes : alternative proposée par une paroisse catholique
C’est en effet beaucoup mieux que de vociférer ou d’instrumentaliser des prières ostentatoires autour du théâtre qui accueille la pièce.
-
Roux-Miroir, le 28 novembre : un spectacle écrit et interprété par des jeunes
détails en "lisant la suite" -
Le Seigneur et sa Parole sont notre terre promise, où vivre dans la communion et la joie
La catéchèse de l'audience générale de ce mercredi a porté sur le psaume 119, qui s'ouvre par les 22 caractères de l'écriture juive et a pour thème la Torah, la loi du Seigneur. Torah, a dit le Pape, "mot signifiant plus largement enseignement et code de vie, veut dire Révélation, Parole de Dieu adressée à l'homme. Elle l'interpelle et réclame de lui confiance, obéissance et amour... La fidélité du psalmiste naît de l'écoute de la Parole, qui doit être protégée et méditée tout comme Marie faisait avec ce que Dieu avait révélé à son coeur, en réclamant sa confiance... Marie est bienheureuse parce qu'elle a porté le Sauveur, et plus encore parce que, ayant accepté l'annonce de Dieu, elle en conservé jalousement la Parole". Ce psaume, a poursuivi Benoît XVI, est construit autour de la Parole de vie et de béatitude. Autour du thème central, Parole et Loi, tournent les mots de préceptes, ordres, enseignements, promesses et jugements", reliés aux verbes observer, conserver, comprendre, connaître, aimer, méditer et vivre. "Les 22 strophes du psaume 119 et leur vocabulaire parlent du rapport de confiance du croyant. Ils expriment la louange, la reconnaissance et la confiance, mais aussi la plainte et la lamentation que suscitent la certitude de la grâce divine et de la puissance de la Parole. Les versets les plus douloureux et sombres, remplis de foi, restent ouverts à l'espérance".
Le coeur de l'existence, a ajouté le Pape, est la Loi de Dieu qui réclame "une écoute faite d'une obéissance filiale, confiante et consciente. Ecouter la Parole de Dieu c'est rencontrer le Seigneur de la vie... L'accomplissement de la loi est de suivre le Christ". Ce psaume nous porte vers l'Evangile et le verset 57 dit: Je suis avec le Seigneur, et j'ai choisi d'en observer les paroles". Etre du parti du Seigneur "évoque la répartition de la terre promise entre les tribus d'Israël, lorsque les lévites ne reçurent rien car leur part était le Seigneur". Aujourd'hui encore ce passage revêt une grande importance, pour les prêtres avant tout: "Ils sont appelés à ne vivre que du Seigneur et de sa Parole, sans aucune autre sécurité. Il est leur seul bien et leur seule raison de vivre. C'est selon cette clef que se comprend le choix du célibat pour le Royaume, et la nécessité d'en redécouvrir la force et la beauté. Ces versets -a conclu le Saint-Père- sont également importants pour les fidèles, peuple qui n'appartient qu'à Dieu...appelés à la radicalité de l'Evangile et à témoigner de la vie que le Christ apporte...en s'offrant en sacrifice pour le salut du monde. Le Seigneur et sa Parole sont notre terre promise, où vivre dans la communion et la joie".
AG/VIS 20111109 (500)
-
"L'évêque qui est à votre tête est votre serviteur" (saint Augustin)
L'évêque qui est à votre tête est votre serviteur... Que le Seigneur nous donne donc, à l'aide de vos prières, d'être et de rester jusqu'à la fin ce que vous voulez que nous soyons...; qu'il nous aide à accomplir ce qu'il a commandé. Mais qui que nous soyons, ne placez pas en nous votre espoir. Je me permets de vous dire ceci en évêque : je veux me réjouir de vous et non m'enfler d'orgueil... Je parle maintenant au peuple de Dieu au nom du Christ, je parle dans l'Église de Dieu, je parle comme pauvre serviteur de Dieu : ne mettez pas votre espoir en nous, ne mettez pas votre espoir dans les hommes. Sommes-nous bons ? Nous sommes des serviteurs. Sommes-nous mauvais ? Nous restons des serviteurs. Mais les bons, les fidèles serviteurs sont les vrais serviteurs.
Quel est notre service ? Faites-y attention : si vous avez faim et que vous ne veuillez pas être ingrats, remarquez de quel cellier nous tirons les provisions ; mais dans quel plat est servi ce que tu es avide de manger, cela ne te regarde pas. « Dans une grande maison, il n'y a pas seulement de la vaisselle d'or et d'argent, il y a aussi de la vaisselle d'argile » (2Tm 2,20). [Votre évêque ressemble-t-il à] un plat d'argent, un plat d'or, un plat d'argile ? Toi, regarde si ce plat contient du pain, et de qui vient ce pain, et qui le donne pour qu'on te le serve. Remarquez qui est celui de qui je parle, qui donne le pain que l'on vous sert. C'est lui qui est le pain : « Je suis le pain vivant, descendu du ciel » (Jn 6,51). Nous vous servons donc le Christ, à la place du Christ..., pour qu'il parvienne jusqu'à vous, pour qu'il soit le juge de notre ministère.
Saint Augustin (354-430), évêque d'Hippone (Afrique du Nord) et docteur de l'Église
Sermon pour l'ordination d'un évêque, 3, 9 ; Guelferbytanus n°32, PLS 2, 637 (trad. coll. Pères dans la foi n°46, p. 102 rev.) (sur "Evangile au Quotidien" de ce jour) -
Benoît XVI rappelle les exigences du ministère sacerdotal
Hier (dimanche 6 novembre) en la Basilique vaticane, le Saint-Père a célébré les vêpres à l'occasion de l'ouverture de l'année académique des universités pontificales. Dans son homélie, il a évoqué le ministère sacerdotal à l'occasion des 70 ans de l'institution, par Pie XII, de l'Oeuvre pontificale pour les vocations sacerdotales, et a commenté la première épître de Pierre qui "invite à méditer sur la mission des pasteurs dans la communauté chrétienne". Puis il a souligné que "dès les débuts de l'Eglise, une importance a été donnée aux guides des premières communautés établies par les apôtres, pour annoncer la Parole de Dieu par la prédication et pour célébrer le sacrifice du Christ, l'Eucharistie... Pierre met aussi l'accent sur la solidarité réciproque des Pasteurs dans leur ministère, en soulignant son appartenance et la leur à un ordre apostolique unique... S'occuper du troupeau du Christ est une vocation et un devoir qu'ils ont en commun et qui les lie particulièrement entre eux parce qu'ils sont unis au Christ par un lien spécial... La vocation apostolique vit grâce au rapport personnel avec le Christ, nourri par une prière assidue et animé par la passion de communiquer le message reçu et la même expérience de foi des apôtres".
-
Une messe pour la Vie, chaque mois, à Bruxelles
Le deuxième vendredi de chaque mois, à 18H00
l’EUCHARISTIE est célébrée pour la vie
précédée par une heure d’adoration silencieuse (à 17H00)
Congrégation Saint Jean - Couvent de la Madeleine,
225 avenue de Jette - 1090 Jette (Bruxelles)
Les Frères de la Communauté assurent une permanence
pour le sacrement de la Réconciliation pendant l’heure d’AdorationLien permanent Catégories : Belgique, Défense de la Vie, Eglise, Famille, Foi, Spiritualité 0 commentaire -
La vraie sagesse : tirer profit de cette vie pour accomplir des oeuvres de miséricorde
Anne Kurian, sur Zenit.org, rend compte des propos tenus par le pape hier, avant l'Angelus« La vraie sagesse est de tirer profit de la vie mortelle pour accomplir des œuvres de miséricorde, car, après la mort, ce ne sera plus possible », a affirmé Benoît XVI avant l’angélus de ce dimanche 6 novembre, place Saint-Pierre. Le pape a souligné également « l’espérance » qu’apporte la foi chrétienne. Benoît XVI a commenté l’Evangile du jour : la parabole des dix jeunes filles invitées à un festin de noces, « symbole du royaume des cieux, de la vie éternelle (Mt 25,- 1-13) ». Le pape s’est demandé ce que représente « cette « huile », indispensable pour être admis au banquet nuptial ? "
-
La route de la mort, une voie de l’espérance ou quand l’homme a besoin d’éternité
L’audience générale du mercredi 2 novembre a été consacrée, par le Saint-Père Benoît XVI, aux fidèles défunts. L’occasion, pour Benoît XVI, de réfléchir sur la réalité de la mort, illuminée, pour nous chrétiens, par la Résurrection du Christ. Le pape voit dans la mort une voie de l’espérance, et les promenades à travers nos cimetières, un chemin d’espérance tourné vers l’éternité.
Extrait – Source : ZENIT.ORG
"Bien que la mort soit souvent un thème presque interdit dans notre société, et que l’on tente constamment de chasser de notre esprit la seule idée de la mort, celle-ci concerne chacun de nous, elle concerne l’homme de tout temps et de tout lieu. Et devant ce mystère, tous, même inconsciemment, nous cherchons quelque chose qui nous invite à espérer, un signe qui nous apporte un réconfort, qui nous ouvre quelque horizon, qui offre encore un avenir. La route de la mort, en réalité, est une voie de l’espérance et parcourir nos cimetières, comme lire les inscriptions sur les tombes, signifie accomplir un chemin marqué par l’espérance de l’éternité.
Mais nous nous demandons: pourquoi éprouvons-nous de la crainte face à la mort? Pourquoi une grande partie de l’humanité ne s’est-elle jamais résignée à croire qu’au-delà de la mort, il n’y pas simplement le néant?
-
"L'esprit d'Assise" ou comment certains médias ou hommes d’Eglise prennent des libertés avec ce que le pape n’a pas dit
L'expression connaît un vif succès dans les médias et elle est le mantra des franciscains et de la Communauté de Sant'Egidio. Mais les autorités du Vatican ne la répètent plus. Et Benoît XVI encore moins.
Source : http://chiesa.espresso.repubblica.it/articolo/1350057?fr=y
Aldo Maria Valli, journaliste vaticaniste à la télévision d’état italienne, a écrit dans le quotidien "Europa" que c’est avec la première rencontre d’Assise, en 1986, qu’est "né 'l’esprit d’Assise', qui est ensuite devenu une expression, jugée très belle par certains et dévastatrice par d’autres".
À l’occasion du "pèlerinage" par lequel Benoît XVI a voulu célébrer le vingt-cinquième anniversaire de cet événement, l’expression "l’esprit d’Assise" a été évoquée de manière répétée et emphatique dans les médias.
Beaucoup de personnalités l’ont fait. On peut citer, à titre d’exemple : le prieur du monastère de Bose, Enzo Bianchi, dans "La Stampa" ; le président de la Communauté de Sant’Egidio, Marco Impagliazzo, dans un éditorial publié en première page du quotidien des évêques d’Italie, "Avvenire" ; le fondateur de cette même communauté, Andrea Riccardi, dans le "Corriere della Sera" et dans "Famiglia Cristiana", qui est le plus diffusé des hebdomadaires catholiques italiens ; le sous-secrétaire du conseil pontifical pour les communications sociales, Angelo Scelzo, dans le "Mattino" ; le cardinal Roger Etchegaray, principal organisateur de la rencontre de 1986, en présentant un ouvrage écrit par Sant’Egidio et intitulé précisément "Lo spirito di Assisi” [L’esprit d’Assise] ; les moines franciscains et l’évêque d’Assise ; le quotidien catholique français "La Croix" ; le patriarche œcuménique de Constantinople, Bartholomée Ier, au cours de l’événement lui-même...
L’allégresse médiatique à propos de “l’esprit d’Assise” s’est fait sentir même dans les chroniques publiées par "L'Osservatore Romano" ou diffusées par Radio Vatican. Mais pas dans les éditoriaux écrits par les directeurs de ces deux médias du Saint-Siège, Giovanni Maria Vian et le père Federico Lombardi.Ce silence de leur part est-il dû au hasard ou bien est-ce le fruit d’une volonté précise ?