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Islam - Page 103

  • C'était pour rire, gamin !

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    Sur le site de RTL.be, on découvre cette surprenante version de ce qui a failli être un incident diplomatique sous le titre : Quand le premier ministre marocain snobe Annemie Turtelboom, à la limite de l’incident diplomatique(Fabrice Grosfilley) (C'est nous qui soulignons.)

    La scène se passe le 11 avril à Rabat, capitale administrative du Maroc. Ce jour-là, le premier ministre marocain reçoit en audience Didier Reynders, ministre des Affaires étrangères, et Annemie Turtelboom ministre de la Justice. Les deux Belges vont avoir droit à un accueil glaçant.

    Abdelilah Benkiran ne semble pas concevoir qu’on puisse lui envoyer en audience une ministre de sexe féminin. Pendant tout l’entretien, il s’adresse donc ostensiblement à Didier Reynders. Pire, le premier ministre marocain explique à son visiteur qu’il parle fort bien le français et qu’il était donc « inutile de venir avec une interprète ».  Le message est donc clair : je ne parle pas avec une femme. Annemie Turtelboom est sous le choc. Tous les dossiers du ressort de la ministre (et ce ne sont pas de petits dossiers: l’égalité homme/femme, les mariages forcés, ou encore le retour des condamnés à des peines de prison dans leur pays d’origine comme le prévoit l’accord de gouvernement) seront finalement abordés par Didier Reynders. En face, le Marocain ne quitte pas son chapelet ("tsabih" ndbelgicatho) de tout l’entretien.

    En sortant de l’audience, Annemie Turtelboom est furieuse. Si Didier Reynders n’avait pas été présent et si elle n’avait pas craint de déclencher un incident diplomatique majeur, elle aurait quitté la réunion en claquant la porte confie-t-elle sur le moment.

    L’anecdote n’est pas sans valeur. Abdelilah Benkiran est membre du PJD, le parti de la justice et du développement, le parti islamiste, grand vainqueur des dernières élections législatives. Ces derniers jours, il s’est même permis de critiquer l’entourage du roi Mohammed VI, du jamais vu. Le Printemps arabe n’est pas encore terminé. Il est encore là et pourrait bien revenir aurait-il déclaré selon l’agence Reuters.

    Deux semaines après l’incident, on temporise côté belge. La porte-parole d’Annemie Turtelboom précise que le premier ministre marocain a voulu faire une blague et qu’il  a fini par s’excuser. Officieusement pourtant, ceux qui m’ont rapporté l’anecdote n’étaient pas sûrs d’avoir entendu ces excuses.

    Bref, une fois encore, on "écrase". Cela n'empêchera pas la classe politique belge de courtiser les mosquées pour y aller à la pêche aux voix. Cela n'empêchera pas non plus les porte-parole du politiquement correct de continuer à se réjouir du "printemps arabe" dont on voit pourtant bien où il conduit...

    A lire également : Maroc-les-islamistes-au-pouvoir-s-activent

  • Syrie : les chrétiens taxés

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    Rapporté par Natalia Trouiller (source) :

    SYRIE: LES CHRETIENS TAXES
    C'est une rumeur qui courait depuis quelques semaines. Elle se voit confirmée par Mario Tosatti du Vatican Insider et par AsiaNews: les chrétiens de Homs, en Syrie, se voient obligés de payer un impôt spécifique à l'armée des opposants au régime de Bachar Al-Assad. Cet impôt, appelé jizya, tire son origine du Coran: "Faites la guerre à[...] ceux d'entre les hommes des Écritures qui ne professent pas la vraie religion jusqu'à ce qu'ils payent le tribut de leurs propres mains et qu'ils se soient soumis". D'autre part, selon le site Al Haqiqah, plusieurs centaines de Pakistanais armés sont arrivés à Homs pour venir en aide aux rebelles.

  • La laïcité dans le cadre des institutions de l'Union européenne

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    article-3651-img1.jpgLe mardi 28 février dernier, Mgr Piotr Mazurkiewicz (1), secrétaire général de la COMECE (Commission des Episcopats de la Communauté Européenne)(2), était l’invité d’un lunch-débat organisé à l’Université de Liège par l’Union des étudiants catholiques liégeois et le Groupe éthique sociale, associés au forum de conférences Calpurnia. Le thème de la communication que Mgr Mazurkiewicz a prononcée, à titre personnel, portait sur la laïcité dans l’Union européenne (3). Ce thème s’inscrit dans le cadre d’un cycle de rencontres « Neutralité ou pluralisme : dialogue entre religions et philosophies non confessionnelles ».  Voici la transcription officieuse  de l’exposé réalisée par un auditeur (les intertitres sont de sa plume) :

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  • "Questions à la Une" sur l'Islam en Belgique : Philippe Moureaux ne fait pas dans la nuance...

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    C'est ce qu'on découvrira dans La Libre (sous la plume de F.S. et de "rédaction en ligne"); il est ahurissant que ce bourgmestre entre délibérément dans le jeu manipulateur des questions posées par le journaliste de Maghreb TV et prenne une position aussi dépourvue de tout esprit critique. Quand on constate l'intolérance de l'establishment politique belge à l'égard du Vatican, on est atterré par l'indulgence que certains élus professent à l'égard des dérives musulmanes. Mais il est évident que l'électoralisme joue un rôle important dans cette partialité, l'immigration représentant un large fond de commerce électoral que certains hommes (ou femmes) politiques exploitent sans vergogne. Mais ils découvriront un jour (peut-être pas très éloigné) qu'il n'est pas indifférent de vivre à l'ombre des clochers ou à celle des minarets...

    (Pour comprendre : voir la video de l'émission incriminée)

    "Philippe Moureaux : "Questions à la Une use de procédés dignes du nazisme"

    Le bourgmestre de Molenbeek-Saint-Jean a également qualifié le journaliste Frédéric Deborsu d'islamophobe.

    Le dernier numéro de Questions à la Une n'a pas laissé Philippe Moureaux indifférent. Sur les antennes de Maghreb TV, le bourgmestre de Molenbeek-Saint-Jean a manifestement été courroucé par le reportage signé Frédéric Deborsu consacré à la montée de l'islam en Belgique. "C'est une émission assez scandaleuse ! Je suis tout à fait furieux (...) Il n'y a pas une seule image positive qui a été retenue ! Quand on essaie de faire une émission objective, on peut critiquer bien entendu. (...) C'est tout simplement de la manipulation."

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  • Le pardon des proches d'Amaria à son meurtrier

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    ASIE/PAKISTAN - Le mot « pardon » aura été le dernier dans le cas de la « Marie Goretti pakistanaise »

    C’est par le pardon que se clôt l’affaire concernant Amaria Masih, la jeune catholique de 18 ans violée et tuée le 27 novembre 2011 par le musulman Arif Gujjar, qui voulait l’épouser et la convertir. Mansha Masih, le père de la jeune fille, qualifiée de « Marie Goretti pakistanaise » (voir Fides 02/12/2011), a pardonné le meurtrier au cours d’une rencontre officielle qui a eu lieu ces derniers jours dans son village, dans les environs de Samundari, dans la province du Punjab. Ainsi que l’a indiqué à Fides la Commission Justice et Paix du Diocèse de Faisalabad, à l’intérieur duquel se trouve Samundari, la question a été résolue pacifiquement lorsque 75 musulmans et 35 chrétiens se sont réunis : la communauté musulmane a présenté des excuses officielles à Mansha Masih, exprimant son regret pour ce qui était arrivé. La famille catholique d’Amaria a répondu par un seul mot : « pardon ».

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  • Le sort des chrétiens d'Egypte

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    Voir sur RTS.ch une émission intitulée : "Les coptes dans la tourmente"

    Présentation :
    Les premières élections libres ont vu triompher les partis islamistes. Les Frères musulmans et les salafistes, qui revendiquent un islam fondamentaliste, dominent l'assemblée qui doit rédiger une nouvelle constitution. Cette prédominance inquiète les minorités religieuses, notamment les chrétiens coptes.
    Voir la video
  • Des dérives islamistes en Belgique ?

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    C'est ce qui semble ressortir d'une émission "Questions à la Une" réalisée par la RTBF et que l'on pourra visionner ici : rutube.ru

    Ce reportage diffusé par la chaîne publique belge est intéressant à bien des égards.

    N'est-il déjà pas trop tard alors que Bruxelles est en passe de devenir majoritairement musulmane sous 20 ans? [Lire une dépêche de Reuters à ce sujet]

    Présentation sur le site de la RTBF :

    Dans Questions à la Une, un reportage tente de savoir si certains imams attisent la haine auprès des musulmans de Belgique. (...)

    Faut-il craindre la montée de l'Islam en Belgique ?

    Le 7 mars dernier, une mosquée est incendiée à Anderlecht. La Communauté musulmane est touchée en plein cœur. Que se passe-t-il à Anderlecht, à Molenbeek, à Schaerbeek, là où les populations maghrébines sont très importantes ? La haine est-elle attisée par des imams indélicats dans des mosquées ?

    Et les Belges de souche ? Comment perçoivent-ils cet Islam parfois tant décrié ?

    A Liège et à Verviers, les mosquées sont également en expansion. Comment la situation y est-elle gérée ? Et les politiques, ont-ils une solution miracle ? Bref, les musulmans de Belgique sont-ils vraiment bien intégrés ? Enquête sur l'Islam en Belgique.

    Merci au site "actualité chrétienne"

  • Jamel Debbouze: entre deux religions et deux cultures

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    Lu sur le site de “La Vie” ( extraits):

    Le comédien, à l’affiche du film Sur la piste du Marsupilami d’Alain Chabat, se livre sans tabous après les événements de Toulouse et revient sur son parcours.

    Il arrive vêtu avec une élégance toute classique, veste bleu marine, chemise bleu ciel. S’excuse de son – léger – retard et de ses lunettes de soleil. Mais il est "en quatre épi­sodes". Comprenez, lui qui ne boit jamais d’alcool, peine à émerger après le verre de gin tonic pris la veille pour célébrer l’avant-première du film Sur la piste du Marsupilami, comédie signée de son ami Alain Chabat, où il tient la vedette. Mais c’est – quelques jours après le drame de Toulouse – un Jamel grave qui se confie à La Vie. 

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  • Une contribution civilisationnelle des musulmans d'Europe ?

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    Communiqué de presse : parution d'un livre intitulé "La citoyenneté, clef d'une contribution civilisationnelle des musulmans d'Europe"

    "L’actualité médiatique au sujet de l’islam est chargée en événements majoritairement tragiques. Ceux-ci impactent les consciences et les musulmans sont également touchés par ces actes inacceptables qui sont une honte vis-à-vis des valeurs musulmanes de respect et de tolérance.

    Les musulmans vivent à présent en Europe, cette société qui est la leur, et ils doivent penser leur présence de façon durable dans la société. Au-delà des discours de rupture d’une minorité qui fait malheureusement beaucoup parler d’elle, il y a une majorité silencieuse qui aspire à vivre en paix et à se construire un avenir. Il faut pouvoir concilier les fondements des convictions musulmanes avec la citoyenneté de nos sociétés plurielles pour lui donner les outils d’une telle démarche d’inclusion citoyenne et d’apaisement identitaire.

    C’est pourquoi un livre qui aborde, à partir des références musulmanes, un point de vue construit sur la citoyenneté est une oeuvre salutaire pour montrer que les musulmans veulent aussi faire l’effort d’expliquer leur vision d’une citoyenneté contributive et positive, source de changement et de réforme des communautés musulmanes.

    Il est essentiel de pouvoir développer un discours profond, ancré dans les valeurs de l’islam, pour prendre à contre-pied les discours les plus excluant.

    Mohamed Ramousi est un jeune Verviétois, théologien et acteur associatif. Il étude actuellement pour obtenir sa Maitrise à la faculté de Théologie de l’Université Catholique de Louvain (UCL). Il mène des recherches sur la question des musulmans d’Occident en tenant d’allier des positions théologiques référencées avec la pensée musulmane contemporaine."

    Une belle approche, très "consensuelle". Il reste à souhaiter que ce type de discours soit entendu et reçu par les diverses communautés musulmanes, et que le Coran soit lu et inteprété dans cette direction. Voeux pieux?

  • Vous nous avez déjà abandonnés à notre sort...

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    Valeurs Actuelles (Laurence d'Hondt) consacre un article au sort des Coptes d'Egypte, véritablement persécutés, et pour lesquels l'émigration apparaît de plus en plus comme une solution envisageable. Extrait :

    « Vous ne voulez peut-être pas le savoir en Europe, mais nous le sentons : vous nous avez déjà abandonnés à notre sort », s’indigne Nora, étudiante en lettres françaises. Pour gagner sa vie et aider sa famille, Nora assure la permanence du collège jésuite du centre du Caire.

    « La journée, ça va, je me sens entourée parce que je travaille ici, à l’église de la Sainte-Famille, et que j’y trouve la solidarité et la tendresse dont j’ai besoin. Mais le soir, je me sens isolée, en danger. Je ne peux plus rentrer chez moi, dans le quartier populaire de Choubra, sans craindre des insultes, parce que je ne porte pas le voile. » Cela peut aller plus loin : « Je crains aussi l’agression physique, le coup de couteau. On me fait comprendre que je ne suis plus chez moi, ici, en Égypte. La plupart de nos voisins sont complices. »

    Issue de la classe moyenne, Nora a les moyens de suivre des études supérieures pour s’assurer un avenir décent au sein d’un entourage choisi et cultivé. Mais si la situation devait se dégrader, elle déposerait, comme nombre de chrétiens, un dossier à l’émigration : « Beaucoup de mes amis, surtout les filles, ont déposé une demande à l’ambassade des États-Unis, du Canada ou d’Australie. Moi-même, je n’ai pas encore fait les démarches, mais je choisirais l’ambassade de France. Sans exagérer, si cela continue, ce sera la fin des coptes d’Égypte, comme pour les chrétiens d’Irak, en quelques années à peine. »

    Cette amertume est partagée par la grande majorité des 10 millions de chrétiens qui vivent actuellement en Égypte. Ils ont le sentiment d’être sacrifiés sur l’autel du nouvel ordre islamique que cherchent à instaurer les Frères musulmans, grands vainqueurs des élections parlementaires, en accord avec l’armée, qui assure la transition. Les chrétiens sont pris dans un étau qui se resserre jour après jour sur leur rêve de liberté, né place Al-Tahrir, en 2011.

    « Nous, les zabbalin, les chiffonniers chrétiens, nous étions allés sur cette place dès le début du soulèvement, rappelle M., responsable d’un projet de développement dans son quartier de la colline de Mokattam. À présent, nous n’osons plus y mettre les pieds. » Des milliers de chrétiens démunis vivent sur les pentes de cette colline. Ce sont ceux à qui soeur Emmanuelle avait rendu leur dignité, il y a trente ans, en les aidant à construire des maisons au lieu de dormir sur les poubelles du Caire.

    Proies d’attaques armées dès le mois de mars 2011, les chiffonniers chrétiens se sentent encerclés. Une dizaine d’entre eux a déjà été tuée en tentant de repousser les assauts. Lorsque M. parle du quartier, il regarde vers les collines ocre, vers l’horizon brouillé par la pollution : « C’est de là qu’ils envoient des cocktails Molotov. »

    Lire tout l'article : L'appel des Coptes

  • Chronique quotidienne des chrétiens persécutés...

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    de nouvelles dépêches de l'Agence Fides :

     

  • Pakistan : des islamistes menacent les chrétiens d'Essa Nagri (Karachi)

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    Karachi (Agence Fides) – La population chrétienne est terrorisée : les incursions violentes, diurnes et nocturnes, de groupes d’extrémistes islamiques à Essa Nagri, faubourg chrétien de la ville de Karachi, voient leur nombre augmenter. Dans le quartier densément peuplé vivent près de 50.000 chrétiens dans des conditions de pauvreté extrême et dans la carence des services de base. Selon des sources locales de Fides, dans le faubourg d’Essa Nagri, se trouvent environ 15 églises de différentes dénominations : catholiques, presbytériennes, pentecôtistes, des adventistes du septième jour, de l’armée du salut etc. Dans la zone oeuvrent différentes ONG au travers de projets d’instruction, de soutien social et économique à la communauté. Parmi celles-ci se trouve l’ONG « Mission and Action for Social Services » (MASS) qui a informé Fides d’avoir déposé une plainte officielle devant les autorités de police parce qu’au cours des derniers mois, le nombre des attaques perpétrées par des militants islamiques à l’encontre des familles du quartier a vu son nombre s’accroître d’une manière vertigineuse.

    Ainsi que cela a été indiqué à Fides, les militants extrémistes islamiques entrent à Essa Nagri les armes à la main, brandissant des pistolets et des mitrailleuses, saccagent les maisons et commettent des violences de toute sorte contre des familles sans défense. Ils dérobent, extorquent de l’argent en déclarant devoir percevoir la « Jizya » (la taxe imposée selon la charia aux minorités non musulmanes), frappent des victimes innocentes, violent des femmes. L’ONG MASS affirme avoir demandé aux autorités de « prendre des mesures contre ces terroristes ». Le phénomène avait déjà été signalé à Fides par le parlementaire catholique du Sindh, Michael Javed (voir Fides 14/01/2012) qui avait évoqué des « viols et tortures de femmes et d’enfants chrétiens » dans les faubourgs de Karachi. Au cours de ces derniers jours, une chrétienne d’Essa Nagri a raconté, sous le choc : « Des hommes armés et ivres ont fait irruption chez moi et ont violé mes deux filles sous mes yeux. Qui nous protège ? ». Il existe par ailleurs de nombreux cas d’enlèvements de jeunes chrétiennes de la part de ses militants extrémistes islamiques, qui les contraignent à se marier et à se convertir à l’islam. (PA) (Agence Fides 27/03/2012)