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Islam - Page 104

  • Egypte: 14 candidats à la papauté

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    600px-Coptic_cross_svg.pngAprès le décès de Chenouda III, qui sera le prochain “pape” des coptes -orthodoxes? Portrait des trois favoris, dans une liste de quatorze noms qui ont été dévoilés lundi. Un choix important dans un pays où la minorité chrétienne historique ( estmée à 10 % de la population) est fragilisée par le “revival” islamique et menacée par l’islamisme radical.

    Lu sur les matinales de “La Vie” (extraits):

    (…) Parmi les favoris à l'élection, un trio de tête se dessine déjà. Le premier est l'évêque délégué à la jeunesse, le très populaire Anba (Mgr) Moussa, 74 ans, chirurgien de formation avant d'entrer au monastère. Les puristes lui reprochent sa famille protestante, mais ses qualités de négociateur, son image consensuelle et sa forte influence sur la jeunesse copte sont des atouts importants. Depuis qu'il s'occupe des jeunes, il a favorisé la création de plusieurs commissions avec et pour eux; le Groupe pour la Participation Patriotique, afin d'inciter les jeunes coptes à s'investir dans la vie publique égyptienne, en partenariat avec des associations de jeunes musulmans; le Groupe pour le développement culturel, qui oeuvre à la pérennité de la culture copte; et le Groupe Economique, qui vise à favoriser l'émergence d'entreprises dans la communauté. Dès le début de la révolution égyptienne, il s'était fendu de deux tribunes dans la presse pour soutenir la révolte du 25 janvier 2011, avant même la chute de Moubarak.

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  • Une analyse éclairante de la situation au Nigeria

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    Un responsable de l'Aide à l'Eglise en Détresse (suisse) s'est rendu au Nigeria. Son analyse :

    Nigeria: "Pas question de diviser le pays sur des bases religieuses"

    Rencontre avec le responsable d’AED, Roberto Simona,  de retour d'une mission de 15 jours dans l'etat le plus peuplé de l'Afrique.

    Avant l’arrivé d’un islam militant formaté dans les madrasas (écoles coraniques) du Pakistan, de Somalie et d’Egypte, le Nigeria était un kaléidoscope de différentes ethnies et traditions religieuses cohabitant en paix. Si les messes et cultes du dimanche devaient être suspendus suite aux attaques kamikazes des membres de la secte islamiste "Boko Haram", le nord et le centre du pays risqueraient d’être vidés de leur population chrétienne, confie à l’Apic Roberto Simona.

    Responsable pour la Suisse romande et la Suisse italienne de l’œuvre d’entraide catholique internationale "Aide à l’Eglise en Détresse" (AED), Roberto Simona s’est rendu en mars dernier durant deux semaines dans ce pays d’Afrique de l’Ouest en proie à la violence. Il relève que l’islamisation du pays, soutenue par les pétrodollars de l’Arabie Saoudite, est toujours plus perceptible.

    Les pétrodollars de l’Arabie Saoudite

    Fortes de cet appui financier, les institutions musulmanes se développent toujours davantage. L’adhésion du pays à l’Organisation de la Coopération Islamique OCI (anciennement l’Organisation de la Conférence Islamique), l’instauration de la charia (le droit islamique) dans certains Etats de la Fédération nigériane, l’ouverture de nouvelles banques islamiques, les textes en caractères arabes sur les billets de la monnaie locale, en sont des signes tangibles.

    Comptant plus de 162 millions d’habitants, le Nigeria est le pays le plus peuplé du continent noir. "Les prêtres et les pasteurs dans le pays sont très conscients de l’importance de leur mission et des enjeux politiques que les célébrations des jours de fêtes ont pour la permanence du christianisme là où on cherche à l’éradiquer", lâche Roberto Simona.

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  • Indonésie : Sant'Egidio et une organisation musulmane s'engagent pour la paix interreligieuse

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    Mardi 24 avril dernier, la communauté catholique Sant’Egidio a signé un accord avec la Muhammadiyah, deuxième organisation musulmane d’Indonésie, dans le cadre de la visite du Ministre des Affaires étrangères italien Giulio Terzi à Jakarta.

    Intitulé 'Working Together on One Humanity, One Destiny, One Responsibility' , ce memorandum engage les deux organisations à collaborer pour le dialogue interreligieux entre chrétiens et musulmans « dans le domaine de la solidarité, du dialogue interreligieux, de la promotion d'une culture de la tolérance et de la cohabitation pacifique mais aussi de la résolution des conflits, de la recherche de la paix et de l’aide humanitaire ». Ces actions communes seront développés en collaboration étroite avec les institutions et les gouvernements locaux, selon les principes de fonctionnement de la communauté d’origine italienne.

    C’est à l’issue d’une rencontre interreligieuse organisée le 23 avril par la communauté catholique avec la collaboration active des ministres des Affaires étrangères des deux pays, que ce Memorandum of Understanding (MoU) a été signé par le président de Sant'Egidio, Marco Impagliazzo, et le président de la Muhammaddiyah, Din Syamsuddin.

  • Quand la Turquie s'éloigne de l'héritage d'Ataturk

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    Nous lisons sur catho.be : Fin mars, le système éducatif est réformé en Turquie. Allongement de la durée d’enseignement obligatoire: 4 années supplémentaires, mais surtout, les cours de religion islamique s’invitent en classe dès la fin du primaire.

    Désormais, les élèves ne devront plus attendre d’avoir seize ans pour accéder aux « imam hatip », ces écoles de prédicateurs religieux initialement vouées à former des imams. Dès la fin du primaire, vers onze ans, ils peuvent recevoir cet enseignement qui soulève le courroux des laïcs turcs.

    La réforme ne s’arrête pas là. Elle introduit deux cours facultatifs sur le Coran et sur la vie du prophète Mohammed ainsi que l’apprentissage de la langue arabe, en humanités, qui s’ajoutent au cours obligatoire de religion d’une heure par semaine. « Qu’y a-t-il de plus beau qu’apprendre le Coran? » a demandé Recep Tayyip Erdogan, le premier ministre turc, lors des débats parlementaires. « Aujourd’hui, grâce à notre gouvernement, la nation obtient le droit d’apprendre sa religion. » Facultatifs aujourd’hui, ces cours de religion ne vont-ils pas devenir obligatoires demain? Les milieux laïcs de Turquie se sentent attaqués et craignent la « formation d’une jeunesse religieuse », souhait évoqué par le premier ministre. De plus, le ministère de l’éducation et les enseignants ont été mis devant le fait accompli. La réforme passe donc très mal dans un pays où l’école est, depuis la fondation de la République en 1923, le terrain d’affrontement privilégié entre laïcs et religieux.

    Source : info.catho.be (La Croix/SB)

  • Encore les Présidentielles françaises: un vote religieux très convoité ?

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    Sur les matinales du  site de “La Vie” aujourd’hui:

    “C'est une lettre signée de trois prêtres. Le premier, l'abbé Guillaume de Tanoüarn, est à l'Institut du Bon Pasteur; le second, le père Vincent Ribeton, est le supérieur pour la France de la Fraternité Sacerdotale Saint-Pierre; et l'abbé Coiffet est son prédécesseur à la même FSSP. Trois prêtres de la frange traditionnaliste de l'Eglise, qui écrivent ceci: "Les présentes réflexions ne visent en aucun cas à imposer pour qui voter ou à donner des consignes de vote, mais plutôt à considérer le Bien Commun pour notre pays". S'ils ne donnent pas de consigne de vote, les trois abbés n'en appellent pas moins à voter pour Nicolas Sarkozy au deuxième tour des présidentielles: "Or, de manière patente, l’un des programmes proposés, porté par le candidat socialiste, démontre une volonté évidente de rupture avec les éléments premiers du Droit Naturel ; les conséquences de l’application d’un tel programme seraient dramatiques pour la vie quotidienne comme pour l’avenir des Français".

     Une initiative qui pourrait ne pas déplaire au président sortant, qui pense trouver dans le vote catholique un réservoir naturel de voix - sans doute a-t-il pris connaissance de notre sondage qui semble avoir confirmé ce postulat pour le vote du premier tour). On a ainsi vu réapparaître les "Cathos avec Sarko", un groupe qui avait déjà investi le web en 2007 sous le nom de "catholiques de l'UMP"  avant de rester étrangement muet devant l'avalanche d'atteintes à la doctrine sociale de l'Eglise du quinquennat, puis de ressortir du bois à l'orée du second tour avec ce nouveau site. Conscients tout de même que le vote Sarkozy ne fait guère l'unanimité chez les cathos de gauche comme de droite, les auteurs citent... le cardinal Barbarin: "Nous les cardinaux ne votons pas pour celui qui nous plaît, mais pour celui qui nous semble le plus apte à remplir cette fonction. Ce n’est pas forcément le meilleur ou le plus intelligent, c’est celui qui nous paraît être le plus à même d’assumer cette charge". Une phrase que l'archevêque de Lyon avait dite à propos de l'élection... du pape.

    A gauche, on ne court guère derrière les voix catholiques. Mais on observe sans déplaisir la faveur annoncé du vote musulman . Et ça ne plaît guère à droite. Un article du site Marianne2.fr expliquait, deux jours avant les élections, que 700 imams appelaient à voter pour François Hollande; pour le coup, la droite s'est offusquée, voyant dans cet appel une "action contre la laïcité". Nommément pris à partie par deux députés UMP, Eric Ciotti et Franck Riester, les deux recteurs des mosquées de Lyon et de villeurbanne, ont démenti toute ingérence. Il faut dire que leur texte, sans appeler à voter pour le candidat socialiste, évoque le "changement" du slogan de François Hollande: "Les musulmans de France ne resteront plus les bras croisés. Ils ne peuvent plus se contenter d’être les «spectateurs» de ces élections. Ils doivent devenir acteurs de leur propre changement. Et pour être entendus, ils doivent prendre leur destin en main en exerçant leur droit de vote en leur âme et conscience". Référence:   Elections : un vote religieux très convoité

     Les imams, les curés, et les « poissons roses » dans tout cela ? A chacun son « moindre mal » semble-t-il.

     Plus intéressante à connaître serait l’attitude de Marine Le Pen (près de 20 pourcents des voix) qui mijote encore ses petits calculs post-électoraux. Eh oui, après les présidentielles, les législatives. Difficile de rester au balcon, difficile de choisir mais entre électoralisme et bien commun, il faut quelquefois se déterminer (pour cela il faut aussi avoir un vrai projet de société). 

  • C'était pour rire, gamin !

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    Sur le site de RTL.be, on découvre cette surprenante version de ce qui a failli être un incident diplomatique sous le titre : Quand le premier ministre marocain snobe Annemie Turtelboom, à la limite de l’incident diplomatique(Fabrice Grosfilley) (C'est nous qui soulignons.)

    La scène se passe le 11 avril à Rabat, capitale administrative du Maroc. Ce jour-là, le premier ministre marocain reçoit en audience Didier Reynders, ministre des Affaires étrangères, et Annemie Turtelboom ministre de la Justice. Les deux Belges vont avoir droit à un accueil glaçant.

    Abdelilah Benkiran ne semble pas concevoir qu’on puisse lui envoyer en audience une ministre de sexe féminin. Pendant tout l’entretien, il s’adresse donc ostensiblement à Didier Reynders. Pire, le premier ministre marocain explique à son visiteur qu’il parle fort bien le français et qu’il était donc « inutile de venir avec une interprète ».  Le message est donc clair : je ne parle pas avec une femme. Annemie Turtelboom est sous le choc. Tous les dossiers du ressort de la ministre (et ce ne sont pas de petits dossiers: l’égalité homme/femme, les mariages forcés, ou encore le retour des condamnés à des peines de prison dans leur pays d’origine comme le prévoit l’accord de gouvernement) seront finalement abordés par Didier Reynders. En face, le Marocain ne quitte pas son chapelet ("tsabih" ndbelgicatho) de tout l’entretien.

    En sortant de l’audience, Annemie Turtelboom est furieuse. Si Didier Reynders n’avait pas été présent et si elle n’avait pas craint de déclencher un incident diplomatique majeur, elle aurait quitté la réunion en claquant la porte confie-t-elle sur le moment.

    L’anecdote n’est pas sans valeur. Abdelilah Benkiran est membre du PJD, le parti de la justice et du développement, le parti islamiste, grand vainqueur des dernières élections législatives. Ces derniers jours, il s’est même permis de critiquer l’entourage du roi Mohammed VI, du jamais vu. Le Printemps arabe n’est pas encore terminé. Il est encore là et pourrait bien revenir aurait-il déclaré selon l’agence Reuters.

    Deux semaines après l’incident, on temporise côté belge. La porte-parole d’Annemie Turtelboom précise que le premier ministre marocain a voulu faire une blague et qu’il  a fini par s’excuser. Officieusement pourtant, ceux qui m’ont rapporté l’anecdote n’étaient pas sûrs d’avoir entendu ces excuses.

    Bref, une fois encore, on "écrase". Cela n'empêchera pas la classe politique belge de courtiser les mosquées pour y aller à la pêche aux voix. Cela n'empêchera pas non plus les porte-parole du politiquement correct de continuer à se réjouir du "printemps arabe" dont on voit pourtant bien où il conduit...

    A lire également : Maroc-les-islamistes-au-pouvoir-s-activent

  • Syrie : les chrétiens taxés

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    Rapporté par Natalia Trouiller (source) :

    SYRIE: LES CHRETIENS TAXES
    C'est une rumeur qui courait depuis quelques semaines. Elle se voit confirmée par Mario Tosatti du Vatican Insider et par AsiaNews: les chrétiens de Homs, en Syrie, se voient obligés de payer un impôt spécifique à l'armée des opposants au régime de Bachar Al-Assad. Cet impôt, appelé jizya, tire son origine du Coran: "Faites la guerre à[...] ceux d'entre les hommes des Écritures qui ne professent pas la vraie religion jusqu'à ce qu'ils payent le tribut de leurs propres mains et qu'ils se soient soumis". D'autre part, selon le site Al Haqiqah, plusieurs centaines de Pakistanais armés sont arrivés à Homs pour venir en aide aux rebelles.

  • La laïcité dans le cadre des institutions de l'Union européenne

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    article-3651-img1.jpgLe mardi 28 février dernier, Mgr Piotr Mazurkiewicz (1), secrétaire général de la COMECE (Commission des Episcopats de la Communauté Européenne)(2), était l’invité d’un lunch-débat organisé à l’Université de Liège par l’Union des étudiants catholiques liégeois et le Groupe éthique sociale, associés au forum de conférences Calpurnia. Le thème de la communication que Mgr Mazurkiewicz a prononcée, à titre personnel, portait sur la laïcité dans l’Union européenne (3). Ce thème s’inscrit dans le cadre d’un cycle de rencontres « Neutralité ou pluralisme : dialogue entre religions et philosophies non confessionnelles ».  Voici la transcription officieuse  de l’exposé réalisée par un auditeur (les intertitres sont de sa plume) :

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  • "Questions à la Une" sur l'Islam en Belgique : Philippe Moureaux ne fait pas dans la nuance...

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    C'est ce qu'on découvrira dans La Libre (sous la plume de F.S. et de "rédaction en ligne"); il est ahurissant que ce bourgmestre entre délibérément dans le jeu manipulateur des questions posées par le journaliste de Maghreb TV et prenne une position aussi dépourvue de tout esprit critique. Quand on constate l'intolérance de l'establishment politique belge à l'égard du Vatican, on est atterré par l'indulgence que certains élus professent à l'égard des dérives musulmanes. Mais il est évident que l'électoralisme joue un rôle important dans cette partialité, l'immigration représentant un large fond de commerce électoral que certains hommes (ou femmes) politiques exploitent sans vergogne. Mais ils découvriront un jour (peut-être pas très éloigné) qu'il n'est pas indifférent de vivre à l'ombre des clochers ou à celle des minarets...

    (Pour comprendre : voir la video de l'émission incriminée)

    "Philippe Moureaux : "Questions à la Une use de procédés dignes du nazisme"

    Le bourgmestre de Molenbeek-Saint-Jean a également qualifié le journaliste Frédéric Deborsu d'islamophobe.

    Le dernier numéro de Questions à la Une n'a pas laissé Philippe Moureaux indifférent. Sur les antennes de Maghreb TV, le bourgmestre de Molenbeek-Saint-Jean a manifestement été courroucé par le reportage signé Frédéric Deborsu consacré à la montée de l'islam en Belgique. "C'est une émission assez scandaleuse ! Je suis tout à fait furieux (...) Il n'y a pas une seule image positive qui a été retenue ! Quand on essaie de faire une émission objective, on peut critiquer bien entendu. (...) C'est tout simplement de la manipulation."

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  • Le pardon des proches d'Amaria à son meurtrier

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    ASIE/PAKISTAN - Le mot « pardon » aura été le dernier dans le cas de la « Marie Goretti pakistanaise »

    C’est par le pardon que se clôt l’affaire concernant Amaria Masih, la jeune catholique de 18 ans violée et tuée le 27 novembre 2011 par le musulman Arif Gujjar, qui voulait l’épouser et la convertir. Mansha Masih, le père de la jeune fille, qualifiée de « Marie Goretti pakistanaise » (voir Fides 02/12/2011), a pardonné le meurtrier au cours d’une rencontre officielle qui a eu lieu ces derniers jours dans son village, dans les environs de Samundari, dans la province du Punjab. Ainsi que l’a indiqué à Fides la Commission Justice et Paix du Diocèse de Faisalabad, à l’intérieur duquel se trouve Samundari, la question a été résolue pacifiquement lorsque 75 musulmans et 35 chrétiens se sont réunis : la communauté musulmane a présenté des excuses officielles à Mansha Masih, exprimant son regret pour ce qui était arrivé. La famille catholique d’Amaria a répondu par un seul mot : « pardon ».

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  • Le sort des chrétiens d'Egypte

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    Voir sur RTS.ch une émission intitulée : "Les coptes dans la tourmente"

    Présentation :
    Les premières élections libres ont vu triompher les partis islamistes. Les Frères musulmans et les salafistes, qui revendiquent un islam fondamentaliste, dominent l'assemblée qui doit rédiger une nouvelle constitution. Cette prédominance inquiète les minorités religieuses, notamment les chrétiens coptes.
    Voir la video
  • Des dérives islamistes en Belgique ?

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    C'est ce qui semble ressortir d'une émission "Questions à la Une" réalisée par la RTBF et que l'on pourra visionner ici : rutube.ru

    Ce reportage diffusé par la chaîne publique belge est intéressant à bien des égards.

    N'est-il déjà pas trop tard alors que Bruxelles est en passe de devenir majoritairement musulmane sous 20 ans? [Lire une dépêche de Reuters à ce sujet]

    Présentation sur le site de la RTBF :

    Dans Questions à la Une, un reportage tente de savoir si certains imams attisent la haine auprès des musulmans de Belgique. (...)

    Faut-il craindre la montée de l'Islam en Belgique ?

    Le 7 mars dernier, une mosquée est incendiée à Anderlecht. La Communauté musulmane est touchée en plein cœur. Que se passe-t-il à Anderlecht, à Molenbeek, à Schaerbeek, là où les populations maghrébines sont très importantes ? La haine est-elle attisée par des imams indélicats dans des mosquées ?

    Et les Belges de souche ? Comment perçoivent-ils cet Islam parfois tant décrié ?

    A Liège et à Verviers, les mosquées sont également en expansion. Comment la situation y est-elle gérée ? Et les politiques, ont-ils une solution miracle ? Bref, les musulmans de Belgique sont-ils vraiment bien intégrés ? Enquête sur l'Islam en Belgique.

    Merci au site "actualité chrétienne"