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Défense de la Vie - Page 133

  • Une coalition s’est mise en place pour contrer l’avancée de l’euthanasie en Europe…

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    Une coalition s’est mise en place pour contrer l’avancée de l’euthanasie en Europe…

     


    d'Alex Schadenberg :

     

    Dear Friends of the Euthanasia Prevention Coalition,

     

    1. The Belgian Senate will be voting on the bill to extend euthanasia to children with disabilties on November 26. I am asking you to email important Belgian cabinet ministers who need to be told to stop this bill. http://alexschadenberg.blogspot.ca/2013/11/belgium-senate-will-vote-on-bill-to.html

     
     

    2. The launch of EPC-Europe 

     
    in Brussels Belgium, last week, was a tremendous succes.

    EPC-Europe was launched with a press conference at the European Parliament 

     
    and a debate between myself and Professor Jan Bernheim, a long-time euthanasia promoter.

    At the debate, Bernheim admitted that there were problems with the Belgian euthanasia law

     
    Professor Etienne Vermeersch, an author of the Belgian euthanasia law stated that the euthanasia law was designed for people with disabilities
     
    .

    It is crazy that the Belgian government is planning to extend euthanasia to children with disabilities

    3. The Quebec government is currently holding hearings on Bill 52, the bill that would legalize euthanasia in Quebec.http://alexschadenberg.blogspot.ca/2013/06/quebec-euthanasia-bill-52-very.html
     
    We need you to write a letter to your local or national newspaper
     
     opposing Bill 52.

    Donations to the Euthanasia Prevention Coalition

    are needed to fight the euthanasia bill in Quebec.

    4. The Euthanasia Prevention Coalition (EPC) and EPC-BC have asked for intervener standing in the Bentley 'Spoon Feeding' case in British Columbia. Spoon feeding is not medical treatment

     
    The trial will be heard in a few weeks.

     

    Alex Schadenberg

    Executive Director/International Chair

    Euthanasia Prevention Coalition

    Email: info@epcc.ca, Phone toll free: 1-877-439-3348FacebookTwitter

  • Espagne : l'avortement légalisé en sursis ?

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    1238310982_1.jpgDe Nouvelles de France :

    L’avortement bientôt interdit en Espagne ?

    C’est une promesse de campagne du gouvernement actuel qui n’a toujours pas été tenue. Dimanche dernier, des dizaines de milliers d’Espagnols répondaient malgré le froid et la pluie à l’appel des nombreuses organisations pro-vie en défilant dans 47 villes du pays pour demander la loi anti-avortement maintes fois promise par le ministre de la Justice Alberto Ruiz-Gallardón. L’association Derecho a Vivir (Droit de vivre) rappelle que ce sont plus de 300 enfants qui sont tués en moyenne chaque jour (environ 120 000 par an) dans le cadre de la loi actuelle qui autorise les avortements sans raison médicale jusqu’à la 14e semaine de grossesse. Cette quatrième Marche annuelle pour la Vie se déroulait sous le slogan « L’Espagne pour l’avortement zéro. Pour une vie qui n’est pas raccourcie ».

    Cela fait deux ans que le Parti Populaire gouverne en Espagne avec la majorité absolue au parlement. Le ministre de la Justice a promis six fois des délais qu’il n’a pas tenus. La dernière fois, c’était pour le mois d’octobre dernier. Aujourd’hui, à défaut de donner une septième date, il affirme simplement que la loi est « imminente » en expliquant que l’avortement est un sujet complexe mais que la loi est très avancée. Comme l’année dernière, les marcheurs de dimanche ont prévenu le gouvernement : ils ne veulent ni de l’avortement du PSOE (le parti socialiste espagnol), ni de l’avortement du PP (le parti populaire du premier ministre Mariano Rajoy). Car avant la légalisation de l’avortement à la demande par les socialistes en 2010, l’exception à l’interdiction d’avorter en cas de danger pour la santé mentale de la femme enceinte permettait tous les abus. C’est cette loi de 1985 qui avait permis au docteur Morín, un gynécologue, de réaliser près d’une centaine d’avortements illégaux et à un tribunal de Barcelone de l’innocenter le 30 janvier dernier avant que la Cour suprême espagnole n’annule récemment ce jugement (le gynécologue encourt une peine de 270 années de prisons). C’est aussi cette loi qui avait fait de l’Espagne la destination européenne des femmes candidates à un avortement tardif.

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  • Euthanasie : s'adresser à nos représentants

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    A qui envoyer nos mails de contestations par rapport à la loi euthanasie pour les mineurs ?

    Commissions réunies de la Justice et des Affaires sociales 


    Justice

    Président

    Premier Vice-Président

    Deuxième Vice-Président

    Membres

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  • Aujourd'hui sur Euthanasie Stop (20/11/2013)

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    AUJOURD'HUI SUR EUTHANASIE STOP - 20/11/2013

    Le suicide est un drame. L'euthanasie ne le serait-elle pas?

    Publié par Edmond POULLET (Officier général en retraite)

    Il se fait que nous aussi, mon épouse et moi, nous avons connu Lucie Dorchain, que nous l'avons vu vivre,et lui avons témoigné notre affection. Nous pouvons témoigner qu'à chaque geste, à chaque parole, elle réagissait,elle comprenait. Elle était donc une personne pleinement humaine, malgré ses déficiences. Nous avons aussi connu Marc, un jeune Suisse, même maladie que Lucie, mais plus grave encore. Il est mort à 21 ans. Nous le rencontrions au moins une fois l'an à Lourdes. Sa mère lui expliqua...

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    Papa, tu m'as fait découvrir les vraies valeurs de la vie...

    Publié par Carine T., Bruxelles (Animatrice dans un service de soutien aux malades)

    Elargir la loi pour l'euthanasie des personnes mineures et démentes est à l'encontre de ma façon de penser et du sens vrai des normes humaines. Je peux témoigner de l'expérience de la schizophrénie de mon père. A écouter les arguments des personnes politiques, des « grands de notre société », mon père aurait été dans la liste de ceux qui avaient droit à l'euthanasie. Il n'avait aucune rentabilité économique. Il ne pouvait être expert politique, économique. Il n'était pas un «grand » à qui on de...

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    Ik kost toch te veel ?

    Publié par Ingrid LANGHOR (Gepens. directie-secretaresse, Antwerpen)

    We weten allemaal uit welke hoek de wetsuitbreiding komt (en de eerste wet...); niet verwonderlijk dus. Het persoonlijke geweten wordt meer en meer vervangen om niet te zeggen verdrongen door allerlei wetten (in de zin van "mag/kan" het volgens de wet, dan is het OK...). Het is onze "beschaving" onwaardig overal te horen en te lezen over de vergrijzing en de kosten die ermee gepaard gaan, en de "nutteloosheid" van al die oudjes: de druk op weerloze ouderen wordt hierdoor constant opgevoerd, zod...

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    Open de deur NIET! 

    Publié par Luc PEETERS (Gepensioneerd, Tienen)

    Stop deze waanzin.Waar eindigt dit? Wie is de volgende? Als men een deur opent op een kier krijgt men ze nooit meer dicht.

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  • Signer la pétition contre l'euthanasie des enfants

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    d'Action pour la Famille :

    SIGNEZ LA PETITION

    CONTRE L’EUTHANASIE DES ENFANTS !


    Une pétition a été lancée sur internet par des étudiants pour s’opposer à la proposition de loi, actuellement en discussion en commission au Sénat, qui vise à élargir l’accès de l’euthanasie aux enfants, et ce sans limite d’âge (davantage d’informations sont disponibles à la fin de ce mail)

    C'est urgent, la loi pourrait passer dans les toutes prochaines semaines ! 

    http://citizengo.org/en/719-stop-euthanasie-voor-minderjarigen-stop-euthanasie-des-mineurs

    Si le lien ne fonctionne pas en cliquant, faites un coupé-collé dans votre navigateur.

    Le ZIP est le code postal de votre domicile.

    Vous pouvez aussi signer via Facebook :

    http://www.facebook.com/stopeuthanasiemin 

    Rejoignez aussi les veilleurs, tous les dimanches de 16h à 17h et tous les mardis de 19h à 20h devant le Parlement, rue de la Loi.

    Cette proposition de loi élargissant l’accès de l’euthanasie aux enfants est en discussion en Commissions réunies de la justice et des affaires sociales au Sénat. Défendue par Philippe Mahoux (PS), Jean-Jacques De Gucht (OpenVLD), Christine Defraigne (MR) et Guy Swennen (Sp.a), étend l’euthanasie aux enfants sans limite d’âge, pourvu que les conditions de la loi du 28 mai 2002 soient remplies, que les parents marquent leur accord, et qu’un pédopsychiatre ou un psychologue, choisi par un médecin prêt à poser le geste euthanasique, atteste que l’enfant est capable de discernement.

    Action pour la famille asbl, étant opposée à l’euthanasie, s’inquiète de l’élargissement d’une loi qui, dans les faits, et selon les rapports de la Commission d’évaluation de la loi, est appliquée de façon de plus en plus laxiste (voir le livre d’Etienne Montero. Rendez-vous avec la mort. 2013).

    Outre signer la pétition, vous pouvez aussi écrire dès aujourd’hui au président du MR, Charles Michel charles.michel@mr.be pour vous inquiéter des positions défendues par Christine Defraigne et Jacques Brotchi en faveur de l’extension de l’euthanasie, et qui divisent le MR. Ecrivez aussi au président du CdH, Benoît Lutgenbenoit.lutgen@lecdh.be pour le soutenir et l’encourager à maintenir la cohésion de son parti dont le programme refuse toute extension de la loi sur l’euthanasie, ce qui ne peut qu’apporter des voix au CdH aux prochaines élections. 

    Ces lettres ont un réel impact !

    Voici quelques éléments d’argumentation que vous pouvez utiliser dans votre message. Les lettres type ont peu d’effet. Mieux vaut un message court, mais personnel. Pour plus d’informations vous pouvez consulter le sitehttp://www.euthanasiestop.be 

    Il est très difficile pour des parents de voir leur enfant souffrir, et qui plus est, d’une maladie incurable dont l’issue est fatale. Dans les faits, ce sont le plus souvent les parents qui demandent l’euthanasie de leur enfant au médecin. Comment l’enfant ne percevrait-il pas la souffrance de ses parents, une souffrance qui s’ajoute à la sienne propre ? Ne pourrait-il pas demander l’euthanasie pour soulager ses parents ?

    De plus, le pédopsychiatre ou le psychologue sera, selon la proposition de loi, choisi par le médecin à qui la demande d’euthanasie s’adresse. Si ce médecin est prêt à poser le geste euthanasique sur l’enfant, on peut douter qu’il s’adresse à un psychologue opposé à l’euthanasie. Dans ces conditions quelles garanties a-t-on que l’avis du psychologue soit objectif ? 

    La loi actuelle est basée sur la liberté individuelle et l’autonomie du patient. La proposition d’extension de l’euthanasie aux enfants n’offre aucune garantie que l’enfant ne subisse aucune pression et que son autonomie soit respectée. Il faut au contraire être solidaires des enfants très fragilisés et les protéger.

    Plutôt que de proposer l’euthanasie pour les enfants, renforçons plutôt l’accompagnement médical, psychologique et spirituel des enfants malades et aussi de leur famille. Si les douleurs physiques sont le plus souvent maîtrisables, la souffrance psychique et morale est plus difficile à accompagner et requiert une formation adéquate ainsi qu’une grande abnégation de la part des soignants. Si les soins palliatifs se développent dans notre pays, il reste beaucoup à faire. En France, où l’euthanasie reste illégale, l’offre de soins palliatifs est beaucoup plus large et variée que chez nous.  

    Refusons la culture euthanasique. Promouvons une société solidaire et une culture de vie !

    Action pour la famille asbl est une association citoyenne, pluraliste et indépendante qui ne reçoit aucune subvention d’organisations publiques ou privées. Visitez notre site internethttp://www.actiegezin-actionfamille.be/lang/fr/accueil

    Avec nos très cordiales salutations

    Action pour la famille asbl

    Michel Ghins, président

    Si vous souhaitez soutenir notre action, faites un don sur le compte d’Action pour la famille asbl : 363 0704704 39

    Pour ne plus recevoir nos courriels cliquer ici.

  • Trisomie 21 : la recherche actuelle suscite de grands espoirs

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    De la Synthèse de presse quotidienne de gènéthique.org

    Trisomie 21: la recherche laisse entrevoir de grandes avancées

    A quelques jours de la journée nationale de la trisomie 21, le 17 novembre 2013, Valeurs actuelles consacre une double page aux derniers travaux de recherche sur la trisomie 21 qui laissent entrevoir de grands espoirs. En effet, le 17 octobre dernier, se tenait le IVème prix international Sisley-Jérôme Lejeune qui récompense des chercheurs confirmés et jeunes scientifiques réalisant des recherches dans le domaine des maladies génétiques de l'intelligence.

    Un des premiers espoirs se trouvent dans les "modèles murins de la trisomie, des cobayes qui présentent des défauts récurrents de la mémoire et de l'apprentissage". A l'origine de ces travaux, Yann Hérault (1), un des lauréats du prix, qui a pu reproduire "la majeure partie des traits associés à la trisomie 21 [...] chez ces rongeurs" et mettre en évidence que seules certaines régions du chromosome 21 étaient impliquées dans les déficiences intellectuelles. Il a également montré que la surexpression d'une enzyme qui participe à la neurotransmission, appelée la cystathionine bêta-synthase (CBS), est à l'origine des déficits de mémoire chez les personnes trisomiques 21. 

    Autre espoir, la recherche d'un deuxième lauréat du prix Sisley-Jérôme Lejeune, un Américain, Lynn Nadel (2).  Ce dernier a travaillé "sur la mémoire, plus précisément sur l'hippocampe, dont on s'est apperçu progressivement qu'il jouait un rôle important dans la trisomie 21". Il a depuis trente ans "créé des ponts entre les nouveaux outils de recherche que sont la création des modèles murins et le développement de l'imagerie du cerveau". Lynn Nadel assure qu' "il est vraiment possible de faire des comparaisons entre les humains et les animaux". 

    Outre le cerveau, la trisomie 21 affecte le coeur, les intestins, la morphologie cranio-faciale ou encore les mains. Ainsi, le lauréat du prix Sisley-Jérôme Lejeune 2012, Roger Reeves, a découvert que la surexpression au facteur de croissance SAG (Sonic Hedgehog) est à l'origine de nombreux problèmes et est "parvenu à montrer qu'un cervelet traité avec cette molécule retrouvait son apparence normale". Mieux, si le SAG est injecté à une souris trisomique le jour de sa naissance, elle présente "à l'âge de 4 mois, (soit 25 à 30 ans chez les humain), des fonctions cérébrales considérées comme 'normalisées'". 

    En outre, une dernière piste de recherche vise à inactiver partiellement le chromosome 21 surnuméraire en ayant préalablement isolé le gène "Xist", puis en l'ayant inséré dans un des trois chromosomes 21 d'une personne trisomique."En l'espace de quelques jours, [ce gène a] permis de réduire au silence l'expression d'une dizaine de gènes portés par ce chromosome, notamment celui impliqué dans la déficience intellectuelle". 

    Cumulées, l'ensemble de ces avancées sont révélatrices, pour Roger Reeves, "d'espoirs concrets" et permettent de dire que"les résultats sont proches". 

    Enfin, il a été constaté que les personnes trisomiques (environ 65 000 en France) étaient particulièrement exposées à la maladie d'Alzheimer. Un suivi de ces patients pourraient apporter de nombreux enseignements, ce qui pousse le journaliste à souligner que la recherche sur la trisomie 21, devrait être davantage soutenu financièrement, celle-ci n'étant actuellement le fruit que de fondations privées, comme la Fondation Jérôme Lejeune. La recherche publique n'est pas ou peu impliquée confirme Lynn Nadel: "le montant alloué est extrêmement faible au regard d'autres pathologies, y compris certaines maladies rares". 

    ----------------------

    (1) Yann Hérault: Directeur de l'Institut clinique de la souris au sein de l'Institut de génétique et de biologie moléculaire et cellulaire d'Illkirch (CNRS, Inserm).

    (2) Lynne Nadel: université de Tucson (Arizona).

  • Avorter n'est pas banal, avorter ne laisse pas indemne

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    Du discours de clôture de Mgr Georges Pontierarchevêque de Marseille, Président de la Conférence des évêques de France, dimanche 10 novembre 2013 à Lourdes :

    ... Nous avons entrepris un travail sur le phénomène social de l'avortement et l'éducation affective des jeunes. Nous ne pouvons pas faire comme si nous n'étions pas auditeurs, témoins des souffrances multiformes de femmes ayant connu un avortement et qu'elles n'expriment parfois que longtemps après. Ce sont des pages douloureuses de vies humaines qui nous sont confiées. Entendre les cris de ceux et celles qui souffrent est une de nos premières missions. 

    Des médecins, des infirmières, des psychologues, de nombreux prêtres, des membres d'associations confirment ce même constat : avorter n'est pas banal, avorter ne laisse pas indemne, avorter n'élimine pas qu'un amas de cellules. La femme enceinte sait bien qu'elle porte une vie humaine en son commencement. Il s'agit bien de cela. Il n'est pas aisé pour bien des praticiens de faire de l'avortement un acte thérapeutique. On ne peut se satisfaire de le ramener à une manière de réparer les dysfonctionnements d'une contraception inefficace ou de le proposer comme la seule solution possible face à une nouveauté inattendue et perçue comme dérangeante. Il n'est pas porteur de liberté profonde pour la femme. Aucune d'entre elles ne devrait vivre ces moments dans la solitude, la précipitation ou les pressions de toutes sortes. Nous savons que des lieux d'écoute se multiplient. Nous encourageons tous ceux qui s'y emploient. Il reste encore bien du chemin à faire pour qu'une culture de la vie l'emporte.

    Aussi voulons-nous nous employer à contribuer à une meilleure éducation affective des jeunes qui leur fasse percevoir la grandeur du corps humain et celle d'une vie affective responsable, située dans une relation pleine de respect pour la personne de l'autre, d'engagement à son égard, de tendresse, d'amour et d'ouverture au don de la vie. L'homme est un être de relations. Il ne peut jamais traiter son semblable comme un moyen de plaisir fugitif. La soif de bonheur qui habite le cœur humain est profonde et essentielle. La liberté a besoin d'être éduquée pour être humaine, le corps d'être conduit et maîtrisé, l'affectivité d'être ajustée. Nous invitons tous les responsables éducatifs en milieu scolaire, universitaire, au sein des mouvements de jeunes, tous ceux qui apportent le concours de leurs réflexions et de leurs recherches, à se mobiliser pour cette tâche essentielle et nécessaire.

    http://www.eglise.catholique.fr/conference-des-eveques-de-france/textes-et-declarations/discours-de-cloture-de-l-assemblee-pleniere-de-novembre-2013-17447.html

  • Aujourd'hui sur EUTHANASIE STOP (9/11)

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    AUJOURD'HUI SUR EUTHANASIE STOP - 09/11/2013

    • Catherine DOPCHIE (Oncologue)

    L'euthanasie nous impose un cadre particulier autour de nos colloques singuliers avec les patients

    La fin de vie c'est le mourir, terme choc qui signifie le lâcher prise, la déchéance, le dire adieu à tout et à tous. Travaillant quotidiennement aux côté des souffrants, je crois qu'il nous appartient de combattre la souffrance avec énergie et intelligence, surtout avec cœur, tout en admettant humblement que la souffrance fait partie de notre vie sur terre. Il n'y a pas de réponse à la souffrance, il n'y a que des chemins pour tenter de la vivre le plus humainement possible, ensemble. Dans le...

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    • Monique de THYSEBAERT (Accompagnatrice)

    Quand on croit ne plus pouvoir rien faire, il reste encore l'amour

    Je termine le 2° livre d'Anne-Dauphine Julliand « Une journée particulière ». Ce livre est un véritable hymne à la vie et à l'amour à travers la souffrance d'une maman qui assiste impuissante à la maladie de ses filles. J'ai envie de partager quelques extraits qui m'interpellent particulièrement au moment où on parle d'une extension de la loi sur l'euthanasie. P. 187, l'auteur a cette superbe réflexion : « Qu'est-ce qui donne du sens à la vie ? Est-ce le métier que l'on exerce, la famille que l...

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    • Uit de Pers

    Zorg om levenseinde verdraagt geen demagogie

    Open brief ondertekend door Prof. Dr. Willem Lemmens (voorzitter Centrum voor Ethiek, Universiteit Antwerpen), Prof. Dr. Lieven Lagae (diensthoofd kinderneurologie, UZ Leuven), Dr. Benoît Beuselinck (medisch oncoloog, UZ Leuven), Prof. Dr. Chris Gastmans (medisch ethicus, KU Leuven), Prof. Dr. Timothy Devos (hematoloog, UZ Leuven), Prof. Dr. Gunnar Naulaers (neonatoloog UZ Leuven), Prof. Dr. Stefaan Van Gool (hoofd pediatrie neuro-oncologie UZ Leuven), Prof. Dr. Yvonne Denier (filosoof en ethicu...

    Lire « Zorg om levenseinde verdraagt geen demagogie  »

    • Uit de Pers

    Heel weinig kinderen willen sterven

    'Wij vinden dat je de wet niet mag herschrijven op basis van enkele individuele gevallen', zegt Stefaan Van Gool, diensthoofd kinderneuro-oncologie in Gasthuisberg. 'Het is voor ons ontoelaatbaar dat je die persoonlijke drama's zou gebruiken of misbruiken om de wetgeving te veranderen.' Vanuit zijn specialisme begrijpt hij dat er kinderen zijn die erg veel pijn lijden, vanwege ongeneeslijke tumoren: 'Wij merken bij zulke kinderen en hun ouders ook momenten van vertwijfeling op. De vraag is wat w...

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  • Défense de l'embryon humain : la campagne "One of Us" a réuni plus de 1.885.000 signatures

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    one_of_us_logo_01.jpgEurope : "Un de nous" dépasse les 1.885.000 signatures
    Participation active des Églises catholiques, orthodoxes et protestantes (Zenit.org)
    "Un de nous" dépasse les 1.885.000 signatures, se réjouit Gregor Puppinck, président du comité de l'initiative citoyenne européenne, dans un communiqué.

    Lundi 11 novembre 2013, le calcul des soutiens individuels apportés à l'initiative citoyenne européenne « Un de nous » - close le 1er novembre - sera terminé. Ce nombre sera supérieur à 1.885.000, ce qui fait de cette initiative pour la vie un "premier et grand succès".

    Vingt pays ont atteint le seuil minimum de signatures requis par la Commission européenne, "attestant que la volonté de défendre l'embryon humain est profondément ancrée dans les populations d'Europe", poursuit Gregor Puppinck.

    Le but de l'initiative « Un de nous » est de réaffirmer que l'embryon humain partage l’humanité des êtres humains. Elle demande donc à l'Union européenne de mettre fin au financement des activités qui détruisent les embryons humains.

    Les exigences de « Un de nous » sont les suivantes : qu'« aucune allocation budgétaire ne soit faite pour le financement d’activités qui détruisent les embryons humains, ou qui supposent leur destruction », en particulier les « activités de recherche qui détruisent les embryons humains, y compris celles qui visent à obtenir des cellules souches, ainsi que la recherche impliquant l'utilisation de cellules souches d’embryons humains à des étapes ultérieures pour obtenir celles-ci » ; pas d’allocation non plus pour « l'avortement, directement ou indirectement, à travers le financement d’organisations qui favorisent ou encouragent l'avortement. »

    L’interdiction de tels financements « contribuera beaucoup à la cohérence de la législation de l'Union européenne », estime Gregor Puppinck.

    « Un de nous » est également un succès grâce au soutien et à la collaboration des Églises chrétiennes d’Europe, ajoute-t-il : « c'est une source de joie et d'espérance de voir les Églises catholiques, orthodoxes et protestantes unies pour promouvoir le bien commun ».

    A partir de maintenant, les autorités nationales de chaque État membre ont 3 mois pour certifier le nombre final des voix valides recueillies. Puis, dans les 3 mois qui suivront, la Commission européenne et le Parlement rencontreront les organisateurs afin de discuter en détail des questions soulevées par cette initiative.

    Par ailleurs, la Commission européenne adoptera une réponse officielle pour présenter les mesures qu’elle proposera en réponse à  cette action. La Commission n'est pas obligée de proposer une législation. Toutefois, si elle décide de le faire, cette proposition sera soumise au processus législatif habituel.

  • France : la Fondation Lejeune réagit au rapport visant à faire de l'avortement un droit comme un autre

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    France: la Fondation Lejeune demande un débat de raison sur l'avortement
    Réaction au Rapport du 7 novembre (Zenit.org)
    La Fondation Lejeune demande un débat de raison sur l'avortement en France. Un rapport sur l’avortement vient d’être rendu public jeudi 7 novembre. (Voir ICI) "Ce document conduit à banaliser cet acte et à négliger des données importantes", estime la Fondation Jérôme Lejeune qui s’interroge, en tant qu’institution médicale et scientifique, "sur la présentation de l’avortement dans ce rapport" et elle "considère comme un préalable méthodologique nécessaire de rappeler sa nature et ses conséquences".  Jean-Marie Le Méné, président de la Fondation Jérôme Lejeune, commente cette publication

    Zenit - Qu’est-ce qui vous choque le plus dans le rapport du Haut Conseil  à l’Egalité des femmes et des hommes ?

    Jean-Marie Le Méné - Qu’on le veuille ou non, la réalité de l’avortement consiste à tuer un être humain avant sa naissance. Cette réalité est tellement violente qu’elle est occultée. La nature de cet acte emporte des conséquences qui ne peuvent être passées sous silence. La volonté de faire de l’avortement « un droit comme les autres » est insensée. Il convient de rappeler que le respect de la vie de l’être humain est une valeur qui est antérieure à la loi. Ce n’est pas parce que l’avortement a été hélas dépénalisé sous certaines conditions que cet acte peut être érigé en droit.  

    Minimise-t-on les conséquences d’une interruption volontaire de grossesse ?

    On ne les minimise pas, on les nie, ce qui est une attitude ni scientifique ni médicale. L’avortement – même s’il est voulu - a des conséquences psychiques et somatiques à court, moyen ou long terme sur les femmes. Mais les hommes aussi sont concernés. Il n’y a d’ailleurs aucune raison de ne pas tenir compte de leurs points de vue, de leurs souffrances, de leurs désirs. Le Haut Conseil à l’Egalité des femmes et des hommes devrait donc s’en soucier…

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  • Trop d'hommes sur terre ? Une enquête au coeur de l'eugénisme

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    Hors-série n°13

     Enquête au coeur de l'eugénisme
     
    Sommes-nous trop nombreux sur terre ?

    Et s’il y avait neuf milliards d’hommes sur terre en 2050, pourrions-nous nourrir tout le monde ?

    La terre aurait-elle encore suffisamment de ressources exploitables ?

    L’inquiétude est contagieuse, celle de voir les habitants de la terre devenir ses envahisseurs gagne du terrain, nourrie à dessein par ceux qui savent que la peur est un moyen de coercition terriblement efficace.

    Comment cette idée de surpopulation a-t-elle émergé ? Quels sont ses vecteurs aussi bien culturels que politiques ? Qui sont les grandes figures de cette idéologie ?

    L’Homme Nouveau a sollicité des spécialistes de la question qui analysent le fantasme de la surpopulation avec l’intelligence de la science et la sagesse de la foi. On découvre au fil des pages les liens qui semblaient obscurs, entre une écologie dévoyée et la promotion de l’eugénisme portée notamment par l’Onu et affiliés.

    On y apprend comment cette idée que l’homme est un nuisible imprègne la culture occidentale jusque dans les manuels scolaires.

    Mais au-delà du décryptage, il s’agit aussi de proposer des pistes en vue d’une véritable reconstruction. C’est pourquoi ce hors-série n’analyse pas seulement le fantasme de la surpopulation ou le détournement de l’aspiration écologique. Il entend aussi donner des indications, à la fois justes sur le plan politique et conformes à la doctrine sociale de l’Église, pour mettre l’homme et la terre à leur juste place.

    Avec la collaboration de : Mgr Michel Schooyans, Gérard-François Dumont, le Père Joseph-Marie Verlinde, Joseph Pearce, Anne-Marie Libert, Vincent Badré, Steven Mosher, Falk van Gaver, Michel Fauquier, Jon Merrill, Armelle Signargout, Adélaïde Pouchol, Philippe Maxence...

    64 pages couleur - 7 € (port offert)