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Défense de la Vie - Page 132

  • Belgique : les dhimmis veulent discuter

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    De l'abbé Eric de Beukelaer sur son "minisite":

    « Dans mon post précédent, je suggérais que l’enseignement pourrait être le prochain grand chantier porté par le Centre d’Action Laïque (CAL) en Belgique. En entendant l’interview de Pierre Galand ce matin sur la radio Première (RTBF), je me dis que j’ai eu du flair. Au nom d’une salutaire modernisation du système scolaire, le président sortant du Centre d’Action Laïque (CAL) en appelle à – je le cite : « donner un coup de canif dans le pacte scolaire »pour aboutir à un seul réseau – public et sans cours philosophiquement engagés s’entend (cours de religion et de morale laïque, remplacés par des cours de philosophie et de citoyenneté).

    Dans le quotidien « le Soir » de ce jour (p.8), l’enjeu s’élargit avec l’intervention du très laïque député socialiste (et médecin) Philippe Mahoux. Ce dernier propose de faire voter une loi, obligeant les établissements de soins (hôpitaux, maisons de repos) subsidiés par l’état à pratiquer des euthanasies. Je le cite : « Aux élus du peuple de trancher ? Soit. Le fait que, pour être agréés, des hôpitaux ou des maisons de repos doivent effectivement appliquer la loi sera clairement inscrit dans une proposition de loi au programme du PS pour la prochaine législature. C’est une question de respect de droit du patient ».

    Ces deux prises de position ont le mérité de la cohérence : En finir avec un réseau scolaire philosophiquement situé et avec des institutions de soin ayant une éthique particulière. Face à cela, que va faire l’opinion catholique ?

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  • Plus de 210.000 personnes ont signé la pétition demandant au roi de ne pas sanctionner la loi sur l'euthanasie des mineurs

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  • BXL, 1er mars : Rosaire pour la Vie à Saint-Jacques sur Coudenberg

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    Où ? : 
    Eglise Saint-Jacques sur Coudenberg
            Place Royale (Bruxelles)
    Quand ?
    tous les premiers samedi du mois à 16h30
    N'hésitez pas à transférer l'info!!

    Prochaine date: 1er MARS 2014 !

  • David Bereit, fondateur des 40 Days for Life

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    L'Homme Nouveau publie, en exclusivité, un entretien avec David Bereit, fondateur de 40 Days for Life:

    Le numéro du 1er mars de L'Homme Nouveau propose un entretien avec David Bereit, fondateur du mouvement américain, d'ampleur internationale et de résonance sociale et spirituelle : 40 Days for Life. Notre collaborateur Daniel Hamiche s'est entretenu longuement avec lui lors d'une rencontre à Paris avant de réaliser cet entretien dont voici la version complète, spécialement pour le site de L'Homme Nouveau. 

    Qui êtes-vous exactement David Bereit ?

    Je suis né le 17 juillet 1968 à Pittsburgh en Pennsylvanie. Ma famille se composait de mon père, de ma mère, d’un frère et de moi-même. J’ai été élevé dans l’Église presbytérienne et ai grandi à Pittsburgh. Après mes études secondaires, je suis parti pour le Texas à la « Texas A&M University » de College Station. C’est là que j’ai rencontré Margaret qui allait devenir mon épouse. Nous nous sommes mariés en août 1992, voici bientôt 22 ans, et nous avons deux grands garçons.

    À Pittsburgh, dans ma famille, l’on ne parlait jamais d’avortement et je pratiquais dans une église où l’on n’en parlait pas davantage… La conséquence de cela, c’est que j’étais en grande partie ignorant du problème de l’avortement jusqu’à ce que je m’installe au Texas. Une fois au Texas, entouré de catholiques et de chrétiens évangéliques, j’ai commencé à comprendre ce qu’était l’avortement et le mal qu’il causait. À cette époque-là, je devins « passivement » pro-vie. J’étais contre l’avortement mais sans l’envie de faire quoi que ce soit pour m’y opposer.

    C’est alors que Margaret me raconta beaucoup d’histoires sur des jeunes adultes de Corpus Christi (Texas). Tous les samedis, leurs familles se rendaient devant des cliniques d’avortement pour y prier en compagnie de centaines d’autres chrétiens. Au bout de quelques années, ils virent ces cliniques fermer les unes après les autres pour ne plus jamais rouvrir. J’ai alors commencé à prendre conscience que l’on pouvait faire quelque chose pour contribuer à résoudre le problème de l’avortement et là était mon devoir. Mais ce qui a vraiment poussé ma décision, c’est quand j’ai appris que Planned Parenthood, la plus grande chaîne d’avortoirs aux États-Unis, allait ouvrir sa première clinique d’avortement dans la ville où j’habitais : College Station. C’est cette information qui m’a poussé à m’impliquer activement dans le sauvetage de vies, à aider à changer les cœurs et les esprits, et à travailler pour mettre un terme à l’injustice que constitue l’avortement dans notre société.

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  • Retour sur "l'euthanasie des enfants" avec le Professeur Ghins

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    Une interview du Professeur Michel Ghins (UCL) parue sur Euthanasie STOP :

    Le titre "euthanasie des enfants" apparu avec le nom de la Belgique dans les media du monde a fait frissonner bien des rédactions: en quoi consiste la loi adoptée par le parlement belge?

    Prof. Michel Ghins - La loi du 28 mai 2002 ouvre l'accès de l'euthanasie aux adultes atteints d'une maladie incurable qui est la cause de souffrances physiques ou psychiques insupportables et inapaisables. L'extension de cette loi aux enfants, quel que soit leur âge, ajoute les restrictions suivantes : le décès de l'enfant est prévu à brève échéance, seules les souffrances physiques sont prises en considération, un pédopsychiatre ou psychologue (dont il n'est pas précisé que ce dernier doit être un spécialiste des enfants) doit attester que l'enfant est capable de discernement au moment de sa demande d'euthanasie, l'accord des parents est requis.

    Prévoit-elle l'objection de conscience?

    Oui, aucun médecin n'est obligé d'accéder à une demande d'euthanasie. Seul un médecin est autorisé à pratiquer une euthanasie.

    La loi est-elle passée en force, en dépit du dissentiment de l'opinion publique, et la réaction a-t-elle été insuffisante?

    Il est difficile de se prononcer sur l'état de l'opinion publique. Beaucoup de gens confondent l'euthanasie (qui consiste à mettre intentionnellement fin à une vie à la demande du patient) et la désescalade thérapeutique (l'arrêt progressif des soins curatifs). De plus, peu savent que toutes les souffrances peuvent à présent être soulagées par des soins palliatifs appropriés et, dans des cas rares, par le recours à un endormissement profond, réversible, la sédation palliative. Depuis 2002, les soins palliatifs ont fait de grands progrès. La grande majorité des pédiatres qui soignent des enfants en fin de vie sont opposés à cette loi.

    La loi a été votée au Sénat et des experts y ont été consultés. Mais à la Chambre, en commission de la justice, aucune nouvelle audition d'expert n'a été acceptée, alors que plusieurs partis le demandaient. La commission de la santé n'a pas été consultée. Aucun avis n'a été demandé au Conseil d'Etat. Il est vrai que certains partis, principalement les socialistes et les libéraux flamands ont fait le forcing pour que la loi soit votée rapidement, avant les élections du 25 mai.

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  • Bolivie : la Cour constitutionnelle confirme l'illégalité de l'avortement

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    Friday-Fax-Header-French.jpgLa Bolivie confirme l’illégalité de l’IVG au nez du comité de l’ONU

    NEW YORK, 21 février (C-FAM) La Cour constitutionnelle de Bolivie vient de confirmer la validité de sa législation protégeant la vie de l’enfant à naître, cela malgré les pressions exercées par les experts de l’Onu.

    Le jugement de la Cour bolivienne est arrivé comme une surprise. Le groupe militant IPAS remettait en cause la constitutionalité de l’interdiction de l’avortement.  La Cour a conclu que la vie à naître devait être protégée, même si elle a concédé une exception en cas de viol, et ouvert la porte à la recherche sur l’embryon et à la pilule du lendemain.

    L’affaire a été très commentée en Bolivie. Le suspense a duré deux ans, pendant lesquels le pays a attendu le jugement. Le président Evo Morales a pesé dans le débat l’année dernière en déclarant que « tout avortement est un crime ».

    Les arguments sur lesquels la Cour se fonde pour protéger la vie sont originaux. Elle déclare en effet que selon les anciennes croyances cosmiques indigènes, la vie est perpétuelle, elle n’a ni commencement ni fin. Dès lors, tout ce qui est vie ou « peut potentiellement donner la vie » est protégé par la Constitution bolivienne. L’avortement à la demande ne pourrait jamais être permis, continue-t-elle ; c’est même un crime en fin de la grossesse.

    Notez que la Cour n’a pas tenu compte des recommandations de deux comités de l’Onu de l’année dernière, qui demandaient à la Bolivie de dépénaliser l’avortement.

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  • Marche pour la Vie, à Bruxelles le dimanche 30 mars 2014 à 14 heures

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    Les Liégeois affrètent un car:

    Un car « VOYAGES COLLIGNON » fera le ramassage selon l’itinéraire suivant:

    -Départ de VISÉ, 11 heures, place de la COLLEGIALE;

    -Arret à HERSTAL, 11 h 20 , place LICOURT ;

    -Arrêt à LIEGE GUILLEMINS, 11 h 40, rue du PLAN INCLINÉ, le long du parking SNCB,

    -Arrêt à ANS, 12 heures, parking CARREFOUR. rue J. JAURES (face à la sortie d’autoroute)

     et…en route pour Bruxelles !

    Renseignements et inscriptions : fb834290@skynet.be ou tél. 04.263.59.44 

  • Avortement : assiste-t-on à un changement culturel ?

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    Pour Gregor Puppinck, le changement culturel est en marche... (Valeurs Actuelles)

    Le gouvernement espagnol se propose de limiter l’accès à l’avortement. Ce projet a suscité un tollé dans certains milieux, et a été présenté comme un cas isolé, qui irait à l’encontre d’une tendance générale. Gregor Puppinck, analysant le cas français, offre au passage des données qui contredisent cette vision et invitent à une nouvelle approche de la « culture de la vie ».

    Le 19 janvier (dernier a eu lieu) la IXe Marche pour la Vie (en France), alors que le Gouvernement français a décidé de transformer « l’exception d’avortement » dépénalisée en 1975 en véritable « droit à l’avortement » garantissant la liberté dont disposerait fondamentalement toute femme de mettre fin à sa grossesse. Dans cette logique, le gouvernement a décidé de sanctionner de deux ans d'emprisonnement et de 30 000 euros d’amende « le fait d'empêcher ou de tenter d'empêcher de pratiquer ou de s’informer sur une interruption de grossesse ou les actes préalables ». Cette nouvelle atteinte à la liberté d’expression, si elle est adoptée par le Parlement, rendra pénalement répréhensible le fait d’essayer d’aider une femme en détresse à conserver son enfant. Rappelons que jusqu’en 2001, c’est la publicité en faveur de l’avortement qui était interdite.

    En agissant ainsi, le gouvernement met en œuvre une politique rétrograde et liberticide. Il n’a pas compris que l’avortement est un problème, et non pas une solution. Faire de l’avortement un droit intouchable ne solutionnera pas le problème des 220.000 IVG pratiquées chaque année en France. C’est ce que commencent à comprendre d’autres gouvernements européens qui adoptent une politique de prévention et de réduction de l’avortement, à tel point que l’on peut constater à présent un véritable progrès de la « culture de vie » en Europe.

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  • Euthanasie des enfants en Belgique : l’agence Zenit a interviewé le Professeur Ghins (Ucl) :

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    14b26801bddc5e5ec22628f61f7feb41.jpeg et le professeur Michel Ghins répond avec sa clarté d’esprit habituelle. Un bon résumé de l’état de la question :

    "L’euthanasie est toujours un homicide et donc un acte violent, et ne peut certainement pas être considéré comme un soin palliatif", explique le prof. Michel Ghins, à l'origine d'euthanasiestop et président de l'association Action pour la Famille. Il fournit quelques clefs de lecture sur la loi belge sur l'euthanasie d'enfants en fin de vie. Il estime que "la vie des enfants très malades n’est plus suffisamment protégée en Belgique" et qu'une fois la "digue" rompue, il est "impossible d’arrêter l’extension de l’euthanasie à des couches de plus en plus larges de personnes".

    Zenit- Professeur Ghins, le titre "euthanasie des enfants" apparu avec le nom de la Belgique dans les media du monde a fait frissonner bien des rédactions: en quoi consiste la loi adoptée par le parlement belge?

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  • Quand une future mère refuse d'écouter les médecins

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    Ce qui interpelle, c'est que le fait rapporté par sudinfo.be (ci-dessous) n'est pas exceptionnel comme on pourra s'en rendre compte en consultant les commentaires sous l'article.

    Les médecins lui conseillent d'avorter, Rachel préfère garder le bébé et accouche malgré leur avis négatif

    Rachel, 30 ans, n’a pas vécu une grossesse facile. Elle souhaitait accoucher dans quelques mois de son premier enfant quand les médecins ont découvert qu’elle souffrait d’oligoamnios. Le fœtus n’était donc pas entièrement baigné dans le liquide amniotique et risquait donc de mourir…

    Les médecins ont ainsi conseillé à Rachel Collins, âgée de 30 ans, d’avorter de son enfant après seulement deux mois de grossesse suite à ce diagnostic. Face à ce manque de liquide amniotique, son bébé risquait bien d’être mal formé ou de mourir à peine quelques jours après sa naissance.

    Mais cette jeune mère britannique a refusé d’écouter les médecins qui lui ont proposé cette solution. Rachel a préféré se battre pour terminer sa grossesse et accoucher de son premier enfant. Pourtant, lors de l’échographie réalisée après 20 semaines de grossesse, le bébé de Rachel n’avait que… 10 % de chance de survie ! Finalement, le miracle est arrivé : Rachel a donné naissance à Alfie, son premier enfant, et celui-ci se porte toujours bien, un mois après cette grossesse qui aurait pu mal tourner selon les médecins qui la suivaient depuis le premier jour.

    « Les médecins n’ont pas mâché leurs mots : ce bébé va mourir, le mieux que vous puissiez faire est d’y mettre fin », explique Rachel dans le Daily Mail. « Nous avions déjà un nom pour notre bébé, j’étais dévastée. Mais j’ai continué à y croire en tenant un journal, chaque jour, sur comment j’allais, j’écrivais le bon comme le mauvais. »

    « Mais Alfie s’est battu, est sorti en criant. Cela a été un cauchemar durant la grossesse mais désormais, je vois Alfie comme un cadeau. Il se porte bien et n’a aucun problème de santé », assure Rachel. Pourvu que ça dure !

  • Pour Pieter De Crem (vice-premier ministre démocrate-chrétien), la question de l’euthanasie des mineurs ne valait pas une crise

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    Lu dans « La Libre » de ce jour :

    « Le vote de l'extension aux mineurs d'âge de la loi sur l'euthanasie par une majorité de rechange, vendredi à la Chambre, n'est pas un événement à reproduire, a averti dimanche le vice-Premier ministre CD&V Pieter De Crem, dans le journal de la mi-journée de VTM. M. De Crem, dont le parti s'est opposé à l'extension de la loi, s'est dit conscient qu'une crise gouvernementale déclenchée sur ce point n'était pas envisageable pour son parti.

    "Nous ne sommes pas loin des élections. Nous ne pouvions nous permettre une crise", a commenté M. De Crem, rappelant l'approche d'un important contrôle budgétaire pour sortir la Belgique de la procédure européenne de sanction pour déficit excessif.

    Le chef de file des chrétiens-démocrates flamands au gouvernement fédéral a déploré un vote "brutal et rude", sans débat parlementaire suffisant ni consultation du Conseil d'Etat, aboutissant à une courte majorité de députés néerlandophones (45 sur 88). (...)

     Réf. Euthanasie: le CD&V ne pouvait se permettre une crise gouvernementale

     A chacun sa hiérarchie de valeurs. Ce qu’on avait déjà constaté va encore mieux en le disant…

    JPSC

  • Euthanasie : « l’effet cliquet » belge

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    Une analyse d’Antoine Pasquier dans l’hebdomadaire français  « Famille chrétienne » :

    «  La précipitation parlementaire belge sur l'euthanasie des enfants aurait-elle pu être stoppée par ses propres instigateurs, au moins par prudence ? Non, car elle est commandée par une vision idéologique de la manière dont il convient de mourir. À moins d’un réveil salutaire des citoyens belges.

    Les parlementaires outre-quiévrain auront déjoué tous les pronostics.  Après les récentes mises en cause du système de contrôle des euthanasies pratiquées en Belgique, on aurait pu penser que les sénateurs et les députés belges prendraient le temps de s’interroger sur la pertinence d’un élargissement de la loi de 2002 aux mineurs. Les critiques émanant de professionnels, de juristes, d’autorités religieuses et même de certains parlementaires auraient pu être décortiquées, analysées, battues en brèche ou entendues, approfondies au sein d’une mission d’enquête ou reprises pour nourrir un vrai débat public. Il n’en fut rien.

    L’approche des élections législatives fédérales, le 25 mai, pouvait aussi laisser supposer un report du projet de loi à la prochaine législature. Par prudence. Par bon sens. Il n’en fut rien.

    Au cours des discussions engagées au Sénat en décembre, puis à la Chambre des représentants en janvier, on aurait pu imaginer un complément de débat ou d’apport extérieur à la réflexion des parlementaires. Il n’en fut rien.

    Les demandes en ce sens ont toutes été refusées, même celles suggérant d’entendre les autorités religieuses, parlant pourtant d’une seule et même voix.

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