Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Foi - Page 814

  • Personne n'est inutile dans l'Eglise

    IMPRIMER

    De François, lors de la dernière audience générale (mercredi 26) :

    ... L’Église n’est pas un enchevêtrement de choses et d’intérêts, mais elle est le temple de l’Esprit-Saint, le temple dans lequel Dieu agit, le temple dans lequel chacun de nous, par le don de l’Esprit-Saint, est une pierre vivante. Cela nous montre que personne n’est inutile dans l’Église, et s’il arrive que l’on dise à quelqu’un : « Rentre chez toi, tu es inutile », ce n’est pas vrai, parce que personne n’est inutile dans l’Église, nous sommes tous nécessaires pour construire ce temple ! Personne n’est secondaire. Personne n’est le plus important dans l’Église, nous sommes tous égaux aux yeux de Dieu. Vous pourriez dire : « Écoutez, sainteté, vous n’êtes pas notre égal ». Si, je suis comme chacun de vous, nous sommes tous égaux, nous sommes frères ! Personne n’est anonyme : nous formons et nous construisons tous l’Église. Mais cela nous invite aussi à réfléchir sur le fait que, s’il manque la pierre de notre vie chrétienne, il manque quelque chose à la beauté de l’Église. Certains diront : « Moi, je n’ai rien à voir avec l’Église », mais ainsi il manque la pierre d’une vie, dans ce beau temple. Personne ne peut s’en aller, nous devons tous apporter notre vie à l’Église, apporter notre cœur, notre amour, nos pensées, notre travail, tous ensemble. ...

  • François : c'est dans la paternité que l'homme s'accomplit

    IMPRIMER

    (Zenit.org) - « Pour devenir complets, matures », les hommes doivent « sentir la joie de la paternité », déclare le pape Français. Les « célibataires » aussi sont appelés à devenir « pères » car « la paternité c’est donner vie aux autres ».

    En ce sens, les prêtres sont appelés à « la paternité pastorale, la paternité spirituelle... à donner vie, devenir père ».

    Hier matin, 26 juin 2013, lors de la messe qu’il a célébrée en la chapelle de la Maison Sainte-Marthe, le pape a évoqué le « désir de paternité », inscrit au plus profond de chaque homme. Radio Vatican rapporte des extraits de son homélie.

    Un père qui défend ses enfants

    « Quand un homme n’a pas ce désir, il [lui] manque quelque chose. Quelque chose ne va pas » : « pour être, pour devenir complets, pour être matures », les hommes doivent « sentir la joie de la paternité ».

    Les « célibataires » ne sont pas en reste : « La paternité c’est donner vie aux autres, donner vie, donner vie… Pour nous, ce sera la paternité pastorale, la paternité spirituelle: mais c’est donner vie, devenir père ».

    Lire la suite

  • Pakistan : la situation inconfortable des chrétiens du Punjab

    IMPRIMER

    (Fides) Lahore – Tension interreligieuse à Rahim Yar Khan, petite ville du Punjab. Un épisode de conflit entre des chrétiens et des musulmans a provoqué des protestations de masse de la part des chrétiens et pourrait déboucher sur un recours à la violence ouverte à l’encontre de ceux-ci, notamment parce que certains voudraient le transformer en cas de blasphème. Ainsi que le raconte à l’Agence Fides le Père Gulshan Barkat, OMI, missionnaire pakistanais, « la situation demeure tendue et incertaine » dans le quartier de Bheel Nagar de Rahim Yar Khan, dénommé par les chrétiens Nazareth Colony, où vivent 250 familles chrétiennes, 70 hindoues et 200 familles musulmanes.

    Le 21 juin dernier, Sam, un enfant catholique de 8 ans, a été accusé par un musulman d’avoir insulté sa fille. Or des membres de la famille du musulman en question font partie du groupe extrémiste Sipah-e-Sahaba, interdit par le gouvernement pour terrorisme.

    Lire la suite

  • Le Colloque « Sacra Liturgia 2013 » s’est ouvert à l’Université de l’Opus Dei à Rome

    IMPRIMER

    MgrRey-ordinationsEloi-sortie-logo-7f397.jpgMgr Dominique Rey, évêque de Fréjus et Toulon, a inauguré hier ces assises en déclarant(extraits):

    " C’est une grande joie pour moi de vous accueillir dans cette université pontificale de la Sainte-Croix pour Sacra Liturgia 2013. Plus de 35 pays sont ici représentés. Bienvenue à tous ! (…)

    Il y a cinquante ans, en juin 1963, la première session du concile Vatican II se terminait. Au bienheureux Jean XXIII venait de succéder le vénérable Paul VI, qui a poursuivi les travaux du Concile. C’est Paul VI qui promulgua sa constitution sur la sainte liturgie « Sacrosanctum Concilium », le 4 décembre 1963, à la fin de la deuxième session du concile.

    Cinquante ans plus tard, nous devons relire « Sacrosanctum Concilium ». La réforme liturgique qui a suivi la promulgation de la constitution nous a beaucoup enrichis, en particulier dans sa promotion de la participation à la liturgie. Mais elle a aussi provoqué des controverses, tant par ses réformes officielles, que par sa traduction dans les langues vernaculaires, ou bien par ses mises en œuvre locales disparates.

    Nous devons reconnaître, comme l’a fait le Bienheureux Jean-Paul II, qu’il y eut à la fois des « lumières » et des « ombres » dans la vie liturgique de l’Eglise au cours des 50 dernières années (cf. Ecclesia de Eucharistia, n. 10). Nous devons nous réjouir des progrès légitimes qui ont été accomplis. Nous devons aussi tenir compte des leçons que nous enseignent les erreurs commises durant ces cinquante dernières années. C’est pourquoi nous devons reconsidérer la constitution liturgique et redécouvrir sa véritable signification. Peut-être devons-nous, à travers ce que le Cardinal Ratzinger a appelé une « réforme de la réforme », corriger certaines pratiques ou récupérer certains éléments que nous avons perdus. Peut-être que certains aspects nécessiteraient d’être travaillées selon la dynamique d’enrichissement mutuel que suggérait Benoît XVI.

    Par-dessus tout, nous devons promouvoir un authentique renouveau liturgique dans toute sa richesse et sa diversité catholiques. Nous devons promouvoir la liturgie telle que l’Eglise nous la donne, ce que les Pères et les Papes du Concile Vatican II ont désiré.

    Ce travail liturgique ne peut pas être laissé de côté comme s’il s’agissait d’une préoccupation marginale. La liturgie n’est pas une question périphérique pour l’Eglise. Comme le cardinal Ratzinger l’écrivait en 1997 : « la vraie célébration de la sainte Liturgie est le centre de tout renouvellement de l’Eglise. » Et comme « Sacrosanctum Concilium » nous l’enseigne, la sainte Liturgie est le « Culmen et fons », « la source et le sommet » de la vie et la mission de toute l’Eglise (cf. n. 10).

    Lire la suite

  • France : les ordinations sacerdotales 2013, toujours le marasme…

    IMPRIMER

    92 prêtres diocésains sont ou seront ordonnés cette année en France, dont 12 proviennent de communautés (Missions Etrangères : 5; Communauté de l’Emmanuel : 2; Chemin Néocatéchuménal : 5) ce qui ramène à 80 prêtres issus des séminaires Français (dont 6 pour Paris). 

    C’est moins bon que les deux dernières années mais mieux qu’en 2009-2010 :

    1966: 566 
    1975: 170 
    1977: 99 
    1996: 128 
    2000: 142 
    2005: 98 
    2006: 94 
    2007: 101 
    2008: 98 
    2009: 90 
    2010: 88 
    2011: 111 
    2012: 97

    Les congrégations religieuses ordonneront 38 prêtres (7 dominicains, 6 frères de la Congrégation Saint-Jean, 5 jésuites, 4 membres de la Communauté Saint-Martin)….. soit un total de 130 prêtres ordonnés cette année en France.

    Chez les traditionalistes :

    • L’ICRSP ordonnera 5 prêtres français cette année.
    • La FSSP ordonnera 3 français
    • La FSSPX ordonne 4 français cette année.

     86 séminaristes diocésains – qui deviendront prêtres l’an prochain – seront également ordonnés diacres en vue de la prêtrise.

    Source : 130 nouveaux prêtres français cette année .Et quid en Belgique, à part les cinq prêtres ordonnés à Bruxelles le 23 juin et les trois autres prévus pour le 30 juin à Namur ? JPS

     

  • Un martyr de la persécution anti-catholique au Mexique

    IMPRIMER

    Sur Zenit.org :

    jose_cropped.jpgLe martyrologe romain fait aujourd'hui mémoire de saint Joseph Marie Robles Hurtado, prêtre et martyr mexicain (1888-1927).

    Martyr au temps de la persécution anti-catholique, au Mexique, au début du XXe siècle, le P. Joseph Marie Robles Hurtado était né à Mascota, dans la province de Jalisco, au diocèse de Tepic.

    Curé de Tecolotlan, dans le diocèse d’Autlan, il est aussi connu comme le fondateur d’une congrégation religieuse apostolique féminine: les Sœurs du Cœur de Jésus-Sacrement. Il était en effet un fervent apôtre de la dévotion au Cœur du Christ, et pour la diffuser, il rédigea quelques livrets catéchétiques.

    Peu de temps avant son arrestation, il composa une poésie recueillant ses derniers désirs:

    “Je veux aimer ton Cœur, ô mon Jésus,

    De tout mon être.

    Je veux l’aimer avec passion,

    Je veux l’aimer jusqu’au martyre.

    De toute mon âme, je te bénis, 

    Ô Sacré Cœur qui es mien.

    Mais dis-moi: Parvient-on jamais

    A l’instant de l’heureuse et éternelle union?”

    Il fut reconnu "coupable" d’être prêtre catholique et apôtre, les soldats le conduisirent au lieu de son exécution, sans autre forme de procès. C’est à la Sierra de Quila qu’on le pendit, le 26 juin 1927.

  • Luthériens : « ordinariat » non, « repentance » réciproque oui ?

    IMPRIMER

    Le Luthéranisme commémorera bientôt le VIe centenaire de son existence (1517, Luther placarde ses thèses sur la porte de l’église de Wittemberg, 1520, le pape Léon X l’excommunie par la bulle « Exsurge Domine »). Selon le Cardinal Koch la réconciliation entre catholiques et luthériens nécessite une  “repentance“ réciproque. JPS

    Sur le site de l’agence I-media :

    Vatican - le 24/06/2013. La réconciliation entre catholiques et luthériens nécessite une réelle “repentance“ après les nombreuses “blessures“ qui ont jalonné leur histoire commune, estime le cardinal Kurt Koch, président du Conseil pontifical pour la promotion de l’unité des chrétiens, assurant par ailleurs qu’il n’existe actuellement pas “d’initiative concrète“ du Vatican pour la création d’un ordinariat à l’intention des luthériens. Dans une interview accordée à I.MEDIA quelques jours après un voyage en Ukraine, le responsable de l’œcuménisme au Vatican reconnaît en outre les “problèmes“ rencontrés dans le dialogue avec le patriarcat orthodoxe de Kiev, non reconnu par celui de Moscou. Le haut prélat suisse évoque aussi les “tensions“ dans les relations avec l’anglicanisme au niveau éthique, notamment en ce qui concerne la théorie du gender .

    Source : La réconciliation entre catholiques et luthériens nécessite une réelle “repentance“, selon le cardinal Koch

  • Le beau, le bien et le vrai

    IMPRIMER

    Dans ses « entretiens sur la foi » avec le journaliste Vittorio Messori (publiés chez Fayard, en juin 1985) le cardinal Joseph Ratzinger a cette phrase : « Un théologien qui n'aime pas l'art, la poésie, la musique ou la nature peut être dangereux. Cette cécité et cette surdité au beau ne sont pas secondaires, elles se reflètent nécessairement dans sa théologie. » (citation de ce jour, sur le site "Benoît et moi").

    Ceci se vérifie en particulier dans la liturgie et singulièrement la messe qui nous donne le Christ lui-même. Sous le titre « sons et art pour l’Eternel » (pages 152 et suivantes), Messori a notamment transcrit ce jugement sévère (et toujours d'actualité) du futur Benoît XVI sur la dérive des célébrations postconciliaires :

    Lire la suite

  • Cinq nouveaux prêtres ordonnés à Bruxelles

    IMPRIMER

    Ce dimanche 23 juin, en la cathédrale des saints Michel et Gudule à Bruxelles, cinq ordinations presbytérales ont été célébrées.

    Cinq jeunes... et moins jeunes ont été ordonnés prêtres ce dimanche à la cathédrale par Mgr André-Joseph Léonard, Archevêque de Malines-Bruxelles.

    Voir ICI et ICI

    Trois autres seront ordonnés à Namur le dimanche 30 juin : http://info.catho.be/2013/06/24/trois-ordinations-a-namur/#.UcgqFfn0GSo

  • La troisième demande du Pater: fiat voluntas tua

    IMPRIMER

    Lorsqu’on observe la logorrhée des « prières » inondant les feuilles, les ondes ou la toile informatique des médias dits chrétiens, la nausée nous saisit parfois. Le bon remède est alors de se tourner vers la source, sobre et pure de toute oraison, indiquée par Jésus lui-même :

     JPS

    « Quand vous priez », dit le Seigneur au moment d’enseigner à ses disciples le Notre Père, « ne multipliez pas les paroles, comme les païens : ils s’imaginent en effet que c’est par la multitude de leurs paroles qu’ils seront exaucés. Ne leur ressemblez donc pas ; car votre Père sait de quoi vous avez besoin, avant que vous le lui demandiez. » (Mt 6, 7-8).

    Aussi les Pères de l’Eglise disent-ils avec raison que, dans sa brièveté sans emphase, l’Oraison dominicale contient en soi toutes les prières. Or la troisième de ses demandes elle-même, « que votre volonté soit faite », en est comme l’abrégé. Qui ne voit en effet que l’objet de chacune des autres demandes est bien aussi objet de la volonté du Père, et que souhaiter l’accomplissement de celle-ci, c’est souhaiter encore par le fait même tout ce que le Seigneur nous y fait demander par ailleurs. 

    Lire la suite

  • Pakistan : disparition d'un jeune musulman converti au christianisme

    IMPRIMER

    ASIE/PAKISTAN - Disparition d’un jeune chrétien provenant de l’islam (Fides)

    Peshawar – Un jeune de 16 ans, converti au Christianisme en provenance de l’islam, est porté disparu depuis le 25 mai dernier à Peshawar, chef-lieu de la province de Khyber Pakhtunkhwa. Selon des sources locales de Fides, il pourrait avoir été enlevé par des militants islamiques, très forts dans la province et son sort pourrait d’ores et déjà avoir été décidé en tant que « coupable d’apostasie ».

    Selon un certain nombre de témoins, Aman Ullah, tel est en effet le nom du jeune homme qui signifie « paix de Dieu », a été enlevé par des militants liés à la galaxie talibane mais jusqu’à présent, cet enlèvement n’a fait l’objet d’aucune revendication. Le jeune homme, qui s’était approché du Christianisme voici un an, faisait partie d’un groupe de chrétiens convertis provenant de l’islam. Il suivait des leçons bibliques dans une communauté protestante de Peshawar et avait rendu témoignage de sa foi lors d’un certain nombre de réunions. Dans une note parvenue à Fides, la communauté locale demande à tous les chrétiens de prier pour la vie du jeune homme et d’invoquer sur lui la protection de Dieu.Comme dans d’autres pays musulmans, l’apostasie de l’islam est considérée comme méritant la mort. Le Père Mario Rodrigues, prêtre pakistanais et Directeur de la Commission chargée de la Pastorale des jeunes à Karachi, explique à Fides : « Si un jeune musulman se convertit au Christianisme au Pakistan, il est contraint à vivre en cachette. Dans le cas contraire, il n’aurait pas la possibilité de rester en vie. Tout musulman pourrait se sentir en droit de le tuer. Le changement de religion n’est pas puni par la loi civile mais l’est par la loi islamique. C’est pourquoi les cas de conversion de musulmans au Christianisme sont très rares et certains ont lieu en secret ».

  • La "Quinzaine de la Liberté" offre aux évêques américains l'occasion de réaffirmer les droits des croyants

    IMPRIMER

    Baltimore, MD., 22 juin 2013 (News ANC/EWTN) (notre traduction) - Lors de l'ouverture de la quinzaine pour la liberté de 2013, Mgr William E. Lori de Baltimore a souligné la contribution unique que la religion apporte à la société et a averti qu'elle doit être protégée et a autorisée à s'épanouir.

    "La Foi enrichit la vie publique non seulement par l'ampleur des services rendus, mais aussi par les qualités d'esprit et de cœur, par les valeurs et les vertus, apportées à la vivre", a déclaré Mgr Lori.

    Il a averti que bien que les individus et les organisations religieuses rendent des services essentiels au bien commun, "notre gouvernement s'en prend à ce qui appartient à Dieu lorsque des atteintes parrainées par l'Etat veulent forcer l'Eglise à compromettre ses propres enseignements en guise de prix à payer pour servir l'ensemble de la communauté."

    L'archevêque Lori, qui préside le Comité Ad Hoc des évêques américains pour la liberté religieuse, a prononcé l'homélie le 21 juin, lors de la Messe célébrée à la Basilique de l'Assomption de la Bienheureuse Vierge Marie, la plus ancienne cathédrale de la nation la, dans le centre-ville de Baltimore, au Maryland.

    La cathédrale était comble; s'y pressaient des fidèles venus des deux Maryland et d'autres États à travers le pays pour assister à la Messe d'ouverture de la quinzaine pour la liberté. Ils ont salué l'homélie de l'archevêque par une standing ovation. La quinzaine de la liberté – qui en est actuellement à sa deuxième année – est une période de deux semaines de prière, d'action et d'éducation à un plus grand respect pour la liberté religieuse tant aux États-Unis qu'à l'étranger.

    Lire la suite