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Foi - Page 813

  • Lumen Fidei, la première encyclique du pape François

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    LETTRE ENCYCLIQUE
    LUMEN FIDEI
    DU SOUVERAIN PONTIFE
    FRANÇOIS
    AUX ÉVÊQUES
    AUX PRÊTRES ET AUX DIACRES
    AUX PERSONNES CONSACRÉES
    ET À TOUS LES FIDÈLES LAÏCS
    SUR LA FOI

     

    1. La lumière de la foi (Lumen Fidei) : Par cette expression, la tradition de l’Église a désigné le grand don apporté par Jésus, qui, dans l’Évangile de Jean, se présente ainsi : « Moi, lumière, je suis venu dans le monde, pour que quiconque croit en moi ne demeure pas dans les ténèbres » (Jn 12, 46). Saint Paul aussi s’exprime en ces termes : « Le Dieu qui a dit ‘Que des ténèbres resplendisse la lumière’, est Celui qui a resplendi dans nos coeurs » (2 Co 4, 6). Dans le monde païen, épris de lumière, s’était développé le culte au dieu Soleil, le Sol invictus, invoqué en son lever. Même si le soleil renaissait chaque jour, on comprenait bien qu’il était incapable d’irradier sa lumière sur l’existence de l’homme tout entière. En effet, le soleil n’éclaire pas tout le réel ; son rayon est incapable d’arriver jusqu’à l’ombre de la mort, là où l’oeil humain se ferme à sa lumière. « S’est-il trouvé un seul homme qui voulût mourir en témoignage de sa foi au soleil ? »[1] demande le martyr saint Justin. Conscients du grand horizon que la foi leur ouvrait, les chrétiens appelèrent le Christ le vrai soleil, « dont les rayons donnent la vie »[2]. À Marthe qui pleure la mort de son frère Lazare, Jésus dit : « Ne t’ai-je pas dit que si tu crois, tu verras la gloire de Dieu ? » (Jn 11, 40). Celui qui croit, voit ; il voit avec une lumière qui illumine tout le parcours de la route, parce qu’elle nous vient du Christ ressuscité, étoile du matin qui ne se couche pas.

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  • Joseph Ratzinger : Pourquoi suis-je encore dans l’Eglise ?

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    Une réflexion exprimée à Munich le 4 juin 1970 et qui n’a rien perdu de son étonnante actualité, à l’heure où l’on parle à nouveau de réformer l’Eglise.  

    Le pape émérite était à l’époque titulaire de la chaire de dogmatique de l’université de Ratisbonne.  Quelques extraits de la conférence du futur Benoît XVI :

    «  J'aimerais (…) fournir une première réponse sous forme d'une analogie. (…) Nous avions dit qu'en examinant l'Eglise de trop près nous avions fini par perdre de vue l'ensemble. On peut approfondir cette idée en la rapprochant d'une image que les Pères de l'Eglise ont mise en évidence dans leur interprétation symbolique du monde et de l'Eglise. Ils expliquèrent que la lune figurait dans l'organisation du cosmos ce qu'était l'Eglise dans l'organisation du salut, au sein du cosmos intellectuel et spirituel. (…)

    L'Eglise reflète la lumière du Christ

    Pour les Pères, l'application à l'Eglise de la symbolique de la lune découlait de deux idées principales : d'une part de la correspondance entre la lune et la femme (la mère), d'autre part de l'idée que la lune n'est pas source de lumière, puisqu'elle la reçoit d'Hélios. Sans lui, elle ne serait qu'obscurité ; elle brille, mais sa lumière n'est pas sa lumière, c'est la lumière d'un autre. Elle est lumière et obscurité à la fois. Elle-même n'est qu'obscurité, mais elle dispense une clarté, qui lui vient d'un autre, dont la lumière se propage par son intermédiaire. C'est exactement en cela qu'elle représente l'Eglise, qui illumine bien qu'elle ne soit elle-même qu'obscurité : elle ne puise pas la lumière en elle-même, mais elle la reçoit du véritable hélios, le Christ, si bien qu'elle peut, bien qu'elle ne soit elle-même qu'un amas de pierre (...), éclairer les ténèbres dans lesquelles nous vivons de par notre éloignement de Dieu — « la lune nous raconte le mystère du Christ » (Saint Ambroise).

    L'astronaute ou la sonde lunaire ne découvrent sur la lune qu'un désert, des pierres, du sable et des montagnes, mais aucune source de lumière : la lune n'est en définitive que cela, elle n'est qu'un désert de sable et de pierres. Et pourtant, elle est, non pas en soi, mais parce qu'elle reçoit et réfléchit la lumière, source de lumière et elle le reste à l'époque des voyages dans l'espace. (…) Alors je pose la question : n'avons-nous pas là une image véritable de l'Eglise ? [1]

    L'Eglise est l'Eglise du Christ

    Ce que recouvre cette image me paraît être essentiel. Néanmoins (…) j'aimerais l'expliquer en m'appuyant sur une autre observation. (…) Notre Eglise ainsi que toutes les nombreuses églises se sont substituées à Son Eglise ; chacun a désormais la sienne. Les églises sont devenues nos entreprises dont nous sommes fiers ou dont nous avons honte ; beaucoup de petites propriétés privées se juxtaposent, il ne s'agit que de nos églises « à nous », que nous bâtissons nous-mêmes, qui sont nos œuvres et nos propriétés, et que nous voulons donc en conséquence transformer ou maintenir en place. Derrière « notre église » ou aussi derrière « votre église », « Son Eglise » a disparu. Mais la seule qui compte, c'est la Sienne et, si elle n'existe plus, alors notre église doit aussi démissionner. Une église qui ne serait que la nôtre serait une entreprise vaine et puérile (…).

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  • 3 juillet : l'apôtre Thomas

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    1215005756381.jpgLors de l'Audience générale du 27 septembre 2011, le pape Benoît XVI a consacré sa catéchèse à l’apôtre Thomas que l'on fête aujourd'hui, 3 juillet.

    Chers frères et sœurs,

    Poursuivant nos rencontres avec les douze Apôtres choisis directement par Jésus, nous consacrons aujourd'hui notre attention à Thomas. Toujours présent dans les quatre listes établies par le Nouveau Testament, il est placé dans les trois premiers Evangiles, à côté de Matthieu (cf. Mt 10, 3; Mc 3, 18; Lc 6, 15), alors que dans les Actes, il se trouve près de Philippe (cf. Ac 1, 13). Son nom dérive d'une racine juive, ta'am, qui signifie « apparié, jumeau ». En effet, l'Evangile de Jean l'appelle plusieurs fois par le surnom de «Didyme» (cf. Jn 11, 16; 20, 24; 21, 2), qui, en grec, signifie précisément « jumeau ». La raison de cette dénomination n'est pas claire.

    Le Quatrième Evangile en particulier, nous offre plusieurs informations qui décrivent certaines caractéristiques significatives de sa personnalité. La première concerne l'exhortation qu'il fit aux autres Apôtres lorsque Jésus, à un moment critique de sa vie, décida de se rendre à Béthanie pour ressusciter Lazare, s'approchant ainsi dangereusement de Jérusalem (cf. Mc 10, 32). A cette occasion, Thomas dit à ses disciples : « Allons-y nous aussi, pour mourir avec lui ! » (Jn 11, 16). Sa détermination à suivre le Maître est véritablement exemplaire et nous offre un précieux enseignement : elle révèle la totale disponibilité à suivre Jésus, jusqu'à identifier son propre destin avec le sien et à vouloir partager avec Lui l'épreuve suprême de la mort. En effet, le plus important est de ne jamais s’écarter de Jésus. D'ailleurs, lorsque les Evangiles utilisent le verbe « suivre » c'est pour signifier que là où Il se dirige, son disciple doit également se rendre. De cette manière, la vie chrétienne est définie comme une vie avec Jésus Christ, une vie à passer avec Lui. Saint Paul écrit quelque chose de semblable, lorsqu'il rassure les chrétiens de Corinthe de la façon suivante : « Vous êtes dans nos cœurs à la vie et à la mort » (2 Co 7, 3). Ce qui se produit entre l'Apôtre et ses chrétiens doit, bien sûr, valoir tout d'abord en ce qui concerne la relation entre les chrétiens et Jésus lui-même : mourir ensemble, vivre ensemble, être dans son cœur comme Il est dans le nôtre.

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  • François : bon sang, mais c'est bien sûr !

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    IOR, Curie, nominations, Lampedusa, discours et prédications incisives... Les plus perspicaces commenceraient-ils à voir où le pape veut aller ? C'est ce que l'on peut penser à la lecture d'un article du journaliste espagnol J.L. Restan traduit sur le site de notre amie de Benoît-et-moi. C'est à lire ici : http://benoit-et-moi.fr/2013-II/articles/tout-devient-clair.html

  • Lumen fidei, la première encyclique de François, sera présentée vendredi

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    (Anita Bourdin - Zenit.org) - "Lumière de la foi" - "Lumen Fidei" - : c'est le titre de la première encyclique du pape François qui sera présentée vendredi prochain, 5 juillet, au Vatican, dans le cadre de l'Année de la foi.

    Elle sera publiée en français, espagnol, italien, anglais, allemand et portugais, pour commencer. 

    Le pape a dit lui-même - avec une métaphore musicale - qu'elle avait été "écrite à quatre mains" : le pape François a décidé d'assumer le texte et de le compléter le texte commencé par Benoît XVI. Le Vatican indique qu'elle ne sera pas longue.

    L'encyclique sera présentée par le cardinal Marc Ouellet, P.S.S., préfet de la Congrégation pour les évêques, Mgr Gerhard Ludwig Müller, préfet de la Congrégation pour la doctrine de la foi, et Mgr Rino Fisichella, président du Conseil pontifical pour la promotion de la nouvelle évangélisation. 

    Le pape François avait annoncé son texte aux membres du XIIIe Conseil ordinaire du secrétariat général du synode des évêques, le 13 juin dernier.

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  • Nouvelle direction pour les Editions du Cerf

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    Lu  dans le journal « La Croix », sous la signature de Nicolas Senèze (extraits)

    La province dominicaine de France a annoncé mardi 25 juin la nomination de Jean-François Colosimo, 52 ans, démissionnaire le même jour de la présidence du Centre national du livre, comme président du directoire des Éditions du Cerf. Premier laïc à la tête de ce fleuron de l’édition religieuse, il succède au P. Éric de Clermont-Tonnerre.

     (…) Jean-François Colosimo possède une connaissance du milieu éditorial qui sera essentielle à une vénérable maison en difficulté – après trois années consécutives de pertes importantes – mais que les dominicains, principaux actionnaires, veulent « ardemment » pérenniser. (…)

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  • France : la fin du christianisme de l'enfouissement ?

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    Guillaume de Prémare, "l'urgentiste du pape" selon la Croix, "explique très simplement le tsunami que représentent les manifestants non pas encore pour le Gouvernement français mais à tout le moins pour l’Eglise de France, la manière dont ils sont soutenus par le pape François" (abbé de Tanouärn) :

    Ite missa est : requiem pour l’enfouissement

    Dans ma dernière chronique hebdomadaire sur Radio Espérance, je reviens sur le malaise des « chrétiens de l’enfouissement » : vis-à-vis de l’évolution de l’Eglise depuis le pontificat de Jean-Paul II, vis-à-vis du mouvement social qui s’est levé à l’occasion du combat contre la loi Taubira.

    Ite missa est : la messe de requiem de l’enfouissement est-elle dite ? Dans La Croix du 31 mai dernier, Bruno Frappat, pointure historique du quotidien catholique, a la franchise de dire ce qu’il a sur le cœur. Et manifestement, il en a gros sur la patate : lui et ses semblables ont mal vécu le tournant amorcé dans l’Eglise depuis Jean-Paul II, les deux derniers papes ayant « incarné une présence au monde différente de leurs rêves d’enfouissement ».

    Et voici que le nouveau pape François en rajoute une grosse louche dimanche dernier, lançant un vibrant appel aux jeunes : « N'ayez pas peur d'aller à contre-courant, lorsqu’on vous propose des valeurs avariées, comme peuvent l'être les aliments. Ayez cette fierté d'aller à contre-courant. » Voilà l’esprit de notre jeunesse en quelque sorte adoubé : une jeunesse fière, audacieuse, fougueuse, courageuse, intrépide, créative ; une jeunesse frondeuse, une jeunesse bien vivante ! Ces jeunes ne sont pas de gentils petits poissons iréniques, mais d’énergiques rameurs : à contre-courant de l’hégémonie culturelle qui imprègne les mœurs au sens large, à contre-courant de la téloche en quelque sorte.

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  • Le témoignage historique le plus ancien du martyre de Pierre et de Paul

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    2492281131.jpgSaint Pierre et saint Paul, Apôtres, solennité (Evangile au Quotidien)

    Saint Clément de Rome, pape de 90 à 100 environ 

    Lettre aux Corinthiens, 5-7 (trad. cf bréviaire 30/06)

    Le témoignage historique le plus ancien du martyre de Pierre et de Paul

          Laissons ces exemples [de persécution dans l'Ancien Testament] pour en venir aux athlètes les plus proches de nous ; évoquons les exemples vaillants de notre génération. La jalousie et l'envie ont déchaîné les persécutions contre les piliers de l'Église les plus hauts et les plus justes, qui ont lutté jusqu'à la mort. Regardons les saints apôtres : Pierre, à cause d'une jalousie injuste, a subi, non pas une ou deux, mais de nombreuses souffrances ; après avoir rendu ainsi son témoignage, il s'en est allé au séjour de gloire qu'il avait mérité. La jalousie et la discorde ont permis à Paul de montrer comment on remporte le prix réservé à la constance. Sept fois emprisonné, banni, lapidé, devenu prédicateur de l'Évangile en Orient et en Occident, il a reçu la renommée qui correspondait à sa foi. Après avoir enseigné la justice au monde entier jusqu'aux limites de l'Occident, il a rendu son témoignage devant les autorités ; c'est ainsi qu'il a quitté ce monde pour s'en aller au séjour de la sainteté. Suprême modèle de courage ! À ces hommes qui ont mené une vie sainte est venue se joindre une grande foule d'élus qui, par suite de la jalousie, ont subi toutes sortes de mauvais traitements et de supplices, et qui ont donné parmi nous un exemple magnifique...

          Nous vous écrivons tout ceci, mes bien-aimés, non seulement pour vous avertir, mais pour nous exhorter nous-mêmes. Car nous sommes dans la même arène ; le même combat nous attend. Laissons donc nos vains soucis inutiles pour suivre la règle glorieuse et vénérable de notre tradition. Ayons les yeux fixés sur ce qui est beau, ce qui est agréable aux yeux de celui qui nous a faits, ce qui est propre à le toucher. Fixons nos regards sur le sang du Christ et comprenons combien il a de valeur pour Dieu son Père, puisque, répandu pour notre salut, il a apporté au monde entier la grâce de la conversion.

  • La mort de Mimoun, un champion du sport et de la foi

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    De La Croix :

    Alain Mimoun, légende de l'athlétisme français, est décédé dans la soirée de jeudi 27 juin, à l'âge de 92 ans.

    Né le 1er janvier 1921 à El Telagh, en Algérie, Ali Mimoun Ould Kacha eut dès sa plus tendre enfance écrivait-il, le coeur « qui s'enflammait pour ce beau pays de France ».

    Ayant découvert la course à pied lors de son service militaire effectué chez les tirailleurs algériens, le jeune homme dut d'abord traverser les épreuves de la Seconde guerre mondiale avant de s'exercer sur un stade.

    Sous le feu des canons allemands en 1944 à Monte Cassino (Italie), sa jambe gauche martyrisée par plusieurs éclats d'obus fut sauvée par un chirurgien inspiré. Pour le soldat Mimoun, c'était déjà un signe de Dieu.

    La paix revenue, l'aspirant-athlète se lève tôt pour s'entraîner et se couche tard pour travailler au bar du Racing Club de France, club dont il porte le maillot.

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  • De Rome sur KTO : la solennité des saints Pierre et Paul

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    Samedi 29 juin à 17h
    Résumé de la Messe et de la remise
    du Pallium aux Métropolitains

    La solennité des 
    Saint Pierre et Saint Paul

      Place Saint-Pierre
    Cette fête est la plus ancienne fête inscrite dans le Sanctoral romain, bien avant Noël. Au IVe siècle déjà, on célébrait trois messes, l'une à Saint-Pierre-du-Vatican, l'autre à Saint-Paul-hors-les-murs, la troisième aux catacombes où les corps des deux apôtres furent cachés pendant un certain temps. 

    La célébration s'étant déroulée dans la matinée en même temps que les ordinations sacerdotales, elle ne sera exceptionnellement pas diffusée en direct, mais à 17h. Comme le veut la tradition, le samedi 29 juin, dans la basilique Saint-Pierre, à l'occasion de cette fête des saints Pierre et Paul, le Pape François célèbrera la messe, au cours de laquelle des archevêques métropolitains nommés dans l'année recevront le pallium des mains du Pontife.


    Un résumé de 45 minutes à voir sur KTO samedi 29 juin à partir de 17h, et à revoir ensuite en suivant ce lien.
  • Mgr Müller : quelques réponses sur des questions doctrinales sensibles

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    Voici quelques réponses apportées par Mgr Gerhard Ludwig Müller, Préfet de la Congrégation pour la Doctrine de la Foi, lors d’une interview menée par plusieurs revues diocésaines allemandes à Osnabrück ce mercredi 26 juin 2013 :

    Controverse avec la Fraternité Saint-Pie X

    Dans la bataille doctrinale qui oppose le Vatican à la Fraternité Saint-Pie X, Mgr Müller estime que la balle est à présent dans le camp des traditionalistes. Il y a plus d’un an déjà que Rome a proposé aux responsables de la Fraternité Saint-Pie X un document devant permettre de clarifier un certain nombre de points doctrinaux : on attend toujours une réponse officielle de la part de la Fraternité. Mgr Müller a souligné que ce document s’adresse à la Fraternité dans son ensemble et qu’il lui appartient en tant que telle d’accepter ce document dont le contenu reprend des notions essentielles de la foi catholique. Il reste que, indépendamment de cette affaire, chaque prêtre est totalement libre, à titre personnel, de retourner à la pleine communion avec l’Eglise catholique, avec le Pape et les évêques. De plus, ajoute Mgr Müller, le Pape Benoît XVI (2005-2013) qui, depuis 25 ans a toujours voulu faire avancer les discussions avec les traditionalistes, a clairement affirmé qu’il reste des points essentiels à éclaircir, et que d’ici là les membres de la Fraternité resteront en attente de pleine communion avec l’Eglise, et que les prêtres et les évêques ne pourront pas exercer leur mission de façon légitime. Ces longues années de discussions auront permis d’aboutir à un document synthétique connu sous le nom de « Préambule dogmatique ».

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  • « Messe » œcuménique le 29 juin pour la fête des saints Pierre et Paul ?

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    Non, ce n’est pas  à Rome - tout de même - mais en Suisse alémanique, dans le canton de Zurich :

    messe-oecumenique3.png« Le Père capucin Willi Anderau et le jésuite Josef Bruhin célébreront avec deux pasteurs et un pope orthodoxe une eucharistie œcuménique le samedi 29 juin à la chapelle des Lazaristes de Gfenn, près de Düdendorf (ZH).

    Messe oecuménique ?

    Le droit de l'Eglise latine prévoit simplement une décision juridique pour délit grave, réservée à la congrégation de la doctrine de la foi. 

    Le monde du football a aussi ses instances de décisions et les arbitres appliquent les règles du jeu, sinon c'est l'anarchie, la baisse d'audience assurée et la fin de l'engouement populaire. 

    Au lieu de prendre la main de Dieu pour nous laisser guider vers l'Unité qu'il veut réaliser... Prendre la cause de Dieu en main est bien porteur de divisions. 

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