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Défense de la Vie - Page 127

  • L'avortement fait en Espagne beaucoup plus de victimes que la Guerre civile

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    De Jeanne Smits, sur son blog :

    Mgr Reig Pla : l'avortement, un holocauste silencieux

    Toutes les commissions épiscopales – fussent-elles des sous-commissions – ne sont pas obligatoirement adeptes de la langue de buis, ainsi que vient de le démontrer le président d'une entre elles en Espagne, celle qui se charge des questions « Famille et Vie ». Il est vrai que son président, Mgr Juan Antonio Reig Pla, a depuis longtemps tenu sur l'avortement un langage parfaitement clair. A l'occasion de son appel à Journée mariale pour la famille et la vie organisée fin mars par son diocèse d'Alcala de Henares et ceux, voisins, de Madrid et Getafe, il a déclaré que l'avortement a causé en Espagne « beaucoup plus de morts que la Guerre civile : un holocauste silencieux ».

    Il commentait l'expression horrifiée du pape François apprenant que l'Espagne compte plus de 100.000 avortements par an.

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  • L'eugénisme démocratique, un livre du père Joseph-Marie Verlinde

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    l-eugenisme-democratique-tome-ii.jpgLa procréation médicalement assistée est une bonne nouvelle pour les couples stériles ; mais l’est-elle également pour les embryons surnuméraires ? Il est précieux de pouvoir poser un diagnostic prénatal permettant de procurer des soins à l’enfant dès le sein de sa mère ; mais que dire des examens qui à la moindre anomalie, conduisent à l’avortement dit « thérapeutique » ? La traque de l’enfant handicapé n’est-elle pas une forme d’eugénisme par élimination du plus faible ? Comment s’assurer que le diagnostic préimplantatoire ne devienne une pratique eugénique par sélection du plus fort ? Le « droit » à l’enfant idéal semble faire partie des fantasmes de notre société, qui dénonce officiellement l’eugénisme, tout en incitant les citoyens à le pratiquer individuellement.  

    (Tome 2 (suite de "l'eugénisme éternel retour : http://www.produits-monastiques.fr/livres/1227-l-eugenisme-l-eternel-retour.html)

    A commander ici : http://www.produits-monastiques.fr/livres/1256-l-eugenisme-democratique.html

    Joseph-Marie VERLINDE, ancien chercheur en chimie nucléaire, l’auteur entre en religion sous le nom de Père Joseph-Marie VERLINDE, et fonde LA FAMILLE DE SAINT JOSEPH (règle bénédictine – Archidiocèse de Montpellier). Professeur émérite de philosophie à l’université catholique de Lyon, de théologie fondamentale au Séminaire d’Ars et au STIM (Studium Intermonastique de France), il se consacre à l’étude critique des nouveaux courants de religiosités, puis des nouvelles idéologies contemporaines qui se multiplient. Ses conférences de Carême 2002 à Notre Dame de Paris l’ont rendu célèbre. Le témoignage de son retour à la foi chrétienne (en 1975), après une immersion dans l’hindouisme et un passage dans l’ésotéro-occultisme, a été publié aux éditions St-Paul :L’Expérience interdite, 1998, 5e éd. - Quand le voile se déchire, 2000, 3e éd. - La déité sans nom sans visage, 2001, 2e ed.. Il est actuellement responsable d’un important Centre spirituel dans le Midi de la France (Saint Joseph de Mont-Rouge, 34-Puimisson), où il prêche des retraites et anime des sessions de guérison intérieure. Il est égalementcuré de paroisse. Le Père Verlinde est une des personnalités les plus atypiques de l’Église de France

  • Belgique : le Roi a signé la loi sur l'extension de l'euthanasie

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    Dans la « Libre » de ce jour, Christian Laporte, l’incontournable spécialiste du trône et de l’autel estime que le chef de l'Etat a donc parfaitement rempli son rôle constitutionnel "malgré diverses pressions" :

     « C'est fait: le roi Philippe a signé ce dimanche la loi sur l'extension de l'euthanasie aux mineurs. C'était la dernière attendue dans le processus de suivi de la législation depuis son adoption par la Chambre, il y a deux semaines après l'avoir été par le Sénat. Une extension de l'euthanasie voulue et votée par des majorités de rechange comprenant surtout des élus PS, MR, Ecolo-Groen et N-VA mais certainement pas de manière unanime en leur sein puisque d'autres parlementaires de ces partis se sont abstenus ou ont voté contre au nom de la liberté de conscience. Quant au fait que la signature ait été apposée sous la loi quinze jours après son approbation par le chef de l'Etat, il apparaît que c'est un délai tout à fait normal même si, en la matière, il n'existe pas de réelles normes.

    Le chef de l'Etat a donc parfaitement rempli son rôle constitutionnel malgré diverses pressions dont la moindre ne fut pas une pétition de CitizenGO, une fondation catholique espagnole attachée aux valeurs traditionnelles et à la famille de base. Cette dernière l'avait elle-même diffusée à l'initiative d'un couple de catholiques autrichiens, Martin et Gudrun Kluger, les parents d'une famille nombreuse, très engagés dans diverses associations catholiques.

    Leur pétition a recueilli plus de 200.000 signatures principalement à l'étranger où l'on ne connaît évidemment pas tous les tenants et aboutissants de la sanction et de la promulgation royale d'une loi en Belgique. Et où on a visiblement oublié aussi que si au nom de sa conscience, le roi Baudouin n'avait pas voulu signer la loi sur la dépénalisation de l'avortement, il avait en même temps demandé au gouvernement de l'époque de tout mettre en œuvre pour qu'elle soit sanctionnée et promulguée. »

    Réf. Le Roi a signé la loi sur l'extension de l'euthanasie

     Le refus de signature du Roi n’aurait pas empêché la sanction et la promulgation de la loi en usant d’une astuce constitutionnelle. Il aurait, par contre, provoqué une crise mettant en péril le trône et la nation. Un tel geste que Baudouin a pu se permettre en 1990 eût été contreproductif sur toute la ligne aujourd’hui. Au lieu de vouloir sacrifier le roi sur l’autel de leurs convictions, les pétitionnaires doivent mobiliser leurs énergies pour susciter en Belgique un véritable débat de société sur la problématique de l’euthanasie des mineurs (et des autres). Avec 73% d’opinions belges favorables à l’actuelle législation mortifère, ils ne sont pas au bout de leur peine !   JPSC

  • Le financement de la recherche sur l'embryon à l'ordre du jour de la Commission européenne

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    Lu sur La Croix (Marianne Meunier) :

    Le financement de la recherche sur l’embryon examiné par la Commission européenne

    Une proposition d’interdiction du financement de la recherche sur l’embryon a reçu le soutien de plus d’un million d’Européens.

    Elle a été déposée auprès de la Commission, qui doit donner une réponse dans les trois mois.

    L’initiative citoyenne européenne (ICE) « Un de nous » vient de franchir une nouvelle étape. Ce projet, qui vise à faire interdire le financement par l’Union européenne (UE) de la recherche impliquant la destruction de l’embryon humain, a été officiellement validé par la Commission européenne vendredi 28 février. 

    Il a rempli les conditions prévues dans le « mode d’emploi » de l’ICE, un outil en vigueur depuis avril 2012 censé rapprocher l’UE du citoyen en lui offrant l’occasion de solliciter l’exécutif communautaire sur un sujet donné. En retour, celui-ci peut décider, ou non, d’apporter une réponse législative.

    PLUS D’UN MILLION DE SIGNATURES

    Lancée en mai 2012 sur l’idée de l’eurodéputé italien Carlo Casini (membre du Parti populaire européen, de centre droit), « Un de nous » a recueilli 1,7 million de signatures dans 19 pays de l’UE – un minimum d’un million de signatures, collectées dans au moins sept pays de l’UE, avec un seuil par pays, est prévu par le règlement.

    « C’est très représentatif d’une préoccupation partagée en Europe », estime Gregor Puppinck, juriste, directeur du European Centre for Law and Justice et co-initiateur de « Un de nous » en France, où le projet est soutenu par la Fondation Jérôme Lejeune, le Comité protestant pour la dignité humaine et les Associations Familiales Catholiques.

    INTERDIRE LE FINANCEMENT

    La bioéthique ne relève pas du champ de compétences de l’UE. Les promoteurs de « Un de nous » se fondent néanmoins sur un arrêt de la Cour de justice de l’Union européenne (CJUE), rendu en octobre 2011, qui avait interdit de breveter une invention « qui requiert la destruction préalable d’embryons humains ou leur utilisation comme matériau de départ ». 

    De leur point de vue, les fonds européens finançant la recherche sur l’embryon entrent en contradiction avec les principes affirmés par ce texte. Débloqués dans le cadre de divers programmes, ils se seraient élevés à 50 millions d’euros sur la période 2007-2013.

    Dans la proposition de « Un de nous », l’interdiction doit porter sur trois domaines : le budget de l’UE en général, le financement des programmes de recherche et l’aide au développement, qui peut, selon les défenseurs de l’initiative, soutenir indirectement des programmes d’avortement. 

    « On attend un engagement formel de la part de la Commission européenne de ne plus financer l’avortement dans le monde, indique Gregor Puppinck. Et si la Commission dit qu’elle ne le finance pas, nous attendons que cette abstention soit couchée par écrit. Et nous attendons la même chose pour la recherche sur l’embryon. »

    PROCHAINES ETAPES

    Les membres du comité ayant promu l’initiative doivent être reçus par le Parlement et la Commission pour une audition commune courant avril. D’ici au 28 mai (soit dans les trois mois suivant la validation de l’initiative), la Commission doit présenter une « communication publique » expliquant si elle donne suite, ou non, à l’initiative. Dans un cas comme dans l’autre, sa position doit être argumentée.

  • Belgique : les dhimmis veulent discuter

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    De l'abbé Eric de Beukelaer sur son "minisite":

    « Dans mon post précédent, je suggérais que l’enseignement pourrait être le prochain grand chantier porté par le Centre d’Action Laïque (CAL) en Belgique. En entendant l’interview de Pierre Galand ce matin sur la radio Première (RTBF), je me dis que j’ai eu du flair. Au nom d’une salutaire modernisation du système scolaire, le président sortant du Centre d’Action Laïque (CAL) en appelle à – je le cite : « donner un coup de canif dans le pacte scolaire »pour aboutir à un seul réseau – public et sans cours philosophiquement engagés s’entend (cours de religion et de morale laïque, remplacés par des cours de philosophie et de citoyenneté).

    Dans le quotidien « le Soir » de ce jour (p.8), l’enjeu s’élargit avec l’intervention du très laïque député socialiste (et médecin) Philippe Mahoux. Ce dernier propose de faire voter une loi, obligeant les établissements de soins (hôpitaux, maisons de repos) subsidiés par l’état à pratiquer des euthanasies. Je le cite : « Aux élus du peuple de trancher ? Soit. Le fait que, pour être agréés, des hôpitaux ou des maisons de repos doivent effectivement appliquer la loi sera clairement inscrit dans une proposition de loi au programme du PS pour la prochaine législature. C’est une question de respect de droit du patient ».

    Ces deux prises de position ont le mérité de la cohérence : En finir avec un réseau scolaire philosophiquement situé et avec des institutions de soin ayant une éthique particulière. Face à cela, que va faire l’opinion catholique ?

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  • Plus de 210.000 personnes ont signé la pétition demandant au roi de ne pas sanctionner la loi sur l'euthanasie des mineurs

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  • BXL, 1er mars : Rosaire pour la Vie à Saint-Jacques sur Coudenberg

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    Foto
    Où ? : 
    Eglise Saint-Jacques sur Coudenberg
            Place Royale (Bruxelles)
    Quand ?
    tous les premiers samedi du mois à 16h30
    N'hésitez pas à transférer l'info!!

    Prochaine date: 1er MARS 2014 !

  • David Bereit, fondateur des 40 Days for Life

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    L'Homme Nouveau publie, en exclusivité, un entretien avec David Bereit, fondateur de 40 Days for Life:

    Le numéro du 1er mars de L'Homme Nouveau propose un entretien avec David Bereit, fondateur du mouvement américain, d'ampleur internationale et de résonance sociale et spirituelle : 40 Days for Life. Notre collaborateur Daniel Hamiche s'est entretenu longuement avec lui lors d'une rencontre à Paris avant de réaliser cet entretien dont voici la version complète, spécialement pour le site de L'Homme Nouveau. 

    Qui êtes-vous exactement David Bereit ?

    Je suis né le 17 juillet 1968 à Pittsburgh en Pennsylvanie. Ma famille se composait de mon père, de ma mère, d’un frère et de moi-même. J’ai été élevé dans l’Église presbytérienne et ai grandi à Pittsburgh. Après mes études secondaires, je suis parti pour le Texas à la « Texas A&M University » de College Station. C’est là que j’ai rencontré Margaret qui allait devenir mon épouse. Nous nous sommes mariés en août 1992, voici bientôt 22 ans, et nous avons deux grands garçons.

    À Pittsburgh, dans ma famille, l’on ne parlait jamais d’avortement et je pratiquais dans une église où l’on n’en parlait pas davantage… La conséquence de cela, c’est que j’étais en grande partie ignorant du problème de l’avortement jusqu’à ce que je m’installe au Texas. Une fois au Texas, entouré de catholiques et de chrétiens évangéliques, j’ai commencé à comprendre ce qu’était l’avortement et le mal qu’il causait. À cette époque-là, je devins « passivement » pro-vie. J’étais contre l’avortement mais sans l’envie de faire quoi que ce soit pour m’y opposer.

    C’est alors que Margaret me raconta beaucoup d’histoires sur des jeunes adultes de Corpus Christi (Texas). Tous les samedis, leurs familles se rendaient devant des cliniques d’avortement pour y prier en compagnie de centaines d’autres chrétiens. Au bout de quelques années, ils virent ces cliniques fermer les unes après les autres pour ne plus jamais rouvrir. J’ai alors commencé à prendre conscience que l’on pouvait faire quelque chose pour contribuer à résoudre le problème de l’avortement et là était mon devoir. Mais ce qui a vraiment poussé ma décision, c’est quand j’ai appris que Planned Parenthood, la plus grande chaîne d’avortoirs aux États-Unis, allait ouvrir sa première clinique d’avortement dans la ville où j’habitais : College Station. C’est cette information qui m’a poussé à m’impliquer activement dans le sauvetage de vies, à aider à changer les cœurs et les esprits, et à travailler pour mettre un terme à l’injustice que constitue l’avortement dans notre société.

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  • Retour sur "l'euthanasie des enfants" avec le Professeur Ghins

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    Une interview du Professeur Michel Ghins (UCL) parue sur Euthanasie STOP :

    Le titre "euthanasie des enfants" apparu avec le nom de la Belgique dans les media du monde a fait frissonner bien des rédactions: en quoi consiste la loi adoptée par le parlement belge?

    Prof. Michel Ghins - La loi du 28 mai 2002 ouvre l'accès de l'euthanasie aux adultes atteints d'une maladie incurable qui est la cause de souffrances physiques ou psychiques insupportables et inapaisables. L'extension de cette loi aux enfants, quel que soit leur âge, ajoute les restrictions suivantes : le décès de l'enfant est prévu à brève échéance, seules les souffrances physiques sont prises en considération, un pédopsychiatre ou psychologue (dont il n'est pas précisé que ce dernier doit être un spécialiste des enfants) doit attester que l'enfant est capable de discernement au moment de sa demande d'euthanasie, l'accord des parents est requis.

    Prévoit-elle l'objection de conscience?

    Oui, aucun médecin n'est obligé d'accéder à une demande d'euthanasie. Seul un médecin est autorisé à pratiquer une euthanasie.

    La loi est-elle passée en force, en dépit du dissentiment de l'opinion publique, et la réaction a-t-elle été insuffisante?

    Il est difficile de se prononcer sur l'état de l'opinion publique. Beaucoup de gens confondent l'euthanasie (qui consiste à mettre intentionnellement fin à une vie à la demande du patient) et la désescalade thérapeutique (l'arrêt progressif des soins curatifs). De plus, peu savent que toutes les souffrances peuvent à présent être soulagées par des soins palliatifs appropriés et, dans des cas rares, par le recours à un endormissement profond, réversible, la sédation palliative. Depuis 2002, les soins palliatifs ont fait de grands progrès. La grande majorité des pédiatres qui soignent des enfants en fin de vie sont opposés à cette loi.

    La loi a été votée au Sénat et des experts y ont été consultés. Mais à la Chambre, en commission de la justice, aucune nouvelle audition d'expert n'a été acceptée, alors que plusieurs partis le demandaient. La commission de la santé n'a pas été consultée. Aucun avis n'a été demandé au Conseil d'Etat. Il est vrai que certains partis, principalement les socialistes et les libéraux flamands ont fait le forcing pour que la loi soit votée rapidement, avant les élections du 25 mai.

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  • Bolivie : la Cour constitutionnelle confirme l'illégalité de l'avortement

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    Friday-Fax-Header-French.jpgLa Bolivie confirme l’illégalité de l’IVG au nez du comité de l’ONU

    NEW YORK, 21 février (C-FAM) La Cour constitutionnelle de Bolivie vient de confirmer la validité de sa législation protégeant la vie de l’enfant à naître, cela malgré les pressions exercées par les experts de l’Onu.

    Le jugement de la Cour bolivienne est arrivé comme une surprise. Le groupe militant IPAS remettait en cause la constitutionalité de l’interdiction de l’avortement.  La Cour a conclu que la vie à naître devait être protégée, même si elle a concédé une exception en cas de viol, et ouvert la porte à la recherche sur l’embryon et à la pilule du lendemain.

    L’affaire a été très commentée en Bolivie. Le suspense a duré deux ans, pendant lesquels le pays a attendu le jugement. Le président Evo Morales a pesé dans le débat l’année dernière en déclarant que « tout avortement est un crime ».

    Les arguments sur lesquels la Cour se fonde pour protéger la vie sont originaux. Elle déclare en effet que selon les anciennes croyances cosmiques indigènes, la vie est perpétuelle, elle n’a ni commencement ni fin. Dès lors, tout ce qui est vie ou « peut potentiellement donner la vie » est protégé par la Constitution bolivienne. L’avortement à la demande ne pourrait jamais être permis, continue-t-elle ; c’est même un crime en fin de la grossesse.

    Notez que la Cour n’a pas tenu compte des recommandations de deux comités de l’Onu de l’année dernière, qui demandaient à la Bolivie de dépénaliser l’avortement.

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  • Marche pour la Vie, à Bruxelles le dimanche 30 mars 2014 à 14 heures

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    Les Liégeois affrètent un car:

    Un car « VOYAGES COLLIGNON » fera le ramassage selon l’itinéraire suivant:

    -Départ de VISÉ, 11 heures, place de la COLLEGIALE;

    -Arret à HERSTAL, 11 h 20 , place LICOURT ;

    -Arrêt à LIEGE GUILLEMINS, 11 h 40, rue du PLAN INCLINÉ, le long du parking SNCB,

    -Arrêt à ANS, 12 heures, parking CARREFOUR. rue J. JAURES (face à la sortie d’autoroute)

     et…en route pour Bruxelles !

    Renseignements et inscriptions : fb834290@skynet.be ou tél. 04.263.59.44 

  • Avortement : assiste-t-on à un changement culturel ?

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    Pour Gregor Puppinck, le changement culturel est en marche... (Valeurs Actuelles)

    Le gouvernement espagnol se propose de limiter l’accès à l’avortement. Ce projet a suscité un tollé dans certains milieux, et a été présenté comme un cas isolé, qui irait à l’encontre d’une tendance générale. Gregor Puppinck, analysant le cas français, offre au passage des données qui contredisent cette vision et invitent à une nouvelle approche de la « culture de la vie ».

    Le 19 janvier (dernier a eu lieu) la IXe Marche pour la Vie (en France), alors que le Gouvernement français a décidé de transformer « l’exception d’avortement » dépénalisée en 1975 en véritable « droit à l’avortement » garantissant la liberté dont disposerait fondamentalement toute femme de mettre fin à sa grossesse. Dans cette logique, le gouvernement a décidé de sanctionner de deux ans d'emprisonnement et de 30 000 euros d’amende « le fait d'empêcher ou de tenter d'empêcher de pratiquer ou de s’informer sur une interruption de grossesse ou les actes préalables ». Cette nouvelle atteinte à la liberté d’expression, si elle est adoptée par le Parlement, rendra pénalement répréhensible le fait d’essayer d’aider une femme en détresse à conserver son enfant. Rappelons que jusqu’en 2001, c’est la publicité en faveur de l’avortement qui était interdite.

    En agissant ainsi, le gouvernement met en œuvre une politique rétrograde et liberticide. Il n’a pas compris que l’avortement est un problème, et non pas une solution. Faire de l’avortement un droit intouchable ne solutionnera pas le problème des 220.000 IVG pratiquées chaque année en France. C’est ce que commencent à comprendre d’autres gouvernements européens qui adoptent une politique de prévention et de réduction de l’avortement, à tel point que l’on peut constater à présent un véritable progrès de la « culture de vie » en Europe.

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