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Médias - Page 214

  • Quand l'information journalistique n'inspire plus vraiment confiance...

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    "Avides d’information, les Français sont, en toute logique, vigilants et critiques à l’égard de leurs médias.

    Leur confiance globale s’est quelque peu émoussée à l’égard de la presse écrite depuis l’an dernier : ils ne sont que 49% à penser que «les choses se sont passées comme le journal les raconte», contre 55% en 2010. Malgré un léger effritement, la radio demeure – c’est une constante depuis des années – le média jugé le plus fiable avec un taux de confiance à 57% (contre 60% il y a un an).

    La télévision baisse aussi un peu avec 46% de taux de confiance contre 48% en 2010. On remarque une stabilité surprenante d’Internet à 35%. La généralisation de ce média plus vraiment nouveau ne s’accompagne pas d’une cote de fiabilité accrue, même si les plus jeunes sont 50% à lui faire confiance."

    Lire l'ensemble de l'article sur La Croix

  • Pétition contre Vogue et ses (trop) jeunes Lolitas

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    Dans LaLibre.be Mis en ligne le 06/02/2011

    "Une série de photos de mode parues dans le magazine féminin Vogue crée la polémique. Une pétition a d'ailleurs été lancée sur internet. La raison : l'âge des modèles.

    En effet, les filles qui ont posé pour la rubrique Cadeaux du numéro de décembre de Vogue ont environ six ans et elles posent comme des mannequins adultes.

    Ce n'est pas la première fois que le magazine de mode joue la provocation. Pour se justifier, Vogue présente ce numéro comme un «spécial fantasmes de Noël où les générations s'entrechoquent à l'extrême».

    Certains sites américains, comme Gawker et The Society Pages, se sont indignés de ce travail photographique et n'ont pas hésite à faire le lien avec de la pédophilie.

    En France, une pétition lancée en janvier sur internet et destinée aux autorités, dénonce une "instrumentalisation de l'enfant à des fins commerciales et alerte sur les dangers de l'hypersexualisation dont sont victimes, de façon particulièrement stigmatisante, les petites filles»."

    Nous nous interdisons de reproduire ici des photos parues dans Vogue, mais leur caractère malsain ne peut que renforcer les tendances perverses d'"esprits" dérangés".

  • Les dérapages du New York Times

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    newsbusters.gifLe New York Times met dans le même sac l’Eglise catholique, la Mafia et les Frères Musulmans

    Tim Graham | 4 février 2011 | sur Newsbusters

     Le New York Times n'est pas connu pour le traitement délicat qu’il réserve à l'Eglise Catholique. L'éditeur exécutif Bill Keller … démolissait le pape Jean-Paul en 2002: "Un paradoxe de ce pape polonais est que, bien qu'il soit à juste titre vénéré pour avoir aidé à abattre les sans-Dieu communistes, il a reproduit dans l’Eglise quelque chose qui ressemble très fort à ce qui s’est passé au sein du vieux parti communiste.

    On en est revenu à ce martèlement des esprits, ce mardi, avec la publication d’un article dans le New York Times à propos des agissements sexuels scandaleux du premier ministre Silvio Berlusconi et de la façon dont ils outragent les femmes en Italie. Les journalistes du Times Elisabetta Povoledo et Rachel Donadio y émettent un jugement sévère: "A certains points de vue, les femmes italiennes viennent de loin dans un pays dont les structures puissantes les plus enracinées -- l'Eglise Catholique et le crime organisé -- restent masculines et secrètes."

    C’est un peu comme si l’on disait que le NAACP (qui milite pour l’avancement des gens de couleur ndt) et le Ku Klux Klan sont toutes deux des organisations fraternelles basées sur la race. Mais ce n'était pas le seul exemple en ce jour. Kathryn Lopen de National Review découvrait que l'Eglise Catholique était également comparée à l'organisation des Frères Musulmans qui approuvent le recours au terrorisme d’après le journaliste Scott Shane:

    "La Fraternité ("Fraternité Musulmane" = "Frères musulmans" ndt), fondée en Egypte en 1928, est le plus ancien et le plus grand mouvement islamiste dans le monde, avec des affiliés dans presque chaque pays musulman et des adhérents en Europe ainsi qu’aux Etats-Unis. Sa taille et sa diversité, ainsi que son bannissement depuis plusieurs dizaines d'années qui l'a gardé éloigné du pouvoir politique en Egypte, ne permet pas de l’appréhender facilement. Comme l'Eglise Catholique qui conjugue la très gauchiste théologie de la libération avec un discours conservateur  contre l’avortement, de même la Fraternité inclut à la fois des  réformateurs et des idéologues provocateurs.

    Cette approche n’est pas seulement injurieuse, mais aussi inadaptée quand on recourt à des métaphores grossières qui privilégient la politique par rapport à la théologie. Le pape Benoit XVI, en particulier, critique depuis longtemps la soi-disant "théologie de la libération", tout comme Jean-Paul II était opposé au communisme. En tant que Cardinal Joseph Ratzinger, Benoît XVI écrivait qu'elle « constituait une menace fondamentale pour la foi de l'Eglise. »

  • Cathopedia, l'Encyclopédie catholique

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    images.jpgCathopedia est une encyclopédie qui se développe de façon très dynamique sur le web grâce à l'engagement volontariste d'une équipe de rédacteurs, suite à un projet mis en place en 2006.

    Basée sur le software MediaWiki, identique à celui qui est à la base de wikipedia, et en particulier de sa version italienne. Ce type de software permet à qui en reçoit l'accès d'introduire des articles, de réaliser des changements, de petites ou grandes corrections,... de faire croître de manière dynamique et continue le contenu de Cathopedia.

    A la différence de Wikipedia, qui est basée sur un point de vue neutraliste, Cathopedia est caractérisée par son appartenance catholique : les articles ,reflètant fidèlement le point de vue catholique, se proposeront d'être une base de référence pour ceux qui veulent connaître la doctrine et la pensée de l'Eglise, dans la fidélité à son enseignement.

    Cathopedia peut se concevoir comme un approfondissement du Catechisme de l'Eglise catholique d'un point de vue doctrinal, et son complément pour tout ce qui a un rapport avec l'Eglise.

    Cathopedia a déjà son histoire, encore brève, mais très prometteuse.

    Malheureusement, Cathopedia n'est actuellement accessible qu'en italien et en allemand.

  • Il était une foi... les chrétiens d'Irak

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    Logo radio Il était une foi

    Dimanche 6 février, à 19h05, sur la Première: Il était une foi... les chrétiens d'Irak.

    Entretien avec Amir Jaje, supérieur des dominicains à Bagdad, sur la situation des chrétiens en Irak. Craignant pour leur vie, plus de la moitié des chrétiens d'Irak auraient déjà quitté le pays ces dernières années. Comment inverser cette tendance et protéger les minorités religieuses ? C'est l'une des questions que Manu Van Lier aborde lors de cette rencontre avec Amir Jaje.

    Réalisation et présentation : Manu Van Lier  (catho.be)

  • Haro sur la "dictature dogmatique"

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    Une tribune libre paraît aujourd'hui dans un quotidien toujours prompt à relayer la contestation anti-romaine.

    Les « autorités romaines » (en fait, c'est le pape qui est visé) affectionnent, paraît-il, les « formules choc » comme la « dictature du relativisme ». En réalité, voici ce que disait le pape, en novembre dernier :  « Le relativisme (...) apparaît comme l'unique attitude à la hauteur de l'époque actuelle. L'on est en train de mettre sur pied une dictature du relativisme qui ne reconnaît rien comme définitif et qui donne comme mesure ultime uniquement son propre ego et ses désirs. » Est-ce la « formule choc » ou le « slogan » incriminés par nos théologiens?

    Armés du « slogan » comme concept pour désigner l’attitude romaine, ils en concluent à son « caractère autoritaire » ("tout slogan étant autoritaire par nature") et, plus grave, ne permettant pas d’appréhender la réalité. 

    Vient ensuite une digression consensuelle sur le relativisme et sur « le pragmatisme qui évacue les questions de sens », mais c’est pour mieux s’en prendre au discours romain qui pècherait par excès inverse, condamnant « sans nuance la société occidentale d’aujourd’hui, jugée hédoniste, partisane d’une culture de mort, sans cœur ni conscience. »

    A leurs yeux, le discours du « Vatican » traduirait ainsi « l’effroi (sic !) devant l’évolution d’un monde jugé décadent. » Décadence que de nombreux esprits s’accordent pourtant à reconnaître mais mot que Benoît XVI ne prononce pour ainsi dire dire jamais.

    La notion absolue de « Vérité » ferait problème, « vérité enseignée par le magistère catholique et désormais mise en doute, voire tournée en ridicule par de nombreux catholiques eux-mêmes. » Ici, nos auteurs ne font pas dans la nuance car ils laissent entendre que le Vatican prétend à la Vérité en tout et pour tout. Or, dans l’enseignement de l’Eglise, il y a des degrés divers, depuis la Vérité révélée dans les Ecritures et incarnée en Jésus, jusqu’aux instructions concernant le culte ou la discipline ecclésiastique. Tout cela ne bénéficie évidemment pas du même niveau d’infaillibilité ; certaines dispositions pouvant être revues et modifiées.

    Les auteurs stigmatisent l’attitude de l’Eglise qui se voudrait détentrice de la vérité en tout et pour tout : c’est de l’orgueil, de la dictature, du fanatisme ! Et d’appeler l’histoire en renfort où « tant d’affirmations catégoriques  de l’Eglise (lesquelles?) ont été démenties par les découvertes scientifiques (lesquelles?) ou par l’expérience vécue (laquelle?) » ! L’historien hausse les épaules devant cette argumentation éculée ; on sait que l’histoire de l’Eglise n’est pas exempte de dérapages et « d’hommeries », mais cela remet-il en cause la vérité dont-elle est porteuse ? Quand il s’agit de rendre témoignage de l’Evangile, il est question, en effet, de points sur lesquels l’Eglise ne peut transiger; cela n’empêche pas la réflexion contrairement à ce qu’affirment les auteurs. Augustin, Thomas d’Aquin, Pascal, Urs Von Balthasar et bien d’autres ne s’en sont pas privés.

    Dans le même sermon de novembre dernier, Benoît XVI affirmait : « Nous possédons, en revanche, une autre mesure: le Fils de Dieu, l'homme véritable. C'est lui la mesure du véritable humanisme. Une foi "adulte" ne suit pas les courants de la mode et des dernières nouveautés; une foi adulte et mûre est une foi profondément enracinée dans l'amitié avec le Christ. C'est cette amitié qui nous ouvre à tout ce qui est bon et qui nous donne le critère permettant de discerner entre le vrai et le faux, entre imposture et vérité. Cette foi adulte doit mûrir en nous, c'est vers cette foi que nous devons guider le troupeau du Christ. Et c'est cette foi, - cette foi seule - qui crée l'unité et qui se réalise dans la charité. Saint Paul nous offre à ce propos - en contraste avec les tribulations incessantes de ceux qui sont comme des enfants ballottés par les flots - une belle parole: faire la vérité dans la charité, comme formule fondamentale de l'existence chrétienne. Dans le Christ, vérité et charité se retrouvent. Dans la mesure où nous nous rapprochons du Christ, la vérité et la charité se confondent aussi dans notre vie. La charité sans vérité serait aveugle; la vérité sans charité serait comme "cymbale qui retentit" (1 Co 13, 1). »

    Cette tribune ne tombe-t-elle pas dans l’excès lorsqu’elle renvoie dos à dos "dictature du relativisme" et "dictature de la pensée dogmatique" ? Cette pensée dogmatique accusée de renoncer à penser en exigeant une obéissance aveugle, comme si, lors des conciles et des synodes et dans de nombreux congrès catholiques, tout le monde était bâillonné; comme si la foi vécue dans la fidélité à l’enseignement de l’église excluait le travail de la raison et le dialogue avec l’autre, dans le respect de l’autre.

    Et nos auteurs de se décerner bravement un brevet d’humanité car ils pratiquent une "saine relativité" qui serait une vertu chrétienne (?) et tout cela en se revendiquant de la Bible, tant il est vrai, pour parodier Boileau, que tout théologien dissident se fait « pape la bible à la main » !

    Une question pour conclure : quand le pape confie la présidence de l’Académie pontificale des Sciences à un médecin protestant, fait-il preuve d’autoritarisme dogmatique ?

  • Rester au balcon ?

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    ReneMagrittePerspectiveLeBalconDeManet1950.pngLancer un blog est une aventure.

    Et effectivement, lorsqu'on s'aperçoit que tant de gens viennent le visiter, on en reste pantois.

    On se dit que ça répond à un réel besoin, que beaucoup de gens aspirent à entendre un autre son de cloche que celui dispensé par la grande presse.

    Alors, on s'attend à ce qu'ils réagissent, qu'ils vous interpellent, qu'ils vous suggèrent telle ou telle chose...

    Mais c'est là qu'on se trompe!

    En effet, malgré des appels réitérés, des mails envoyés tous azimuts, le plus grand nombre préfère rester au balcon, quitte à émettre en aparté des appréciations plus ou moins encourageantes.

    C'est qu'on a autre chose à faire que d'alimenter un blog ou de soutenir ceux qui l'animent!

    Pourtant, la semaine dernière, La Croix soulignait la vitalité des réseaux catholiques sur le web, citant des blogs qui ont pignon sur rue et qui reçoivent la visite de très nombreux visiteurs, au point de susciter une certaine inquiétude dans le monde des médias traditionnels. Et le pape d'en ajouter lors de la journée mondiale des moyens de communication sociale, se félicitant de ces nouveaux modes de communication, tout en émettant une série de recommandations où il est question d'authenticité, de vérité, d'honnêteté...

    Alors, nous aimerions tellement que nos amis, encouragés de si haut, descendent de leurs balcons et investissent peu à peu ces espaces de communication pour la meilleure des causes, puisqu'il s'agit de rétablir la vérité face à la désinformation, de s'indigner face à des réalités qui abiment l'homme, de s'extasier devant des choses belles et susceptibles de nous faire grandir en humanité, de compatir avec ceux qui sont victimes des persécutions et des oppressions, de partager des informations qui peuvent enrichir autrui, etc.

    Cet appel sera-t-il entendu? Peut-être, chi lo sa?

  • Amorce d'une nouvelle campagne médiatique contre le célibat des prêtres

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    En septembre prochain, le pape doit effectuer une visite pastorale en Allemagne. Certains médias sont déjà occupés à miner le terrain sur lequel Benoît XVI sera amené à poser ses pas. C'est ainsi que le Suddeutsche Zeitung exhume une pétition qui a circulé en Allemagne, en 1970, en faveur de la modification de la règle du célibat sacerdotal et que l'abbé Ratzinger aurait signée. Cette information, aussitôt reprise par le Figaro et Europe I, le sera, n'en doutons pas, par les médias de notre petite terre d'héroïsme. En Allemagne, les journalistes appuient ainsi les politiciens, dont la chancelière, qui s'immiscent dans cette question de discipline ecclésiastique et qui voient dans le mariage des prêtres une réponse adéquate aux problèmes de pédophilie.

    Nous avons déjà posté sur ce blog une note qui dénonçait le simplisme d'une telle vision.

    Il ne s'agit pas d'une question dogmatique mais bien d'une question de discipline ecclésiastique qui diffère de la perception qu'en ont d'autres églises. Il faut cependant rappeler que dans les églises d'orient (mêmes catholiques), si on ordonne des hommes mariés, il n'est pas question d'ouvrir le mariage à des prêtres célibataires.

    On lit beaucoup d'âneries dans la presse et dans les réactions des lecteurs influencés par le battage médiatique à ce propos. Certains n'hésitent pas à dénoncer le caractère tardif de l'introduction de la discipline du célibat alors que le Père Cochini, dans une étude scientifique consacrée aux origines apostoliques du célibat sacerdotal tord le cou à ces inepties. Interrogé en 2006, lors de la publication de son ouvrage, il déclarait :

    "L’ouvrage publié aujourd’hui aux éditions Ad Solem est la réédition, augmentée d’une préface du cardinal Castrillon Hoyos, de mon livre sur Les Origines apostoliques du célibat ecclésiastique, publié pour la première fois en 1981 chez Lethielleux. Il a été jugé utile de le republier parce que la question des origines, c’est-à-dire la question historique, est aujourd’hui au centre du débat. Il est frappant, en effet, de voir la quantité de livres ou d’articles qui contestent la discipline de l’Eglise latine concernant le célibat obligatoire des clercs en arguant de l’origine tardive de la loi. Certains, comme vous le dites, y voient une invention médiévale, en se référant au 2ème concile du Latran de 1139, mais ils sont de moins en moins nombreux, car l’argument ne résiste pas à une simple lecture du texte conciliaire : le document du Latran n’établit pas l’obligation du célibat, mais frappe de nullité tout mariage contracté par un clerc déjà ordonné. En revanche, la critique basée sur le concile d’Elvire des années 300, le premier en date des synodes faisant état d’une obligation de continence parfaite pour les membres du clergé supérieur, ainsi que sur l’existence de nombreux évêques, prêtres et diacres mariés au cours des premiers siècles de l’Eglise, est certainement à prendre en compte."

    On le voit, tant sur le fond de la question où il est simpliste de croire que le mariage résoudrait le problème de la pédophilie (alors que tant d'hommes mariés sont pédophiles), que sur sa dimension historique, il y a une véritable entreprise de désinformation qui est à l'oeuvre. Quant à Joseph Ratzinger, on peut imaginer qu'il a évolué et qu'ayant souscrit à certaines positions qui étaient dans l'air du temps conciliaire et post-conciliaire, il a eu le temps et l'accès à d'autres données qui lui ont permis de rectifier certaines de ses positions.

  • Etre chrétien à l’ère de Facebook, mode d’emploi

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    images.jpgInterview avec le spécialiste Guillaume Anselin

    ROME, Dimanche 30 janvier 2011 (ZENIT.org) - La vérité et l'authenticité sont le mode d'emploi offert par Benoît XVI aux chrétiens présents sur Internet et les réseaux sociaux, explique Guillaume Anselin, spécialiste de la communication des marques et des institutions.

    Dans cet entretien, Guillaume Anselin, qui a travaillé dans l'édition et dans des groupes de communication tels que McCann Erickson, Ogilvy et Publicis commente pour ZENIT le message de Benoît XVI pour la Journée mondiale des communications 2011.

    La suite sur Zenit

  • Benoît-et-moi, un site qui ne met pas son étendard en poche...

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    s2dlogo.jpg

    Un site que nous vous recommandons, qui ne se croit pas détenteur de "la" vérité mais qui est soucieux de rétablir la vérité quand l'Eglise et son chef sont injustement attaqués ou discrédités, de l'intérieur ou de l'extérieur...

    "Site d'opinion. Il ne parle pas que du Pape, même si les sujets abordés sont en général en lien avec lui. Il ne prétend pas à l'objectivité (je suis clairement du côté du Saint-Père), mais, et j'y tiens beaucoup, à l'honnêteté..."

    Un site dynamique dont la sympathique animatrice manifeste beaucoup d'ardeur et de pugnacité, pour la meilleure des causes !

  • Les blogs catholiques s’organisent

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    logo_lacroix_06.gifLa Croix publie une enquête sur les blogs catholiques : "Les catholiques aussi s'organisent en réseaux".


    La blogosphère catholique a connu un coup d’accélérateur ces dernières années, avec l’apparition de réseaux de blogueurs qui défendent le pape et les valeurs chrétiennes. Les catholiques apprennent le «lobbying». Alors qu’un livre sort sur « Les réseaux cathos », analyse d’une mutation qui fait passer l’Église d’une culture de mouvement à une culture de réseau ... la suite sur La Croix

  • "Ethique et moi", une émission à suivre sur RCF

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    Sur RCF (Radio Chrétienne Francophone), "Ethique et moi" est une émission animée par Carine Brochier.

    Présentation : "Alors que les sciences de la « maîtrise du vivant » se développent à grande vitesse et font entrevoir à l’homme l’espoir d’un paradis sanitaire artificiel, comment rester vigilants et pro-actifs par rapport à toutes ces questions de bioéthique ? Grossesse, diagnostics, tests génétiques, avortement, procréation médicale, recherche sur embryons, euthanasie, soins palliatifs…

    "Ethique et moi" est une émission hebdomadaire proposée par l’Institut Européen de Bioéthique. De semaine en semaine, depuis 7 ans, y sont invités les acteurs de terrain : associations et accueillants, professeurs, juristes, théologiens, philosophes, éthiciens, mais aussi de nombreux témoins confrontés à la souffrance, telle cette maman qui accompagne son enfant porteur d’un handicap.

    La multiplicité des thématiques abordées ainsi que le dialogue avec l’invité interpellent l’auditeur, car en fin de compte, l’éthique de la vie nous concerne tous. Telles des semences de vie, ces émissions contribuent à éclairer la conscience de chacun, et invitent l’auditeur à se familiariser avec la pluridisciplinarité de la bioéthique. C’est aussi une joie d’y découvrir peu à peu, la bonté de l’enseignement de l’Eglise en ces matières qui touchent à la Vie. S’y déploie la culture de la vie pour une plus grande solidarité avec les sans voix et les plus faibles d’entre nous.

    "Ethique et moi", quatre diffusions par semaine."

    La responsable de l'émission : "Economiste de formation (FUNDP, Namur), Carine Brochier a une longue expérience dans les médias. Chargée de la rédaction d’un rapport sur l’avortement en Belgique, elle est interpellée par le peu de formation du public au sujet des questions de bioéthique. Cela fait plus de 10 ans aujourd’hui que, au sein de l’Institut Européen de Bioéthique (Bruxelles), elle anime ateliers et conférences, et participe à la rédaction des Dossiers de l’IEB. Souhaitant pouvoir exprimer dans un langage simple ce qu’elle découvrait et ce que vivaient certaines personnes devant faire des choix, parfois difficiles, en matière d’éthique de la vie, elle ressent la nécessité de se former, au fil des ans, en philosophie, bioéthique et anthropologie à l’IET (Institut d’Etudes Théologiques) ; elle obtient également le certificat du Centre d’Etudes Pastorales du Diocèse de Malines-Bruxelles (CEP). Responsable de l’Emission « Éthique et moi » sur RCF depuis 2004, Carine Brochier fait découvrir aux auditeurs non seulement des témoins engagés au service de la Vie, mais aussi la beauté et le pourquoi de l’Enseignement de l’Eglise dans le respect de la personne de la conception à la mort naturelle."

    Un certain nombre d'émissions sont "podcastées" : exemple : "Crise et éthique font-elles bon ménage" , entretien avec le Pr. Philippe de Woot, ou "Le clônage humain pose-t-il un problème éthique?", entretien avec le P. Xavier Dijon, etc.