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Actualité - Page 1903

  • La diffusion du préservatif aggrave le fléau du sida

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    L'Amour face au sida

    HANLEY, Matthew; IRALA, Jokin De (Auteurs)

    Monique BOUCHOUK (Traductrice)

    Ce livre est un pavé dans la mare de la bien-pensance. Dans L'Amour face au Sida (sortie le 17 mars aux Editions de L'Oeuvre), Matthew Hanley et Jokin de Irala, spécialisés dans la santé publique, armés d'une bibliographie scientifique imposante, lancent un appel à mettre de côté les préjugés afin d'affronter au mieux le grave problème du Sida. Mgr Marc Aillet a bien résumé la situation dans la postface dont voici un extrait :

    A "Deux conceptions différentes s'affrontent dans la lutte contre le Sida : l'une de réduction des risques, qui consiste à dire : Faites ce que vous voulez, mais prenez des précautions techniques pour réduire les risques de contamination ; et l'autre, celle d'abstention des risques, qui dit : Changez vos comportements afin d'éviter une éventuelle contamination.

    En substance, ce livre montre que la réduction des risques (c'est-à-dire principalement la diffusion du préservatif), qui est la politique de lutte contre le Sida adoptée aujourd'hui par l'immense majorité des instances officielles, est une fausse solution qui, loin de faire régresser le fléau, le propage et l'aggrave. [...] C'est en partie une conséquence de la loi des probabilités : si l'on dit aux personnes qu'elles peuvent faire ce que bon leur semble, moyennant une simple précaution technique, les comportements dits à risque se multiplieront ou ne diminueront pas".

    Le Salon Beige, 20/2/2011, 10H49.

  • Toujours d'actualité : la misère en Inde

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    bokapahari-india-09-large.jpgLa vie dans une mine, à Bokapahari, photographiée par Kevin FRAYER : à découvrir ici

    Ce reportage du photographe Kevin Frayer  publié par Panorama.it nous fait entrer dans le quotidien des habitants du village de Bokapahari, dans l'état de Jharkhand, dans l'est de l'Inde. L'économie de la population qui vit dans cette région rurale de l'Inde dépend de ces mines de charbon, à ciel ouvert, qui se trouvent tout près du villlage et où adultes et enfants travaillent dans l'illégalité, gagnant environ deux dollars par jour.

    Le contraste frappant entre l'Inde ancienne et l'Ibde nouvelle est plus actuel que jamais: pendant que le pays s'embourgeoise et gagne en confort, ces paysans risquent chaque jour leur vie en arrachant illégalement du charbon pour quelques dollars, au péril de leur intégrité physique et de leur santé.

  • Sur RCF : Ethique et moi : le divorce des parents

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    RCF logo bleuvertEthique et moi : Le divorce des parents ne laisse pas les enfants intacts. Quelle charge repose alors sur leurs pauvres épaules ? Un entretien avec l’Abbé Olivier Bonnewijn, prêtre du Diocèse de Malines-Bruxelles et professeur à l’Institut d’Etudes Théologiques de Bruxelles (I.E.T.) à propos de son dernier livre « Parents au lendemain du divorce » – Une production de l’Institut européen de bioéthique.

    L’interview d’Olivier Bonnewijn accordée à RCF dans le cadre de l’émission « Ethique et moi » sera diffusée :
    Sur RCF Bruxelles 107.6 à quatre reprises, la semaine du 21 février: le lundi à 9h30, le vendredi à 9h30 et 17h04 et le samedi à 9h30. Cette émission est disponible  à ces mêmes heures par internet : www.rcfbruxelles.be
    Elle sera rediffusée également sur RCF Liège et RCF Namur à une date ultérieure mais assez proche.
    Sur RCF Namur : « Question d’éthique » : Mardi 13h30 -  Jeudi 9h -  Dimanche 16h.
    Sur RCF Liège : « Morale sans histoires » : Semaines impaires : Mardi 11h – Mercredi 2h30 (nuit) – Vendredi 1h  – Lundi 3h (nuit).

    P.S. Il est possible de réécouter les émissions de la semaine qui précède, en podcast,  sur le site de RCF: http://www.rcfbruxelles.be/-Emissions-podcastees-.html ou cette émission à partir de la semaine prochaine. L’émission sur CD audio peut être commandée à RCF au prix de 10 euros.
    Institut Européen de Bioéthique, Bruxelles : www.ieb-eib.org

    Info Catho.be

  • Quand Mgr Léonard doit faire face au harcèlement journalistique...

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    La Libre, le Standaard et d'autres manquent d'imagination. La crise politique s'éternisant et les affaires eclésiastiques ne faisant plus la une, ils tentent de rallumer les ardeurs hostiles à Mgr Léonard en l'interviewant sur des thèmes rebattus. L'archevêque victime de ce harcèlement récurrent est bien obligé de faire contre cette mauvaise fortune bon coeur en leur administrant la bonne parole. Mais nos journalistes le trouvent "irritable"!

    Jeanne Smits s'en fait l'écho sur "Chrétienté Info" :

    "Dans une longue interview publiée dans l’édition de fin de semaine du quotidien flamand De Standaard, Mgr André-Joseph Léonard, primat de Belgique, revient sur les derniers mois de polémique où il a été vivement pris à partie pour ses déclarations sur la sexualité (Riposte-catholique l’avait soutenu, ici).

    Les journalistes racontent s’être trouvés face un « un évêque étonnamment irritable » – il faut dire qu’ils arrivaient avec les résultats d’une enquête annonçant que 70 % des curés flamands ne s’estiment pas sur la même ligne que leur évêque : 73,3 % sont pour l’abolition du célibat sacerdotal, 68,7 % ne veulent plus « exclure » les femmes de la prêtrise.

    Il faut préciser que tous les curés flamands avaient été sollicités pour l’enquête mais que seul un tiers d’entre eux, soit 248 prêtres, ont répondu au questionnaire qui leur avait été soumis par De Standaard entre fin décembre et fin janvier.

    Mais même si l’on peut se douter que l’aile progressiste du clergé flamand s’est jetée sur l’enquête, à l’inverse des plus traditionnels, le contexte de l’interview était donc pour le moins particulier et explique sans doute une certaine prudence d’expression.

    Il a d’emblée refusé de réagir aux résultats de l’enquête.

    « Je trouve que ces enquêtes ne sont pas bien avisées et je ne veux pas en connaître les détails. J’ai trop de respect pour la presse pour y réagir. D’autres questions ? »

    Plus loin dans l’interview, les journalistes l’ont interrogé sur le fait de savoir si les hôpitaux qui pratiquent l’avortement et l’euthanasie ont encore le droit de s’appeler catholiques.

    « Ils mériteraient davantage cette étiquette s’ils affichaient une position plus claire. Je pense bien que les hôpitaux catholiques ont plus de respect pour la vie à naître. Peut-être y autorise-t-on en certains cas des avortements – je n’en ai pas la preuve – mais ils feraient mieux de ne pas le faire. Car il y a toujours d’autres solutions. En Belgique, des centaines de familles catholiques sont prêtes à adopter de tels enfants. Voilà les plus beaux témoignages d’un engagement chrétien. »

    « Si vous obtenez des preuves dures de ce que des hôpitaux catholiques pratiquent quand même l’avortement et l’euthanasie, vous les interpellez à ce sujet ? », poursuit le journal.

    « Oui. Je demanderais aux responsables pourquoi ils agissent ainsi et s’ils ne pourraient pas s’y prendre autrement. Je suis toujours ouvert à un dialogue. J’ai déjà dit à nos universités catholiques que j’espère  qu’en ces domaines, ils jouent un rôle prophétique. Ils pourraient dire : “Nous pouvons faire ceci, mais nous ne le faisons pas.” Bien évidemment, n’importe quelle université est capable de faire des fécondations in vitro. Ça n’a rien d’un exploit extraordinaire. Mais pourquoi ne fait-on pas en premier lieu des recherches pour empêcher l’infertilité ? Je trouve que ça, c’est un beau défi. »

    Et quant au « retard scientifique » qui s’installerait alors ?

    « Qu’est-ce que le retard ? Lorsqu’une institution joue un rôle prophétique, je vois cela plutôt comme un progrès. »

    Alors, une université catholique n’a pas le droit de faire de l’in vitro ?, demande le quotidien.

    (Soupir.) « Cela résout un problème individuel, mais cela crée aussi un problème énorme. Non seulement en raison du caractère impersonnel de la procréation, mais parce qu’en même temps des millions d’embryons sont condamnés à une existence absurde. Et n’oublions pas que chacun de nous a été, un jour, un tel embryon. »

    « Et cela est plus important que le bonheur des gens ? »

    Evidemment je souhaite du bonheur à ces personnes. J’ai rencontré des couples qui ont eu recours à l’in-vitro et j’étais très heureux pour eux. Et j’ai aussi béni leur enfant. Mais j’estime que les gens doivent mettre en balance leur bonheur individuel avec le bien commun. Et alors je repense de nouveau à ces millions d’embryons qui n’ont pas de sens. C’est pourquoi je leur poserais respectueusement la question : avez-vous bien pesé les conséquences de votre choix sur le long terme ? J’estime que nous devons nous poser cette question. Elle fait partie de notre sens de la responsabilité. »

    Vous-considérez-vous comme un provocateur ?, demandent plus loin les journalistes.

    « Je ne tairai jamais une chose parce qu’elle est politiquement incorrecte. Si j’estime qu’une chose est vraie, je la dirai. Même si c’est aux antipodes de l’opinion commune. Est-ce de la provocation ? Pour moi, c’est une forme d’honnêteté. »

    Vu la manière dont les médias l’ont traité, on peut comprendre que Mgr Léonard ne choisisse par la voie de l’interview pour faire des déclarations fracassantes. Il faut, hélas, y voir un signe de notre décadence et de la large apostasie de l’Europe."

  • La charia restera-t-elle inscrite dans la Constitution égyptienne ?

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    EGYPTE - Les différentes positions à propos de l’article 2 de la Constitution égyptienne

    Le Caire (Agence Fides) – Dans le cadre du débat pour la réforme de la Constitution égyptienne, se rencontrent différentes positions portant sur la conservation ou non de l’article 2 qui établit que la Charia (la loi islamique) est la source principale de la législation. En substance, les positions sont actuellement au nombre de trois.

    La première est celle de ceux qui désirent éliminer ou modifier l’article en question. En sont notamment partisans : Naghib Sawires, fameux entrepreneur copte orthodoxe, propriétaire en Egypte de la compagnie téléphonique « Mobinil » et d’ORASCO ; Muhammad El Baradai, prix Nobel de la paix et ancien Directeur général de l’Agence internationale pour l’Energie atomique (AIEA), référence d’un certain nombre de manifestants de la place Tahrir qui ont poussé Mubarak à démissionner ; Husain Abd del Razi, intellectuel musulman, membre du Conseil de Direction du Parti de l’Union qui est favorable à un Etat laïc.

    La deuxième position est celle de ceux qui affirment que ce n’est pas le moment de parler de l’article 2 parce que cela pourrait porter à de fortes divisions au sein de la société égyptienne. Dans un second temps, on pourra prendre la question en considération. Parmi les personnalités qui appuient cette thèse, se trouvent : Tariq el Bishri, ancien magistrat du Conseil d’Etat, désigné par le Comité Suprême des Forces armées, Président de la Commission pour la nouvelle rédaction ou la modification de la Constitution égyptienne. Bishri est considéré comme l’un des principaux intellectuels égyptiens. Il a été consultant d’un certain nombre de groupes de jeunes activistes dont Kifayah (« Nous en avons assez ») qui peut être considéré comme le point de départ des groupes qui ont commencé et mené à bien la récente révolution. Le Grand Imam d’Al-Azhar, Ahmed El-Tayeb, a affirmé que l’article 2 de la Constitution égyptienne ne doit pas être modifié en ce que cela pourrait causer des tensions confessionnelles. El-Tayeb a par ailleurs déclaré que l’article en question est l’un des pilastres de l’Egypte, sa modification pouvant intervenir par la suite, en parcourant la voie permettant d’atteindre la liberté et la démocratie.

    Enfin, la troisième position est celle de ceux qui ne désirent pas la modification de l’article 2. Parmi eux, on trouve : Mohammad Salim al-Awa, ancien Secrétaire général de l’Union internationale des chercheurs musulmans ayant son siège à Londres, Président de l’Association égyptienne pour la Culture et le Dialogue et représentant des Frères musulmans ; Sheikh Mohammed Hassan, un prédicateur populaire et, en règle générale, les Frères musulmans. (L.M.) (Agence Fides 19/02/2011)

  • Le gardien Laporte sonne l’alarme

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    158_152572_49657.jpgL’un des gardiens du temple de la modernité avancée, Christian Laporte, a repéré une  offensive du dissident Léonard en Région flamande, et il a publié son rapport  dans la « Libre Belgique » ce samedi 19 février 2011.

    Le rapporteur est formel : comme ce vilain sophiste de Socrate, l’archevêque corrompt la jeunesse et  voici, en résumé, les preuves qu’a relevées M. Laporte :

    Interrogé  par les élèves d’un institut catholique de Puurs sur ses préférences parmi les moyens anticonceptionnels, Mgr Léonard, dans sa réponse en forme de tiercé, a osé préférer l’abstinence et la fidélité au préservatif et classer le couple hétérosexuel avant le couple homosexuel. Il a aussi attribué l’origine des abus sexuels commis par les ecclésiastiques à l’esprit libertaire de mai 1968 plutôt que'à la loi du célibat sacerdotal ,et il a même prétendu que le Vatican  allait sanctionner l’évêque pédophile Vangheluwe, ce qui est évidemment une pure spéculation.

    Vraiment, observe le gendarme Laporte, le contrevenant cherche à rallumer les polémiques.

    À moins que ce ne soit le gendarme Laporte qui souffle lui-même sur les braises...

    C’est ici :  Mgr Léonard hiérarchise les couples

  • La loi belge sur l’euthanasie : trop contraignante ?

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    1066869.jpgUn étrange communiqué de l’agence Belga, relayant un article du journal Le Soir et relayé lui-même par la Libre Belgique s’interroge sur le peu de succès de l’euthanasie légale en Flandre et son insuccès total en Wallonie et à Bruxelles. Il pointe du doigt les contraintes législatives parmi lesquelles figurent pour le candidat à la mort « heureuse » celles de se rendre à l'administration et d'être accompagné de deux témoins majeurs :

    « Fin 2010, on avait enregistré 24.046 déclarations anticipées d'euthanasie auprès du SPF Santé publique, ce qui est relativement peu indique samedi Le Soir. Trois quarts de ces déclarations provenaient de Flandre. D'après le quotidien, cette procédure resterait mal connue et contraignante. Un formulaire type permet aux citoyens d'exprimer leur souhait d'avoir recours à l'euthanasie dans certaines circonstances. Cette déclaration est valable 5 ans.

    « Malgré les efforts entrepris par certaines communes, des mutuelles et quelques organisations progressistes, on constate un déficit réel d'information", regrette Jacqueline Herremans, présidente de l'Association pour le droit de mourir dans la dignité (ADMD).

    « L'année dernière, on n'a enregistré que 8.000 nouvelles déclarations, soit 170 par semaine en moyenne. »

    Et in cauda venenum (mortiferum) : « Parmi les contraintes imposées figurent celles de se rendre à l'administration et d'être accompagné de deux témoins majeurs »

    Leur abolition contribuerait à parfaire cette « civilisation du bonheur » prophétisée par le roman d’Aldous Huxley (en 1932) et qui se réalise aujourd’hui sous nos yeux.

    Voir ici :  Peu de Belges organisent leur euthanasie

  • Le deuxième tome du « Jésus de Nazareth » de Benoît XVI paraîtra le 10 mars prochain

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    180211_jesus_nazareth.jpgLa seconde partie du livre « Jésus de Nazareth », du pape Benoît XVI, sera présentée au Vatican le jeudi 10 mars prochain, lendemain du mercredi des cendres, qui ouvre le carême. Ce deuxième volume est consacré à la Passion, la mort et la Résurrection du Christ et commence là où finissait le premier tome, paru en 2007.

    Dans le premier volume Benoît XVI étudiait la vie publique de Jésus, du Baptême par Jean dans le Jourdain à la Transfiguration au Mont Thabor : il  montrait  que le Christ est une « une figure historiquement sensée et convaincante ».

    Le deuxième volume à paraître le 10 mars prochain est consacré aux moments les plus décisifs : la Passion, la mort et la Résurrection du Christ, Dans ce volume, selon les informations, le pape approfondit aussi les motifs pour lesquels Jésus a été condamné et qui l'ont conduit à la mort dont il a triomphé.

    D’après  le porte-parole du Vatican, le père Federico Lombardi, le Pape écrit déjà la troisième partie du livre, consacrée à l'enfance de Jésus et le début de sa prédication.

    Source : E. S. M. - Eucharistie Sacrement de la Misericorde

  • Charleroi : veillée de prière et d'information en union avec les Communautés chrétiennes des différents pays du Moyen-Orient

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    Des chrétiens des Proche et Moyen Orient sont persécutés et vivent dans la crainte ! Des attentats ont récemment eu lieu à Bagdad et Alexandrie, mais c'est de manière permanente qu'ils vivent une situation très critique, liée à la montée de l'extrémisme islamique qui veut éliminer la présence chrétienne de ces pays. Ils nous demandent de prier avec eux et pour eux, et de parler d'eux pour faire connaître la situation.

    Le Groupe Pax Christi de Charleroi organise

    - sous la Présidence de Monseigneur Guy Harpigny, Evêque de Tournai -

    une veillée de prière et d’information en union avec les Communautés chrétiennes des différents pays du Moyen Orient

    le vendredi 25 février 2011 à 19 h

    en l’église Saint Antoine de Charleroi (Ville basse).

     

    La veillée comportera un exposé du Père Samih Raad, prêtre melchite catholique du Diocèse de Sidon (Liban), qui connaît bien l’Irak, et qui est en service à la paroisse Saint Jean Chrysostome à Bruxelles. La veillée s’achèvera par un temps de convivialité.

    Personne de contact : Michèle Charles-Simon et Robert Mathelart
    Adresse mail : robert.mathelart@skynet.be
    Numéro de téléphone : 071.38.54.08 et 071.35.12.69

    Adresse : Eglise Saint-Antoine de Padoue, rue de Marchienne 4 à 6000 Charleroi

    Invitation cordiale à toutes et tous !  sur le site de Pax Christi

  • Marche pour la Vie à Bruxelles : Jour J - 35

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    march for life brussels 2010 vii.JPG

     

     

    Défendre la Vie en manifestant dans la rue ne s'improvise pas!

    Il faut donc mobiliser toutes nos énergies, nos relations familiales et sociales pour assurer le succès de la Marche pour la Vie du dimanche 27 mars.

    Avez-vous songé à :

    - en faire une priorité dans votre agenda ?

    - à affréter un car ou, au minimum, à organiser du co-voiturage ?

    - à en faire la publicité dans votre paroisse, vos associations, vos mouvements de jeunesse, vos écoles?

    - à commander des tracts et à les distribuer ?

    - à demander à votre évêque ou à vos évêques de vous y accompagner ?

    La première édition fut un succès dépassant nos attentes. Près de 2000 personnes ont en effet participé à la Marche, dont le nouvel archevêque de Malines-Bruxelles.
     

    L’évènement fit la Une des médias, tant néerlandophones que francophones. Depuis lors, de nombreuses actions en faveur de la Vie ont été menées : distributions de tracts, création de mouvements de jeunes, conférences etc.

    Toutefois, le nombre d’avortements continue dramatiquement d’augmenter en Belgique. La deuxième édition de Marche pour la Vie doit donc être l’occasion d’une mobilisation encore plus importante.

    Il est impérieux de prendre contact – au plus tôt – avec les responsables locaux en charge de la distribution de tracts et de l’organisation de cars depuis leurs provinces respectives.

    N’hésitez pas à leur proposer votre aide, même modeste. Et, si cela n’est pas encore fait, merci de vous inscrire pour le car qui partira de votre ville.
    Province de Liège – Jean Hermesse  ( 0498/ 51 88 77 )
    Province de Namur – Marie-Claude de Witte ( 0477/ 49 89 97 )
    Province du Luxembourg – Père Hubert-Marie ( 0473 / 47 02 53 )

    Si vous souhaitez vous impliquer dans l’organisation de l’évènement le jour même n’hésitez pas à contacter : Antony Burckhardt – porte-parole de la Marche pour la Vie. Gsm : 0471/ 33 50 44

    http://droitdenaitre.org/

    Merci de contacter BELGICATHO (belgicatho@gmail.com) pour relayer les nouvelles concernant la mobilisation et pour signaler les participations annoncées par des personnalités.

  • La famille biologique et naturelle : voilà l'ennemi !

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    C'est ce qui découle des propos tenus par Najat Vallaut Belkacem, secrétaire nationale du parti socialiste français aux questions de société.

    "Pour elle, le progrès scientifique, comme la contraception ou la procréation assistée, ainsi que l’émancipation des volontés individuelles, ont transformé le modèle familial français.

    Aujourd’hui, "le projet familial résulte d’une volonté. C’est ce projet, cet engagement parental irrévocable, qui doit constituer le fondement du droit de la famille", déclare-t-elle. La filiation sociale doit primer sur la filiation biologique car "le parent est celui qui exprime une volonté de l’être, et de subvenir aux besoins matériels et moraux d’un enfant."

    Elle estime que c’est parce que le modèle traditionnel de la famille fondée sur un couple hétérosexuel est "aveugle" aux autres réalités que la législation a interdit l’AMP pour les couples homosexuels et les femmes seules.

    Ce ne sont pas ces nouveaux modes de parentalité qui créent des obstacles à l’épanouissement des enfants, mais au contraire, les lois fixées sur la "vraisemblance biologique" qui les privent de leurs droits et les isolent "en les stigmatisant".

    "De nouvelle formes de vie se sont banalisées", "il revient, aujourd’hui, au législateur de le traduire dans notre droit", afin de convaincre les députés d’élargir la procréation médicalement assistée aux familles homoparentales et aux femmes seules.
    "Il est temps de s’affranchir de cette vison naturaliste de la famille" déclare-t-elle.

    Dans le Monde du 16 février, analysé par Généthique.org

  • IIe Rapport sur la doctrine sociale de l'Eglise dans le monde

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    lp51-unex200.jpgLiberté Politique N° 51

    Dossier : Rectitude et perversion de la pensée

    CE IIe RAPPORT SUR LA DOCTRINE SOCIALE DE L’ÉGLISE DANS LE MONDE, dont ce numéro de Liberté politique offre la version francophone avec ses principaux éléments, est le fruit de la collaboration de quatre centres de recherche internationaux, l’Observatoire Cardinal Van-Thuân sur la doctrine sociale de l’Église (Vérone), le Centre de réflexion sociale catholique de l’université Saint-Paul d’Arequipa (Pérou), la Fondation Paul-VI (Madrid) et la Fondation de Service politique (Paris).
    Il propose un outil novateur pour faire le point sur l’actualité de la doctrine sociale de l’Église et les principaux défis qui l’attendent à travers quelques événements et problèmes qui se sont posés à certains de ses acteurs, comme le réchauffement climatique ou la défense du dimanche. Ce Rapport montre que la doctrine sociale de l’Église est aujourd’hui « un signe de contradiction », comme en témoignent la persécution des chrétiens dans de nombreux pays, la lutte ardue pour la dimension publique du christianisme en Occident, mais aussi la division au sein même de l'Église sur le rôle de sa doctrine sociale. Au cœur de tout, la force de l'enseignement social de Benoît XVI.

    Liberté Politique