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Spiritualité - Page 544

  • Rome, reprise de la catéchèse sur la prière : la prière des psaumes

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    Vatican Information Service

    Venant de Castelgandolfo, Benoît XVI a présidé l'audience générale Place St.Pierre, reprenant son cycle catéchistique consacré à l'école de la prière. Commentant le psaume III qui rapporte la fuite de David lors de l'usurpation de son fils Absalon: "Dans le cri du psalmiste, chacun peut lire la souffrance et l'amertume, mais aussi la confiance en Dieu, qui accompagnèrent sa fuite de Jérusalem". Les ennemis du roi sont nombreux et puissants, et cette faiblesse de David justifie qu'il en appelle à l'aide de Dieu. Ses opposants veulent aussi rompre cette foi et son rapport avec le Seigneur, prétendant que ce dernier ne saurait intervenir. "L'agression n'est pas que physique, et sa dimension spirituelle est au coeur du psaume.

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  • Saint-Exupéry : "Nous sentons le désert en nous"

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    "On nous a élevés et pourtant en nous, nous sentons le désert.
    La termitière humaine est plus riche qu'auparavant, nous disposons de plus de biens et de loisirs, et, cependant, quelque chose d'essentiel nous manque que nous savons mal définir. Nous nous sentons moins hommes... Fils de l'âge du confort, on nous a élevés, on nous a donnés le pain, on nous a enseignés et pourtant. en nous, nous sentons le désert.
    On a cru que, pour nous grandir, il suffisait de nous vêtir, de nous nourrir, de répondre à tous nos besoins. Et l'on a peu à peu fondé en nous le petit bourgeois de Courteline, le politicien de village, le technicien fermé à toute vie intérieure. "On nous instruit, me répondrez-vous, on nous éclaire, on nous enrichit mieux qu'autrefois des conquêtes de notre raison." Mais il se fait une piètre idée de la culture de l'esprit, celui qui croit qu'elle repose sur la connaissance de formules, sur la mémoire de résultats acquis. Le médiocre sorti le dernier de polytechnique en sait plus long sur la nature et sur ses lois que Descartes, Pascal et Newton. Il demeure cependant incapable d'une seule des démarches de l'esprit dont furent capables Descartes, Pascal et Newton. Ceux là on les a d'abord cultivés."

    Antoine de Saint-Exupéry

    source : http://www.volodalen.com/15psychologie/psychologie60.htm

  • Sophie et Hans, décapités par les bourreaux nazis

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    "Le 22 février 1943, quelques jours après la fin de la bataille de Stalingrad, Sophie et Hans Scholl, âgés respectivement de 20 et 23 ans, étaient décapités par les bourreaux nazis. Quatre jours plus tôt, ils avaient été arrêtés en train de lancer des tracts du mouvement clandestin la Rose Blanche, dans la cour de l’Université de Munich.

    Je suis actuellement plongé dans la lecture des Lettres et carnets de Hans et Sophie Scholl. Publié par Tallandier en 2008, l’ouvrage existe maintenant en Livre de Poche (n° 31913), l’édition à laquelle je me réfère.

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  • Les Etats-Généraux du Christianisme

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    Nous vous soumettons cet évènement avec son programme ambitieux et la participation de personnalités très variées. En cliquant sur l'image ci-dessous, vous aurez accès au programme complet que vous pourrez télécharger. Parmi les intervenants, on nous annonce des figures dont nous nous sentons proches (Jean-Marie Le Méné, Chantal Delsol, François de Lacoste de Lareymondie, Fabrice Hadjadj...) et d'autres, plus éloignées. Mais pouvons-nous nous enfermer dans nos cénacles sans entendre ce qui peut se dire ailleurs?egc-2011-lille.jpg

    Tous les renseignements se trouvent ici : http://www.lavie.fr/religion/etats-generaux-du-christianisme/

  • Se confesser, "un acte heureux"

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    Un article de l'abbé Butaye sur le site du diocèse de Namur :

    "Aller se confesser, voilà bien une décision pas toujours facile à prendre. Chaque jour, en compagnie de six autres prêtres, l'abbé Chris Butaye assure une permanence aux sanctuaires de Beauraing. Tous sont présents pour accueillir les personnes qui souhaitent recevoir le sacrement de réconciliation. Beaucoup profitent d'un passage par un lieu de pèlerinage pour se confesser. Lieu idéal pour rencontrer un prêtre qui ne soit pas son curé de paroisse. Une réaction que l'abbé Butaye comprend parfaitement: ''Quand j'étais jeune, je ne me suis jamais confessé dans ma paroisse. Je profitais d'un pèlerinage pour le faire.'' Rencontre avec un jeune prêtre tellement heureux de pouvoir accorder le pardon du Seigneur qu'il se considère, par rapport à ses confrères, comme un privilégié..."

    la suite est ici : http://www.diocesedenamur.be

  • Le mensuel « La Nef » : numéro de rentrée

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    FIC66247HAB33.jpgSOMMAIRE DU N°229 DE SEPTEMBRE 2011

    EDITORIAUX
    JMJ et… démocratie, par Christophe Geffroy
    La fin des rêves, par Jacques de Guillebon

    ACTUALITÉ
    Le luthéranisme suédois à vau-l’eau, par Michel Toda
    Un nouvel Abbé pour Fontgombault, par Christophe Geffroy
    « Les chemins de la foi », entretien avec Xavier Dufour
    et Marc Bouchacourt
    Pour trouver un emploi ciblé, entretien avec Thomas Grimaux
    Vie de l’Église : JMJ, feu de paille… feu ardent, par Loïc Mérian
    Les JMJ de Madrid : un grand moment de foi, par Christophe Geffroy
    Témoignage d’une JMJiste à Madrid, par Élisabeth Geffroy
    Reductio ad sexum et « biologisation » du droit ?,
    par Guillaume Bernard
    Vers une défense de la Vie en Europe ?,
    par Grégor Puppinck
    Chronique Vie : IVG, état des lieux alarmant,
    par Pierre-Olivier Arduin
    International : Agriculture et mondialisation,
    par François-Georges Dreyfus

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  • L'abbé de Beukelaer est devenu chanoine de la cathédrale de Liège

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    Sur le site du nouveau chanoine, l'homélie qu'il a prononcée en la cathédrale Saint-Paul-et-saint-Lambert de Liège, à l’occasion de sa réception au sein du chapitre:

    c'est ICI : http://minisite.catho.be/ericdebeukelaer/2011/09/04/630/

    Nous félicitons de tout coeur le nouveau chanoine et nous le remercions d'avoir rappelé le sens de l'existence du chapitre cathédral dans ces temps que nous vivons.

    Extrait :

    "Ce rôle de la cathédrale a-t-il encore un sens dans une ville sécularisée comme Liège ?  Ecoutons la parole que Dieu adresse au prophète Ezéchiel et que nous avons reçue comme première lecture : « Fils d’homme, je fais de toi un guetteur ». En ce début de XXIe siècle, les formidables progrès de la société n’ont pas libéré nos contemporains du poids de leurs conscience. Les mêmes questions angoissées qu’a l’époque d’Ezéchiel résonnent dans les cœurs : « Quel est le sens de l’existence ? Comment réussir sa vie ? Quel est le secret du bonheur ? » Pour accueillir ce questionnement, les baptisés se doivent d’être des « guetteurs », des femmes et hommes capables de saisir l’enjeu spirituel des choses, d’avertir des impasses, d’inviter à une « conversion » – c’est-à-dire à une retournement de perspective. « Si ton frère a commis un péché, va lui parler », enseigne l’Evangile de ce dimanche. C’est un des rôles tenus par les chanoines de cette cathédrale : être des guetteurs de l’évangile au milieu de la cité."

    Le samedi 24 septembre, Mgr Jousten installera officiellement le chanoine Eric de Beukelaer comme doyen de la rive gauche de Liège au cours de l’Eucharistie de 16h30, célébrée en l’église Saint-Jacques (place Saint-Jacques à 4000 Liège).

  • Angelus : le pape insiste sur la communion d'amour entre croyants

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    Chers frères et sœurs!

    Les lectures bibliques de la messe de ce dimanche convergent sur le thème de la charité fraternelle dans la communauté des croyants, qui prend sa source dans la communion de la Trinité. L'apôtre Paul dit que la loi de Dieu toute entière trouve sa plénitude dans l'amour, de sorte que, dans nos relations avec les autres, les dix commandements, et tous les autres, se résument en ceci: "Tu aimeras ton prochain comme toi-même" (cf. Rm 13, 8 à 10). Le texte de l'Evangile, tiré de Matthieu, chapitre 18, sur la vie de la communauté chrétienne, nous dit que l'amour fraternel implique également un sentiment de responsabilité mutuelle; donc, si mon frère a péché contre moi, je m'applique à l'aimer, et, surtout, à lui parler personnellement, en soulignant que ce qu'il a dit ou fait n'est pas bon. Cette approche est appelée la correction fraternelle: ce n'est pas une réaction à des blessures subies, mais c'est motivé par l'amour pour son frère. Saint Augustin dit: «Celui qui t'a offensé, t'a blessé, porte lui-même une blessure grave, et tu ne soignes pas la plaie de ton frère? ... Tu dois oublier le mal qu'il t'a fait, mais pas la blessure de ton frère"(Discours 82, 7).

    Et si le frère ne m'écoute pas? Jésus, dans l'Évangile d'aujourd'hui, indique une progressivité: d'abord aller parler avec deux ou trois personnes pour l'aider à mieux réaliser ce qu'il a fait, et si, malgré cela, il rejette toujours l'observation, je dois en faire part à la communauté, et s'il n'écoute toujours pas la communauté, il faut lui faire sentir la distance qu'il a causée, en se séparant de la communion de l'Eglise. Tout cela indique qu'il y a une responsabilité partagée dans le chemin de la vie chrétienne: chacun, tout en étant conscient de ses limites et ses défauts, est appelé à accueillir la correction fraternelle et à aider les autres grâce à ce service particulier.

    Un autre fruit de l'amour est la prière de la communauté en union de coeur. Jésus dit: «Si deux d'entre vous s'accordent sur la terre pour demander quelque chose,
    mon Père qui est dans le ciel le leur accordera. Car là où deux ou trois sont réunis en mon nom, je suis là au milieu d'eux » (Mt 18:19-20). La prière personnelle est certainement importante, voire essentielle, mais le Seigneur assure sa présence dans la communauté - bien que très petite - si elle est unie et unanime, car elle reflète la réalité de Dieu, Un et Trine, la parfaite communion d'amour. Origène dit que "nous devons nous appliquer à cette symphonie" (Commentaire sur l'Evangile de Matthieu 14, 1), c'est à dire dans cette harmonie au sein de la communauté chrétienne. Nous devons nous appliquer que ce soit dans la correction fraternelle, qui exige beaucoup d'humilité et de simplicité de cœur, ou dans la prière, pour que d'une véritable communauté unie dans le Christ cela s'élève jusqu'à Dieu. Nous te le demandons par l'intercession de Marie Très Sainte, Mère de l'Eglise, et de saint Grégoire le Grand, pape et docteur, dont nous nous sommes souvenus dans la liturgie d'hier.

  • Commentaire sur l'évangile du dimanche 4 septembre

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    Par le père Cantalamessa (http://www.ecoledepriere.be)

    Evangile de Jésus Christ selon saint Matthieu 18, 15-20

    Jésus disait à ses disciples : « Si ton frère a commis un péché, va lui parler seul à seul et montre-lui sa faute. S'il t'écoute, tu auras gagné ton frère. S'il ne t'écoute pas, prends encore avec toi une ou deux personnes afin que toute l'affaire soit réglée sur la parole de deux ou trois témoins. S'il refuse de les écouter, dis-le à la communauté de l'Église ; s'il refuse encore d'écouter l'Église, considère-le comme un païen et un publicain. Amen, je vous le dis : tout ce que vous aurez lié sur la terre sera lié dans le ciel, et tout ce que vous aurez délié sur la terre sera délié dans le ciel. Encore une fois, je vous le dis : si deux d'entre vous sur la terre se mettent d'accord pour demander quelque chose, ils l'obtiendront de mon Père qui est aux cieux. Quand deux ou trois sont réunis en mon nom, je suis là, au milieu d'eux. »

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  • Dostoïevski, le visionnaire

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    " En général, je demande de nouveau la permission de me récuser à ce sujet, répéta Pierre Alexandrovitch, et à la place, je vais vous raconter, messieurs, une autre anecdote, sur Ivan Fédorovitch lui-même, fort intéressante et des plus caractéristiques. Pas plus tard qu'il y a cinq jours, dans une société principalement féminine, il a déclaré solennellement, au cours d'une discussion, que sur toute la terre il n'est rigoureusement rien qui force les hommes à aimer leurs semblables, qu'il n'existe aucune loi de la nature ordonnant à l'homme d'aimer l'humanité et que s'il y a eu et qu'il y ait encore l'amour sur la terre, ce n'est pas en vertu d'une loi naturelle, mais uniquement parce que les hommes croyaient en leur immortalité. Ivan Fédorovitch ajouta, entre parenthèses, que c'est en cela que consiste toute la loi naturelle, de sorte que si l'on détruit dans l'humanité la foi dans son immortalité, cela fera tarir aussitôt en elle non seulement tout amour, mais encore toute force vive qui permette de continuer la vie du monde. Bien mieux : il n'y aura alors plus rien d'immoral, tout sera permis, même l'anthropophagie. Mais cela n'est pas tout encore : il conclut en affirmant que pour tout individu, tels que nous maintenant par exemple, qui ne croit ni en Dieu ni en son immortalité, la loi morale de la nature doit immédiatement devenir le contraire absolu de l'ancienne loi religieuse, et que l'égoïsme poussé jusqu'à la scélératesse doit non seulement être permis à l'homme, mais reconnu pour une issue indispensable, la seule raisonnable et presque la plus noble dans sa situation. D'après un tel paradoxe, vous pouvez juger, messieurs, de tout le reste que proclame et qu'a peut-être l'intention de proclamer encore notre cher excentrique et amateur de paradoxes Ivan Fédorovitch. (...) Et son absurde théorie, tu l'as entendue tout à l'heure : " S'il n'y a pas d'immortalité de l'âme, il n'y a pas non plus de vertu, donc tout est permis. " (Et ton frère Mitenka, à propos, tu te rappelles comme il a crié : " Je m'en souviendrai ! "). C'est une théorie séduisante pour les gredins... je vitupère, c'est stupide... pas pour les gredins mais pour les fanfarons primaires avec " une profondeur insondable de pensée ". C'est une bravache mais, quant au fond, c'est bonnet blanc et blanc bonnet. Toute sa théorie n'est que bassesse. L'humanité trouvera en elle la force vive pour la vertu, même sans croire à l'immortalité de l'âme. Elle la trouvera dans l'amour de la liberté, de l'égalité, de la fraternité..."

     

    F.  DOSTOIEVSKI, Les Frères Karamazov, traduction d'E. Guertik, Hazan T. I

    source : http://sergecar.perso.neuf.fr/documents/dostoievski.htm

  • Prière d'un " mal croyant "

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    Mon Dieu,

    Je ne vous aime pas, je ne le désire même pas, je m'ennuie avec vous.

    Peut-être même que je ne crois pas en vous.

    Mais regardez-moi en passant.

    Abritez-vous un moment dans mon âme, mettez-là en ordre d'un souffle, sans en avoir l'air, sans rien me dire.

    Si vous avez envie que je croie en vous, apportez-moi la foi.

    Si vous avez envie que je vous aime, apportez-moi l'amour.

    Moi, je n'en ai pas, et je n'y peux rien.

    Je vous donne ce que j'ai: ma faiblesse, ma douleur.

    Et cette tendresse qui me tourmente et que vous voyez bien...

    Et ce désespoir...

    Et cette honte affolée...

    Mon mal, rien que mon mal...

    C'est tout !

    Et mon espérance !

    In Le combat de Jacob, du père Marie-Dominique Molinié sur le Blog "Ab imo pectore"

  • Veillée Nightfever à Bruxelles : "Les JMJ, et après ?"

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    Veillée d'adoration Nightfever

    le jeudi 9 de 20h30 à 23h à l'Eglise Ste-Croix (Flagey).

    "Les JMJ - Et après? L'engagement dans la vie du chrétien."

    Programme:

    20h30-23h00: adoration du Saint Sacrement (chants, louanges et silence), possibilité de parler à un prêtre. Pour les plus motivés: invitation des passants à rentrer dans l'Eglise.
    21h30 : enseignement sur le thème du mois
    22h15 : témoignage
    23h00: retrouvailles au café Belga (juste à côté)
    http://nightfeverbxl.be/