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Défense de la Vie - Page 123

  • Avortements tardifs et infanticides néonataux en Europe : se mobiliser

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    Avortements tardifs et infanticides néonataux en Europe: se mobiliser

    Signer et faire signer la pétition

     

    Il est urgent de se mobiliser et de signer et faire signer une pétition européenne pour empêcher les avortements tardifs et infanticides néonataux, explique ici Grégor Puppinck, directeur de l’ECLJ.

    Le 20 novembre dernier, l’ECLJ a lancé une pétition auprès de l’Assemblée Parlementaire du Conseil de l’Europe (APCE) pour dénoncer les traitements inhumains et les infanticides pratiqués sur les nouveau-nés qui survivent à des avortements tardifs. En effet, chaque année, des enfants naissent vivants lors d’avortements, en particulier quand ils sont pratiqués au-delà de la 20ème semaine de grossesse. Ces enfants sont le plus souvent abandonnés à la mort sans soins, luttant pour respirer pendant parfois plusieurs heures, ou tués par injection létale ou asphyxie, puis jetés avec les déchets biologiques.

    Saisi de ces pratiques en 2014, le Comité des Ministres a échoué à adopter une réponse commune et le Commissaire aux droits de l’homme du Conseil de l’Europe a refusé de se prononcer. C’est pourquoi cette pétition s’adresse à présent à l’Assemblée Parlementaire du Conseil de l’Europe, dont l’une des fonctions est de promouvoir et défendre le respect des droits de l’homme.

    A ce jour cette pétition est soutenue par 174.000 personnes.

    Cette pétition sera introduite suivant une procédure officielle, elle est utile et mérite d’être signée car elle permet de saisir l’Assemblée Parlementaire de ce sujet et d’obtenir qu’elle l’étudie, en débatte et adopte un rapport.

    Cette procédure parlementaire pourrait aboutir à l’adoption d’une résolution et d’une recommandation de l’Assemblée. Ce résultat n’est pas certain. En revanche il est sûr que cette pétition va provoquer d’intenses débats pendant plusieurs mois ; et c’est justement l’objectif de cette pétition : faire sortir de l’ombre le drame des avortements tardifs et obtenir que l’on en parle, que l’on ouvre les yeux sur cette pratique inhumaine.

    Cette pétition va se heurter à une forte opposition et à un « mur du silence », mais elle peut le briser par l’engagement de ses signataires et le courage de députés.

    La pétition sera remise prochainement à la Présidente de l’Assemblée. Les signataires seront informés des prochaines étapes de la procédure et invités encore à agir.

    Signez ici la pétition.

  • Ne laissons pas Tarabella relancer Estrela ! Non au soutien de l'UE à l'avortement !

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    Le rapport Tarabella s’inscrit dans la logique du Rapport Estrela et vise à promouvoir un «droit à l'avortement» au travers d’une résolution du Parlement européen.

    Le 10 Décembre 2013, le Parlement européen a rejeté le rapport Estrela sur « la santé et les droits sexuels et génésiques » (SDSG). A sa place, les eurodéputés ont adopté une résolution qui réaffirme le principe de subsidiarité et déclare clairement que « la définition et la mise en œuvre des politiques relatives aux SDSG et à l'éducation sexuelle dans les écoles relèvent de la compétence des États membres ».

    Le message est clair : l'UE n’est pas compétente pour statuer sur des questions telles que l'avortement ou l'éducation sexuelle dans les écoles, il s’agit de décisions nationales qui en aucun cas ne peuvent être prises à Bruxelles. 

    Des centaines de milliers de citoyens se sont opposés au Rapport Estrela en 2013 ! Une victoire importante en faveur de la dignité humaine, de la subsidiarité et de l'expression populaire ! Beaucoup de terrain a été gagné grâce à cette victoire : à la suite d’une forte mobilisation des citoyens à travers le continent européen, le Parlement européen a rejeté une tentative majeure de promouvoir un « droit à l'avortement » au niveau de l'UE.

    Cependant, l’eurodéputé belge Marc Tarabella, du groupe socialiste, conteste actuellement le principe de subsidiarité en ce qui concerne "les SDSG" en faisant la promotion d’un des principaux points du rapport Estrela, à savoir un « droit à l'avortement ». M. Tarabella est le rapporteur du rapport annuel du Parlement européen sur l'égalité entre les femmes et les hommes au sein de l’UE en 2013. Un rapport annuel qui a été rejeté en 2014, connu alors sous le nom «rapport Zuber».

    M. Tarabella tente de convaincre le Parlement européen à accepter la disposition suivante : « Le Parlement européen (...) insiste sur le fait que les femmes doivent avoir le contrôle de leurs droits sexuels et reproductifs, notamment grâce à un accès aisé à la contraception et à l'avortement ; soutient par conséquent les mesures et actions visant à améliorer l'accès des femmes aux services de santé sexuelle et reproductive et à mieux les informer de leurs droits et des services disponibles ; invite les États membres et la Commission à mettre en œuvre des mesures et des actions pour sensibiliser les hommes quant à leurs responsabilités sur les questions sexuelles et reproductives ».

    L’action de M. Tarabella est incohérente compte tenu de la position récemment adoptée par le Parlement européen, affirmant qu'il n'y a pas de compétence de l'UE sur la question de l'avortement. Néanmoins, au cours des réunions de la Commissionsur les droits de la femme et l’égalité des genres du Parlement européen, il a déclaré sa détermination à promouvoir un "droit à l'avortement". Il est donc nécessaire de réaffirmer ce que le Parlement européen a déclaré le 10 Décembre 2013.

    Une fois de plus les citoyens de l'UE doivent faire entendre leur voix pour défendre le principe de subsidiarité et empêcher que le Parlement européen nouvellement élu adopte un rapport qui comprendrait un "droit à l'avortement".

    Ne laissez pas Tarabella relancer les positions d’Estrela !

    La FAFCE vous invite à signer cette pétition pour envoyer un signal fort et uni des citoyens au Parlement européen avant les votes qui auront lieu d'abord dans la Commission des droits de la femme et de l'égalité des genres, le 20 Janvier 2015, puis lors de la plénière du Parlement européen.

    Ne laissons pas Tarabella relancer Estrela ! Non au soutien de l'UE à l'avortement !

    Madame le Député,

    Monsieur le Député,

    Des centaines de milliers de citoyens ont exprimé leur préoccupation au sujet du rapport Estrela en 2013. Leurs voix ont été entendues : le 10 Décembre 2013, le Parlement européen a adopté une résolution qui établit clairement les limites de la compétence de l’UE concernant la «santé et les droits sexuels et génésiques » (SDSG). La résolution a déclaré que « La définition et la mise en œuvre des politiques relatives aux SDSG et à l'éducation sexuelle dans les écoles relèvent de la compétence des États membres ».

    Néanmoins, cette position est maintenant contestée par l'eurodéputé Marc Tarabella (S&D) dans son projet de rapport sur l’égalité entre les femmes et les hommes au sein de l'Union européenne en 2013. Le paragraphe 14 du projet de rapport vise à promouvoir un « droit à l'avortement » bien que cette question ne peut se situer dans la compétence de l'UE.

    En tant que citoyen de l'UE, je vous demande de ne pas permettre que le Parlement européen outrepasse sa compétence et de vous lever en faveur de la subsidiarité, qui est un principe fondateur de l'Union européenne.

    Je vous demande de rejeter le paragraphe 14 du rapport Tarabella dans la réunion du 20 Janvier de la Commission FEMM. Si le projet de rapport devait être adopté avec le présent paragraphe ou avec des modifications favorisant un « droit à l'avortement », je vous invite à rejeter le rapport lors du vote en plénière.

    Salutations,
    [Votre Nom]
    SIGNER la PETITION
  • Avec "Action pour la Famille", mobilisons-nous pour la vie !

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    MARCHE POUR LA VIE LE 25 JANVIER A PARIS !

    Action pour la famille-Actie gezin appelle à participer à la Marche pour la vie qui se tiendra à Paris le dimanche 25 janvier qui partira de la place de la Bastille à 13h30. Voir http://enmarchepourlavie.fr/

     

    Cette année, l’accent sera mis sur la protection des patients en fin de vie, le développement des soins palliatifs, le refus de l’acharnement thérapeutique et l’opposition à l’euthanasie. Soyons très nombreux à soutenir celles et ceux qui en France luttent contre la dépénalisation de l’euthanasie.

    En Belgique, où l’euthanasie est dépénalisée depuis plus de 11 ans, nous pouvons constater les dérives suivantes : le drame de familles qui se déchirent, la difficulté de contrôler efficacement le respect des conditions précisées par la loi, l’augmentation constante et significative des euthanasies légales et illégales ainsi que l’élargissement progressif des conditions d’obtention de l’euthanasie. Depuis l’année dernière, en Belgique, l’accès à l’euthanasie est légal pour les enfants, sans aucune limite d’âge.

    Dès que le principe de l’interdit de tuer est battu en brèche, l’expérience montre qu’il est très difficile de s’arrêter. De nouvelles propositions de loi ont été récemment déposées en Belgique pour étendre l’accès à l’euthanasie aux les personnes démentes et aux personnes handicapées. L’euthanasie est clairement en voie de banalisation en Belgique.

    Pour le moment, l’euthanasie reste interdite en France. Participons massivement à la Marche du 25 janvier à Paris pour la protection des personnes malades les plus fragilisées et le développement des soins palliatifs.

    Notez dès à présent la date de la Marche pour la vie à Bruxelles le dimanche 29 mars !

    Par ailleurs, Action pour la famille-Actie gezin poursuit l’information et la mobilisation pour l’interdiction de la gestation pour autrui (GPA) et la levée de l’anonymat des donneurs de gamètes (sperme et ovules), en rencontrant récemment des députés fédéraux MR, CdH et CD&V.

    La pression des lobbys LBGT (Lesbian, Bi, Gay, Trans) en faveur d’une légalisation de la GPA dans le but de mettre fin à une prétendue discrimination entre les couples d’hommes et les couples de femmes est très forte. Mais certaines associations féministes se mobilisent de même que certains plannings familiaux afin d’éviter que les femmes les plus vulnérables ne deviennent les victimes d’un commerce sordide.

    Si vous ne l’avez pas encore fait, signez la pétition internationale pour l’interdiction de la GPA http://www.nomaternitytraffic.eu/fr/

    Informez-vous en visitant sur notre site la page des documents sur la GPA

    Regardez et diffusez le film Google_Baby, un documentaire sur le trafic des embryons et le business des mères porteuses aux Etats-Unis, en Inde et Israël, fait par un réalisateur qui est en faveur de la GPA. Les premières minutes suffisent pour saisir toute l’horreur de ces pratiques.  https://www.youtube.com/watch?v=pQGlAM0iWFM

    Du côté de la levée de l’anonymat des donneurs de gamètes, les mentalités évoluent favorablement. Des centres qui pratiquent la PMA se rendent compte des difficultés que peut provoquer chez certaines personnes l’impossibilité qui leur est imposée de connaître leur origine biologique, en contradiction avec l’article 7 de la Déclaration universelle des droits de l’enfant. 

    Nous avons participé à une réunion très constructive avec des membres de l’asbl Enfants de donneurs http://www.enfantsdedonneurs.com/ avec laquelle nous collaborons pour aboutir à la suppression de l’anonymat des donneurs, tout en garantissant la protection juridique de ces derniers. Voir également leur site en néerlandais http://www.donorkinderen.com/

    Action pour la famille asbl-Actie gezin vzw : http://www.actiegezin-actionfamille.be

     

    Suivez-nous aussi sur notre page Facebook : https://www.facebook.com/agafasbl

  • Le pape François soutient la Marche pour la Vie (à Paris, le 25 janvier)

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    Nous relayons cette information parue sur enmarchepourlavie.fr :

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    La Marche pour la vie vient de recevoir le soutien du Pape François pour la manifestation du 25 janvier. Par une lettre reçue ce matin (en PJ) par Jean-Marie Le Méné président de la Fondation Jérôme Lejeune, co-organisatrice de la Marche pour la Vie, le nonce apostolique Luigi Ventura transmet ce soutien :

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    (...) Ce soutien du pape est renforcé par son discours tenu  ce matin au corps diplomatique à Manille : « Nous savons combien il est difficile aujourd’hui pour nos démocraties de préserver et de défendre ces valeurs humaines de base, comme le respect de l’inviolable dignité de toute personne humaine, le respect des droits à la liberté de conscience et de religion, le respect de l’inaliénable droit à la vie, depuis celle des enfants qui ne sont pas encore nés, jusqu’à celle des personnes âgées et des malades. »

    Dix raisons de manifester pour la vie

  • Belgique : l’euthanasie se porte bien

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    En Belgique, la loi de 2002 constitue une offre qui a créé la demande de plus en plus de personnes alors qu’elles ne sont pas en fin de vie.  Lu sur « Le Point » cette interview d’Etienne Montero (doyen de la Faculté de droit de l’université de Namur) réalisée par Violaine de Montclos :

    « Frank Van Den Bleeken, détenu à perpétuité pour viols et assassinat, devait être euthanasié le 11 janvier. Jugé irresponsable de ses actes, il demandait à mourir en raison de souffrances psychologiques "insupportables", selon les termes de son avocat, Jos Vander Velpen. Une demande acceptée par le ministère de la Justice belge en septembre dernier.

    Parce que son médecin a fait volte-face au dernier moment, parce que le gouvernement a finalement accepté son transfert dans un centre psychiatrique, transfert qu'il réclamait en vain depuis des années,cette mort n'a finalement pas eu lieu. Il s'en est fallu de peu. Et, pour la première fois dans ce pays que toute l'Europe observe car il est le seul, avec les Pays-Bas, à avoir légalisé l'euthanasie en 2002, l'opinion publique belge s'interroge sur une loi dont les conditions d'application ne cessent de s'assouplir. Entretien avec Étienne Montero*, doyen de la faculté de droit de Namur.

    Le Point : Pour la première fois, la loi autorisant l'euthanasie, en Belgique, est critiquée. On a parlé, avec le cas Van Den Bleeken, de "peine de mort" inversée...

    Étienne Montero : La mort de Frank Van Den Bleeken n'a pas eu lieu, mais à sa suite, 15 autres détenus ont déjà formulé une demande d'injection létale. Et on l'a oublié, mais en septembre 2012 un détenu psychiatrique de 48 ans a bel et bien été euthanasié... Notre pays a été condamné 14 fois par la Cour européenne des droits de l'homme parce que nous maintenons en prison, dans des conditions qui ne correspondent pas à leur état, des malades psychiatriques jugés irresponsables de leurs actes. Faute de soigner, on accepte d'euthanasier, et ces cas limites révèlent combien les barrières posées en 2002 ont sauté les unes après les autres.

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  • Embryon : dix vérités scientifiques pour conforter le oui à la vie

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    Du site aleteia.org :

    Embryon : Le oui à la vie en dix vérités scientifiques

    Ces dernières décennies, la connaissance de l'embryon a fait un bond en avant, et les conclusions sont très claires...

    1. Au cours des vingt-cinq dernières années, la science moderne nous en a révélé  davantage sur notre développement biologique que toutes les recherches menées  dans le monde en trois mille ans.

    2. On sait aujourd'hui que l'embryon humain est un sujet à part entière, un individu unique, un être vivant doté d'une nature bien définie, et non une partie du corps de la mère ou un appendice de celle-ci.

    3. Dès l'union d'un gamète (ou cellule) mâle et d'un gamète femelle, l'embryon possède déjà des caractéristiques structurelles et fonctionnelles distinctes de celles de la mère, que ce soit dans son étape unicellulaire ou dans les diverses étapes de la division cellulaire.

    4. Au cours de toutes ces étapes, l'embryon se comporte comme un système organique possédant une identité propre, un métabolisme propre, un système immunologique propre, des acides nucléiques et un groupe sanguin différents de ceux de sa mère, selon un modèle de développement vers des états définis, empiriquement détectables.

    5. En tant qu'individu autonome, l'embryon  s'auto-organise en vue de son unité, avec une totale autonomie. Toutefois, ce développement, bien qu'autonome, n'est pas indépendant de la mère. Il dépend de son utérus  durant un temps variable. Par la suite, à la naissance, l'embryon continuera de dépendre de la mère ou d'autres personnes, pour sa survie, durant un laps de temps plus long, également variable. L'être humain est l'espèce qui prolonge le plus sa dépendance alimentaire. Cependant son état de dépendance intra-utérine n'a rien à voir avec son autonomie et sa condition spécifique.

    6. Le développement embryonnaire est donc continu, sans sauts ni ruptures, irréversible et graduel ;  il s'opère en vertu de programmations effectuées par le génome pour permettre les étapes successives du développement de l'organisme humain individuel.

    7. Par conséquent,  il présente au cours de ces différentes étapes  le développement de structures reconnues comme préparatoires  aux étapes suivantes, celles-ci étant définitives. De sorte que, à dix-huit jours, l'embryon a un cœur qui bat, à vingt jours un système nerveux en croissance constante. À 42 jours il est déjà doté d'un squelette complet et de réflexes. À huit semaines, on peut lui faire un électrocardiogramme,  et il est possible d'enregistrer ses battements de cils, ses réactions, ses réponses à des stimuli.

    8. Toutes ces structures s'ajoutent, petit à petit, les unes aux autres de façon organisée et dans une unité fonctionnelle, pour aboutir à l'état final, définitif, de développement. C'est pourquoi cet être humain est à la fois un et lui-même, dans le plus strict respect de la connaissance biologique. C'est une seule et même personne, depuis la fécondation jusqu'à la gestation puis l'âge adulte.

    9. Pour avoir vieilli, un être humain a dû passer par des étapes : maturité, jeunesse, enfance, mais aussi fœtales et embryonnaires. Au cours de l'ensemble de ce processus continu, ce développement est ni plus ni moins celui d'un être humain, sans sauts ni apparitions mystérieuses d'une condition humaine.

    10. Il est scientifiquement inapproprié d'affirmer que c'est seulement quand apparaissent des structures cérébrales et mentales que l'embryon est à proprement parler 'humain', puisque, pour que ces structures cérébrales et mentales apparaissent dans l'embryon, celui-ci possède déjà une condition biologiquement humaine.

    Traduit de l'édition hispanophone d'Aleteia par Elisabeth de Lavigne

    source:  Revista Ser Persona

  • Philippe Pozzo di Borgo ("Intouchables") : "Il faut aider à vivre, pas à mourir"

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    De la synthèse de presse bioéthique de genethique.org :

    PHILIPPE POZZO DI BORGO : "IL FAUT AIDER À VIVRE, PAS À MOURIR"

    synthèse de presse bioéthique (12 décembre 2014) 

    Ce vendredi, le président de la République a annoncé une loi permettant de "mourir dans la dignité" et demandé l'ouverture d'un débat au Parlement sur ce thème "dès le mois de janvier" prochain. 
    Dans le même temps, Philippe Pozzo di Borgo, parrain du collectif "Soulager mais pas tuer", témoigne dans le quotidien Le Parisien. Face aux menaces d'euthanasie en France, P. Pozzo di Borgo souligne en premier lieu qu' "il faut nous réconcilier chacun avec notre part de fragilité". Sa plus grande crainte ? Qu' "une légalisation de l'euthanasie ne donne lieu à des dérives où les plus faibles, les plus dépressifs et souffrants se voient 'expédiés', alors que leur dignité voudrait qu'il soit considérés". 
    Pour le parrain de "Soulager mais pas tuer", la société "aurait beaucoup à gagner à se pencher sur les plus vulnérables, et apprendre à être en relation avec sa part de fragilité". Ce à quoi nous sommes appelés aujourd'hui est d' "aider à vivre, pas à mourir". 
    Il poursuit en précisant que la loi Leonetti "a fonctionné dans le respect des personnes souffrantes, du corps médical et de l'entourage". "Le respect de la dignité de chacun passe par le respect de son intégrité, de son droit à l'imperfection". L'urgence aujourd'hui est donc de "favoriser les soins palliatifs, de maintenir l'interdit de tuer et d'empêcher le médecin de pratiquer une obstination déraisonnable".  Aujourd'hui, Philippe Pozzo di Borgo déclare qu’"étant très entouré, je suis capable d'endurer un niveau de douleur très supérieur à ce que j'aurais pu imaginer dans ma période valide"Après une année d'hospitalisation, il précise : "Je suis reconnaissant aux équipes médicales et au personnel de soins, aux proches, de m'avoir accordé cette considération et permis la reconnaissance, si jubilatoire, malgré un état toujours fragile".  
    Source:  Le Parisien (Marc Payet) 12/12/2014
  • Action pour la Famille mobilise contre la gestation pour autrui (GPA)

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    Les priorités actuelles d’Action pour la famille-Actie gezin sont l’interdiction de la gestation pour autrui (GPA) et la levée de l’anonymat des donneurs de gamètes (sperme et ovules).

    Dans la gestation pour autrui, une femme porte un enfant pendant neuf mois pour ensuite l’abandonner et le livrer à un couple, homosexuel ou hétérosexuel, ou à une personne seule, afin de répondre à son désir d’enfant. 

    Certainement, la stérilité est pour bien des couples une grande souffrance et nul ne songe à la sous-estimer. Mais peut-on aller jusqu’à traiter des femmes comme de simples machines génitrices et considérer des enfants comme des choses que l’on arrache à leur mère dès la naissance selon les termes d’un contrat commercial ? Non. 

    La seule manière d’éviter de telles pratiques est de légiférer en interdisant purement et simplement la gestation pour autrui dans notre pays, et même dans tous les pays, comme l’a proposé récemment le premier ministre socialiste français Emmanuel Valls.

    IL FAUT AGIR ! Signez dès maintenant la pétition internationale pour l’interdiction de la GPA http://www.nomaternitytraffic.eu/fr/ 

    Dans les faits, la gestation pour autrui est légalement tolérée et pratiquée en Belgique. Plusieurs propositions de loi ont été récemment déposées à la Chambre en vue d’encadrer la gestation pour autrui et de prétendument éviter toute « dérive commerciale ». 

    Comment peut-on imaginer un seul instant qu’il sera possible de vérifier et de contrôler que des cadeaux ou des dessous de table n’auront pas été donnés à la mère de substitution et à d’autres intermédiaires ? 

    En plus, serait-il normal qu’une femme qui porte un enfant pendant neuf mois pour quelqu’un d’autre ne reçoive aucune forme de rétribution ? Comment peut-on croire que les conditions « strictes » stipulées par une loi initiale ne seront pas progressivement élargies pour en arriver à une banalisation dont l’avortement et l’euthanasie nous offrent les tristes exemples ?

    Informez-vous en visitant notre site, en particulier la page des documents sur la GPA et la procréation médicalement assistée (PMA)

    Et regardez absolument le film Google_Baby, un documentaire sur le trafic des embryons et le business des mères porteuses aux Etats-Unis, en Inde et Israël, fait par un réalisateur qui est en faveur de la GPA. Les 20 premières minutes suffisent pour saisir toute l’horreur de ces pratiques.

    Action pour la famille collabore activement avec d’autres organisations pour aboutir à l’interdiction de la GPA en Belgique. Nous avons des rendez-vous avec plusieurs députées au niveau fédéral dans les prochaines semaines. Nous vous maintiendrons au courant des actions que nous mettrons en place début 2015.

    Du côté de la levée de l’anonymat des donneurs de gamètes, les mentalités semblent évoluer favorablement. Les centres qui pratiquent la PMA se rendent compte des dégâts psychologiques que peut provoquer chez certaines personnes l’impossibilité qui leur est imposée de connaître leur origine, en contradiction avec l’article 7 de la Déclaration universelle des droits de l’enfant. Sur ce point aussi, nous vous tiendrons informés de l’évolution de la situation.

    Suivez-nous aussi sur notre page Facebook / https://www.facebook.com/agafasbl

    Action pour la famille asbl-Actie gezin vzw / http://www.actiegezin-actionfamille.be 

    Action pour la famille asbl est une association citoyenne, pluraliste et indépendante qui ne reçoit aucune subvention d’organisations publiques ou privées. Elle est gérée par des bénévoles. 

    Si vous souhaitez soutenir notre action, effectuez un versement sur le compte d’Action pour la famille asbl : 363 0704704 39 
    IBAN : BE13 3630 7047 0439 – BIC : BBRUBEBB
    (Nous ne pouvons pas délivrer d’attestation fiscale.)

  • Mouscron, 17 décembre : Eucharistie du Souffle de Vie

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    Eucharistie du Souffle de Vie  17 décembre 2014  
    Le Souffle de Vie invite à une eucharistie avec et autour des familles qui ont perdu un enfant pendant la grossesse. Celle célébration sera présidée par Mgr Harpigny le mercredi 17 décembre à 19h en l'église St-Barthélemy à Mouscron.
    Date(s), horaire(s) et lieu(x)
      Le 17/12/2014 à 19:00 
    Où ?: Eglise St-Barthélemy, grand-place, 7700 Mouscron
    Téléphone de contact 069 64 05 03

    source

  • Paris, 25 janvier : Marche pour la Vie 2015

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    cliquer sur l'image pour accéder au site d'"En Marche pour la Vie"

    De la synthèse de presse bioethique de genethique.org :

     

    Dans une tribune publiée sur le site du Figaro Vox, Julie Grazziani, porte-parole de la "Marche pour la vie", souligne que "quelles que soient les circonvolutions employées ou termes utilisés (Fin de vie, sédation profonde, terminale...etc) [...] on veut amener l'opinion publique à accepter l'autorisation de tuer des personnes fragilisées par l'âge, le handicap ou la maladie. Autrement dit, à accepter l'euthanasie.

     

    Ainsi, "avec des mots simples [...], nous réaffirmons que le droit à la vie est un droit fondamental, inconditionnel, ouvert à tous les êtres humains sans distinction liée à l'âge, à l'état de santé ou au stade de développement", souligne Julie Graziani. En cas d'exception portée à ce principe, le risque est que s' "ouvre une brèche qui n'aura de cesse de s'élargir", ajoute la porte-parole de la Marche pour la vie. Elle prend l’exemple la Belgique "où tous les incurables sont désormais menacés d'euthanasie, jusqu'aux enfants et aux handicapés". 

     

    Elle poursuit en déplorant que les "soins palliatifs ne soient pas accessible à tous". Un état de fait qui ne pourra que s'aggraver si l'euthanasie était autorisée, "cette solution étant à l'évidence moins coûteuse, il est évident qu'elle sera privilégiée par les pouvoirs publics". Mais alors, "quel choix pour les familles qui n'auront pas les moyens de financer les soins de confort pour leur proche en fin vie ? Ils devront recourir à l'euthanasie, faute de meilleure solution et c'est ainsi que se développera dans notre pays la plus effrayante des inégalités, l'inégalité devant la mort". 

     

    C'est pour ne pas en arriver à cette extrême situation que la Marche pour la vie appelle à une marche le 25 janvier prochain, à Paris. 

     

    Source : Lefigaro.fr/vox (Julie Graziani) 12/12/2014

  • Rome, 10 mai 2015 : Marcia per la Vita

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    Comme vous le savez probablement, depuis 2012 a lieu à Rome un événement de dimension désormais internationale, la Marche pour la Vie.

    Elle réunit dans la capitale de la Chrétienté des représentants des mouvements pro-vie du monde entier. Le pape François a accueilli, lors de l’Angelus place Saint- Pierre en 2013 et 2014, les 40 000 participants à la Marche pour la Vie.

    La prochaine édition de la Marche pour la Vie se déroulera dimanche 10 mai 2015.

    Nous sommes convaincus que face à ce phénomène culturel qui tend à transformer un crime en un droit – selon les paroles de Jean-Paul II dans l’encyclique Evangelium Vitae – le témoignage public est une des actions les plus efficaces.

    Nous espérons que vous pourrez être avec nous dans les rues de Rome pour réaffimer le droit à la vie et dans cette attente nous vous souhaitons une sainte fête de Noël

     

    Comité Marcia per la Vita


    Sito web: www.marciaperlavita.it 

    E-mailinfo@marciaperlavita.it

     

    Comitato Marcia Nazionale per la Vita - Piazza Santa Balbina 8 – 00153 Roma

  • Pourquoi certaines paroisses se retirent-elles du téléthon ?

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    Par Arnaud Dumouch 

    Pourquoi certaines paroisses se retirent-elles du téléthon ?
    Analyse d’un théologien, par Arnaud Dumouch, 05 décembre 2014
    L’existence de l’âme immortelle des enfants conçus est une foi fondatrice et imprescriptible et du catholicisme. (Voir saint Jean-Paul II, Donum Vitae 5, Evangelium Vitae 60.
    En conséquence, un blocage absolu avec deux pratiques encouragées par le téléthon : l’eugénisme des embryons handicapés au lieu de la recherche sur leur guérison ; les expérimentations sur les embryons avortés.