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Belgique - Page 416

  • Belgique : des propos qui restent de saison

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    En septembre dernier, l'Echo ouvrait ses colonnes à un chercheur en science politique à l’UCL, Vincent Laborderie, un spécialiste de la manière dont les États peuvent devenir indépendants et des conditions de leur reconnaissance internationale. Selon lui, le scénario d’une scission de la Belgique était totalement irréaliste.

    Extraits :

    "Trois scénarii peuvent conduire à une indépendance. Dans le cas de la Belgique, on peut exclure d’emblée le conflit armé. Deuxième voie: une séparation à l’amiable, à la tchécoslovaque. Pour cela, il faut un accord entre Flamands et francophones. Or comment des responsables politiques qui n’arrivent pas à s’accorder sur la scission de BHV pourraient-ils le faire sur des sujets autrement plus épineux, comme le sort de Bruxelles, de sa périphérie ou la dette? La dernière possibilité pour la Flandre de devenir indépendante est une déclaration unilatérale. Autrement dit, une sécession sans consentement mutuel avec les francophones. Dans une telle situation, plusieurs membres de l’Union européenne, soucieux de leurs propres problèmes internes, s’opposeraient à une reconnaissance rapide. Pour l’économie flamande, ce serait une catastrophe. En fait, la séparation ne peut être que négociée. Et les dirigeants francophones ont donc la capacité de s’y opposer. Inutile donc de plier devant la supposée volonté séparatiste de la Flandre ou de la devancer.

    "Le cas tchécoslovaque est très particulier. D’abord parce que la séparation s’est faite à l’encontre de la volonté de la population des deux entités. Ce sont les partis politiques qui ont négocié la séparation entre eux. Cette séparation n’a du reste pas été très bénéfique aux échanges entre les deux entités qui ont été divisés par quatre par rapport à la situation unitaire. En Belgique, vu la forte interaction économique entre les trois Régions, une telle évolution des échanges serait catastrophique. Et puis, qu’est-ce que cela règle de se séparer? Flamands et francophones resteront voisins. C’est comme un couple qui divorce, mais qui devrait continuer à vivre sous le même toit. Il faudra toujours gérer la mobilité autour de Bruxelles, le survol de la ville, etc. Or il sera plus difficile de régler ces problèmes entre deux pays qu’à l’intérieur d’un seul pays."

    "En affirmant que la Wallonie et Bruxelles seraient économiquement viables, on commet la même erreur que le groupe de réflexion séparatiste "De Warande" à propos des transferts financiers. Une erreur qui consiste à raisonner avec des chiffres constants, toutes choses restant égales par ailleurs. Or qu’adviendra-t-il du PIB de la Flandre privée de Bruxelles? Où en sera l’attractivité de Bruxelles privée de son rôle de capitale? C’est plus compliqué que de raisonner dans le cadre d’un simple jeu à somme nulle. La Belgique représente une valeur ajoutée en soi. Et en coupant le pays en deux, on tue la poule aux œufs d’or qu’est Bruxelles. L’ampleur des transferts entre la Flandre et les deux autres Régions (6 milliards d’euros, NDLR.) est du reste présentée de façon exagérée. Le volume de ces transferts est très inférieur à ceux qui ont lieu entre le Nord et le Sud de l’Italie par exemple. Pour gagner 3% de revenu disponible en supprimant les transferts, la Flandre risquerait de perdre 15 à 20% de sa prospérité en raison des liens coupés avec Bruxelles. Ni les Flamands ni les francophones ne conçoivent leur avenir sans Bruxelles. Impossible dans ces conditions de concevoir un éclatement de la Belgique."
  • Concert de rentrée en septembre : la Société Littéraire de Liège promeut le chant grégorien

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    0005510ae.jpgLa Société Littéraire de Liège, fondée en 1779 par le prince-évêque François-Charles de Velbrück, demeure très active encore de nos jours et, à l’instar du Cercle Gaulois à Bruxelles, propose régulièrement à ses membres des activités et des rencontres culturelles dans la Cité ardente.

    Sous le titre « Mille ans d’histoire de la musique occidentale », elle organise le jeudi 15 septembre prochain à 20h, en l’église du Saint-Sacrement (XVIIIe s.), Boulevard d’Avroy, 132 à Liège (photo), un concert de chants  grégoriens interprétés par le quatuor vocal féminin Caliomène (direction Inès Gonzalès), issu du prestigieux chœur grégorien de Paris.

    Ce concert privé comporte un certain nombre de places disponibles pour le public, au prix de 10 € , à verser au compte IBAN BE58 0003 2522 9579  BIC BPOTBEB1 de l’asbl « Sursum Corda » à Liège, en mentionnant « concert 15/09 » et un n° de téléphone.

    Réservation obligatoire par email gregorien.liege@gmail.com ou par téléphone : 0472.60.69.59.

  • Une fête "nationale" de mauvais aloi

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    Aurons-nous la faiblesse de souhaiter à nos concitoyens flamands une "bonne fête" en ce 11 juillet? Cela ne reviendrait-il pas à cautionner une falsification de l'histoire et une dénaturation d'un fait historique aux fins d'entretenir des sentiments d'hostilité à l'égard des francophones de notre pays?

    Rappelons que la bataille des Eperons d'Or ne fut pas le fait de populations flamandes contre une domination francophone (la Flandre de l'époque incluait alors des territoires d'expression française, et cette victoire ne fut remportée que grâce à la participation d'alliés tels que le comté de Namur), mais aussi que ce fait historique fut transformé par la suite en mythe nationaliste par des gens qui l'ont exploité contre la Belgique.

    A l'heure que nous vivons, cette célébration prend une dimension inquiétante, pimentée par des déclarations irresponsables et les rodomontades insupportables de tribuns nationalistes qui se complaisent à enfoncer notre pays dans une crise dont il risque de ne pas sortir...

    Tant il est vrai que si "le patriotisme est l'amour des siens, le nationalisme est la haine des autres".

    Voir aussi : http://www.rtbf.be/info/belgique/detail_le-11-juillet-1302-une-victoire-belge-devenue-mythe-flamand?id=6424733

  • Les monastères et la démocratie : Chantal Delsol et Léo Moulin

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    Chantal Delsol rendit, l'an dernier, un hommage à Léo Moulin, grand sociologue, fin connaisseur du fait religieux :

    "On connaît peu l’histoire politique des monastères européens, pourtant riche de significations. N’étant pas historienne, je voudrais vous proposer une réflexion sur ces significations, à partir des travaux de l’historien Léo Moulin, qui s’est intéressé particulièrement à ces questions. Ce qui me permet pour commencer d’adresser un bref hommage à un homme hors du commun, qui a beaucoup fait pour l’Europe et pour la culture européenne.

    Né en 1906 dans une région ouvrière de la Belgique, Léo Moulin a été élevé dans un milieu d’athées militants, socialistes, et adeptes de la libre pensée. Son esprit curieux et honnête va prendre le « libre examen » à la lettre, si bien qu’il va se défaire peu à peu de toutes ses croyances antérieures, d’abord en lisant la Somme contre les gentils dans la prison italienne où son anti-fascisme l’a enfermé pour 13 mois, puis en découvrant la réalité du communisme et la pensée chrétienne de son temps. En 1942, ayant accompagné un ancien élève dans un monastère bénédictin (par curiosité toujours, il n’avait jamais pénétré dans ce genre de lieu), comme on doit y rester silencieux, il réclame des livres et le supérieur lui propose une histoire de la Règle de l’ordre. Il est stupéfait. Il était sûr de tomber sur l’autocratie absolue et arbitraire –perinde ac cadaver- et il découvre le règne du droit. Il s’extasie, creuse, fouille, devient spécialiste de l’histoire politique des ordres religieux. Grand européen, l’un des fondateurs du Collège de Bruges, il est persuadé que l’esprit de l’Europe prend sa source dans la liberté et que la liberté politique moderne prend sa source dans les monastères catholiques."

    Voir la suite sur le blog de Chantal Delsol : http://www.chantaldelsol.fr/monasteres-et-democratie/

  • La France s’inquiète d’une possible scission de la Belgique

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    v-bart.jpgSur son blog, Jean Quatremer, correspondant du journal Libération auprès de l’Union européenne,  a écrit ce vendredi 8 juillet :

    « Deux députés français, Robert Lecou, élu UMP de l’Hérault, et Jean-Pierre Kucheida, élu PS du Pas-de-Calais, étaient en Belgique, hier et aujourd’hui, pour préparer un rapport parlementaire sur la crise belge qui devrait être publié à la rentrée. Le hasard faisant bien les choses, ils ont débarqué dans le Royaume au moment où Bart De Wever le précipitait dans l’abime.

    Ils ont rencontré politiques et journalistes (belges et français, dont moi-même) afin de se faire une idée de la gravité de la crise. Les deux parlementaires étaient manifestement effarés de découvrir l’ampleur du fossé séparant les Francophones des Néerlandophones. Ils ont notamment posé beaucoup de questions sur les scénarios qui pourraient mener à un éclatement du pays et sur un éventuel rattachement de la Wallonie à la France… En juillet 2010, déjà, le quai d’Orsay avait lancé une réflexion sur le sujet afin de ne pas être pris par surprise si le pire arrivait. On peut comprendre l’angoisse, tardive, des autorités françaises, puisque, c’est la première fois depuis la Seconde Guerre mondiale, qu’une telle instabilité menace directement ses frontières, instabilité qui pourrait créer de graves tensions entre les « puissances européennes ».

    « Puissances européennes », un langage du XIXe siècle tout à fait adapté, car c’est tout le modèle européen qui prend l’eau en ce moment : une Belgique, modèle de cohabitation entre communautés, qui prend le gite, une zone euro attaquée par les marchés faute de vouloir franchir le pas fédéral, une Allemagne tentée par le Sonderweg (le chemin solitaire)… Autant de crises qui ont un point commun : le refus de la solidarité entre riches et pauvres, la certitude que seuls on s’en sort mieux, le rejet de l’autre. On sait où cela a mené l'Europe dans le passé. »

    Coulisses de Bruxelles, UE

  • Belgique : "tout royaume divisé contre lui-même court à la ruine"

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    Le 6 avril dernier, nous mettions en ligne la note reproduite ci-dessous. Aujourd'hui, ces réflexions paraissent encore plus de saison. Les stratégies partisanes l'emportent sur la recherche désintéressée du bien commun, le pays dût-il en périr. Le "gros vin" du nationalisme a saoulé des politiciens forts d'un électorat dévoyé par leurs slogans sans nuances. On désespère de voir ces gens revenir à la raison et notre pauvre roi est dépourvu de moyens constitutionnels pour mettre fin à cette crise; plus que jamais, il aurait besoin de ces prières que l'on récitait à son intention, après la messe. Là aussi, on  peut se poser la question de savoir quels clercs mal avisés ont décrété que ces prières étaient superflues et les ont bannies de nos églises...

    "Tout royaume divisé contre lui-même court à la ruine; et nulle ville nulle maison divisée contre elle-même ne saurait se maintenir.» (Mt. 2, 25)

    Voilà un verset que notre classe politique devrait méditer. Certains nous promettent des mois de prolongation de cette crise gouvernementale sans être sûrs que la perspective d'une solution soit en vue.(...)

    Force est de constater que la population ne semble guère s'en soucier et s'habitue à être gouvernée par un gouvernement de transition qui a au moins le mérite de gérer des affaires vitales pour elle sans perdre son temps dans les provocations linguistiques et la vaine recherche de réformes introuvables.

    Quand comprendra-t-on qu'il est vain de poursuivre l'exploration sans fin d'impasses sans issues et que c'est dans la recherche de solidarité et d'harmonie entre les provinces de notre pays que des solutions pourraient apparaître?

    La logique de la réciprocité négative dans laquelle nous sommes embarqués ne peut rien apporter de bon mais encore faudrait-il que l'on ait vraiment affaire à des hommes de bonne volonté décidés à oeuvrer pour le bien commun. Ce dont on finit par désespérer..."

  • Le cardinal Laurent Monsengwo interpelle le peuple congolais

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    monsengwo_10_01.jpgImaginons un instant que, mutatis mutandis (le contexte est différent, mais les enjeux moraux pas moins graves), le Primat de Belgique ose adresser au peuple belge, à l’occasion de la fête nationale du 21 juillet, un message du type de celui par lequel le cardinal Monsengwo vient d’interpeller la nation congolaise le 30 juin dernier, lors de la célébration  de l’anniversaire de l’indépendance de notre ancienne colonie…

    Voici l’admonestation de l’archevêque de Kinshasa, rapportée par l’agence Zenit :

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  • 81e Grandes Conférences "catholiques"

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    L’agence « cathobel » vient de l’annoncer : « le programme de la saison 2011-2012 des prochaines Grandes Conférences Catholiques est quasiment bouclé. Marguerite Barankitsé lancera cette 81e édition. Six conférenciers ont déjà confirmé leur participation. Il reste encore un septième rendez-vous à organiser. Le programme définitif sera prêt pour la fin du mois d’août. Comme l’an passé, les conférences auront lieu au « Square Brussels » (Palais des Congrès) et commenceront à 20h30. Pour cette nouvelle saison, vous pourrez y entendre:

    Marguerite Barankitse, Fondatrice de la « Maison Shalom », en dialogue avec Edmond Blattchen, journaliste.  (le 24 octobre)

    Frédéric Lenoir, philosophe, sociologue et historien des religions. (le 15 novembre)

    Peter de Caluwe (Directeur général du Théâtre Royal de la Monnaie), Paul Dujardin (Directeur général du Palais des Beaux-Arts) et Michel Draguet (Directeur général des Musées Royaux de Belgique) en dialogue avec Jacques De Decker (Secrétaire perpétuel de l’Académie royale de langue et littérature française de Belgique). (le 28 novembre).

    Eric-Emmanuel Schmitt, écrivain. (le 15 décembre)

    Alain Duhamel, journaliste, éditorialiste et chroniqueur politique français. (le 9 février)

    Edgar Morin, philosophe et sociologue. (date à déterminer) ».

    « Une tribune riche et variée » estime cathobel. Certes. Et catholique ? Sans doute, ici ou là,  ma non troppo et surtout pas affichée. Bref, dans la ligne du pluralisme ambiant, mais, ma chère, n'est-ce pas cela, être catholique aujourd'hui ?

  • Abus sexuels: les modifications législatives recommandées par la commission Lalieux bientôt traduites en propositions de loi

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    parlement.jpgLu sur Catho.be : « Après la désignation des experts en vue de la mise en place d’un tribunal arbitral pour lequel l’Église catholique a accepté de coopérer, la Chambre des Représentants devrait voter rapidement quelques-unes des recommandations de la Commission Lalieux.

    Le 7 avril dernier, la Chambre des Représentants votait à l’unanimité (moins une voix) le rapport de la « Commission spéciale relative au traitement d’abus sexuels et de faits de pédophilie dans une relation d’autorité, en particulier au sein de l’Église ». Outre l’instauration d’un tribunal arbitral, les membres de cette commission faisaient part de 70 recommandations afin d’aménager notre droit civil et pénal et d’améliorer le fonctionnement de la justice et de la prévention en matière de pédophilie.

    Bon nombre de ces recommandations, les plus urgentes, devraient rapidement être traduites en proposition de loi et même adoptées avant le 21 juillet, rapporte La Libre Belgique.

    Elles ont été regroupées dans un texte unique. Parmi les changements à venir figurent l’allongement du délai de prescription à 15 ans (au lieu de 10 actuellement) après la majorité de la victime, ainsi que l’enregistrement systématique des auditions de mineurs (dans des pièces adaptées au sein des commissariats) afin d’éviter que les victimes soient obligées de répéter plusieurs fois leur douloureux récit. La nouvelle loi devrait également étendre la levée du secret professionnel, notamment en l’étendant aux infractions révélées par l’auteur de faits et non plus seulement par la victime, et le champ d’incrimination de la pédopornographie à la consultation des sites. Les députés devraient également étendre la possibilité de mise à disposition du gouvernement et du tribunal d’application des peines pour les peines accessoires, et faciliter la « déclaration de personne lésée » afin de permettre à plus de victimes d’être tenues informées des suites données à leur plainte.

    P.G. »

    S’agissant d’étendre la levée du secret professionnel, rappelons que la Commission Lalieux n’a apparemment pas formulé de proposition incompatible avec les dispositions canoniques relatives au secret de la confession.

  • L’autre Credo d’Eric de Beukelaer

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    9782873564957.jpgLe 24 septembre prochain, l’abbé Eric de Beukelaer, ancien porte-parole de l’épiscopat belge, sera installé comme nouveau doyen de Liège Rive Gauche et curé de l’unité pastorale Saint-Lambert-au-Cœur-de-Liège. Mettant aussi un terme au « silence sabbatique » qu’il a observé depuis la fin de son précédent mandat, il vient aussi de publier son « Credo politique » aux éditions « Fidélité ». Le journaliste Christian Laporte l’a interviewé à ce propos pour la « Labre Belgique ». Extraits choisis :

    Un prêtre qui veut parler de politique, cela sent le soufre. Pourquoi cette démarche ?

    (…) S’il est normal de ne pas m’embarquer dans les discussions partisanes, j’ai le droit comme théologien ou philosophe de participer au débat sur la gestion de la "polis", de la Cité.

    (…) En fait, la civilisation des droits de l’homme postule une adhésion à un étalon qui aille au-delà des contingences historiques.

    (…) Il est temps, je pense, de relancer la machine, de conclure un nouveau contrat social qui ne repose pas que sur l’économique, loin s’en faut.

    Vous rendez par contre un hommage surprenant aux hommes politiques…

    Plutôt à la fonction politique On entend trop dire le refrain que ce sont tous des pourris alors qu’il peut, qu’il doit s’agir d’un art noble

     Mais les hommes politiques sont disqualifiés ces temps-ci, aussi chez nous.

    (…) On a les élus qu’on mérite. Si l’on n’est plus content de ses élus, on peut les changer (…) il faut continuer à prendre la politique au sérieux et se réjouir qu’il y ait des marches citoyennes et des citoyens toujours prêts à s’engager.

    Les croyants comme les autres ? L’on dit ci et là que la foi doit être réservée à la sphère privée…

    (…) Les religions et les convictions appartiennent au domaine de l’intériorité mais pas à celui du privé (…) Mais la démarche spirituelle n’est pas du même ordre que celle qui prévaut dans l’arène politique où cohabitent des citoyens de toutes convictions. Chacun doit pouvoir s’y faire entendre

    Une question sur votre avenir : vous allez devenir le coordinateur de l’unité pastorale de Liège-centre. Une rampe de lancement vers le siège de l’évêque de Liège qui va devenir vacant dans plus d’un an…

    Bien que né à Anvers, je suis très heureux de mon retour à Liège où j’habitais depuis plus de vingt-cinq ans. De là à devenir à terme l’évêque J’ai une personnalité qui aime aller jusqu’au bout et j’ai de l’ambition pour ce que je suis, mais certainement pas carriériste (…).

    L’interview complète ici : Le prêtre qui parle politique

    Le"Credo politique" d’Eric de Beukelaer est paru chez Fidélité/Avant-Propos. A noter aussi la sortie d’une nouvelle édition de "Quand l’Eglise perd son âme" chez les mêmes éditeurs.

  • Archidiocèse de Malines-Bruxelles : procession, consécration au Sacré-Cœur de Jésus, fête des familles...

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    Monseigneur Léonard n’est décidément pas un adepte de la « pastorale de l’enfouissement ». Dimanche dernier, 26 juin 2011, il a conduit la Procession de la Fête-Dieu dans les rues du centre de Bruxelles. Ce vendredi 1er juillet à 19h, il célébrait la solennité du Sacré-Cœur de Jésus dans la Basilique de Koekelberg et  il y renouvelait la consécration de son archidiocèse au Cœur de Jésus.

    A son initiative aussi, sera organisée le dimanche 4 septembre prochain, dans cette même Basilique nationale du Sacré-Coeur  une fête des familles, ouverte à tous.. Au programme : conférence, messe, bénédiction des couples et renouvellement des engagements conjugaux (voir affiche) ci-dessous. Cette journée aura son équivalent néerlandophone le 28 août en la Basilique de Scherpenheuvel.

    fete_des_familles_03b_bl_flyer_ac-63cdb.jpg

  • Liège : messe pour les 60 ans de prêtrise de Benoît XVI

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     EGLISE DU SAINT-SACREMENT
    Boulevard d’Avroy, 132 à Liège

    (face à la statue de Charlemagne)

     

    Messe en l’honneur du Saint-Père Benoît XVI

    à l’occasion de ses soixante ans de vie sacerdotale

     

    untitled st pierre et paul.jpg

    Saints Pierre et Paul (F. Lippi)

     

     

    DIMANCHE 3 JUILLET 2011 À 10 HEURES

    Solennité de la Fête des Saints Pierre et Paul

    MESSE DU PREMIER DIMANCHE DU MOIS

    Grégorien et Polyphonie

     

     

    Missel de 1962

     

    Propre grégorien de la messe «Nunc scio vere»

    Kyriale IV « Cunctipotens genitor Deus» (Xe s.), Credo IV (XVe siècle)

    Motet « Oremus pro Pontifice »

     

     

    PAR LA SCHOLA DU SAINT-SACREMENT

     

    AUX ORGUES, PATRICK WILWERTH

    Professeur au conservatoire de Verviers

     

    Livrets à votre disposition sur la table au fond de l’église pour suivre la messe

     

    < Association pour la sauvegarde de l’église du Saint-Sacrement au Boulevard d’Avroy, 132 à Liège. Siège social : Rue Vinâve d’île, 20 bte 64.

    Compte IBAN BE58 0003 2522 9579  BIC BPOTBEB1
    E-mail : sursumcorda@skynet.be. / Site web : http://eglisedusaintsacrementliege.hautetfort.com