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Spiritualité - Page 84

  • Vigilance et parabole des talents, homélie du Père Simon Noël pour le 33e dimanche du temps ordinaire (A)

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    Du Père Simon Noël :

    Vigilance et parabole des talents, homélie 33e dimanche A

    Dans l'épître de ce dimanche, saint Paul nous fait cet avertissement :Vous savez très bien que le jour du Seigneur vient comme un voleur dans la nuit. Autrement dit le Seigneur peut venir à un moment où on ne l'attend pas. Nous devons être toujours prêts, gardés notre esprit éveillé, tourné vers le Seigneur. Le diable peut induire notre esprit à faire de faux raisonnements. Si quelqu'un se trouve dans une tentation grave, il peut faire le faux raisonnement suivant : Voilà, cette tentation est trop dure, je ne puis y résister, je vais donc céder et faire le mal.
     
    Mais le Bon Dieu est miséricordieux et ensuite je lui demanderai pardon et il me pardonnera. Insensé ! Qui te dit que tu auras le temps de demander pardon. Le Seigneur pourrait survenir alors que tu es dans le péché mortel et alors tu seras perdu pour l'éternité ! Ainsi donc nous devons être vigilants et prier sans cesse, selon la parole de Jésus au jardin des oliviers : Veillez et priez pour ne pas entrer en tentation, car l'esprit est prompt, mais la chair est faible. Padre Pio aimait dire que celui qui prie beaucoup se sauve, celui qui prie peu est en danger, celui qui ne prie pas se damne. Pour lui, comme pour beaucoup d'autres saints, la prière la plus puissante, après la messe, est celle du rosaire. Si nous disons régulièrement le chapelet, nous entretenons en nous un esprit de prière qui nous conduira au salut.

    Saint Paul nous demande aussi de vivre dans la sobriété. Celui qui mange trop ou qui boit trop d'alcool épaissit son esprit et sa vigilance diminue. Il est alors en danger réel de tomber dans d'autres péchés, qui mettront en danger son salut éternel.

    Ce dimanche l'évangile est celui de la parabole des talents. Le cardinal Schönborn à ce sujet écrivait ceci : La parabole présuppose une chose : ce que nous sommes et ce que nous avons est un don de Dieu. Dieu a donné à chaque homme ses « talents »personnels. Ils nous ont été confiés comme à des « administrateurs ». Il est en notre pouvoir d'en tirer du bien.

    Nous devons faire fructifier ce que nous avons reçu de Dieu. Il ne s'agit pas dans notre vie de se contenter de ne rien faire de mal, nous devons aussi faire du bien. Ce qui est révélateur chez celui qui a été enfouir son talent, c'est sa peur de Dieu : J'ai eu peur, et je suis allé cacher ton talent dans la terre. Dieu, contrairement à ce que pensait ce serviteur paresseux, n'est pas un maître durDieu est la bonté et la générosité-même. Le meilleur moyen pour nous de vivre une vie féconde et riche en bonnes œuvres, c'est d'avoir en Dieu une confiance inlassable et illimitée, voir en lui un Père plein de tendresse. C'est vivre dans la joie du salut et puisque nous sommes tellement aimés, aimer en retour. Si nous nous sentons profondément aimés par Dieu, tout naturellement nous serons portés à l'aimer et à répandre cet amour sur tous ceux qui se trouvent sur notre chemin. Dieu veut des collaborateurs joyeux et prêtes à s'engager.

    Ce que nous proposent les deux lectures de ce dimanche c'est bien cela : une vigilance mais une vigilance joyeuse, qui nous rendra attentifs à éviter le mal et à faire tout le bien qu'il nous est possible de faire.

  • Sainte Elisabeth de Hongrie (17 novembre)

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    Du site de la Communauté franciscaine capucine de Mons :

    bio ste elisabeth de hongrie - Prière des Futurs Parents

    Ste Élisabeth de Hongrie, fille du roi de Hongrie née en 1207, est la patronne du Tiers-Ordre régulier et du Tiers-Ordre séculier (ou OFS, Ordre Franciscain séculier) 

    Sa vie

    Élisabeth est née à Presbourg, en 1207.
    Fille du roi de Hongrie, André II, et de Gertrude de Méranie.
    Elle est fiancée dès l’âge de 4 ans, avec Louis, le fils aîné du landgrave de Thuringe, Herman I.
    La cour de Thuringe est alors brillante, cultivée ; et Élisabeth y reçoit une éducation soignée, dans le château de Wartburg, forteresse qui domine la ville d’Eisenach.
    Dès son enfance, elle manifeste une grande piété, un esprit de pénitence, et un constant dévouement envers les pauvres qu’elle appelle « ses plus chers amis ».
    En 1221, âgée de 14 ans, elle épouse son fiancé, Louis IV, qui vient de succéder à son père, comme landgrave de Thuringe.

    Il semble que le couple soit très uni et en plein accord sur la place à accorder à la prière et à la charité envers les pauvres. Louis IV porte le surnom de Louis le Charitable.

    Ce prince, à la différence des courtisans, a toujours admiré sa vertu. Partageant la sollicitude de sa femme pour les misères du peuple, le landgrave lui laisse toute liberté de continuer ses exercices religieux; il l’aide même à fonder près de son château un hôpital de lépreux.

    À cette époque, les Frères mineurs nouvellement fondés, commencent à se répandre dans toute l’Allemagne et un certain frère Rüdiger d’Halberstadt rencontre la princesse et l’initie à l’esprit franciscain qui correspond si bien à ses propres aspirations.
    Près du château de Wartburg, elle fait édifier un hôpital, pour accueillir les pauvres et les lépreux.
    En 1227, Louis IV part pour la Ve croisade, mais tombe malade avant de s’embarquer, et meurt à Brindisi. Ses ossements sont rapportés en Thuringe.

    Restée veuve en 1227, Élisabeth a d’abord à souffrir des persécutions de ses beaux-frères qui, désirent le pouvoir et l’accusent de négliger les affaires de l’état et de dissiper en aumônes les trésors de l’État, la privent de la régence et la chassent brutalement avec ses quatre (ou trois?)* enfants de la résidence souveraine. Son oncle, alors évêque de Bamberg, lui offre un asile jusqu’au moment où on lui propose de reprendre le pouvoir, qu’elle refuse. Peu après elle décide de se consacrer totalement à la prière et aux bonnes œuvres et se met sous la direction spirituelle de son confesseur, Conrad de Marburg, auprès duquel elle vient résider, dans une humble habitation.
    Après avoir assuré l’avenir de ses enfants et confié leur éducation à de nobles amies, elle prend l’habit des pénitents (ce n’est pas encore le Tiers-Ordre de saint François).

    Elle utilise les revenus de son douaire pour la construction et la gestion d’un hôpital à Marbürg, l’hospice St-François, et vit dans la pauvreté, la prière et l’assistance aux pauvres et aux malades.
    Quelques unes de ses suivantes et de ses anciennes servantes vivent auprès d’elle, au service des malades.
    Conrad de Marburg, son confesseur, lui ayant interdit de demander l’aumône, elle doit travailler aussi pour assurer sa subsistance. Sous son influence, elle se livre à des mortifications qui abrègent sa vie. Épuisée par les malheurs, les fatigues et les mortifications, elle meurt à peine âgée de 24 ans, le 17 novembre 1231.
    Le pape Grégoire IX la canonise en 1235,.

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  • L'Opus Dei entame les préparatifs pour célébrer son centenaire

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    Lu dans le site web sismografo :

    OCARIZ cq5dam.thumbnail.cropped.750.422.jpeg« Les semaines de travail avec lesquelles l'Opus Dei va préparer le Congrès général ordinaire de 2025 se dérouleront dans le monde entier tout au long de l'année prochaine. 

    C'est ce qu'a annoncé mercredi le prélat de l'Opus Dei, Fernando Ocáriz, dans un message adressé à ses fidèles. La devise choisie par l'institution pour préparer cet événement est Chemin vers le centenaire de l'Œuvre. Approfondir le charisme et renouveler notre désir de servir Dieu, l'Église et la société .

    Les Semaines de Travail sont un outil prévu dans les statuts de l'Opus Dei afin que, dans chaque région, puissent être étudiés les thèmes les plus pertinents pour la formation et la mission apostolique de ses membres. Depuis la première convoquée par saint Josémaria en 1943, elles ont lieu tous les dix ans et constituent le forum qui permet de recueillir les réflexions et les opinions des membres de l'Œuvre à travers le monde.

    Le congrès qui se tiendra dans deux ans vise ainsi à célébrer le centenaire de l'Opus Dei, qui s'étendra du 2 octobre 2028 – un siècle après le moment fondateur qui a donné naissance à l'institution – jusqu'au 14 février 2030. Cela fera 100 ans depuis le début de son travail avec les femmes.

    "Nous commençons ainsi la préparation la plus concrète du centenaire, à laquelle je souhaite que vous participiez tous", déclare Fernando Ocáriz dans son message. "Ce sera l'occasion d'approfondir le don de l'Esprit reçu par saint Josémaria, la beauté de la mission de service de l'Église et de la société et le désir d'accompagner de nombreuses personnes sur le chemin du ciel", ajoute le prélat. Ce sera également l'occasion "de réfléchir sur la manière de répondre aux défis du temps présent dans l'esprit de l'Opus Dei et sur la manière de préparer le centenaire dans chaque lieu", précise Ocáriz.

    Pour la célébration des semaines de travail, une grande partie des contributions que les fidèles ont apportées au Congrès général extraordinaire que la Prélature a tenu au premier semestre 2023 seront utilisées pour répondre à la demande du Pape d'adapter ses statuts aux indications du motu. proprio Ad charisma tuendum . Ce sont des suggestions qui n'étaient pas directement applicables à la demande du Saint-Siège concernant les statuts.

    Les propositions liées à ce sujet se reflètent dans un texte qui "sera remis au Saint-Siège dans les prochains mois", a alors déclaré Ocariz . Le résultat final, qui n'a pas encore été rendu public, "ne pourra être connu qu'après étude du Saint-Siège, à qui revient le dernier mot", a expliqué le prélat. »

    ***

    Le charisme essentiel du fondateur de l’Opus Dei, saint Josemaría Escrivá de Balaguer, portait sur la revalorisation du rôle novateur donné aux laïcs (près de cent mille) dans l’Oeuvre spirituelle que celui-ci a voulu fonder. L’étrangeté de la réforme voulue par le pape actuel porte, en revanche, sur son désir de recadrer l’Oeuvre dans des structures cléricales.

    La question reste encore de savoir aussi en quels termes exacts, et dans quel laps de temps, le Prélat obéissant de l’Opus Dei formulera sa réponse au Souverain Pontife Romain. (ndBelgicatho JPSC).

  • 32e dimanche "ordinaire": Voici l'époux! Sortez à sa rencontre

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    "Evangile au Quotidien" propose cette méditation sur la parabole de ce dimanche :

    Sainte Gertrude d'Helfta (1256-1301), moniale bénédictine
    Les Exercices, n°5 ; SC 127 (trad. SC p. 175 rev.)

    « Voici l'époux ! Sortez à sa rencontre »

          Mon Dieu, mon très doux Soir, lorsque pour moi sera venu le soir de cette vie, fais-moi m'endormir doucement en toi, et expérimenter cet heureux repos que tu as préparé à ceux qui te sont chers. Que le regard si paisible et gracieux de ton amour ordonne et dispose avec bonté les préparatifs de mes noces. Par la richesse de ta bonté, couvre...la pauvreté de ma vie indigne ; que mon âme habite dans les délices de ta charité avec une confiance profonde.       

          Ô amour, sois alors pour moi un soir si beau, que mon âme dise avec joie et allégresse à mon corps un doux adieu et que mon esprit, retournant au Seigneur qui l'a donné, repose en paix sous ton ombre. Alors tu me diras clairement...: « Voici venir l'Époux : sors maintenant et unis-toi à lui plus intimement, afin qu'il te réjouisse par la gloire de son visage »...

          Quand, quand est-ce que tu te montreras à moi, afin que je te voie et que je puise avec délices à cette source vive que tu es, mon Dieu ? (Is 12,3) Alors je boirai, je m'enivrerai dans l'abondance de la douceur de cette source vive, qui sourd des délices de la face de celui que mon âme désire (Ps 41,3). Ô douce face, quand me combleras-tu de toi ? Alors j'entrerai dans le sanctuaire admirable, jusqu'à la vue de Dieu (Ps 41,5) ; je ne suis qu'à l'entrée, et mon cœur gémit de la longueur de mon exil. Quand me combleras-tu de joie par ta douce face ? (Ps 15,11) Alors je contemplerai et embrasserai le véritable Époux de mon âme, mon Jésus... Là je connaîtrai comme je suis connue (1Co 13,12), j'aimerai comme je suis aimée ; ainsi je te verrai, mon Dieu, tel que tu es (1Jn 3,2), en ta vision, ta jouissance et ta possession bienheureuse à jamais.

  • 32e dimanche : "Mériter de posséder Dieu"

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    La première lecture essaie de nous faire goûter combien l’intimité de Dieu est désirable. Nos désirs d’être aimé, de nous sentir proche de quelqu’un, d’être accepté et compris, tout cela vient d’une semence que Dieu a mise en nous en nous créant à son image. Comme disait saint Augustin, « Tu nous as faits pour toi, et notre cœur est sans repos tant qu’il ne repose pas en toi ».

    Nous sommes faits pour cette rencontre et cette intimité, mais encore faut-il la chercher, la désirer suffisamment. Sinon on se retrouve comme une vierge imprévoyante, dont la lampe vacille. C’est le désir de son cœur qui n’est pas assez ferme pour traverser la nuit. Ni pour aller à la rencontre de l’époux. Qu’à cela ne tienne, ne pourrait-il pas se contenter de la pénombre ? Cet époux n’est-il pas capricieux ? Ce n’est pas lui que cela gêne, c’est nous, car en faisant cela nous allons alors manquer notre bien propre.

    Notre bien propre ! C’est bien de cela qu’il s’agit. Si on lit sans faire attention on se dira : quelles vilaines égoïstes, ces vierges dites sages qui ne veulent même pas partager ! Mais la parabole suggère plutôt que le bien dont il s’agit n’est pas partageable, c’est notre bien propre. Samedi matin nous entendions Jésus nous dire dans la liturgie : « si, pour ce qui est à autrui, vous n’avez pas été dignes de confiance, ce qui vous revient, qui vous le donnera ? » (Lc 16,12) Quel est donc ce bien propre ?

    Dans la troisième prière eucharistique, on demande à Dieu : « que l’Esprit Saint fasse de nous une éternelle offrande à ta gloire, pour que nous obtenions un jour les biens du monde à venir ». Longtemps j’ai été gêné par cette tournure : « que nous obtenions les biens du monde à venir ». N’y a-t-il pas quelque chose d’exagérément possessif, pour un Royaume où nous devons être une offrande, être don de nous-mêmes ? J’ai eu envie de dire « pour que nous entrions dans les biens du monde à venir ». Peut-être l’ai-je même dit… Que Dieu me pardonne. Puis je me suis laissé instruire. Cette tournure est vraiment adéquate à la logique de l’amour, qui veut pouvoir saisir et posséder l’être aimé. Il n’y a rien là qui blesse l’amour, au contraire. Ce qui blesse l’amour, c’est de vouloir posséder l’aimé pour soi tout seul. Mais pas de l’avoir à soi vraiment. Pour reprendre un terme mis à mal dans la théologie ces dernières décennies, il nous faut « mériter de posséder Dieu ». Et il est important de trouver dans ce besoin humain et cette promesse de Dieu la clé spirituelle de nos manques les plus cuisants : nous avons besoin de posséder Dieu.

    J’essaie d’expliquer. Trop souvent nous nous apprêtons à vivre la vie éternelle comme des locataires ou des touristes. Nous espérons y parvenir, quand nous y pensons, mais nous ne pensons pas que nous serons vraiment chez nous et que le Seigneur pourra nous dire comme à son Fils bien-aimé : « tout ce qui est à moi est à toi ». Nous pensons au ciel comme à un immense parc d’attraction, en nous disant que nous espérons que nous pourrons nous acquitter du prix de l’entrée. Au lieu de cela, pensons au ciel comme à notre maison à nous qui serait encore plus fascinante que le plus rêvé des parcs d’attraction. N’imaginons pas que nous serons comme les invités de Dieu, bienvenus tant que nous n’abîmons rien, dans un ciel où nous pourrons surtout continuer nos petites affaires comme nous l’entendons ! Le Seigneur ne veut pas nous accueillir comme des invités, mais comme les enfants de la maison, qui sont partout chez eux.

    Nous pouvons aussi regarder les choses du côté du cœur. Quel amour vivrons-nous au ciel ? Est-ce que ce sera le prolongement de nos plus belles amours terrestres ? Incroyablement plus ! Un amour fou cherchera à nous saisir, à nous combler. Ce ne sera pas l’éblouissement d’un soir. Par l’engagement de notre liberté, nous pourrons répondre au Seigneur : ton cœur est à moi pour toujours, et moi je suis à toi pour toujours. C’est l’amour le plus fou et le plus inébranlable que nous vivrons, celui qui nous est acquis par la victoire du Christ sur la croix. Contemplons sa victoire sur tous les obstacles à l’amour, en nous et autour de nous. Entrons dans une immense reconnaissance : ô Christ, tu as fait que nous puissions appartenir à la Trinité toute entière et qu’elle soit à nous aussi ! Gloire à toi ! Et maintenant, mettons en œuvre notre liberté, élargissons notre cœur en aimant nos frères comme nous-mêmes, afin de mériter de posséder Dieu. Car, comme disait aussi saint Augustin, « Dieu, qui t’a créé sans toi, ne peut pas te sauver sans toi ».

  • 16-26 novembre : Festival Venite Adoremus 2023

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    De Catho Bruxelles :

    16 NOVEMBRE | PROGRAMME DU JOUR – FESTIVAL VENITE ADOREMUS 2023

    16 NOVEMBRE | PROGRAMME DU JOUR – FESTIVAL VENITE ADOREMUS 2023

    Neder-over-Hembeek – Eglise Sts-Pierre-et-Paul : Messe à 8h30 puis adoration de 9h à 12h.

    Auderghem – Eglise Ste-Anne : Adoration de 9 à 11h.

    Jette –  Chapelle Notre-Dame-de-Lourdes : Messe à 9h – Chapelet puis adoration jusqu’à la messe de 18h.

    Uccle – Asbl Souffle de Vie : Adoration de 16h à 18h30 suivie de la messe de 18h30.

    Woluwé-Saint-Lambert – Eglise ND-de-l’Assomption : Messe à 18h30 suivie de l’adoration jusqu’à 8h.

    ***

    Plus d’information sur le festival ou accéder au programme en dehors de Bruxelles, référez-vous à leur site ici.

    Programme des jours suivants :

     
  • Le Christ trouvera-t-Il encore la foi sur la terre ? (Club des "hommes en noir")

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    Du site de l'Homme Nouveau :

    Trouvera-t-Il la foi sur la terre ?

    Pour le huitième épisode de la saison six du Club des Hommes en noir, nous vous proposons de retrouver le père Jean-François Thomas, l’abbé Claude Barthe, l’abbé Alain Lorans et le docteur Philippe de Labriolle pour un échange aussi passionnant qu’instructif.

    Ils sont confrontés dans ce nouvel épisode à une question terrible et fondamentale : Trouvera-t-Il la foi sur la terre ?

    Le prétexte de cette émission tient à la parution aux éditions Via Romana d’un livre de l’abbé Barthe qui pose justement cette question.

    Vingt siècles après sa fondation, le catholicisme semble en mauvaise posture et, plus encore, avoir largement été modifié de l’intérieur.

    Diagnostic juste ou erreur de perspective ? Approche franco-centrée ou réalité mondiale ? Un certain nombre de questions se posent sur l’avenir de l’Église. Mais celle de la foi reste finalement la plus fondamentale.

    Accéder à la video complète : https://hommenouveau.fr/video/trouvera-t-il-la-foi-sur-la-terre/

  • Un pape face à la décadence et aux "barbares"

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    leon_le_grand.jpgOn fête aujourd'hui saint Léon le Grand dont voici la synthèse biographique proposée par http://missel.free.fr/ ; on ne manquera pas de faire le rapprochement entre les caractéristiques de son temps et de ceux que nous vivons... mais courage "j'ai vaincu le monde" :

     

    Ferme témoin de l'ère patristique dans la décadence romaine où, pendant vingt-et-un ans, il affronte victorieusement les nouveaux maîtres, les Barbares1, le quarante-cinquième évêque de Rome, quarante-troisième saint pape, est le premier à porter le nom de Léon2 et le premier dont nous conservons les œuvres complètes3 qui lui valent d'êtrele premier pape à porter le titre de docteur de l'Eglise4 ; il est aussi le premier pape à être enseveli au Vatican : « L'ancienne Eglise, écrivait le savant Batiffol5, n'a pas connu de pape plus complet ni de plus grand. » Il pourfend les hérétiques, il prêche à temps et à contretemps, avec simplicité et profondeur, dignité et tendresse ; il déploie un courage authentique et modeste quand il affronte les Huns et les Vandales ;  faiseur de paix, appliqué à son métier de pape, ce conducteur d'hommes sacrifie sa vie privée à sa vie publique : « Nous devons courir la route qui n'est autre que Jésus en personne. »

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  • Saint Léon le Grand, pape et père de l'Eglise (10 novembre)

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    Saint Léon Le Grand, Pape et docteur de l'Église - Infos sur le saint du  jour - Vatican News

    Lors de l'audience générale du mercredi 5 mars 2008, Benoît XVI a consacré sa catéchèse à ce pape, Père de l'Eglise :

    Saint Léon le Grand

    Chers frères et soeurs,

    En poursuivant notre chemin parmi les Pères de l'Eglise, véritables astres qui brillent de loin, nous abordons pendant notre rencontre d'aujourd'hui la figure d'un Pape qui, en 1754, fut proclamé Docteur de l'Eglise par Benoît XIV:  il s'agit de saint Léon le Grand. Comme l'indique l'épithète que la tradition lui attribua très tôt, il fut véritablement l'un des plus grands Papes qui aient honoré le Siège romain, contribuant largement à en renforcer l'autorité et le prestige. Premier Evêque de Rome à porter le nom de Léon, adopté ensuite par douze autres Souverains Pontifes, il est également le premier Pape dont nous soit parvenue la prédication qu'il adressait au peuple qui se rassemblait autour de lui pendant les célébrations. Il est naturel de penser également à lui dans le contexte des actuelles Audiences générales du mercredi, des rendez-vous qui pendant les dernières décennies sont devenus pour l'Evêque de Rome une forme habituelle de rencontre avec les fidèles et avec de nombreux visiteurs de toutes les parties du monde.

    Léon était originaire de la région italienne de la Tuscia. Il devint diacre de l'Eglise de Rome autour de l'an 430 et, avec le temps, il acquit au sein de celle-ci une position de grande importance. Ce rôle de premier plan poussa Galla Placidia, qui à cette époque dirigeait l'Empire d'Occident, à l'envoyer en Gaule en 440 pour résoudre une situation difficile. Mais au cours de l'été de cette année, le Pape Sixte III - dont le nom est lié aux magnifiques mosaïques de Sainte-Marie-Majeure - mourut, et ce fut précisément Léon qui lui succéda, recevant la nouvelle alors qu'il accomplissait justement sa mission de paix en Gaule. De retour à Rome, le nouveau Pape fut consacré le 29 septembre 440. C'est ainsi que commença son pontificat, qui dura plus de vingt-et-un an, et qui a été sans aucun doute l'un des plus importants de l'histoire de l'Eglise. A sa mort, le 10 novembre 461, le Pape fut enterré auprès de la tombe de saint Pierre. Ses reliques sont conservées aujourd'hui encore dans l'un des autels de la Basilique vaticane.

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  • 9 décembre : "Couples et familles chrétiennes de Belgique, créons du lien!"

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    Evénement pour les familles ! (1).png

    APRÈS-MIDI DES FAMILLES CHRÉTIENNES

    Nous vous proposons une après-midi spécialement conçue et dédiée pour vous ! En effet, se retrouver entre couples et familles chrétiennes se fait criant. Beaucoup ont exprimé le besoin de se rassembler, de créer du lien pour se sentir soutenus face aux défis qui se présentent. C’est ainsi que nous est venu le désir d’organiser cet événement, qui, nous en sommes convaincus, vous plaira et pourra répondre à vos attentes.

    Concrètement, bienvenue le samedi 9 décembre dès 15 heures à l’église Saint-Marc à Uccle (facile d’accès et parking disponible).

    Au programme de cette rencontre :

    – conférence/table ronde d’intervenants issus du monde de pastorales familiales et porteurs de projets à destination des couples. Ils répondront à la question : « comment se faire aider en tant que couple et famille chrétienne en Belgique ? » ;
    – venue de Saint-Nicolas pour petits et grands ;
    – renouvellement des voeux de mariage pour ceux qui le souhaitent ;
    – verre de l’amitié et temps d’échanges avec les participants ;
    – garderie proposée pour les enfants.

    Alors, décidés à venir ? Nous vous attendons très nombreux le 9 décembre pour bâtir une nouvelle espérance familiale et catholique dans notre pays !

    Dans la joie de vous rencontrer !

    INSCRIPTION NÉCESSAIRE
    PAF: 5 €/couple /famille

  • Le vêtement liturgique (Denis Crouan - Liturgie 40)

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    Liturgie 40 ‒ Le vêtement liturgique (55 mn)

    https://youtu.be/YDzJuYiDGT0

    Après la première partie du cours qui abordait l'histoire de la liturgie, nous abordons certains points de la théologie de la liturgie.  

    Après Vatican II une mode a fait florès chez de nombreux prêtres : plus de chasuble. Au-delà de ces étranges abus, la première question à laquelle il faut répondre est celle-ci : quel est la fonction du vêtement liturgique ? Il est : 

    - 1° Un « moyen » en vue d’une fin : Elever l’âme des fidèles dans la dignité de la liturgie ; 

    - 2° Être « signe » du ministre de l’Église ; 

    - 3° Participer à l’embellissement de la liturgie  

    Les cinq différentes pièces composant le vêtement du célébrant : 

    1. L’amict ; 

    2. L’aube ; 

    3. La ceinture ; 

    4. Le manipule ; 

    5. L’étole ; 

    6. La chasuble.  

    COURS DE LITURGIE, PAR DENIS CROUAN, DOCTEUR EN THEOLOGIE, 2022-2023 

    Pour accéder à la totalité de la playlist :  

    https://www.youtube.com/playlist?list=PLuko328jWH_06CYFfUP8d6v_vzl9f4UbI 

    Institut Docteur Angélique 

    Cours donné par Denis Crouan, docteur en théologie, en entretien interactif avec Arnaud Dumouch. 

    Vidéo du site http://docteurangelique.free.fr/fichiers/InstitutDocteurAngelique.htm, les œuvres complètes en français de saint Thomas d'Aquin. 

    Denis Crouan, denis.crouan@wanadoo.fr; 2022-2023 

  • « Vous n’avez qu’un seul maître et vous êtes tous frères » (Mt 23,8)

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    D'Evangile au Quotidien :

    Bienheureux Charles de Foucauld (1858-1916), ermite et missionnaire au Sahara

    § 79, psaume 40 (Méditations sur les psaumes ; éd. Nouvelle Cité, 2002 ; p. 203)

    « Vous n’avez qu’un seul maître et vous êtes tous frères » (Mt 23,8)

    « Vous n’avez tous qu’un Père qui est Dieu : vous êtes tous des frères. » Vous nous le dites nettement, mon Seigneur Jésus : tous les hommes forment une grande famille ; tous sont frères, Dieu est le Père commun : tous doivent avoir les uns pour les autres les pensées, les paroles, les actes qu’un bon père veut que ses enfants aient entre eux.

    L’amour que le meilleur des pères veut voir régner entre ses enfants, voilà l’amour que nous devons à tous les hommes, à chacun des hommes, sans exception. Et notre modèle, Jésus, nous en donne l’exemple : c’est Dieu qui vient sur la terre nous montrer sous la forme humaine comment il veut que chaque homme aime les autres hommes. Que fait Jésus ? Il vit trente-quatre ans et il donne son sang au milieu des plus affreux tourments pour la sanctification et le salut de tous les hommes, non seulement de tous en général mais de chacun en particulier, en sorte qu’il n’est aucun homme dont on ne doive dire : cet homme, Jésus est mort pour le sauver et le sanctifier. Après le précepte de l’amour fraternel, voici l’exemple comme l’a donné Jésus. Comme le dit S. Paul, « c’est votre frère, que le Christ a racheté à si grand prix ! » (cf. 1 Co 6, 20)

    Tout homme est notre vrai frère en Dieu, et tout homme a été tant aimé et estimé si haut par Jésus qu’il est mort pour lui. Tout homme doit nous apparaître comme un frère, et un frère couvert comme d’un manteau du Sang de Jésus.