Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Foi - Page 815

  • Croyons-nous encore dans la réalisation des promesses divines ?

    IMPRIMER

    Evangile de ce jour : Luc, chap. 1, vv. 5-25 :

    Il y avait, au temps d'Hérode le Grand, roi de Judée, un prêtre nommé Zacharie, du groupe d'Abia. Sa femme aussi était descendante d'Aaron ; elle s'appelait Élisabeth. Tous les deux vivaient comme des justes devant Dieu : ils suivaient tous les commandements et les préceptes du Seigneur d'une manière irréprochable. Ils n'avaient pas d'enfant, car Élisabeth était stérile, et tous deux étaient âgés. 

    Or, tandis que Zacharie, au jour fixé pour les prêtres de son groupe, assurait le service du culte devant Dieu, il fut désigné par le sort, suivant l'usage liturgique, pour aller offrir l'encens dans le sanctuaire du Seigneur. Toute l'assemblée du peuple se tenait dehors en prière à l'heure de l'offrande de l'encens. L'ange du Seigneur lui apparut debout à droite de l'autel de l'encens. En le voyant, Zacharie fut bouleversé et saisi de crainte.

    L'ange lui dit : « Sois sans crainte, Zacharie, car ta supplication a été entendue : ta femme Élisabeth te donnera un fils, et tu le nommeras Jean. Tu seras dans la joie et l'allégresse, beaucoup d'hommes se réjouiront de sa naissance, car il sera grand devant le Seigneur. Il ne boira pas de vin ni de boissons fermentées, et il sera rempli de l'Esprit Saint dès avant sa naissance ; il fera revenir de nombreux fils d'Israël au Seigneur leur Dieu, il marchera devant le Seigneur, avec l'esprit et la puissance du prophète Élie, pour faire revenir le coeur des pères vers leurs enfants, convertir les rebelles à la sagesse des hommes droits, et préparer au Seigneur un peuple capable de l'accueillir. »

    Mais Zacharie dit à l'ange : « Comment vais-je savoir que cela arrivera ? Moi, je suis un vieil homme, et ma femme aussi est âgée. » L'ange lui répondit : « Je suis Gabriel ; je me tiens en présence de Dieu, et j'ai été envoyé pour te parler et pour t'annoncer cette bonne nouvelle. Mais voici que tu devras garder le silence, et tu ne pourras plus parler jusqu'au jour où cela se réalisera, parce que tu n'as pas cru à mes paroles : elles s'accompliront lorsque leur temps viendra. »

    Le peuple attendait Zacharie et s'étonnait de voir qu'il restait si longtemps dans le sanctuaire. Quand il sortit, il ne pouvait pas leur parler, et ils comprirent qu'il avait eu une vision dans le sanctuaire. Il leur faisait des signes, car il demeurait muet. Lorsqu'il eut achevé son temps de service au Temple, il repartit chez lui. 

    Quelque temps plus tard, sa femme Élisabeth devint enceinte. Pendant cinq mois, elle garda le secret. Elle se disait : « Voilà ce que le Seigneur a fait pour moi, lorsqu'il a daigné mettre fin à ce qui faisait ma honte aux yeux des hommes. » 

    L'homélie du Père Joseph-Marie Verlinde (Homelies.fr - archive 2007)

    L’annonce à Zacharie ouvre le récit « des événements qui se sont accomplis parmi nous » et dont saint Luc présente « un exposé suivi, afin que nous puissions nous rendre compte de la solidité des enseignements que nous avons reçu » (Lc 1,3-4).

    Lire la suite

  • A propos de la nouvelle interview du pape François dans la presse : une pensée qui se précise ?

    IMPRIMER

    Lu sur le site « Chiesa », cette réflexion de Sandro Magister  (extraits)

    « ROME, le 18 décembre 2013 – Dans l'interview qu’il a accordée à son ami vaticaniste Andrea Tornielli et qui a été publiée dans "La Stampa" il y a trois jours, le pape François est revenu sur deux points d’"Evangelii gaudium" qui avaient provoqué de vifs commentaires pour ou contre.

    Le premier point est la distribution de la communion aux divorcés remariés. Le pape a voulu préciser que ce n’était pas à cette question qu’il avait pensé lorsque, dans son exhortation apostolique, il avait parlé de la communion "en tant qu’aliment spirituel, qui doit être considéré comme un remède et non pas comme une récompense".

    En apportant cette précision, François a voulu se distinguer de ceux qui avaient interprété ces propos comme une énième "ouverture" et qui s’étaient exprimés publiquement en faveur de la distribution de la communion. Parmi lesquels, en dernier lieu, le nouveau secrétaire général du synode des évêques, Lorenzo Baldisseri, et le cardinal Walter Kasper.

    La seconde mise au point a concerné son refus de la théorie économique du "derrame" – expression traduite en italien par "ricaduta favorevole" et en anglais par "trickle down" – selon laquelle "toute croissance économique, favorisée par l’économie de marché, parvient à produire par elle-même davantage d’équité et d’intégration sociale".

    Le pape Jorge Mario Bergoglio a réaffirmé – "pas en tant que technicien" – qu’il ne croyait pas au bien-fondé de cette théorie.(…)

    La première de ces deux précisions concerne l’un des points cruciaux d’"Evangelii gaudium", celui où François promet davantage de collégialité dans le gouvernement de l’Église, par l’attribution de pouvoirs plus importants aux conférences des évêques.

    Lire la suite

  • Syrie : quand le bruit infernal de la guerre étouffe le Gloria des anges

    IMPRIMER

    Syrie: "Le bruit infernal de la guerre étouffe le gloria des anges"

    Et certains envient même le dénuement de la Sainte Famille

    Mgr Samir Nassar

    DAMAS, 18 décembre 2013 (Zenit.org) - "Le bruit infernal de la guerre étouffe le gloria des anges", confie Mgr Samir Nassar, archevêque maronite de Damas dans cette page publiée sur le blog "Chrétiens d'Orient "

    La Syrie en ce Noël ressemble le mieux à une crèche : étable ouverte sans porte, froide, démunie et si pauvre…

    L’Enfant Jésus ne manque pas de compagnons en Syrie…

    Des milliers d’enfants qui ont perdu leurs maisons vivent sous des tentes aussi pauvres que la Crèche de Bethléem…

    JÉSUS N’EST PLUS SEUL DANS SA MISÈRE.

    L’enfance syrienne abandonnée et marquée par les scènes de violences souhaite même être à la place de Jésus qui a toujours ses parents qui l’entourent et le chérissent…

    Ce sentiment d’amertume est bien visible dans les yeux des enfants syriens, leurs larmes et leur silence…

    CERTAINS ENVIENT L’ENFANT DIVIN

    parce qu’il a trouvé cette étable pour naitre et s’abriter alors que certains de ces malheureux enfants syriens sont nés sous les bombes ou sur la route de l’exode.

    MARIE DANS SES DIFFICULTÉS N’EST PLUS SEULE

    des malheureuses mamans moins chanceuses qui vivent dans l’extrême pauvreté et assument les responsabilités familiales seules sans leurs maris…

    La précarité de la crèche de Bethléem apporte une consolation à ces pauvres mamans écrasées par des problèmes insolubles et le désespoir.

    LA PRÉSENCE RASSURANTE DE JOSEPH AUPRÈS DE LA SAINTE FAMILLE EST SOURCE DE JALOUSIE

    pour ces milliers de familles privées de papa, privation qui nourrit la peur, l’angoisse et l’inquiétude. Nos chômeurs envient Joseph menuisier qui épargne à sa famille le besoin.

    Les bergers et leurs troupeaux voisinant la crèche, parlent beaucoup aux nombreux éleveurs syriens qui ont perdu 70% de leur cheptel dans cette guerre..

    La vie nomade sur cette terre biblique qui remonte à Abraham et bien avant, disparaît brutalement avec ses vieilles coutumes d’hospitalité et sa culture traditionnelle.

    Les chiens de ces bergers de Noël compatissent sur le sort des animaux domestiques en Syrie ravagés par la violence meurtrière ils errent dans les ruines et se nourrissent de cadavres.

    LE BRUIT INFERNAL DE LA GUERRE ÉTOUFFE LE GLORIA DES ANGES…

    Cette symphonie de Noël pour la paix, cède devant la haine la division et l’atrocité cruelle…

    PUISSE LES TROIS MAGES APPORTER A LA CRÈCHE DE SYRIE,

    les plus précieux cadeaux de Noël: Paix, Pardon et réconciliation; afin que brille à nouveau l’ÉTOILE DE NOËL dans nos sombres nuits.

    SEIGNEUR EXAUCE NOUS.

    Noël 2013.

    + Samir NASSAR, Archevêque Maronite de Damas

  • Grand-Duché : les parents se mobilisent pour défendre le cours de religion

    IMPRIMER

    Luxembourg/Cours de religion: pour la liberté de choix

    L'initiative fraîchement créée «Fir de Choix» provoque le débat en vue de maintenir le libre choix entre cours d'instruction religieuse et cours d'éducation morale et sociale. Une pétition a été lancée à cet effet.

    Du Quotidien (Claude Damiani)

    L'annonce de la suppression des cours de religion dans l'enseignement national n'en finit plus de faire des vagues parmi les partisans des cours d'instruction religieuse. Mais également dans le chef de citoyens qui militent pour le libre choix.

    "Il n'y a rien de plus démocratique que la liberté de choisir!" Tel est le leitmotiv de l'initiative citoyenne qui porte le nom de sa revendication principale, à savoir le libre choix concernant les cours de religion, autant pour les parents d'élèves que pour les élèves eux-mêmes.

    Suite à l'annonce du nouveau gouvernement de remplacer purement et simplement les cours de religion par des cours de valeurs (NDLR : bien que les écoles restent libres d'organiser des cours de religion, selon la déclaration gouvernementale de Xavier Bettel à la Chambre), annonce qui a fait l'effet d'une bombe, une cinquantaine de citoyens se sont unis le 4 décembre dernier, en vue de créer une assemblée amenée à se structurer par la suite en initiative. «Dans sa déclaration gouvernementale, le Premier ministre Xavier Bettel a incité à renforcer l'initiative citoyenne», a souligné Marcia Dechmann, 33 ans, infirmière de son état et porte-parole du mouvement nouvellement constitué. Une motivation supplémentaire pour que se rassemblent des personnes directement concernées par cette patate chaude, voire brûlante, et lancée il y a trois semaines par la coalition, soit le 25 novembre dernier, mais également des sympathisants défendant l'option d'un libre arbitre en la matière.

    Lire la suite

  • La terre, lieu de rencontre avec Dieu

    IMPRIMER

    La terre, lieu pour rencontrer Dieu (Radio Vatican)

    Dans sa dernière audience générale de l’année place Saint-Pierre à Rome, le Pape François est largement revenu sur Noël, le « Noël de Jésus », « une fête de la confiance et de l’espérance qui dépasse l’incertitude et le pessimisme ». La raison de notre espoir ? « Dieu est avec nous et Dieu nous fait encore confiance », répond le François. En ce temps de l’Avent qui se poursuit, le Souverain Pontife a invité les fidèles « à contempler l’abaissement du Fils de Dieu, venu pour nous sauver, afin de l’imiter dans le service des personnes les plus faibles qui nous entourent ».

    A cette occasion, « la terre n’est plus seulement une “vallée de larmes”, mais elle devient aussi le lieu où Dieu a planté sa tente, le lieu de la rencontre avec lui ». « Il a voulu partager notre condition humaine, poursuit le Saint-Père, nous montrant sa miséricorde et son amour pour les hommes. L’enfant de Bethléem réchauffe et transforme notre cœur, il nous permet de ne pas nous enfoncer dans la tristesse, la fatigue ou le découragement. » Le Noël de Jésus, raconte encore le Pape, démontre que Dieu « est une fois pour toute du côté de l’homme, pour nous sauver, pour nous élever de la poussière de nos misères, de nos difficultés, de nos pêchés ».

    À Noël, Dieu « s’abaisse et se fait proche des petits, des pauvres », explique François, « Il nous invite à l’imiter ». « Désormais, tout ce que nous faisons à notre prochain, c’est à Jésus que nous le faisons. Que la Mère de Jésus nous aide à reconnaître dans le visage des plus faibles l’image du Fils de Dieu fait homme ! »

    Noël mène le Pape à deux considérations : la première indique que lors de cette célébration, Dieu « ne se révèle pas comme celui qui domine l’univers, mais comme Celui qui s’abaisse : il descend sur terre petit et pauvre. Cela signifie que nous devons être semblables à Lui. » Ce à quoi le Pape rétorque : c’est « une mauvaise chose quand un chrétien ne veut pas s’abaisser, ne veut pas servir. » C’est pour le Souverain Pontife un « chrétien qui se pavane, un païen »

    La seconde conséquence, précise le Pape : « si Dieu, par Jésus, s’est impliqué avec l’homme au point de devenir comme l’un d’entre nous, cela veut dire que quoi que nous fassions à un frère ou à une sœur nous l’aurions fait à Lui. »

    Depuis l’élection du Pape François, plus d’un million et demi de personnes ont participé aux audiences génèrale. Le record a été atteint le 29 mai avec 90 000 billets distribués.

  • Modèle du pape François, Pierre Favre vient d'être canonisé

    IMPRIMER

    Le Pape François proclame saint le jésuite Pierre Favre, l'un de ses modèles (Radio Vatican)

    Entretien - On s’y attendait et c’est désormais officiel : le jésuite français Pierre Favre, ami de Saint Ignace de Loyola, vient d’être inscrit dans le catalogue des saints. C’est le Pape François lui-même qui l’a décidé par une procédure extraordinaire et personnelle. Homme de dialogue, Pierre Favre est l’un des modèles avoués du Souverain Pontife, lui-même issu de la Compagnie de Jésus. Béatifié par Pie IX en 1872, le cofondateur de la Compagnie de Jésus sera désormais honoré par l’Eglise universelle. Moins connu que Saint François-Xavier ou Saint Ignace de Loyola, Pierre Favre fait partie des co-fondateurs de la Compagnie de Jésus. Berger d’origine savoyarde né en 1506, ce prêtre jésuite du XVIe siècle a parcouru l’Europe entière. En 1525, Pierre Favre arrive à Paris pour étudier au collège Ste Barbe, il y rencontre François-Xavier et Ignace de Loyola et suit fidèlement les Exercices spirituels de ce dernier. Après la fondation de la Compagnie de Jésus en 1537 et sa reconnaissance par le Pape Paul III trois ans plus tard, Pierre Favre est ensuite envoyé par le Vatican en Allemagne, à Ratisbonne puis à Cologne, au moment de la Réforme protestante luthérienne. Sa route missionnaire prend aussi la direction du Portugal ou en Espagne, avant de participer au Concile de Trente, dont il ne verra pas la fin : il meurt à l’âge de 40 ans en 1546. Plus de trois siècles plus tard, il est reconnu Bienheureux par Pie IX en 1872.

    Un modèle avoué du Pape François

    Dans son entretien à la revue jésuite Etudes en septembre 2013, le Pape décrivait ainsi Pierre Favre : « le dialogue avec tous, même avec les plus lointains et les adversaires de la Compagnie ; la piété simple, une certaine ingénuité peut-être, la disponibilité immédiate, son discernement intérieur attentif, le fait d’être un homme de grandes et fortes décisions, capable en même temps d’être si doux ».

    Lire la suite

  • Enseignement catholique : le Forum Laïc s'adresse aux évêques

    IMPRIMER

    Forum Laïc Catholique Romain asbl

    Lodewijk Van Berckenlaan 17, 2600 Berchem-Antwerpen

    Berchem, le 17 – 12 – 2013

    Monseigneur,

    Le sujet de l’Enseignement Catholique (ci-après dénommé E.C.) nous préoccupe beaucoup, parce qu'il concerne non seulement la formation sociale et morale de nos enfants, mais aussi dans une large mesure leur formation religieuse et ecclésiale. Au début de novembre, le Conseil du Forum Laïc Catholique-romain a envoyé une lettre à Mgr Johan Bonny, évêque référent pour l'éducation catholique, contenant nos propositions à cet égard. Nous espérons que ces propositions apporteront une contribution positive, afin de contrarier la perte d'identité de l’E.C.

    Avec un profond regret, nous devons reconnaître que cela va de mal en pis dans ce qui était autrefois un réseau éducatif florissant et extraordinairement fructueux. L’enseignement religieux catholique dans de nombreuses écoles (même épiscopales) est d'une qualité religieuse désespérément faible. Tous ce que nous savons à ce sujet par des expériences personnelles concorde avec ce que nous entendons d’autres parents catholiques. Nous constatons un processus de dégradation qui est en cours depuis un certain temps. Il n’attend que la disparition totale de l'identité religieuse de l’E.C., ce qui lui fait perdre son utilité sociale restante et le rend superflu.

    L’important est, bien sûr, la nomination de ceux qui, dans un proche avenir, assureront la gestion quotidienne de l’E.C. Mme Mieke Van Hecke prendra bientôt sa retraite et devra être remplacée. Vu que la décision à ce sujet est entre les mains des évêques belges, nous nous permettons de vous présenter une liste de quelques personnes dont les qualités sont essentielles pour la politique que nous souhaitons pour l’E.C.

    Nous avons fait une petite enquête parmi nos membres, et nous avons dressé une liste de candidats plausibles (voir liste ci-dessous). Nous avons confiance dans leur vision de ce que l'enseignement catholique peut et doit signifier pour l’avenir de nos enfants, afin qu’ils puissent grandir en devenant des fidèles croyants catholiques, en mesure de témoigner d’une manière appropriée de leur foi chrétienne. Après tout, le milieu scolaire joue en cela tôt ou tard un rôle plus important que celui de la famille d'où ils proviennent; c’est ce que nous enseigne l'expérience.

    Nous n’avons pas  contacté à ce sujet les personnes mentionnées ci-dessous. Nous considérons que leur vision et leurs talents correspondent aux exigences pour donner corps d’une manière renouvelée à l’identité et la mission spécifique de l'éducation catholique, mais notre critère principal est leur ardeur et attitude dans le domaine religieux, social et ecclésial.

    • Frère René Stockman, Supérieur Général des Frères de la Charité
    • Prof. Matthias Storme, professeur de la KUL et de l'UA.
    • Jan Wouters, conférencier sur Radio Maria concernant la société et la religion
    • Vincent Kemmes, Biofides, ancien professeur de biologie, orateur, apostolat Biofides, conférencier sur Radio Maria
    • Mia de Schamphelaere, ancienne parlementaire et sénatrice;  échevin d’e.a. l'enseignement à Edegem
    • Hilde Kieboom, présidente de la communauté de St Egide d’Anvers

    Avec nos salutations respectueuses,

    Le Conseil du FLCR, l'asbl

    rklf@telenet.be

    P.S. Cette lettre a été envoyée à tous les évêques belges en fonction

  • Ne désacralisons pas nos églises !

    IMPRIMER

    unnamed.jpg

  • Femmes, divorcés, marxisme, oecuménisme, curie romaine...; le pape se livre dans un nouvel entretien où il évoque des sujets d'actualité

    IMPRIMER

    Le Pape François se livre dans un nouvel entretien

    2013-12-15 Radio Vatican

    Le Pape François nous a offert ce dimanche un nouvel entretien surprise avec un journaliste, Andrea Tornielli, dans les colonnes du quotidien italien La Stampa. Le Pape y aborde tour à tour le sens de la fête de Noel, le futur voyage en Terre Sainte, les enfants malades et la faim dans le monde, le marxisme, l’unité des chrétiens, la réforme de la papauté et la Curie, le cardinalat des femmes, la transparence financière du Vatican, mais aussi les divorcés remariés.

    « Nous ne pouvons penser à Noel sans penser à la Terre Sainte » , déclare le Pape. « Il y a 50 ans Paul VI a eu le courage de sortir pour se rendre là et c’est ainsi que commença l’époque des voyages des Papes. Moi aussi je désire m’y rendre » Et d’ajouter : « Nous nous y préparons ». Le Pape confirme aussi son « désir de rencontrer mon frère Bartholomée, patriarche de Constantinople, pour commémorer avec lui cet anniversaire en renouvelant l’étreinte entre Paul VI et Athénagoras de 1964 à Jérusalem ». Le Pape précise que « Noël nous fait toujours penser à Bethléem et que Bethléem se trouve à un endroit précis, la Terre Sainte, où a vécu Jésus. » « Durant la nuit de Noel, je pense surtout aux chrétiens qui vivent là, à ceux qui sont dans la difficulté, à tous ceux qui ont été contraints pour divers problèmes à quitter cette terre. Mais Bethléem continue d’être Bethléem : Dieu est venu à un endroit précis, sur une terre précise ; c’est là qu’est apparue la tendresse de Dieu, la grâce de Dieu ».

    Lire la suite

  • Eglise des Pays-Bas : quand des laïcs montent au créneau

    IMPRIMER

    Du site "Benoît-et-moi" :

    Un manifeste inhabituel

    C’est celui de laïcs néerlandais qui s’adressent au pape… mais, pour une fois, pas pour réclamer le sacerdoce féminin, ou le mariage des prêtres, ou la communion aux divorcés remariés. Un article de JL Restàn, traduit par Carlota (15/12/2013)

    A LIRE AUSSI

    http://www.cath.ch  : Le 2 décembre, le pape François recevait les évêques des sept diocèses des Pays-Bas, emmenés par l’archevêque d’Utrecht, le cardinal Willem Jacobus Eijk.

    Le pontife a exprimé, dans un message, sa reconnaissance pour le service du Christ et de l’Evangile qu’ils accomplissent, et cela «dans des circonstances souvent rudes». Le pape a cependant invité les évêques à reconnaître, dans leurs propres diocèses, les «signes de la présence active du Seigneur».

    Le pontife a probablement ainsi répondu aux laïcs hollandais qui lui ont fait parvenir, avant cette visite, un contre-rapport dénonçant le pessimisme de leurs évêques et leur trop grande propension à fermer des paroisses, par dizaines dans le pays. Dans ce manifeste, les signataires indiquent que la foi catholique, la culture, son patrimoine et son héritage «sont menacés d’être perdus pour toujours». Ils reprochent également aux évêques leur réticence à s’exprimer en public.    

    Carlota : Voici un texte de José Luis Restán qui concerne les Pays Bas. Nous sommes évidemment dans la même situation et finalement si le pape parle de dialogue, l’initiative des laïcs hollandais, ne pourrait-il pas, à bon escient, faire école… car nous aussi, malgré nos bonnes volontés et nos veilles et marches sur le terrain, nous avons besoin d’avoir avec nous nos évêques, tous nos évêques, avec leur savoir, leur intelligence, leur spécificité d’évêques, de bergers qui gardent et guident.

    Original ici: www.paginasdigital.es 

    UN MANIFESTE INHABITUEL - José Luis Restán - 12 -12- 2013

    Parmi les tâches qui attendent le pape François se trouve celle de recevoir les évêques du monde entier pour partager leurs problèmes, proposer de nouveaux chemins et rénover la passion missionnaire. En définitive il s’agit de « confirmer dans la foi », comme Jésus a chargé l’apôtre Pierre de le faire. Cette communion avec Pierre est un besoin vital et non une simple question d’organisation et c’est ainsi que s’explique que tout pape doit passer beaucoup de temps, de sagesse et de patience à ces rencontres dénommées du terme technique de « visita ad limina ».

    Lire la suite sur le site Benoît-et-moi

  • Troisième dimanche de l’Avent : « Gaudete »

    IMPRIMER

    Chasuble-rose.jpgAntienne ad introïtum missae (phil. 4, 4-6) : Gaudete in Domino semper : iterum dico, gaudete. Modestia vestra nota sit omnibus hominibus : Dominus enim prope est. Nihil solliciti sitis : sed in omni oratione petitiones vestrae innotescant apud Deum (Soyez toujours joyeux dans le Seigneur : je vous le répète, soyez joyeux. Que votre sérénité soit remarquée par tous les hommes, car le Seigneur est proche. Ne vous inquiétez de rien, mais qu’en toute prière vos besoins se fassent connaître auprès de Dieu)

    Le dimanche rose C’est un dimanche de joie pendant l’Avent. Comme des enfants qui attendent impatiemment l’Enfant-Jésus, nous ne pouvons plus maîtriser la joie que nous cause la venue du Seigneur ; ce sentiment de joie nous domine. Cette joie est comme une joie de Noël anticipée. La couleur liturgique est au lieu de violet, le rose. Le rose est une atténuation du violet, il tient par conséquent le milieu entre la couleur de la pénitence et celle de la joie ; il signifie une joie modérée, une joie anticipée. On peut, aujourd’hui, à la différence des autres dimanches de l’Avent, orner l’autel de fleurs et les orgues se font entendre. A la grand’messe, le diacre et le sous-diacre portent la dalmatique et la tunique.

    Lire la suite

  • Mgr Léonard sur KTO

    IMPRIMER

    LA VIE DES DIOCèSES sur KTO

    Mgr André-Joseph Léonard - Diocèse de Malines-Bruxelles Diffusé le 13/12/2013 / Durée 29 mn

    Hors-série avec Mgr André-Joseph Léonard. L'archevêque de Malines-Bruxelles a repris ses visites pastorales dans les doyennés pour encourager les chrétiens. Dans une Eglise encore forte de ses institutions et de moyens mais grignotée par la perte de la foi, comment raviver la flamme ? Mgr Léonard, souvent contesté, ne perd pas pour autant sa vigueur évangélique. L'un de ses premiers soucis : les prêtres, les vocations sacerdotales et la formation au séminaire. Mais aussi, quel engagement des chrétiens dans la société ? Quelle contribution au débat actuel sur l'élargissement de l'euthanasie aux personnes mineures et déficientes psychiques ? Un entretien réalisé en Belgique.