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Au rythme de l'année liturgique - Page 235

  • A la piscine de Bezatha

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    Évangile (de ce jour) selon saint Jean 5,1-16.

    A l'occasion d'une fête des Juifs, Jésus monta à Jérusalem. 
    Or, à Jérusalem, près de la Porte des Brebis, il existe une piscine qu'on appelle en hébreu Bézatha. Elle a cinq colonnades, sous lesquelles étaient couchés une foule de malades : aveugles, boiteux et paralysés. 

    Il y en avait un qui était malade depuis trente-huit ans. Jésus, le voyant couché là, et apprenant qu'il était dans cet état depuis longtemps, lui dit : « Est-ce que tu veux retrouver la santé ? » Le malade lui répondit : « Seigneur, je n'ai personne pour me plonger dans la piscine au moment où l'eau bouillonne ; et pendant que j'y vais, un autre descend avant moi. » Jésus lui dit : « Lève-toi, prends ton brancard, et marche. » 

    Et aussitôt l'homme retrouva la santé. Il prit son brancard : il marchait ! Or, ce jour-là était un jour de sabbat. Les Juifs dirent à cet homme que Jésus avait guéri : « C'est le sabbat ! Tu n'as pas le droit de porter ton brancard. » Il leur répliqua : « Celui qui m'a rendu la santé, c'est lui qui m'a dit : 'Prends ton brancard, et marche ! ' » Ils l'interrogèrent : « Quel est l'homme qui t'a dit : 'Prends-le, et marche' ? » Mais celui qui avait été guéri ne le savait pas ; en effet, Jésus s'était éloigné, car il y avait foule à cet endroit. 

    Plus tard, Jésus le retrouva dans le Temple et lui dit : « Te voilà en bonne santé. Ne pèche plus, il pourrait t'arriver pire encore. » L'homme partit annoncer aux Juifs que c'était Jésus qui lui avait rendu la santé. Et les Juifs se mirent à poursuivre Jésus parce qu'il avait fait cela le jour du sabbat.

    (Homélie sur http://homelies.fr/)

  • Une parole agissante, capable de transformer nos vies

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    Evangile du jour : Jean, 4, 43-54

    Jésus, après avoir passé deux jours chez les Samaritains, partit pour la Galilée. (Lui-même avait attesté qu'un prophète n'est pas honoré dans son propre pays.) Il arriva donc en Galilée ; les Galiléens lui firent bon accueil, car ils avaient vu tout ce qu'il avait fait à Jérusalem pendant la fête de la Pâque, puisqu'ils étaient allés eux aussi à cette fête. 

    Ainsi donc Jésus revint à Cana en Galilée, où il avait changé l'eau en vin. Or, il y avait un fonctionnaire royal, dont le fils était malade à Capharnaüm. Ayant appris que Jésus arrivait de Judée en Galilée, il alla le trouver ; il lui demandait de descendre à Capharnaüm pour guérir son fils qui était mourant. Jésus lui dit : « Vous ne pourrez donc pas croire à moins d'avoir vu des signes et des prodiges ? » Le fonctionnaire royal lui dit : « Seigneur, descends, avant que mon enfant ne meure ! » Jésus lui répond : «Va, ton fils est vivant. »

    L'homme crut à la parole que Jésus lui avait dite et il partit. Pendant qu'il descendait, ses serviteurs arrivèrent à sa rencontre et lui dirent que son enfant était vivant. Il voulut savoir à quelle heure il s'était trouvé mieux. Ils lui dirent : « C'est hier, au début de l'après-midi, que la fièvre l'a quitté. » Le père se rendit compte que c'était justement l'heure où Jésus lui avait dit : « Ton fils est vivant. » Alors il crut, avec tous les gens de sa maison. 

    Tel est le second signe que Jésus accomplit lorsqu'il revint de Judée en Galilée.

    Homélie du Père Joseph-Marie Verlinde (homélies.fr) (Archive 2009)

    C’est avec le quatrième évangile que nous cheminerons désormais vers Pâques. Nous y entrons au chapitre 4 avec le second signe que Jésus accomplit, et qui se situe, comme le premier, à Cana en Galilée. Jésus est en provenance de Judée et a pris le temps de s’arrêter deux jours en Samarie où il a reçu un bon accueil après la rencontre avec la femme samaritaine au bord du puits de Jacob (Jn 4, 1-42).

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  • Un amour fugitif comme la brume s'évaporant à la première heure

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    Homélie du jour du Père Joseph-Marie Verlinde (homélies.fr(Archive 2009)

    « Que vais-je te faire, Ephraïm ? Que vais-je te faire, Juda ? Votre amour est fugitif comme la brume du matin, comme la rosée qui s’évapore à la première heure » (Première lecture : Os 6, 1-6). Pourquoi cette plainte du Cœur de Dieu ? Pourquoi ce gémissement impuissant ? Les fils d’Israël ne sont-ils pas pleins de bonnes intentions ? Ne viennent-ils pas d’exprimer la décision de se convertir, de revenir au Seigneur et de chercher sa face ?

    Sans doute, mais leur discours trahit que leur cœur est encore loin de Dieu ; ils ne le connaissent pas vraiment. D’ailleurs ce n’est pas à lui qu’ils s’adressent : il s’agit d’une délibération collective qui parle du Seigneur à la troisième personne.

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  • Le Seigneur notre Dieu est l'unique Seigneur

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    Sur homélies.fr, du frère Joseph-Marie Verlinde (Archive 2009) : 

    Le premier des commandements que le Seigneur nous donne, c’est de l’écouter, c'est-à-dire : de tendre l’oreille de notre cœur et de nous faire tout enseignable, de recevoir avec bienveillance sa Parole. Et que nous dit-elle cette Parole ? « Le Seigneur notre Dieu est l’unique Seigneur ». Il n’en est pas d’autre : tous ceux qui prétendent à ce titre « sont des voleurs et des brigands, mais les brebis ne les ont pas écoutés » (Jn 10, 8). Unique est le Bon Berger, et nous le reconnaissons au fait qu’il « se dessaisit de sa vie pour ses brebis ».

    Mais nous sommes sourds, ou plutôt nous refusons d’entendre ; car ce message nous dérange : nous pressentons toute l’exigence qui en découle logiquement : « Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme, de tout ton esprit et de toute ta force ». Aussi sommes-nous tentés de dire comme le démon : « Ne me tourmente pas, Jésus », ne vois-tu pas que « je me suis effondré par suite de mes fautes » ? (1ère lect.). N’exige pas de moi des choses impossibles. Toi tu es d’en-haut, mais tu vois bien que je suis d’en-bas, de la terre. Passe ton chemin ; je ferai de mon mieux pour éviter l’enfer, ne m’en demande pas plus…

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  • Te voir, Seigneur

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    De Carême dans la Ville :

    De ma chair, je verrai Dieu. Moi-même, je le verrai, mes yeux regarderont et non un autre. Mon coeur en moi se consume.

     
     
    Livre de Job, chapitre 19, versets 26-27
     
      La méditation
    Ma chair, je le sais, c’est moi, mon histoire, les liens que je tisse avec les autres. Ma chair manifeste cet être intérieur qui rajeunit quand je m’approche de Dieu, ou se flétrit quand je m’en éloigne, car Dieu est ma source, mon origine. 
    Un crayon de lumière dessine en ma chair un visage au long de mes années. Ce visage-là se teinte même de couleurs d’éternité. Il a comme un air de ressemblance avec le Ciel. Je brûle du désir de te voir, Seigneur, maintenant. 
    Dans l’obscurité, ce désir bute, chute même, quand ta place paraît vide en moi et autour de moi, ou quand tu parais loin. Ce désir me prépare-t-il à te reconnaître en me dépouillant du mensonge, de mes masques et défenses ? Car je pressens que c’est dans ta mort sur le bois de la Croix que naissent, pour moi, la confiance et le chemin vers toi. Nul besoin devant toi de se mentir, de se donner un visage qui n’est pas le sien. Les yeux que tu désires pour moi ont la beauté de ta vérité.
    En regardant Jésus aller jusqu’au bout de l’Amour, Grégoire de Nysse commentait au IVe siècle : « Suivre Dieu partout où il mène, c’est cela voir Dieu. » En donnant du temps et jusqu’à ma vie pour mon prochain, je marche sur les traces de Jésus ; je vois déjà Jésus. Les yeux de mon visage d’éternité brillent alors d’allégresse. C’est comme si le Père me disait : « Ce que j’attends de toi, c’est ton cœur. Qu’il batte pour tes frères et moi, pour une éternité de délices ! » (*).
  • Les intentions de prière du pape pour mars 2013

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    INTENTIONS DE PRIERE POUR MARS

    (VIS). L'intention de prière générale de Benoît XVI pour mars est: "Pour que grandisse le respect de la nature, l’œuvre de Dieu confiée à la responsabilité humaine".

    Son intention missionnaire est: "Pour que les évêques, les prêtres et les diacres soient des annonciateurs infatigables de l’Evangile jusqu’aux extrémités de la terre".

  • Prendre la mesure de nos jours

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    Evangile du jour : Luc 16, 19-31

    Jésus disait cette parabole : « Il y avait un homme riche, qui portait des vêtements de luxe et faisait chaque jour des festins somptueux. Un pauvre, nommé Lazare, était couché devant le portail, couvert de plaies. Il aurait bien voulu se rassasier de ce qui tombait de la table du riche ; mais c’étaient plutôt les chiens qui venaient lécher ses plaies.
    « Or le pauvre mourut, et les anges l’emportèrent auprès d’Abraham. Le riche mourut aussi, et on l’enterra. Au séjour des morts, il était en proie à la torture ; il leva les yeux et vit de loin Abraham avec Lazare tout près de lui.
    « Alors il cria : ‘Abraham, mon père, prends pitié de moi et envoie Lazare tremper dans l’eau le bout de son doigt pour me rafraîchir la langue, car je souffre terriblement dans cette fournaise. — Mon enfant, répondit Abraham, rappelle-toi : Tu as reçu le bonheur pendant ta vie, et Lazare, le malheur. Maintenant il trouve ici la consolation, et toi, c’est ton tour de souffrir. De plus, un grand abîme a été mis entre vous et nous, pour que ceux qui voudraient aller vers vous ne le puissent pas, et que, de là-bas non plus, on ne vienne pas vers nous.’
    « Le riche répliqua : ‘Eh bien ! père, je te prie d’envoyer Lazare dans la maison de mon père. J’ai cinq frères : qu’il les avertisse pour qu’ils ne viennent pas, eux aussi, dans ce lieu de torture !’
    « Abraham lui dit : ‘Ils ont Moïse et les Prophètes : qu’ils les écoutent ! — Non, père Abraham, dit le riche, mais si quelqu’un de chez les morts vient les trouver, ils se convertiront.’ Abraham répondit : ‘S’ils n’écoutent pas Moïse ni les Prophètes, quelqu’un pourra bien ressusciter d’entre les morts : ils ne seront pas convaincus.’ »

    Homélie du Père Joseph-Marie Verlinde (Archive 2007) - Homélies fr

    Les paraboles n’ont décidément pas fini de nous surprendre. Spontanément nous faisons de Lazare un homme profondément religieux, qui récolte après sa mort les fruits de sa vie vertueuse. L’homme riche par contre, nous le classons parmi les païens jouisseurs, qui se moquent autant de Dieu que des hommes. Or rien dans le récit ne justifie une telle interprétation : à aucun moment il n’est question des dispositions religieuses de nos deux personnages – du moins durant leur vie terrestre. Le contraste, l’opposition portent exclusivement sur leur train de vie respectif : l’opulence pour le riche anonyme ; la misère pour le pauvre nommé Lazare. Si ce dernier porte un nom, c’est donc qu’il est en relation ; il est inséré dans le réseau social - du moins il tente de s’y inscrire, sans grand succès hélas : ce sont plutôt les chiens qui lui tiennent compagnie. Le riche par contre est enfermé dans la bulle qu’il s’est construite, à l’abri des soucis et surtout des malheurs de ce monde. Il a creusé « un grand abîme » entre sa vie de plaisirs et le monde extérieur dont il n’a cure : il se suffit bien à lui-même dans son palais, et n’a besoin de personne.

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  • La seule cohérence qui tienne

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    Homélie du jour par le Père Joseph-Marie Verlinde - Homélies.fr

    Homélie (Archive 2007)

    Les premières paroles de l’extrait du prophète Isaïe que nous avons entendu en première lecture résonnent comme un coup de clairon : « Ecoutez la Parole du Seigneur ! » Et à qui s’adresse cette injonction ? A ceux « qui ressemblent aux chefs de Sodome », c’est-à-dire à ceux qui font le mal sans scrupule, qui prétendent avoir dépassé l’opposition entre le bien et le mal, qui se vantent d’avoir instauré enfin un relativisme moral libérateur. Le Seigneur ne se répand cependant pas contre eux dans un flot d’invectives ou d’accusations : il se contente de les interpeller vigoureusement : « Ecoutez la Parole du Seigneur », c’est-à-dire reconnaissez l’altérité divine et prêtez l’oreille à ses propos.

    Pour convertir les pécheurs, Dieu commence par leur manifester sa paternité en les convoquant autour de sa Parole. Certes, il propose un enseignement, mais il ne nous impose pas un monologue moralisateur : « Venez donc et discutons, dit le Seigneur ». Le père est celui qui ouvre le dialogue : il parle et donne la parole, et c’est dans cet échange de paroles qu’il veut nous faire découvrir à la fois la vérité et notre responsabilité personnelle devant elle.

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  • La chaire de saint Pierre

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    reliquaire-de-la-chaire-de-st-pierre-bernini-copie.jpgOn fête aujourd'hui, et c'est de circonstance, la chaire de saint Pierre. Missel.free en retrace l'historique :

    Il convient ici de rappeler que la chaire est le siège éminent réservé à l’évêque lorsqu’il préside une assemblée. Il importe peu de savoir s’il y eut jamais, à Rome, une chaire regardée comme la vraie chaire de saint Pierre, mais il faut souligner que l’on y fit grand cas de chaires qui rappelaient le magistère suprême de Pierre que, dès le IV° siècle on célébrait par une fête particulière, Natale Petri de Cathedra, fixée au 22 février.

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  • Comment revenir au Seigneur ?

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    Evangile du jour : Luc 5, 27-32

    Jésus remarqua un publicain (collecteur d'impôts) du nom de Lévi assis à son bureau de publicain. Il lui dit : « Suis-moi. » Abandonnant tout, l'homme se leva et se mit à le suivre. Lévi lui offrit un grand festin dans sa maison ; il y avait une grande foule de publicains et d'autres gens attablés avec eux. Les pharisiens et les scribes de leur parti récriminaient en disant à ses disciples : « Pourquoi mangez-vous et buvez-vous avec les publicains et les pécheurs ? » Jésus leur répondit : « Ce ne sont pas les gens en bonne santé qui ont besoin du médecin, mais les malades. Je suis venu appeler non pas les justes mais les pécheurs, pour qu'ils se convertissent. »

     

    Homélie du Père Joseph-Marie Verlinde - Homélies.fr - (Archive 2007)

    Mercredi nous nous sommes mis en route en réponse à l’appel du Seigneur : « Revenez à moi de tout votre cœur » (Jl 2, 12). Mais comment faire pour nous arracher à notre inertie ? Et même si nous le pouvions, où nous diriger ? Comment, pauvres aveugles que nous sommes, pourrions-nous retrouver le chemin qui conduit à Dieu ? Comme Lévi, le douanier, nous sommes assis non pas entre deux pays, mais entre deux appartenances.

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  • l'Homélie du pape Benoît XVI lors de la célébration des Cendres

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    C'est sur le site de La Croix (qui a précédé Vatican.va) :

    « Frères vénérés

    Chers frères et sœurs,

    Aujourd’hui, Mercredi des Cendres, nous entamons un nouveau chemin de Carême, chemin qui se déroule sur quarante jours et nous conduit à la joie de la Pâque du Seigneur, à la victoire de la Vie sur la mort. Selon la très ancienne tradition romaine des “stations” de Carême, nous sommes rassemblés pour la célébration de l’Eucharistie. Cette tradition prévoit que la première “station” ait lieu dans la basilique de Sainte-Sabine, sur la colline de l’Aventin. Les circonstances ont suggéré de se rassembler dans la Basilique Vaticane. Ce soir, nous sommes nombreux autour de la tombe de l’apôtre Pierre afin, aussi, de lui demander son intercession pour le chemin de l’Église en ce moment particulier, renouvelant notre foi dans le pasteur suprême de l’Église, le Christ Seigneur. Pour moi, c’est un moment approprié pour remercier chacun, spécialement les fidèles du diocèse de Rome, alors que j’apprête à conclure mon ministère pétrinien et pour demander un soutien particulier dans la prière.

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  • 40 jours de compassion avec les chrétiens en détresse

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    40 jours de compassion

    ...PRIER EN COMMUNION AVEC LES CHRÉTIENS EN DÉTRESSE

    Chers amis,

    En cette Année de la Foi, Benoît XVI nous dit, dans son message pour le Carême 2013 : "Le chrétien est une personne conquise par l'amour du Christ et donc, mû par cette amour, il est ouvert de façon concrète et profonde à l'amour pour le prochain." 

    C'est ainsi que je vous propose de vivre un Carême différent,tourné vers les chrétiens du monde qui souffrent par amour du Christ.

    En vous inscrivant, vous recevrez chaque matin une prière à l’intention des chrétiens d’un pays, ainsi que des informations sur leur situation.

    Qui d'autre que nous, chrétiens, pourra prier pour eux ?

    Pour rejoindre la communauté de prière :

    Inscrivez-vous sur www.40joursdecompassion.org et remplissez le formulaire en haut à droite 1 jour, 1 pays, 1 prière. Une fois inscrit, vous recevrez chaque jour par courriel une intention de prière pour les chrétiens d’un pays. 

    - Vous pouvez aussi déposez une prière sur le Mur de Partagepour les chrétiens persécutés dans un pays ou une région du monde, ou la personne de votre choix. Partagez votre prière avec vos proches pour qu'ils s’associent à cette dernière.

    Pour sensibiliser le plus grand nombre à la situation des chrétiens dans le monde, et aux actions possibles pour les aider, n'hésitez pas à partager notre courte vidéo, visible surwww.40joursdecompassion.org.

    Merci infiniment pour votre prière, et bon Carême à tous !

    signature
    Marc Fromager, 
    Directeur de l’AED

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    « Priez avec une confiance inébranlable et avec un seulcœur qui englobe d’amourtoute la terre. Et le Seigneur se tournera vers nous et sa miséricorde n’aura pas de limites »
    Père Werenfried, fondateur de l'AED (1913-2003)

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    PS : nos frères vivent chaque jour le chemin de croix... Ne les oublions pas.

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