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Défense de la Vie - Page 122

  • Italie : le Mouvement pour la Vie remporte une belle victoire

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    Du blog de Jeanne Smits :

    Belle victoire pour la vie en Italie : suspension du décret interdisant l'objection de conscience

    Le Conseil d'Etat italien a donné partiellement raison au Movimento per la Vita et aux associations des médecins et des gynécologues  catholiques qui avaient fait appel contre un décret régional contre l'objection de conscience en matière de prescription de contraceptifs et de délivrance de certificats attestant d'une demande d'« interruption volontaire de grossesse ». Les associations pro-vie avaient mis en avant le droit des médecins du réseau public de ne pas participer, directement ou indirectement, à l'avortement : ces médecins voulaient continuer de pouvoir refuser la pilule du lendemain ou les dispositifs intra-utérins qui peuvent fonctionner comme des abortifs précoces. La suspension porte sur la signature des attestations de demande d'avortement.

    La décision a été rendue publique par le Movimento per la Vita samedi : le Conseil d'Etat a pour partie suspendu le décret qui avait limité l'objection de conscience des médecins, le 12 mai 2014, à la grande satisfaction des pro-avortement qui se plaignent de plus en plus activement en Italie du nombre croissant de médecins objecteurs, notamment dans le Latium. Le décret portait le nom de Nicola Zingaretti, président de la région.

    Ce n'est qu'une suspension, et partielle, mais le président du Mouvement italien pour la vie souligne l'importance de cette décision qui « souligne l'importance constitutionnelle de l'objection de conscience ». Carlo Casini a noté que les juges, qui ont agi par « précaution », n'ont pas voulu se prononcer sur le caractère abortif ou non des différentes pilules du lendemain, en se contentant des données fournies par les agences européennes de contrôle des médicaments. Leur hésitation, note Casini, montre « que la documentation fournie par le Mouvement pour la vie a instillé le doute dans le Conseil d'Etat ». Si le caractère potentiellement abortif de la contraception d'urgence peut être démontré, cela ouvrira la voie à un rétablissement complet du droit à l'objection de conscience.

    Un autre recours est en attente de jugement devant le tribunal administratif : il concerne le droit des médecins exerçant dans les cliniques de planification familiale d'opposer leur objection de conscience dans les mêmes conditions.

  • Sur Euthanasie Stop

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    Dernières publications sur "Euthanasie Stop" :

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    En ce qui me concerne, il y a eu ces quelques années où j'ai pu travailler, comme infirmière bénévole, dans une unité de soins palliatifs à Anvers. La façon dont les malades en fin de vie y sont accue..
  • "Marche pour la Vie" 2015 : un appel des organisateurs

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    L'organisation de la Marche Pour la Vie (qui aura lieu le 29 mars à Bruxelles) est lancée !

    Les tracts à distribuer sont à votre disposition. Afin de mieux les faire parvenir aux quatre coins de la Belgique, nous faisons appel à votre collaboration.

    Vous nous aideriez dès à présent en diffusant des tracts et en acceptant d'en prendre en dépôt chez vous; contact : info@march4life.be

  • Belgique : quand les euthanasieurs ont la seringue légère

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    Lu ICI :

    Belgique : Tom Mortier saisit la CEDH à propos de l'euthanasie de sa mère

    Tom Mortier n'a su que sa mère avait « choisi » l'euthanasie qu'une fois la piqûre létale administrée. Elle avait 64 ans ; c'est au lendemain de sa mort que l'hôpital belge où elle a été euthanasiée en avril 2012 a pensé à avertir le fils, en précisant que le motif de l'euthanasie était une « dépression non soignable ». Il vient de saisir la Cour européenne des droits de l'homme de l'affaire, avec l'assistance de l'Alliance Defending Freedom, une association conservatrice siégeant à Vienne, en Autriche, qui a pour objet la défense des « valeurs familiales traditionnelles ».

    Outré de voir comment sa mère a été tuée, alors qu'elle avait une maladie psychique, Tom Mortier avait déjà saisi dans un premier temps l'Ordre des médecins en Belgique, et il avait porté plainte contre X auprès du parquet de Bruxelles.

    Son objectif ? Relancer en Belgique le débat sur l'euthanasie alors que la loi est appliquée de manière de plus en plus fantaisiste.

    Et montrer que la commission de contrôle chargée d'évaluer les euthanasies belges a posteriori n'évalue rien du tout.

  • Des Belges à la Marche pour la Vie à Paris; récit

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    Marche pour la Vie - Paris, le dimanche 25 janvier 2015

    Il est 13h30 quand notre car s'arrête à proximité de la place Denfert-Rochereau. Il reste une heure avant le début de la Marche pour la Vie, et cette édition 2015 marque le funeste anniversaire de la loi Veil, promulguée en 1975, il y a quarante ans. La première image qui vient en arrivant sur la place, ce sont les milliers de ballons noirs portés par les manifestants. Les haut-parleurs diffusent déjà nombre de témoignages, comme ce père de famille qui raconte la mort de deux de ses enfants suite à une trisomie 14. Alors que cette grave affection avait été décelée durant la grossesse, le couple, au lieu de choisir l'avortement, décida de leur laisser les quelques minutes de vie que leur laisse cette maladie à leur naissance. Et l'énergie qu'ils auraient consacrée à ces enfants, ils l'ont donnée dans la fondation d'une association ayant pour but de soutenir les familles confrontées a la même difficulté que la leur.

    2015-01-25_13-59-25.jpgLa porte-parole de la manifestation, Julie Graziani, résume la situation: née après la loi Veil, elle avait été baignée dès son enfance dans cette mentalité contraire à la vie, pour laquelle un embryon n'est qu'un amas de cellules. Elle a vu comment de ses copines avaient été poussées à avorter, qui par ses parents, qui par son petit copain. C'est une fois enceinte qu'elle a pris toute la mesure de la nécessité de défendre la vie dès sa conception.

    Les organisateurs demandent ensuite de soutenir les sept députés qui se sont honorés en refusant de signer la loi qui fait de l'avortement un « droit de la femme »: Xavier Breton, Jean-Frédéric Poisson, Nicolas Dhuicq, Olivier Marleix, Yannick Moreau, Jean-Christophe Fromantin, Gilbert Collard et Jacques Bompard. Ce dernier est également invité pour un discours à la tribune.

    2015-01-25_14-25-15.jpgLa marche débute à 14h30, alors que la place est noire de monde et déborde même dans les rues avoisinantes.

    Le public de tous âges avance dans la bonne humeur en passant notamment par l'avenue Denfert-Rochereau et le Boulevard du Montparnasse. Tant à l’avant qu’à l’arrière, j’essaye, sans succès, de voir le bout du cortège. Il y a décidément beaucoup de monde! Nous rejoignons la place Vauban vers 16h.

    A l'arrivée, on nous annonce le nombre de participants: 45.000 (un comptage précis avait été effectué au milieu de la marche). Nous écoutons avec attention le récit de Me Jérôme Triomphe, le célèbre avocat qui défend la cause de Vincent Lambert, ainsi que sa maman. Cette dame n’a de toute évidence qu’un but: sauver son fils, dont l’état semble lentement mais sûrement s’améliorer.

    2015-01-25_16-12-45.jpgAprès une allocution de Jean-Marie Le Méné, c’est Cécile Edel, la présidente de la « Marche pour la Vie », qui prononce le discours de clôture: après un rappel historique, elle souligne « que la vie humaine, toute vie humaine, chaque vie humaine est sacrée ». Elle remercie  ceux qui se sont engagés depuis de nombreuses années pour soutenir cette belle cause, « car le respect de la Vie ne saurait souffrir aucune exception au nom d’une pseudo liberté ou d’une fausse charité. »

    Et de conclure: « 40 ans…le combat contre la culture de mort est long et rude, mais croyez-moi, nous ne lâcherons pas, nous ne renoncerons pas, nous ne trahirons pas, et nous gagnerons, nous l’emporterons ! ».

    C’est avec la joie du devoir accompli et des cordiales rencontres que nous rejoignons notre car, direction Bruxelles, où nous arrivons vers 22h30.

  • Grand succès de la Marche pour la Vie à Paris

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    Voir sur le site de la Marche pour la Vie : 

    http://enmarchepourlavie.fr/en-direct-premieres-images-de-la-mplv2015/

    Impressionnante mobilisation contre l’euthanasie : Plus de 45.000 marcheurs à Paris

    La Marche pour la Vie vient de prouver que les défenseurs de la vie en France sont de plus en plus présents, mobilisés et jeunes.Julie Graziani, porte-parole de la Marche pour la Vie a déclaré ce jour à la lecture du Manifeste pour la Vie : « Nous savons que l’Histoire nous rendra justice et que les générations futures s’étonneront de savoir qu’en France, en ce siècle, on tuait des enfants dans le ventre de leur mère et des mourants sur leur lit d’hôpital ».Le comptage effectué par l’organisation permet d’affirmer qu’il y a aujourd’hui plus de 45.000 marcheurs dans les rues de Paris.

    A l’heure où François Hollande veut engager une réforme de la fin de vie qui va légaliser certains actes euthanasiques, les marcheurs se sont soudés autour de Viviane Lambert. De nombreuse affichettes annoncent « Je suis Vincent Lambert ». Ce jeune en état de conscience minimale est devenu un symbole. Faudra-t-il demain supprimer les 1700 pauci-relationnels, les traumatisés crâniens, tous les enfants gravement malades, tous les handicapés ?

    Les revendications de la Marche pour la vie sont claires concernant la fin de vie

    – Nous refusons la légalisation de toute sédation destinée à provoquer la mort ainsi que toutes directives anticipées contraignantes ;

    – Nous demandons que l’hydratation et la nutrition soient considérées comme des soins qui sont toujours dus, ce qui n’est malheureusement pas le cas avec la loi Leonetti qui contient les germes des dérives de nature euthanasique ;

    – Des moyens pour développer les soins palliatifs.

    et aussi :

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2015/01/la-marche-pour-la-vie-2015-en-direct-actualisez-votre-page.html

  • Fin de vie : la dérive utilitariste de nos sociétés modernes

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    Sur FIGAROVOX, alors qu'une manifestation réunit, ce dimanche à Paris, les opposants à l'euthanasie, le philosophe Thibaud Collin s'interroge sur la dérive utilitariste de nos sociétés modernes.

    Fin de vie: société de la performance et « culture du déchet »

    Thibaud Collin est un philosophe et écrivain français. Agrégé de philosophie, il travaille sur des questions de philosophie morale et politique. Il enseigne en classes préparatoires à Paris, au Collège Stanislas. Il est notamment l'auteur de «Divorcés remariés, l'Église va-t-elle (enfin) évoluer?» (Desclée De Brouwer).

    Quarante ans jour pour jour après la promulgation de la loi Veil, le Parlement s'empare de la question de «la fin de vie». Ce rapprochement pourrait paraître incongru à certains tant ces thèmes semblent poser des problèmes différents, l'un le «droit des femmes», l'autre le «droit de mourir dans la dignité». Il n'en est rien. L'euthanasie existe déjà en droit français, précisément depuis 40 ans. Certes le mot ne se trouve pas dans la loi Veil mais la chose, sans nul doute. En effet, celle-ci dépénalise l'avortement jusqu'à dix semaines mais en cas de malformations graves du fœtus l'autorise jusqu'au terme de la grossesse. Quel est l'argument justifiant une telle différence de traitement? La logique euthanasique. Il s'agit de supprimer l'enfant pour «son bien» ; par «compassion». Comment infliger à un enfant une vie handicapée? Mieux vaut le libérer d'emblée de souffrances futures. Ainsi au commencement et au terme de la vie humaine, le même raisonnement légitime le fait de donner la mort. La mort n'est plus ce qu'il faut éviter à tout prix, la vie étant un bien à sauvegarder quelqu'en soit le coût. A la mort se substitue désormais la souffrance, physique et/ou psychique. En quoi tout cela nous révèle-t-il la manière dont notre société se représente l'homme? Et quelle vision de l'homme de telles pratiques impliquent-elles et favorisent-elles?

    Leur présupposé commun est que la vie n'est pleinement humaine que si elle est prise dans un projet lui donnant un sens. La valeur d'une vie dépend de la construction dont elle est l'objet. Il faut que le matériau à partir duquel réaliser cette œuvre soit adéquat au but recherché. Mais le matériau, quel est-il si ce n'est la personne dans son corps et ses diverses potentialités? Et à certains moments, le matériau disponible peut apparaître comme incapable de réaliser le projet de vie. Lorsque la personne subit des maux qui oblitèrent ses forces d'action et de création, la vie peut apparaître comme un fardeau insupportable et désormais insensé. Le handicap, la souffrance, la grande dépendance remettent en cause le projet de vie incapable d'assumer cette passivité envahissante. A l'aune d'un tel critère, de telles conditions de vie peuvent même sembler violer la dignité de la personne. La mort est alors envisagée comme une libération et devient l'objet d'un appel à la bienveillance d'autrui. C'est ici que se met en place le cercle des dispositions sociales influençant les mentalités et par là les attitudes, et réciproquement.

    Lire la suite sur FIGAROVOX

  • Rapport Tarabella: 2/3 de la Commission parlementaire européenne ignorent 40 000 citoyens... la mobilisation continue!

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    Bruxelles, le 24 janvier 2015

    Alors que plus de 40 000 citoyens avaient exprimé leur opposition à l'inclusion d'un soutien de l'UE à l'avortement, un sujet hors de la compétence de l'UE, le Rapport Tarabella du Parlement européen a été adopté par la Commission des Droits des Femmes et l'Egalité des Genres du Parlement européen

     

    (FEMM) le 20 janvier. La Fédération des Associations Catholiques en Europe (FAFCE) avait signalé la présence d'un paragraphe qui vise à promouvoir un "droit à l'avortement" et invité des citoyens à signer la  pétition "Ne laissons pas Tarabella relancer Estrela!" pour défendre la dignité humaine et le principe de subsidiarité. 

    Le rapport adopté comporte des points positifs mais inclut également le paragraphe même que des dizaines de milliers de citoyens ont demandé aux membres de la Commission FEMM de retirer, avec un accent accru sur le "droit à l'avortement" et une extension aux "santé et droits sexuels et génésiques". 

    La mobilisation des associations oeuvrant en faveur de la dignité humaine et des citoyens continue, appelant les eurodéputés à réaffirmer la position adoptée par le Parlement européen en décembre 2013 lorsque le rapport Estrela sur « la santé et les droits sexuels et génésiques » (SDSG) a été rejeté. A sa place, les eurodéputés ont adopté une résolution qui réaffirme le principe de subsidiarité et déclare clairement que «la définition et la mise en œuvre des politiques relatives aux SDSG et à l'éducation sexuelle dans les écoles relèvent de la compétence des États membres».

    Le message est clair: l'UE n’est pas compétente pour statuer sur des questions telles que l'avortement, il s’agit de décisions nationales qui en aucun cas peuvent être prises à Bruxelles. 

    En moins d'une semaine la pétition citoyenne lancée par la FAFCE a réuni plus de 50 000 signatures de citoyens qui demandent au Parlement européen de ne pas soutenir un "droit à l'avortement". Le Président de la FAFCE, Antoine Renard, souligne que "ces citoyens s'attendent à ce que les députés européens respectent le principe de subsidiarité et ne dépassent pas les compétences de l'UE. Les nombreuses signatures montrent le besoin d'une double subsidiarité au sujet de l'avortement." 

    La FAFCE invite les citoyens à continuer à se faire entendre et envoyer un signal fort et uni en faveur de la vie et la dignité humaine en vue du vote qui aura lieu en séance plénière du Parlement européen en mars - la mobilisation continue! 

  • Plusieurs centaines de milliers de participants à la Marche pour la Vie à Washington

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    (Radio Vatican

    « Chaque vie est un don. #marchforlife » Par ces quelques mots relayés sur les comptes Twitter du Pape en anglais et en espagnol, François apporte son soutien à la Marche et à la veillée de prière pour la vie à Washington, aux Etats-Unis, jeudi et vendredi. Une neuvaine de prière se déroule également du 17 au 25 janvier pour accompagner cette Journée de la vie naissante, célébrée le 22 janvier.

    Des dizaines de milliers de personnes aux États-Unis – certaines estimations estiment le nombre de participants à un demi-million – ont convergé vers la capitale, Washington, DC, jeudi, pour participer à la marche annuelle pour la vie, qui s'est tenue comme chaque année à la date anniversaire du vote de l'arrêt Roe v. Wade de la Cour Suprême (1973), décision qui a légalisé l'avortement dans les cinquante États.

    Dans son homélie, lors de la messe célébrée la veille, mercredi soir, dans la Basilique du Sanctuaire National de l'Immaculée Conception à Washington, l'archevêque de Boston et Président du Comité de l'épiscopat américain pour les activités pro-vie, le Cardinal Sean O'Malley a appelé toutes les personnes qui se consacrent à la cause de la vie de renouveler leur engagement à servir les plus faibles et les plus vulnérables, de rendre l'Evangile crédible par le témoignage de la joie qu'il apporte à ceux qui confessent et vivent la Bonne Nouvelle. "Ce qui doit caractériser le mouvement pro-vie," dit le Cardinal O'Malley, "est un amour particulier pour les pauvres, pour ceux qui sont marginalisés, pour ceux qui souffrent et tout spécialement pour la vie humaine en  danger d'être sacrifiée. »

    Le cardinal O'Malley a ajouté, « nous devons travailler sans relâche pour changer les lois injustes, mais nous devons travailler encore plus fort pour changer les cœurs, pour bâtir une civilisation d'amour. »

    par ailleurs :

    (LeSoir.be) Aux Etats-Unis, la Chambre vote une loi anti-avortement, mais le Sénat risque de la bloquer

    La Chambre américaine des représentants, dominée par les républicains, a adopté jeudi une proposition de loi qui pérenniserait l’interdiction de l’utilisation de fonds publics fédéraux pour des avortements ou des assurances incluant l’avortement, au jour anniversaire de la légalisation de l’IVG.

    Depuis plus de 35 ans, le Congrès a interdit par des mesures régulièrement reconduites l’usage de fonds fédéraux pour subventionner des procédures d’avortement, mais la proposition de loi adoptée jeudi, par 242 voix contre 179, rendrait ces interdictions permanentes.

    Le texte a peu de chance d’être adopté par le Sénat, où les démocrates ont une minorité de blocage, et la Maison Blanche a brandi la menace d’un veto présidentiel.

  • Résolution Tarabella : l'Europe la première à reconnaître un droit à l'avortement ?

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    RÉSOLUTION TARABELLA : L'EUROPE SERA-T-ELLE LA PREMIÈRE À RECONNAITRE UN "DROIT À L'AVORTEMENT" ?

     

    Après l’échec du rapport Estrela (Cf. Synthèse Gènéthique du 10 janvier 2014), le rapport Tarabella est la nouvelle tentative pour faire reconnaître un "droit à l'avortement" au sein de l'Union européenne.

     

    Ce rapport, déposé par l’eurodéputé belge, membre du groupe socialiste, Marc Tarabella, contient une proposition de résolution qui a été adoptée hier en commission parlementaire FEMM[1]. La proposition de résolution sera présentée en plénière au Parlement européen et soumise au vote de l’ensemble des eurodéputés le 9 mars prochain [2].

     

    La FAFCE, Fédération des Associations Familiales Catholiques, a lancé une pétition sur internet pour (Ne laissons pas Tarabella relancer Estrela ! Non au soutien de l'UE à l'avortement !) demandant aux eurodéputés de respecter le principe de subsidiarité. En effet, les questions relatives à l'avortement ne sont pas des compétences de l'Union européenne.

     

    "Les partisans de l’avortement à tout prix repartent à l’assaut de Bruxelles", commente Famille Chrétienne en renvoyant sur la tribune des 343 féministes qui appellent de leur vœux la reconnaissance d'un "droit fondamental à l'IVG" dans toute l'Europe.

     

    Dans le même temps, le Collectif "One Of Us", constitué en fédération européenne depuis la récolte de 2 millions de signatures pour la protection de l'embryon humain, a publié hier une tribune dansValeurs Actuelles, pour faire part de sa présence dimanche prochain à la Marche pour la Vie de Paris.

     

    [1] Commission des droits de la femme et de l'égalité des genres.

    [2] Date approximative

    Source:  Valeurs Actuelles 20/01/ 2015 - Famille Chrétienne (Antoine Pasquier) 20/01/2015 - Libération 17/01/2015 

  • Dire OUI à la Vie en marchant à Paris dimanche prochain

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    http://enmarchepourlavie.fr/

    partir de Bruxelles : 

    Départ à 9H sur le parvis de la basilique de Koekelberg.

    Pour s'inscrire : envoyer un mail à jvl-jpv@live.be, ou téléphoner au 02.649.08.79. ou verser 20€ sur le compte BE35 0882 1425 7837 de Jeunes Pour la Vie.
    Arrêt possible à l'arrêt du métro Simonis (le demander)

  • Les évêques de France publient une déclaration sur la fin de vie

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    France: Déclaration des évêques sur la fin de vie (source : zenit.org)

    "Ne prenons pas le problème à l'envers !"

    Le Groupe de travail de la Conférence des Évêques de France sur la fin de vie publie, ce mardi 20 janvier 2015, une Déclaration sur la fin de vie dont voici le plan.

    On peut trouver la déclaration entière à cette adresse en ligne: http://www.eglise.catholique.fr/conference-des-eveques-de-france/textes-et-declarations/389425-prenons-pas-probleme-lenvers/

    1. Nous saluons avec admiration l’effort des équipes médicales et des bénévoles qui, avec compétence et dévouement, accompagnent au quotidien des personnes en fin de vie ainsi que leurs proches. Leurs pratiques attestent la pertinence des soins palliatifs. Ceux-ci ont fait leurs preuves ! Ils forment aujourd’hui un savoir médical autorisé, toujours en progrès, pour que des personnes vivent dans les meilleures conditions possibles leur fin de vie.

    2. Nous rappelons que la Loi dite « Leonetti » donne un cadre médical, éthique et juridique adapté pour la plupart des cas rencontrés. Votée à l’unanimité, elle exprima une unité nationale. L’expérience des dix dernières années en matière de soins palliatifs en confirme le bien-fondé. Elle a été appelée la « voie française », inspiratrice de nombreux pays.

    I - Développer une culture palliative : une cause nationale prioritaire
    Paragraphes 3 à 7 : toujours prendre soin de la personne.
    Paragraphe 8 : les recommandations de « bonnes pratiques », essentielles au jugement médical.
    Paragraphe 9 : intégrer les actes d’accompagnement dans la tarification médicale.
    Paragraphe 10 : aborder de façon globale l’ensemble des problèmes de la fin de vie

    II - Droit à la sédation : tenir compte de chaque situation et de la fluctuation des souhaits
    Paragraphe 11 : la sédation dans le cadre actuel de la loi.
    Paragraphe 12 : le nouveau « droit à la sédation profonde et continue jusqu’au décès ».
    Paragraphe 13 : le principe du « double effet ».

    III - Les directives anticipées : clarifier les conditions de leur rédaction
    Paragraphe 14

    IV - Limitation et arrêt de traitements : respecter la dignité intrinsèque de l’être humain
    Paragraphe 15 : l’« obstination déraisonnable » ; « seul maintien artificiel de la vie » ; état irréversible ; alimentation et hydratation artificielles.
    Paragraphe 16 : patients en état de conscience minimale ou en « état d’éveil sans réponse ».

    V - Vers la fraternité
    Paragraphe 17 : donner sens à l’accompagnement et au devoir d’en acquérir la compétence.
    Paragraphe 18 : une authentique manière d’aimer, qui honore les soignants.
    Paragraphe 19 : Pour les croyants en Dieu, comme pour les chercheurs d’infini…