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Islam - Page 102

  • Nouveaux attentats antichrétiens au Nigéria (mise à jour)

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    Les chrétiens nigérians ont été à nouveau victimes d'actes terroristes dont la responsabilité échoit, comme à chaque fois, au groupe islamiste Boko Haram. On sait que l'objectif de ce groupe est d'instaurer la charia dans ce pays. Lire l'information concernant ces attentats : Nigeria-attentats-a-l-explosif-contre-deux-eglises-revendication-de-Boko-Haram

    Il faut cependant être attentif aux propos de l'archevêque de Jos rapportés et commentés par l'Agence Fides :

    « Nous avons à faire à un groupe de criminels. Nous n'en sommes pas au nettoyage ethnique et religieux » déclare l'Archevêque de Jos qui appelle à la prudence

    Abuja (Agence Fides) - « Nous avons à faire à un groupe de criminels qui pense que l'Eglise est un ennemi parce qu'à ses yeux, elle incarne la culture occidentale. Je ne pense cependant pas que ce soit la manière de voir de la majorité des musulmans du Nigeria. Ceux qui attaquent les lieux de culte chrétiens constituent une bande de criminels qui a perdu toute forme d'orientation. On ne sait même plus ce qu'ils veulent obtenir au travers de cette violence » déclare à l'Agence Fides S.Exc. Mgr Ignatius Ayau Kaigama, Archevêque de Jos et Président de la Conférence épiscopale du Nigeria, commentant les attaques perpétrées hier, Dimanche 10 juin, contre des lieux de culte chrétien à Jos - où un kamikaze s'est fait exploser dans l'église de la Christ Chosen Church - et à Biu - où un commando a ouvert le feu contre les fidèles qui participaient à une fonction. Mgr Kaigama précise qu'il se trouve à Calabar d'où il est sur le point de faire retour à Jos et qu'il ne dispose pas d'informations directes sur les derniers événements même s'il se tient en contact constant avec ses collaborateurs diocésains. Selon des nouvelles de presse, les deux attaques ont causé la mort d'au moins quatre personnes.

    Les deux attaques ont été revendiquées par la secte islamique Boko Haram. Selon le Président de la Conférence épiscopale du Nigeria, le fait que « ce groupe de criminels se réfèrent à l'islam ne signifie pas que tous les islamiques nigérians soient d'accord avec leurs actions. Je ne partage pas l'avis de ceux qui parlent de nettoyage ethnique ou religieux. Il existe par ailleurs également des groupes chrétiens qui tendent à exagérer la situation avec l'aide des media qui présentent une image déformée de ce qui se passe. Certains chrétiens se plaignent de ne pas parvenir à pratiquer le culte. En ce qui concerne mon Archidiocèse, je peux assurer qu'à Jos, il existe une forte communauté catholique qui ne subit pas d'entraves en ce qui concerne la libre célébration des rencontres de prière et le déroulement de ses devoirs religieux.

    Il faut donc être prudent en rapportant les faits parce qu'il existe le risque de semer encore plus de panique et de confusion » avertit Mgr Kaigama. (L.M.) (Agence Fides 11/06/2012)

  • Barnabé : un vrai saint et un faux évangile

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    Voici, d'abord, la biographie de Barnabé, saint apôtre vénéré aujourd'hui (source : missel.free) :

    Barnabé était un juif de la tribu de Lévi, né dans l’île de Chypre où une importante colonie juive s’était installée à l’époque d’Alexandre le Grand. Il reçut dans sa jeunesse une culture hellénique. Il vint à Jérusalem et fit partie de la première communauté chrétienne : « Joseph, surnommé par les apôtres Barnabé - ce qui veut dire fils de consolation - lévite originaire de Chypre, possédait un champ ; il le vendit, apporta l’argent et le déposa au pied des apôtres » (Actes des Apôtres IV 36-37). Dès lors, tout au long de ses courses apostoliques, il vécut du travail de ses mains, comme le dit saint Paul dans sa première lettre aux Corinthiens (IX 6).

    Certaines traditions affirment que Barnabé étudia la torah à l’école de Gamaliel, à Tarse où il rencontra Saul qui devint saint Paul. Toujours est-il que c’est Barnabé qui présenta Paul à Jérusalem : « Barnabé l’ayant pris avec lui, le mena aux apôtres et leur raconta comment, sur le chemin, Saul avait vu le Seigneur qui lui avait parlé et avec quel courage il avait à Damas prêché le nom de Jésus » (Actes des Apôtres IX 27).

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  • "Nulle contrainte en religion", un verset coranique controversé

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    Récemment encore, à Liège, lors d'un débat consacré à "Islam et laïcité", des intervenants ont argumenté en faveur d'une tolérance musulmane qui serait fondée sur ce célèbre verset du coran. Un site canadien voué "à la défense de nos libertés par l'éducation sur la menace de l'islamisme" consacre une note circonstanciée à l'exégèse et à l'interprétation de ce verset.

    Le verset 2:256 ‘Nulle de contrainte en religion’ : l’arme favorite des Frères Musulmans pour berner les élites occidentales

    RÉSUMÉ – Pour camoufler leurs ambitions de conquête, les Frères Musulmans citent fréquemment le verset 2:256 du Coran ‘Nulle contrainte en religion’. L’interprétation libérale du verset qu’ils présentent aux non-musulmans est aux antipodes de celle qu’en font leurs exégètes et de celle qu’ils appliquent.

    à lire ici : pointdebasculecanada.ca

  • Un jeune musulman tunisien converti au christianisme égorgé rituellement et décapité par des islamistes (2e mise à jour)

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    Daniel Hamiche (Observatoire de la christianophobie) fait écho à ce fait qui, semble-t-il, n'est pas isolé. C'est ici, et c'est terrible.

    Dimanche dernier, nous fêtions la Trinité; les chrétiens ont-ils conscience qu'aux yeux de l'Islam ils sont ainsi accusés de polythéisme et que des tenants d'un Islam radical jugent que cela mérite la mort?

    L'article cité a été complété par un second apportant certaines précisions : egorgement-rituel-dun-converti-chretien-de-nouvelles-precisions

    Voir également (sur le blog d'Y. Daoudal) :

    "A propos de la vidéo de décapitation d’un converti :

    Tout le monde se pose à juste titre la question de l’authenticité de la vidéo montrant l’égorgement et la décapitation d’un musulman converti au christianisme. Voici la traduction d’un article du P. Samir Khalil Samir, pour AsiaNews."

  • Quand un imam rencontre Jésus

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    Mark A. Gabriel / Un imam rencontre Jésus ! (par actualité chrétienne)

    L’Egyptien Mark A. Gabriel a fait ses études en histoire et culture islamiques à l’Université al-Azhar au Caire, vieille de mille ans et la plus influente du monde islamique avec quatre-vingt-dix mille étudiants. Sa thèse a été diffusée en direct sur une station de radio égyptienne. A 28 ans, il était l’un des plus jeunes professeurs que l’université ait jamais eus. Dans le même temps, il était imam (chef de prière et prédicateur) dans une mosquée de Gizeh, environs du Caire.

    Lorsque son meilleur ami est devenu terroriste, il a commencé à avoir des doutes sur l’islam et a eu le sentiment qu’il devait chercher la vérité. Quand il s’est mis à étudier la Bible, il a été chassé de sa famille. Des musulmans fanatiques et même son père ont essayé de le tuer. Après avoir été torturé en raison de sa conversion au christianisme, il est parvenu à s’échapper et à s’exiler aux Etats-Unis, où il a étudié la pédagogie chrétienne et les religions du monde (études de sciences chrétiennes de l’éducation). Aujourd’hui, il est vice-président du Counter Terrorism Training (CTT), formation pour la lutte antiterroriste.

    Du 17 juin au 1er juillet 2012, le docteur Mark A. Gabriel sera en Suisse pour parler de sa vie et donner son témoignage. Sur l’invitation de l’AEM, ce chrétien connu par ses livres impressionnants parlera de sa vie personnelle et, avec son expertise, des questions soulevées par le thème de ses conférences: «Un imam a rencontré Jésus.» Il répondra également à vos questions.

    Source : AEM (Aide à l'Eglise dans le Monde)

  • Les chrétiens de Qusayr (Syrie) sommés de s'en aller de chez eux

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    Ultimatum lancé contre les chrétiens de Qusayr(source : Fides.org)

    Exode des chrétiens dans l'ouest de la Syrie : la population chrétienne encore présente dans la petite ville de Qusayr, dans les environs d'Homs, a fait l'objet d'un ultimatum lancé par le chef de l'opposition armée, Abdel Salam Harba. C'est ce qu'indiquent des sources locales de Fides, signalant qu'auparavant, suite à l'éclatement du conflit, 9.000 des 10.000 chrétiens présents avaient déjà quitté la ville.

    Certaines mosquées de la ville ont accepté de relayer le message annonçant du haut des minarets : « Les chrétiens doivent quitter Qusayr dans un délai de six jours qui se termine vendredi ». L'ultimatum, qui a donc expiré hier, 8 juin, a apeuré le reste de la population chrétienne qui avait espéré que la présence du Père Paolo Dall'Oglio à Qusayr pour une semaine dans le but d'y prier et d'y jeûner pour la paix au milieu du conflit (voir Fides 30/05/2012) aurait pu améliorer la situation.

    Les raisons de cet ultimatum demeurent obscures. D'aucuns disent que c'est pour épargner aux chrétiens de nouvelles souffrances. D'autres y relèvent une continuité dans la discrimination et la répression qu'ils expérimentent depuis des mois. D'autres encore se lamentent que certains chrétiens ont manifesté trop clairement leur loyauté à l'Etat, ce qui a provoqué ces mesures. Les familles chrétiennes demeurant à Qusayr ont commencé leur exode en direction des vallées et des campagnes environnantes. Certaines sont allées se réfugier chez des parents ou des amis à Damas. Il y a cependant beaucoup de familles qui sont restées sur place malgré l'ultimatum ne se résignant pas à abandonner leur ville natale, leurs terrains et leurs biens mais on ne sait quel destin pourra les attendre. Des sources de Fides réaffirment que des groupes extrémistes islamistes salafistes se trouvant dans les rangs de l'opposition armée considèrent les chrétiens comme des renégats, confisquant leurs biens, pratiquant des exécutions sommaires et étant prêts à déclencher une guerre confessionnelle. (PA) (Agence Fides 09/06/2012)

    On comprend d'autant mieux cet Appel du Patriarche gréco catholique en faveur d’un mois de jeûne et de prière pour la paix

  • Les sanctions économiques et les actions des militants islamiques extrémistes commencent à faire davantage de morts que les soldats du régime de Bachar Al-Assad

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    C'est ce que déclare Mgr Giuseppe Nazzaro, vicaire apostolique d'Alep (Syrie) ainsi qu'on pourra le découvrir sur une dépêche d'APIC : mgr-giuseppe-nazzaro-vicaire-apostolique-dalep-en-syrie-met-en-garde-les-occidentaux

    (n.b. : APIC © Utilisation des articles et toute reproduction partielle ou intégrale faite sans autorisation de la part de l'éditeur est interdite et illégale.)

  • Madame Ashton au Pakistan : évoquera-t-elle les minorités religieuses et la loi sur le blasphème ?

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    Comme le rapporte l'Agence Fides, les ONG an appellent afin que « Mme Ashton parle des minorités religieuses, de la liberté religieuse et du blasphème »

    Abus à l’encontre des minorités religieuses, droits humains, liberté religieuse, loi sur le blasphème : tels sont les thèmes les plus brûlants et les questions « de forte préoccupation » que Catherine Ashton, Haut représentant de l’Union européenne pour les Affaires Etrangères, devrait affronter lors de sa visite au Pakistan qui débute aujourd’hui, 5 juin.

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  • Syrie : La désolation de la ville d'Homs et la guerre de l'information

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    Déclarations d’un Evêque gréco catholique à propos de « la désolation de la ville d’Homs et de la guerre de l’information » - Damas (Agence Fides)

    « La paix en Syrie pourrait être sauvée si tous disaient la vérité. Après un an de conflit, la réalité sur le terrain est loin du cadre qu’impose la désinformation des moyens de communication de masse occidentaux » : c’est ce qu’affirme, dans un témoignage envoyé à Fides, l’Evêque français Philippe Tournyol Clos, Archimandrite gréco catholique melkite qui a visité ces jours derniers la Syrie, se rendant dans différentes villes, telles que Damas, Alep et Homs.

    A Homs, qualifiée de « ville martyr », les forces d’opposition ont occupé deux quartiers, Diwan Al Bustan et Hamidieh, où se trouvent toutes les églises et les Evêchés raconte à Fides l’Archimandrite. « Le spectacle qui s’offre maintenant à nos yeux – continue-t-il – est celui de la plus absolue désolation : l’église de Mar Élian est à demi détruite et Notre-Dame de la Paix saccagée (près de laquelle on a trouvé plusieurs personnes égorgées) est encore occupée par les rebelles. Les maisons, très endommagées par les combats de rue sont entièrement vidées de leurs habitants qui ont fui sans rien emporter ; le quartier d’Hamidieh constitue encore aujourd’hui le refuge inexpugnable de bandes armées indépendantes les unes des autres, fournies en armes lourdes et en subsides par le Qatar et l’Arabie Saoudite. Tous les chrétiens (138’000) ont pris la fuite jusqu’à Damas ou au Liban ; ceux qui n’y avaient pas de parents se sont réfugiés dans les campagnes avoisinantes, chez des amis, dans des couvents, jusqu’au Krak des Chevaliers. Un prêtre y a été tué ; un autre, blessé de trois balles dans l’abdomen, y vit encore ainsi qu’un ou deux autres, mais ses cinq évêques se sont prudemment réfugiés à Damas ou au Liban ».

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  • L'inquiétudes des chrétiens syriens

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    Agence Fides : Les chrétiens syriens représentent une cible potentielle pour la vengeance des groupes armés et des miliciens sunnites qui veulent venger le massacre de Houla. Et ils sont les victimes privilégiées des prises d'otage. Ce que déclare des familles de réfugiés syriens ayant fui la zone de Homs en direction du Liban est par ailleurs confirmé par des sources de Fides au sein de l'Eglise syrienne.

    Ainsi que cela a été indiqué à l'Agence Fides par la Caritas Liban, des familles apeurées de réfugiés syriens continuent à passer la frontière. Il s'agit de musulmans alaouites et de chrétiens, surtout ceux qui étaient employés dans des administrations publiques. Ils proviennent en grande partie de villages de la zone d'Homs, tel que Qusayr et d'autres encore. Les chrétiens préfèrent fuir parce qu'ils sont considérés comme étant « proches du régime ou protégés par le régime de Bashar al-Assad ». Avec la pérennisation de la violence et après des épisodes comme celui du massacre de Houla, attribué pour l'heure à l'armée syrienne - même si les versions demeurent discordantes - le désir de vengeance à l'encontre des civils « partisans du régime » augmente également dans les rangs des miliciens et de l'opposition. Si les miliciens sunnites cherchent à venger leurs proches qui ont été tués, la cible est constituée par les alaouites - minorité à laquelle appartient Assad - mais également les chrétiens.

    Une famille gréco catholique syrienne, arrivée au Liban en provenance de Qusayr, raconte à Fides avoir quitté le village à cause des combats entre l'armée et les rebelles mais surtout du fait de la plaie représentée par les enlèvements. De nombreux chrétiens sont enlevés par des hommes masqués, certains ayant un accent local, d'autres non. Les ravisseurs demandent de lourdes rançons. Un de leurs parents chrétiens - racontent les réfugiés - a été tué, d'autres enlevés et torturés parce que « non alignés avec les révolutionnaires ». Le père et le cousin du Père Issam Kassouha, prêtre catholique, ont été eux aussi enlevés ces jours derniers avant d'être, bien heureusement, relâchés. « Nous ne savons pas si les terroristes étaient des militants sunnites à la recherche d'une vengeance ou des criminels voulant profiter du chaos en frappant les plus faibles » expliquent les réfugiés. « Dans le cas où il y aurait d'autres massacres comme celui de Houla, les chrétiens pourraient payer un prix élevé » concluent-ils. (PA) (Agence Fides 30/05/2012)

    Voir aussi : Le Père Paolo Dall'Oglio, SJ, en prière à Qusayr pour bloquer le conflit confessionnel

  • Mardi 29 mai : commémoration de la prise de Constantinople par les Turcs

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    C’était, hier, 29 mai, le jour anniversaire de la prise de Constantinople. Selon une dépêche de l’Agence Apic datée de ce jour « des milliers de militants islamistes ont manifesté, le 27 mai 2012, à Istanbul pour réclamer la réouverture au culte musulman de la basilique Sainte-Sophie. Un petit groupe de musulmans s’est à nouveau rassemblé pour une prière devant les portes de l’édifice, mardi 29 mai 2012, jour anniversaire de la prise de Constantinople par les Turcs en 1453 ». Ici : Turquie : Des musulmans veulent récupérer la basilique Sainte Sophie de Constantinople

    Coïncidence : loin de ces agitations  (quoique…) un lunch-débat ouvert à un large public était organisé ce même jour à l’Université de Liège par l’Union des Etudiants Catholiques et le Groupe Ethique Sociale sur le thème « Religions et Etat dans l’Islam » avec  Vincent Legrand (professeur  à l’UCL, spécialiste du monde arabe, de l’étude des religions et de la laïcité) et Maximos Botros, diacre de l’Eglise catholique copte d’Egypte.

    Aux propos sympathiques mais empreints d’un humanisme irénique un peu décalé du Professeur Vincent Legrand répondaient ceux, beaucoup plus tranchés de Maximos Botros :  fondamentalement les minorités chrétiennes historiques d’Orient dénoncent le double langage du monde musulman, sans parler des violences et contraintes qui en bon français s’appellent des persécutions.

    Même contraste dans la salle : langage lénifiant  des intellectuels de l’Islam et des chrétiens arborant le rameau du dialogue et, de l’autre, vertes paroles de catholiques orientaux rejoints par leurs frères occidentaux beaucoup moins convaincus par la mise en perspective optimiste d’un certain discours  convenu dans les milieux « bien- pensants » du catholicisme officiel.

    Au total, une assemblée assez libre, où bien sûr les professions de foi des uns et des autres s’expriment plus abondamment que les vraies questions…Textes bientôt disponibles ici: info@ethiquesociale.org

  • Les chrétiens au Pakistan vivent des instants tragiques

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    Plusieurs dépêches de fides.org font état de violences à l'égard des chrétiens du Pakistan :

    ASIE/PAKISTAN - Fusillade contre des chrétiens : trois blessés à Karachi - un parlementaire chrétien du Sindh menacé

    Karachi (Agence Fides) – Un groupe d’extrémistes a fait irruption dans le quartier chrétien d’Essa Nagri, à Karachi, ouvrant le feu et blessant trois chrétiens : Aftab Bhatti Khairat Masih, 40 ans, Khurram Afzal, 22 ans et Khurram Ishaq, 15 ans, qui ont tous été hospitalisés. Ainsi que cela a été indiqué à Fides, les terroristes ont également touché l’église adventiste du septième jour et l’église de Saint Luc. L’épisode, qui remonte au 19 mai, fait remonter en surface la question de l’insécurité et des persécutions à l’encontre des communautés chrétiennes d’Essa Nagri et d’autres faubourgs de Karachi, capitale de la province du Sindh et ville au sein de laquelle la violence sectaire est très répandue.

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