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Au rythme de l'année liturgique - Page 231

  • Plain-chant sur Liège le samedi 11 mai : un double rendez-vous à ne pas manquer au Boulevard d’Avroy

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    Dixième anniversaire : un concert et une messe

    L’Académie de Chant grégorien à Liège fête le dixième anniversaire de son existence. Depuis 2003, elle a accueilli plus de trois cents élèves dans ses cycles de cours annuels.

     Pour célébrer l’événement elle organise le samedi 11 mai prochain à 16 heures un concert à l’église des Bénédictines (Boulevard d’Avroy, 54), suivi d’une messe célébrée selon le missel de 1962, à 18h en l’église du Saint-Sacrement (Boulevard d’Avroy,132), par l’abbé Jean-Pierre Delville, professeur à la faculté de théologie de l'Université catholique de Louvain (U.C.L.).

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    églises des Bénédictines (gauche) et du Saint-Sacrement (droite)

    Copie de chantsgrégoriens22.jpg

    académie de chant grégorien à Liège

    Au cours de cette double manifestation, l’Ensemble vocal « Psallentes ♀ » (dir. Hendrik Vanden Abeele, professeur aux Conservatoires de Leuven, Rotterdam et La Haye) et les trente-cinq élèves du cycle 2012-2013 de l’académie de chant grégorien à Liège(dir. Stéphan Junker, professeur au conservatoire de Verviers) illustreront le répertoire des chants de pèlerinage au temps des cathédrales (XIIe-XVe siècles).

    Un thème : les chants de pèlerinage (XIIe-XVe siècles)

    codex calixtinus .jpgAu programme : plain-chant et déchant extraits du Codex Calixtinus (photo) de Compostelle (XIIe s.), du Livre Vermeil de Montserrat (XIVe s.), de l’office et de la messe de saint Jacques le majeur (graduel et antiphonaire de l’abbaye de Solesmes) et de l’office liégeois primitif de la Fête-Dieu (manuscrit de Tongres, XIIIe )

    Une découverte : l’Ensemble « « Psallentes ♀ » 

    L’Ensemble  « Psallentes ♀ »  (photo)a vu le jour en 2007. Fondé et dirigé, comme saimagesCAJYFV22.jpg branche masculine, par Hendrik Vanden Abeele, cet Ensemble vocal est voué à l’interprétation des chants liturgiques du  moyen âge. Il est composé de jeunes musiciennes professionnelles, particulièrement remarquées lors du dernier festival international de chant grégorien de Watou, en 2012. Le  Festival des Flandres l’a inscrite à son programme pour 2013. 

    Aux orgues « Le Picard » (XVIIIe s.) des Bénédictines et Thomas du Saint-Sacrement on pourra aussi entendre Patrick Wilwerth (professeur au conservatoire de Verviers).

    cliquez ici pour voir les affiches du concert et de la messe chantée 

    Entrée libre aux deux manifestations et à la réception de clôture 

    Pour des renseignements complets sur le programme, cliquez ici :

    Journée grégorienne à Liège le samedi 11 mai 2013 

    Contacts : e-mail jpschyns@skynet.be ou tél. 04.344.10.89

  • Etre en paix avec soi-même et avec autrui

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    Alors que l'évangile du jour évoque cette paix que le Seigneur nous donne, nous trouvons précisément ce texte mis en ligne ICI qui nous parle de l'homme pacifié : 

    LIVRE II – CHAPITRE III – DE L’HOMME VRAIMENT PACIFIE

    1 Tiens-toi, le premier, en paix ; tu pourras, alors, pacifier les autres.

    2 L’homme pacifié est plus efficace que le savant.

    3 L’homme passionné tourne en mal même le bien et croit facilement au mal. L’homme vraiment pacifié convertit tout en bien.

    4 Qui est bien en paix ne soupçonne personne ; celui qui est mécontent et choqué est agité de divers soupçons ; lui-même n’est pas en repos et il ne laisse pas les autres en repos.

    6 Il dit souvent ce qu’il ne devrait pas dire, et omet ce qu’il lui serait plus expédient d’accomplir.

    7 Il examine ce que les autres sont tenus de faire et néglige ce à quoi lui-même est tenu.

    8 Aie du zèle en premier envers toi-même, et alors tu pourras avec raison en avoir aussi envers ton prochain.

    9 Tu sais fort bien excuser et excuser ce que tu fais, et tu ne veux pas accueillir les excuses des autres.

    10 Plus juste serait de t’accuser et d’excuser ton frère.

    11 Si tu veux être supporté, supporte aussi autrui.

    12 Vois combien tu es encore loin de la vraie charité et humilité, qui ne sait s’indigner ou s’irriter contre personne sauf elle-même !

    13 Il n’y a pas grand mérite à demeurer avec les doux et les bons, cela plaît naturellement à tous ; chacun préfère la paix et aime davantage ceux qui partagent ses sentiments.

    14 Mais pouvoir vivre en paix avec des gens durs, pervers ou indisciplinés, ou contrariants, est une grande grâce, un acte viril et extrêmement digne d’éloges.

    15 Il en est qui se tiennent en paix avec eux-mêmes, et demeurent aussi en paix avec les autres.

    16 Et il en est qui n’ont point la paix et ne laissent point en paix leurs prochains ; beaucoup sont à charge à autrui mais plus encore à charge à eux-mêmes !

    17 Enfin, il en est qui se maintiennent eux-mêmes en paix et s’efforcent d’y ramener les autres.

    18 Au reste, toute notre paix, en cette misérable vie, doit disposer plutôt à supporter humblement qu’à ne point éprouver de contrariété.

    19 Qui mieux sait souffrir, plus grande paix retiendra. Celui-là est vainqueur de lui-même, maître du monde, ami du Christ, et héritier du ciel.

    Thomas A Kempis – L’imitation de Jésus-Christ – XVè siècle

  • Un champion de la foi au 4e siècle

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    Sur missel.free.fr

    Saint Athanase, né vers 295, connut dans son enfance les dernières persécutions. Il était sans doute déjà diacre de l’évêque Alexandre d’Alexandrie lorsqu’il écrivit le « Contra gentes et de incanatione Verbi » qui est à la fois une apologie contre les païens et un exposé des motifs de l’Incarnation. Diacre, il accompagna au concile de Nicée (325) son évêque auquel il succèda en juin 328.

    Energique, intelligent et instruit, il visita entièrement tout son diocèse fort agité par les hérétiques ariens et mélitiens. Après avoir deux fois refusé à l’empereur Constantin de recevoir Arius, il dut se disculper des accusations des mélétiens à Nicomédie (332) et à Césarée de Palestine (333). Refusant une troisième fois de réconcilier Arius, Athanase fut cité à comparaître devant le concile de Tyr (335) d’où, n’ayant trouvé que des ennemis, il s’enfuit à Constantinople pour plaider sa cause devant l’Empereur qui le condamna à l’exil.

    Pendant qu’Athanase, déposé par le concile de Tyr, était en exil à Trêves, les troubles étaient si forts à Alexandrie qu’on n’osa pas lui nommer un successeur. Après la mort de Constantin I° (22 mai 337), Constantin II le rendit à son diocèse (17 juin 337) où il arriva le 23 novembre 337. Les ariens élirent Grégoire de Cappadoce qui, avec l’appui du préfet d’Egypte, s’empara des églises d’Alexandrie qu’Athanase dut quitter (mars 339). Réfugié à Rome, il fut réhabilité par un concile réuni sous la pape Jules I° mais il dut attendre la mort de son compétiteur et l’amnistie de l’empereur Constance pour rentrer dans son diocèse (21 octobre 346). Constance reprit les hostilités contre Athanase qui fut de nouveau chassé d’Alexandrie (356) et dut se réfugier dans la campagne égyptienne jusqu’à la mort de l’Empereur dont le successeur, Julien, rappela immédiatement les exilés (361). Rentré le 21 février 362, Athanase fut encore condamné à l’exil le 23 octobre 362 mais Julien ayant été tué dans la guerre contre les Perses (26 juin 363), son successeur, Jovien, vrai catholique, le rappela. Jovien mourut accidentellement (février 364) et son successeur, Valens, arien, chassa de nouveau Athanase d’Alexandrie le 5 octobre 365 où il l’autorisera à revenir le 1° février 366. Athanase mourut dans la nuit du 2 au 3 mai 373.

  • Intentions de prière du Saint-Père pour mai 2013

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    Intention de prière universelle – Ceux qui rendent la justice :

    Prions pour que ceux qui administrent la justice œuvrent toujours avec intégrité et avec une conscience droite.

    Intention de prière pour l’évangélisation – Les séminaires des jeunes Eglises :

    Prions pour que les Séminaires, spécialement ceux des Eglises de mission, forment des pasteurs selon le Cœur du Christ, entièrement consacrés à l'annonce de l'Evangile.

    Commentaire : http://www.apostolat-priere.org/derniere-minute.html 

  • Il est la Vigne, nous sommes les sarments

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    Roma-Abside-Basilica-di-San-Clemente.jpgEvangile de Jean, chapitre 15, vv. 1-8

    A l'heure où Jésus passait de ce monde à son Père, il disait à ses disciples : « Moi, je suis la vraie vigne, et mon Père est le vigneron. Tout sarment qui est en moi, mais qui ne porte pas de fruit, mon Père l'enlève ; tout sarment qui donne du fruit, il le nettoie, pour qu'il en donne davantage. Mais vous, déjà vous voici nets et purifiés grâce à la parole que je vous ai dite : Demeurez en moi, comme moi en vous. De même que le sarment ne peut pas porter du fruit par lui-même s'il ne demeure pas sur la vigne, de même vous non plus, si vous ne demeurez pas en moi.

    « Moi, je suis la vigne, et vous, les sarments. Celui qui demeure en moi et en qui je demeure, celui-là donne beaucoup de fruit, car, en dehors de moi, vous ne pouvez rien faire. Si quelqu'un ne demeure pas en moi, il est comme un sarment qu'on a jeté dehors, et qui se dessèche. Les sarments secs, on les ramasse, on les jette au feu, et ils brûlent. Si vous demeurez en moi, et que mes paroles demeurent en vous, demandez tout ce que vous voudrez, et vous l'obtiendrez. Ce qui fait la gloire de mon Père, c'est que vous donniez beaucoup de fruit : ainsi, vous serez pour moi des disciples. » 

    Homélie du Père Joseph-Marie Verlinde (Homelies.fr - Archive 2004)

    « Moi je suis la vraie vigne » ; ce qui suppose implicitement qu’il existe d’autres plantations, qui ont l’apparence de la vigne, mais n’en sont pas. Le discernement entre la « vraie » plantation et les contrefaçons se fait à partir des fruits : les vignes de ce monde ne produisent qu’un vin décevant, qui procure une ivresse abrutissante ; la vigne du Seigneur offre un vin vivifiant qui introduit dans la joie de l’Esprit.

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  • Cette gloire du Christ à laquelle nous sommes appelés à participer (5e dimanche de Pâques)

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    Evangile selon saint Jean, chapitre 13, vv. 31-33a.34-35

    Au cours du dernier repas que Jésus prenait avec ses disciples, Jésus déclara : « Maintenant le Fils de l'homme est glorifié, et Dieu est glorifié en lui. Si Dieu est glorifié en lui, Dieu en retour lui donnera sa propre gloire ; et il la lui donnera bientôt.

    « Mes petits enfants, je suis encore avec vous, mais pour peu de temps. Je vous donne un commandement nouveau : c'est de vous aimer les uns les autres. Comme je vous ai aimés, vous aussi aimez-vous les uns les autres. Ce qui montrera à tous les hommes que vous êtes mes disciples, c'est l'amour que vous aurez les uns pour les autres. »

    Homélie du Père Joseph-Marie Verlinde (Homelies.fr - Archive 2007)

    Ce passage d’évangile a quelque chose de déconcertant, de provoquant même, qui devrait nous ébranler radicalement dans notre « bonne conscience ».

    Jésus sait que son sort est décidé : Judas, un des Douze à qui il a donné toute sa confiance - qu’il a aimé plus que les autres en raison de sa faiblesse - Judas vient de sortir pour trahir son Maître ; pour le vendre comme un vulgaire objet évalué à trente pièces d’argent.

    Paradoxalement - et c’est notre première surprise - Jésus déclare à ce moment précis : « Maintenant, le Fils de l’homme est glorifié ». Le « maintenant » ne peut porter que sur la trahison et sur tout ce qui s’en suivra : l’arrestation, les interrogatoires, la flagellation, la couronne d’épines, les humiliations de la soldatesque, le portement de croix, la crucifixion, la longue agonie et enfin la mort dans un grand cri. Est-ce donc dans ces événements, où semblent triompher le mal, la haine, la violence, que le Christ est glorifié ? Qui donc voudrait participer à une telle gloire ? Nous aurions sans aucun doute ajouté : « et quel est donc ce Dieu qui réserve un tel sort à son Envoyé », si Jésus n’avait pas poursuivi en disant : « et Dieu est glorifié en lui ». Comment Dieu peut-il être glorifié en cet homme meurtri, humilié, anéanti ? Qu’est-ce que tout cela peut bien vouloir dire ?

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  • De quel sauveur rêvons-nous ?

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    Sur Homelies.fr :

    Evangile du jour : Jean chap. 10, vv. 22-30 

    On célébrait à Jérusalem l'anniversaire de la dédicace du Temple. C'était l'hiver. Jésus allait et venait dans le Temple, sous la colonnade de Salomon. Les Juifs se groupèrent autour de lui ; ils lui disaient : « Combien de temps vas-tu nous laisser dans le doute ? Si tu es le Messie, dis-le nous ouvertement ! » Jésus leur répondit : « Je vous l'ai dit, et vous ne croyez pas. Les oeuvres que je fais au nom de mon Père, voilà ce qui me rend témoignage. Mais vous ne croyez pas, parce que vous n'êtes pas de mes brebis. Mes brebis écoutent ma voix ; moi, je les connais, et elles me suivent. Je leur donne la vie éternelle : jamais elles ne périront, personne ne les arrachera de ma main.« Mon Père, qui me les a données, est plus grand que tout, et personne ne peut rien arracher de la main du Père. Le Père et moi, nous sommes UN. » 

    Homélie (Archive 2004)

    Nous sommes en hiver ; il fait froid. Jésus se réchauffe en marchant sous la colonnade tout en priant. Les juifs l’observent et profitent de ce (rare) moment où Notre-Seigneur n’est pas accaparé par la foule, pour se grouper autour de lui : « Combien de temps vas-tu nous laisser dans le doute ? » S’ils doutent, c’est donc qu’ils sont encore dans l’incertitude quant à l’identité du Seigneur. Pour eux les faits et gestes de Jésus ne suffisent pas pour conclure le discernement. Aussi se décident-ils à lui poser directement la question : « Si tu es le Messie, dis-le nous ouvertement ! » Cette interrogation traverse tout le quatrième évangile sans jamais recevoir de réponse clairement affirmative ou négative, car tout dépend du sens que l’on met derrière ce terme.

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  • Dimanche des vocations : le message du pape BenoîtXVI

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    MESSAGE DU SAINT-PÈRE POUR LA Le JOURNÉE MONDIALE DE PRIÈRE POUR LES VOCATIONS

    21 AVRIL 2013 – IVe DIMANCHE DE PÂQUES / Thème: Les vocations, signe de l’espérance fondée sur la foi (Source : Vatican.va)

    Chers frères et sœurs,

    En cette 50ème Journée Mondiale de Prière pour les Vocations, célébrée le 21 avril 2013, quatrième dimanche de Pâques, je voudrais vous inviter à réfléchir sur le thème: «Les vocations,signe de l’espérance fondée sur la foi», qui s’inscrit bien dans le contexte de l’Année de la Foi et dans le 50ème anniversaire de l’ouverture du Concile Œcuménique Vatican II. Le Serviteur de DieuPaul VI, pendant l’Assemblée conciliaire, institua cette Journée d’invocations unanimes adressées à Dieu le Père pour qu’il continue d’envoyer des ouvriers pour son Eglise (cf. Mt 9,38). «Le problème du nombre suffisant de prêtres – soulignait alors le Pontife – touche de près tous les fidèles: non seulement parce que l’avenir religieux de la société chrétienne en dépend, mais aussi parce que ce problème est le signe précis et indéniable de la vitalité de la foi et de l’amour des communautés paroissiales et diocésaines particulières, et le témoignage de la santé morale des familles chrétiennes. Là où l’on vit généreusement selon l’Evangile, là jaillissent de nombreuses vocations à l’état clérical et religieux» (Paul VI, Radio message, 11 avril 1964).

    Ces dernières décennies, les diverses communautés ecclésiales répandues dans le monde entier se sont retrouvées spirituellement unies chaque année, le quatrième dimanche de Pâques, pour implorer de Dieu le don de saintes vocations et pour proposer à nouveau à la réflexion de tous l’urgence de la réponse à l’appel divin. Ce rendez-vous annuel significatif a favorisé, en effet, un engagement fort pour mettre toujours plus au centre de la spiritualité, de l’action pastorale et de la prière des fidèles, l’importance des vocations au sacerdoce et à la vie consacrée.

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  • 21 avril : Dimanche des Vocations

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    Du Centre National des Vocations :

    Le Christ t’appelle à être source d’espérance

    Le prêtre, le diacre, le moine ou la moniale, le missionnaire ou le religieux apostolique sont des visages relativement bien connus dans l’Eglise. Mais il existe bien d’autres manières de vivre la grâce du baptême. A chaque époque, l’Esprit Saint suscite des réponses neuves aux questions des hommes.

    Après avoir mis à l’honneur la vocation à la sainteté de tous les baptisés (2009), du prêtre (2010), de la vie consacrée (2011) et du diaconat permanent (2012), le Centre national des vocations se penche cette année sur des vocations qui sortent parfois des sentiers battus mais n’en sont pas moins précieuses à l’Eglise : les vocations laïques. Signe de leur vitalité, une grande diversité les caractérise. Regroupés souvent dans des associations de fidèles, certains membres restent laïcs, d’autres deviennent des laïcs consacrés. Les uns habitent dans nos villes avec discrétion, les autres travaillent publiquement au service de leurs frères à l’annonce de l’Evangile. Certains groupes sont nés au début du XX° siècle, d’autres plus récemment. En solitude ou dans la vie communautaire, tous conjuguent vie spirituelle et engagement apostolique.

    En son message pour la 50ème Journée mondiale de prière pour les vocations, le pape Benoît XVI nous exhorte tous, quelle que soit notre vocation, à la prière pour « les vocations, signe de l’espérance fondée sur la foi… Dieu ne nous laisse jamais seuls… Dans le Seigneur ressuscité, nous avons la certitude de notre espérance… ».

    Quand le Christ appelle, il envoie. Que tous ceux qui l’entendent consentent à devenir signes d’espérance pour les hommes de ce temps !

    > Télécharger la brochure « Le Christ t'appelle à être source d'espérance »

    > Prière 2013 « Tu portes un regard d'amour »

    > Commander la brochure, l’affiche ou le signet de prière

     

    Voir aussi : http://blog.jeunes-cathos.fr/2013/04/prier-et-appeler-aux-vocations/

  • Un témoin du Christ, mort à 24 ans à Mauthausen

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    Fêté aujourdhui : le bienheureux Marcel Callo

    Marcel Callo, un jeune ouvrier de Rennes, avait 24 ans quand il est mort en camp de concentration à Mauthausen. Sa vie de foi, son amour du Seigneur, sa passion pour la vie et la dignité de ses frères, l'ont conduit au martyre.

    Source : Rubrique Prière inXL6

    Marcel Callo, un jeune ouvrier de Rennes, avait 24 ans quand il est mort en camp de concentration à Mauthausen.

    Sa vie de foi, son amour du Seigneur, sa passion pour la vie et la dignité de ses frères, l'ont conduit au martyre. Jugé « trop catholique », il sera arrêté par la Gestapo et déporté.
    Au milieu des combats de son temps, et de ses combats personnels, il s'est laissé façonner par la grâce, jusqu'à l'ultime témoignage.
    Avec lui, nous pouvons apprendre à faire de notre humanité, de nos énergies propres un lieu offert au Seigneur, jusqu'au bout, une vie offerte aux frères et exposée à l'amour.

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  • Horion-Hozémont, 12 mai : procession paroissiale

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    Affiche Procession 2013.JPG

  • Banneux, 1er mai : les diocèses de Liège et de Hasselt consacrés à Marie

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    Renouvellement de la consécration des diocèses de Liège et de Hasselt à Marie

    Le mercredi 1er mai, ouverture officielle de la saison des pèlerinages à Banneux, les évêques de Liège et de Hasselt renouvelleront la consécration de leurs diocèses à la Vierge des Pauvres

    Chaque année, le 1er mai marque l’ouverture officielle de la saison des pèlerinages à Banneux. Et pour cause : le mois de mai est celui de Marie et les pèlerins affluent en grand nombre. Cela n’empêche évidemment pas que le Sanctuaire de la Vierge des Pauvres reste accessible toute l’année, 365 jours sur 365. Car, la « belle dame » est là, chaque fois que nous nous rendons à la petite chapelle ou à la source.

    En 2013, le 1er mai est le jour où les évêques de Liège et de Hasselt nous donnent rendez-vous pour un moment intense et solennel : ensemble, ils renouvelleront la consécration de leurs diocèses à la Vierge des Pauvres.
    Au moment des apparitions, en 1933, le diocèse de Liège recouvre encore les provinces de Liège et de Hasselt. C’est d’ailleurs un Limbourgeois qui est le bon pasteur de ce troupeau où l’on parle les trois langues nationales, le flamand, le français et l’allemand. Après la reconnaissance officielle des huit apparitions, l’évêque a voulu consacrer son diocèse solennellement à Marie. Ce qui fut fait le 15 août 1953.

    Quel peut être le sens d’une telle consécration ?
    J’y vois d’abord l’expression d’une profonde gratitude : Marie a visité ce coin de terre à une époque d’énormes bouleversements politiques et sociaux. De grandes épreuves se dessinent –malheureusement– à l’horizon. Je viens soulager la souffrance promet-elle. Ceux qui se sont confiés à elle avec leur vie telle qu’elle est, ont pu faire l’expérience du secours maternel de Marie.


    La seconde guerre mondiale est passée par là et, après 1945, l’immense défi de la reconstruction et de la réconciliation a dû être relevé. Lorsque Mgr Kerkhofs décide de consacrer son diocèse à la Vierge des Pauvres, il sait que la dimension spirituelle ne peut pas être absente d’une telle aventure. Marie n’avait-elle pas affirmé que la source, réservée pour elle, était pour toutes les nations ?


    Après vingt ans, Banneux a fait ses preuves et l’évêque a bien compris que le ciel lui a fait un immense cadeau : il le reconnaît par cette consécration. Mais il souhaite surtout que toute l’Église qui est à Liège accueille joyeusement ce cadeau et trouve son secours auprès de Marie.


    Depuis le 31 mai 1967, le Limbourg est devenu un diocèse à part, réforme institutionnelle oblige, même à l’intérieur de l’Église de Belgique. Mais les habitants du Limbourg sont encore bien « chez eux » quand ils viennent à Banneux. C’est ainsi que les anciens mineurs de cette province ont gardé un merveilleux attachement à Notre-Dame : dans les heures tellement sombres de la fermeture de leurs mines, la Vierge des Pauvres a été un réel soutien pour eux. D’ailleurs quand le diocèse de Hasselt a fêté ses 40 ans d’existence, c’est à Banneux que l’évêque a donné rendez-vous à ses diocésains.


    Heureuse celle qui a cru ! est-il dit de Marie dans les évangiles. L’Année de la Foi voulue par le pape émérite Benoît XVI pour 2013 ne se prête-t-elle pas parfaitement à un renouvellement solennel de la consécration des deux diocèses à la Vierge des Pauvres ?

    Rendez-vous donc le 1er mai 2013 pour ce temps fort, tant pour les Limbourgeois que pour les Liégeois !


    Abbé Leo Palm, 
    Recteur du Sanctuaire de Banneux

    source : liege.diocese.be