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Famille - Page 135

  • France : mobilisation silencieuse dans la prière contre le "mariage pour tous"

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  • L'ONU intoxiquée par des statistiques faussées

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    Friday-Fax-Header-French.jpgAnalyse: Des statistiques faussées aux fondements des politiques onusiennes

    NEW YORK, 15 mars (C-FAM) Alors que négociations de la 57ème Commission sur la Condition de la femme (Csw) s'intensifiaient, certaines données statistiques sur la violence à l'égard des femmes faisaient leur apparition dans les salles de conférence et étaient répétées par les médias. Ces données ont été par le passé l'instrument de la promotion de l'avortement. Pourtant, elles trahissent une mauvaise interprétation des faits. Leur auteur, une militante de l'IVG, fait partie de la délégation des États Unis à la CSW.

    L'AFP rapportait le 5 mars, au deuxième jour de la commission, que la CSW avait beaucoup parlé d'un rapport de la Banque mondiale, selon lequel le nombre de femmes entre 15 et 44 ans décédant de mort violentes serait supérieur au nombre de décès résultant des effets cumulés de la malaria, du VIH, du cancer, d'accidents et de la guerre". Cette statistique a été utilisée par de nombreuses agences de l'ONU et apparaît dans la liste des ressources officielles de l'Onu mises à disposition des intervenants.  Le 13 mars, elle était citée dans un édito du New York Times  qui critiquait le Saint Siège et ses alliés pour leur barrage contre l'appel de la CSW en faveur de l'accès des femmes à l'avortement dans le monde entier.

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  • Nouvelles tensions à l'ONU autour de l'IVG et de la santé sexuelle et reproductive

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    Friday-Fax-Header-French.jpgNégociations onusiennes à nouveau bloquées par la question de l’IVG

    NEW YORK, 15 mars (C-FAM) Les derniers tours de forces des ambassadeurs et hauts fonctionnaires internationaux se sont soldés par de nouveaux échecs ce jeudi. Aucun accord n’a pu être conclu sur les politiques visant à venir à bout de la violence à l’égard des femmes. Et pour cause: les puissants Etats occidentaux cherchent à se dégager des accords plus anciens, qui ne reconnaissent pas l’existence d’un droit à l’avortement.

    Après quatre semaines d’intenses pourparlers, les ambassadeurs ont du jouer les prolongations au soir du dernier jour de la session. Les Etats-Unis et les Etats européens ont fait monter les enchères de l’édition 2013 de la Commission de l’ONU sur la condition de la femme. Rassembler 45 Etats membres pour élaborer des politiques protégeant les femmes rend les accords difficiles à atteindre.

    Avant vendredi matin, le dernier jour de la commission, les Etats membres sont finalement parvenus à s’entendre sur l’exclusion des “services de santé sexuelle et reproductive” de l’accord final. Ce terme est généralement associé aux traitements qui provoquent une IVG.

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  • BXL, 19 mars : grand meeting de la Manif pour Tous

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    manif pour tous Bruxelles tract.jpg

    cliquer sur l'image pour accéder au site officiel

    Une soirée avec des porte parole du collectif LMPT et des intervenants européens pour comprendre les enjeux de la mobilisation en France contre la loi du "mariage et adoption pour tous", et avoir un regard croisé sur l'impact des différentes législations déjà votées dans d'autres pays d'Europe.

    Intervenants :
    • Frigide Barjot, porte parole de La Manif Pour Tous
    • Xavier Bongibault, président de l'association "Plus gay sans mariage" et porte parole de La Manif Pour Tous
    • Bobby Lopez, citoyen américain, élevé par un couple de lesbiennes, ayant pris position contre la loi du "mariage et l'adoption pour tous".
    • Maria Hildingsson, secrétaire générale de la FAFCE
    • Michel Ghins, président de l'association "Action Pour La Famille" 
    Entrée libre, une participation aux frais vous sera proposée sur place. 

    Les places sont limitées. Pour être sûr de pouvoir entrer, veuillez remplir le formulaire. 
  • Tous nos amis français seront à Paris le 24 mars

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  • Benoît XVI, défenseur des (vrais) droits de la femme

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    Lors d'une exhortation pronononcée à Luanda (en mars 2009), Benoît XVI a appelé à un examen de conscience à propos des droits de la femme (ZENIT.org)

    ... Le pape a surtout appelé à une « réelle prise de conscience des conditions défavorables auxquelles ont été - et continuent d'être - soumises de nombreuses femmes, en examinant dans quelle mesure la conduite des hommes, leur manque de sensibilité ou de responsabilité peuvent en être la cause ».

    « Il faut reconnaître, affirmer et défendre l'égale dignité de l'homme et de la femme : tous les deux sont des personnes, à la différence de tout autre être vivant dans le monde autour d'eux », a souligné le pape après avoir commenté le récit de biblique de la création de la femme et un passage de Mulieris dignitatem.

    « Tous les deux sont appelés à vivre en profonde communion, dans une reconnaissance mutuelle et un don de soi réciproque, travaillant ensemble pour le bien commun avec les caractéristiques complémentaires de ce qui est masculin et de ce qui est féminin », a ajouté le pape.

    Il en a souligné l'urgence aujourd'hui en disant : « Dans une civilisation comme la nôtre, dominée par la technique, on ressent le besoin de cette complémentarité de la femme, afin que l'être humain puisse y vivre sans se déshumaniser complètement. Il suffit de penser aux terres où règne la pauvreté, aux régions dévastées par la guerre, à de nombreuses situations dramatiques découlant des migrations forcées ou non... Ce sont presque toujours les femmes qui y maintiennent intacte la dignité humaine, défendent la famille et sauvegardent les valeurs culturelles et religieuses ».

    Plus encore, le pape a fait cette observation à propos de la façon de faire l'histoire : « L'histoire mentionne presque exclusivement les conquêtes des hommes, alors qu'en réalité une part très importante est due à des actions déterminantes, persévérantes et utiles accomplies par des femmes ». Le pape a ainsi tenu à évoquer une mère de famille morte en 2004, Teresa Gomes, et Maria Bonino, un médecin italien, dont il a raconté brièvement la vie.

    « Aujourd'hui, a renchéri le pape, personne ne devrait plus douter du fait que les femmes, sur la base de leur égale dignité avec les hommes, ont « tout à fait le droit de jouer un rôle actif dans tous les secteurs de la vie publique, et leur droit doit être affirmé et défendu, y compris par des instruments juridiques lorsque cela se révèle nécessaire. La reconnaissance du rôle public des femmes ne doit pas diminuer pour autant leur rôle irremplaçable à l'intérieur de la famille : leur contribution au bien et au progrès de la société a là une valeur réellement inestimable, même si elle est peu considérée » (Message pour la Journée Mondiale de la Paix 1995, n. 9) ».

    Benoît XVI a aussi souligné que « la présence maternelle dans la famille » est très « importante pour la stabilité et la croissance de cette cellule fondamentale de la société » et demande qu'elle soit « reconnue, louée et soutenue par tous les moyens possibles » et que les maris et les pères assument par conséquent « leurs responsabilités à l'égard de leur propre famille ».

  • Le patriarcat orthodoxe de Moscou réagit aux nouvelles lois anglaise et française concernant la famille

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    Déclaration du Service de communication du DREE (Département des Affaires Ecclésiastiques Extérieures du Patriarcat de Moscou) sur les dernières modifications de la législation familiale en France et en Grande-Bretagne :

    Le processus de légalisation des unions homosexuelles se poursuit en Europe. Des projets de loi allant dans ce sens ont récemment été approuvés par les chambres basses des parlements français et britannique. Ceci se déroule non seulement contre l’opinion d’une partie des députés, mais sur fond de manifestations de protestation massives de la part des citoyens.

    Ces décisions prises dans le domaine législatif témoignent du bouleversement qui se produit dans la conception du mariage en tant que tel au sein des sociétés européennes. La reconnaissance juridique des unions homosexuelles et leur assimilation au mariage est une révolution dans la sphère des normes législatives régulant les relations familiales, y compris celles concernant l’imposition fiscale, l’instruction, la santé, l’éducation des enfants, etc.

    La légalisation des unions homosexuelles est une étape dans le processus qui consiste à donner un sens entièrement nouveau au mariage et à la famille, diamétralement opposé à la conception chrétienne. A l’origine, ce processus est à mettre en relation avec la complaisance envers l’individualisme et l’hédonisme au niveau de la société, de l’état et, en définitive, de toute l’humanité.

    Dans les pays s’étant engagés dans une révision radicale de l’éthique familiale traditionnelle, ce processus a entraîné une crise démographique gravissime empirant d’année en année. La révision des normes fondamentales du droit familial, dont a vécu la communauté humaine durant des siècles et qui figurent toujours dans le code moral des principales religieux mondiales, conduit à l’auto-liquidation de peuples entiers.

    En ce sens, la norme législative permettant aux couples homosexuels d’adopter et d’élever des enfants paraît particulièrement dangereuse. Il va de soi que ces enfants envisageront les parents, la famille, les valeurs morales et civiques d’une façon très différente de la conception traditionnelle. Ceci favorisera une érosion toujours plus grande des différences entre les sexes et, dans l’avenir, le rejet de l’image de la femme comme mère, épouse et gardienne du foyer dans la conscience populaire. Le renoncement définitif à une représentation selon laquelle l’homme et la femme ont leur vocation propre et se complètent mutuellement dans la vie familiale risque d’avoir des conséquences destructives pour l’homme et pour la société.

    L’Église orthodoxe russe maintient et défend la conception chrétienne originelle du mariage et de la famille, bénit les unions conjugales par un Sacrement et affirme l’importance du mariage pour la prospérité et le développement de la société en général.

    Notre Église exprime sa solidarité avec les chrétiens, les adhérents d’autres religions ainsi que les personnes défendant une idéologie athée qui restent fidèles à la conception traditionnelle du mariage comme union d’un homme et d’une femme et s’élèvent contre toute autre représentation du mariage imposée à toute la société – par une réforme juridique radicale – n’ayant aucun précédent dans l’histoire de l’humanité.

    Comprenant le danger de ces processus, nous estimons qu’il est important de développer le dialogue avec toutes les forces civiles, religieuses ou areligieuses, défendant les représentations traditionnelles des valeurs familiales. Ce critère est l’un des plus importants dans le choix que fait l’Église orthodoxe russe de ses partenaires dans le dialogue interchrétien et interreligieux.

  • 700.000 pétitionnaires français envoyés sur les roses (mise à jour 27.2)

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    "Le Conseil économique, social et environnemental (CESE) a jugé mardi 26 février irrecevable sur le fond la pétition des opposants au texte de loi légalisant le mariage et l'adoption pour les homosexuels, rassemblés dans le collectif La Manif pour tous, qui souhaitaient l'ouverture d'un débat au sein de cette instance."

    Tout l'article est ici : http://www.lemonde.fr/societe/article/2013/02/26/la-petition-des-anti-mariage-gay-jugee-irrecevable_1839173_3224.html#xtor=RSS-3208

    Mais, quand on apprend que le président du CESE a contacté le premier ministre pour savoir que faire de cette pétition, on ne s'étonne plus...http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2013/02/27/01016-20130227ARTFIG00474-mariage-gay-quand-le-cese-sollicitait-l-avis-de-matignon.php

  • La mort d'une pionnière de la méthode naturelle de régulation des naissances

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    COMMUNIQUÉ DE PRESSE de la WOOMB (16 février 2013)

    Le Dr Evelyn Billings, pionnière de renommée mondiale de la régulation naturelle de la fertilité, est décédée, à l’âge de 95 ans, des suites d’une brève maladie.

    C'est le cœur plein de tristesse que nous vous annonçons aujourd'hui le retour à Dieu en ce 16 février 2013 de notre bien-aimée fondatrice, le Dr Evelyn Livingston Billings, à l’âge de 95 ans, des suites d’une brève maladie. Le Dr Evelyn Billings était membre de l’Ordre de l’Australie, dame commandeur de l’ordre de Saint Grégoire le Grand, docteur en médecine diplômée de l’université de Melbourne, docteur Honoris Causa de l’université de Londres.

    Le Dr Lyn, comme nous l’appelions tous, fonda avec son époux, le Dr John Billings, la méthode de régulation naturelle de la fertilité qui porte leur nom. Les études qu’elle fit sur les mères qui allaitent et les femmes à l’approche de la ménopause, y contribuèrent de manière significative. Ensemble, pendant plus d’un demi-siècle, ils parcoururent le monde pour enseigner et promouvoir leur méthode dans la fidélité à l’appel du pape Paul VI demandant « aux hommes et femmes de sciences et aux médecins d’être obéissants à l’appel du Seigneur et d’agir comme des interprètes fidèles de Son plan ».

    En 1980, le Dr Lyn Billings publia son best-seller, La méthode Billings. Ce livre a été réimprimé 16 fois dont 7 nouvelles éditions revues et corrigées. La dernière édition complètement revue date de 2011. L'accès à ce livre, publié dans 22 langues, a rendu très populaire le nom de la méthode Billings et a donné espoir à des millions de couples dans le monde entier.

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  • Lunch-débat à l’Université de Liège, le mercredi 27 février 2013 à 18 heures : « Les droits de l’homme et la famille » »

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    014.JPGLe Groupe « Ethique sociale » et l’Union des Etudiants catholiques de Liège organisent cette année un cycle de sept rencontres à l’Université de Liège, sur le thème « Les droits de l’homme en péril : dialogue entre religions et philosophies non confessionnelles ».

    Le mercredi 27 février 2013 à 18 heures, c’est Michel GHINS qui occupera la tribune en traitant le sujet suivant : « Les droits de l’homme et la famille » : les droits de l'homme sont aujourd'hui invoqués pour modifier la notion traditionnelle de la famille : "droits reproductifs", mariage homosexuel, adoption par des couples homosexuels, gestation pour autrui... Doit-on considérer que ces applications nouvelles entrent dans la cohérence des droits de l'homme ou que, au contraire, elles les dénaturent?  Des enjeux et un débat d’une actualité brûlante.

    La rencontre a lieu à la Salle des Professeurs dans le bâtiment du Rectorat deimagesCA53EDLR.jpg l’Université de Liège, Place du 20 Août, 7, 1er étage (accès par l’entrée principale). Horaire : apéritif à 18h00 ; exposé suivi d’un lunch-débat : de 18h15 à 20h30.

     Inscription obligatoire par tél. 04.344.10.89 ou e-mail info@ethiquesociale.org . P.A.F. : 10 € , à régler sur place. 

    Professeur à l’Université Catholique de Louvain  (Institut Supérieur de  Philosophie), où il enseigne la philosophie des sciences et de la nature, Michel GHINS n’est pas seulement un brillant intellectuel, membre de plusieurs sociétés scientifiques internationales, mais un homme de terrain et de conviction et c’est à ce titre aussi qu’il préside l’association « Action pour la Famille  ». 

    Plus d’informations ici :  http://www.ethiquesociale.org/Liège, 27 février : les droits de l'homme et la famille

     

  • L'importance de la famille mise en avant à l'ONU

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    headerLogo.jpgUn Comité de l’ONU veut renforcer le rôle de la famille dans le développement

    Par Stefano Gennarini, J.D. (C-Fam)

    NEW YORK, 22 février (C-FAM) La semaine dernière à l’ONU, la commission chargée de définir les politiques sociales a reconnu l’importance du rôle de la famille en tant qu’unité naturelle et fondamentale de la société, et rejeté les tentatives de certains pays occidentaux de redéfinir la famille.

    La Commission sur le développement social a conclu sa session annuelle par l’adoption d’une résolution, en anticipation de l’année internationale de la Famille de 2014, qui souligne l’importance de la famille pour le développement social.

    La résolution, proposée par le Qatar, invite les Etats membres et autres participants à « prendre des mesures concertées pour renforcer les politiques familiales dans leurs programmes, comme parties prenantes d’une approche complète du développement. »

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  • Une annonce de dernière minute : conférence de Philippe Arino ce vendredi 22 à l'UOPC (BXL)

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    Ce soir à l'UOPC : "homo et contre le mariage homo?"

    Conférence de Philippe Arino qui aura lieu aujourd'hui à 19h30 à la librairie UOPC
    Avenue Gustave Demey 14-16, Métro : Ligne 1A station Herrmann-Debroux. B-1160 Bruxelles, Bus, Tram : 34 - 41 - 42

    La soirée promet d'être animée !