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Défense de la Vie - Page 135

  • Louis était mon ami...

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    Lu sur Euthanasie STOP :

    Louis était mon ami...

    par Bernard MICHELET, Adm-gérant de sociétés

    J'ai rencontré Louis dans sa maison de retraite. Depuis plusieurs années, nous nous rencontrions régulièrement. Il y a peu, Louis avait gagné une médaille parce que c'était lui qui avait marché la plus longue distance de toute la Maison. Il la portait fièrement tous les jours.

    Louis - qui avait fait une rechute pour un problème mental déjà soigné avec succès auparavant - a été hospitalisé pour une pneumonie. J'ai été le voir tous les jours. Il n'avait plus de famille qui pouvait s'occuper de lui. Mes visites nous rendaient tous les deux heureux. Il me gratifiait chaque fois d'un des merveilleux sourires dont il avait le secret.

    Louis avait des problèmes de déglutition, il était donc nourri et hydraté artificiellement. Je lui demandais s'il avait mal et il me répondait que non. Je lui ai aussi demandé s'il voulait vivre et il m'a clairement répondu « oui » devant 2 autres personnes.

    Et voilà que Louis a fait une rechute de sa pneumonie mais on ne lui a pas donné d'antibiotiques.

    Un jour, j'ai remarqué qu'on avait supprimé le baxter qui le nourrissait. Les infirmiers un peu gênés – alors que nos contacts avaient, jusqu'alors, été ouverts et cordiaux - m'ont dit qu'ils ne pouvaient pas me donner d'informations. Etant proche de Louis et parce qu'il n'avait personne pour le protéger, j'ai mis en route en urgence une procédure pour être sa personne de confiance comme il le souhaitait.

    Après avoir supprimé la nourriture de Louis, c'est son hydratation qui lui a été enlevée. Son dernier soir, il me regardait en disant « j'ai soif ! ».

    Je suis arrivé trop tard avec mes papiers.

    Louis aurait encore dû vivre mais son médecin – imprégné de la mentalité euthanasique ambiante – ayant constaté qu'il avait un problème mental et qu'il n'avait plus de famille, a décidé que Louis ne devait plus vivre.

    Oh... il ne lui a pas fait d'injection létale. Il l'a juste mis dans les conditions pour qu'il meure vite... contre sa volonté.

    Louis était mon ami, il est mort à Gand ce 25 juin 2013.

  • On ne peut donner tout à César et prétendre oublier Dieu, sans être totalitaire.

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    Un excellent éditorial de notre ami Pascal de Roubaix sur "Le Beffroi"

    Démocratique, cette politique de mort ?

    Ayant inauguré un nouveau site internet officiel sur les « droits de la femme », une jeune et jolie personne qui a le rude privilège d’être ministre dans le gouvernement français actuel, vient de reprendre à son compte un slogan particulièrement efficace mais surtout particulièrement monstrueux : « L’avortement n’est pas un problème, l’avortement est une solution ! »

    J’ai envie d’ajouter : « Oui, et même une solution finale !» (Une référence qu’on aurait pu espérer ne jamais plus devoir envisager).

    Je ne sais pas où ni comment se (dé)forment les esprits de ces gens qui, dans tous nos pays, imposent leur inconscience mortifère, et je ne désire pas le savoir, mais je ne puis pas accepter la société qu’ils nous concoctent.

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  • Parlement européen : une séance historique qui a donné une voix aux embryons

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    Europe : l’embryon n’est plus sans voix

    Article rédigé par Jean-Marie Le Méné, le 25 octobre 2013 (Liberté Politique)

    Les observateurs ne s’y trompent pas, qu’ils s’en réjouissent ou en déplorent l’issue, la séance du 22 octobre au Parlement européen fut historique. Il s’agit bel et bien d’une victoire pour les défenseurs de la vie et pour ceux qui en avaient assez de voir le Parlement européen enregistrer en chaîne des dérives sociétales dont les citoyens ne veulent pas.  Ce mardi, il s’est opéré un vrai choc de transparence.

    LE RAPPORTEUR de la résolution examinée mardi 22 octobre, Mme Estrela (socialiste, Portugal) a eu de quoi claquer la porte, furieuse, après le renvoi inattendu de son texte en commission. Sa résolution, qui avait jusqu’alors passé les étapes sans remous, y compris sur les bancs du PPE (qui représente une partie de la droite européenne) ne manquait pas « d’ambition » sur le fond : articulée autour de l’enjeu de l’inscription de l’avortement comme droit fondamental et de la lutte contre « le recours abusif » à l’objection de conscience,  elle déroulait avec une logique implacable la même idéologie libérale-libertaire sur  l’éducation sexuelle, la PMA, notamment pour les lesbiennes, la théorie du genre et ainsi de suite.

    À examiner l’inertie d’il y a à peine dix jours y compris à droite, l’offensive d’Edite Estrela semblait judicieuse. Mais c’était sans compter sur la mobilisation massive et croissante des citoyens européens. Si le rapport Estrela a provoqué ce sursaut et que son renvoi était inespéré, c’est parce que le réveil des citoyens est réel et d’ampleur. Les peuples ne supportent plus les idéologues et les technocrates qui les ont mis sous tutelle. 

    La guerre contre l’excès de conscience : un marqueur du totalitarisme 

    Malte, la Pologne, l’Irlande, l’Espagne  ont un point commun pour Mme Estrela : leur corps médical fait preuve de trop de conscience. Nous sommes bien face à une pensée oppressante, un texte totalitaire. Ce diktat en vient aujourd’hui à reprocher l’excès de ceux qui suivent leur conscience comme si l’usage de la conscience pouvait être excessif….

    Il est intéressant d’observer que d’un côté, pour les soutiens féministes de Mme Estrela, le cœur du réacteur est l’avortement. De l’autre, c’est l’éducation sexuelle et la filiation. Mais ce sont bien ceux qui promeuvent l’avortement qui imposent leur tempo et mènent la danse.

    Ce qui s’est passé  en Allemagne et en France mérite d’être salué. Le collectif pour la défense de l’embryon “Un de nous” arrive à son terme et ses chevilles ouvrières surveillent au radar le moindre frémissement européen. Grâce à cette vigilance, les voyants d’alerte se sont allumés dès que le texte a été inscrit à l’ordre du jour. Parce que les réseaux d’échanges d’informations fonctionnent à plein régime entre les têtes des mouvements garantes du respect de la vie et de la famille, chacun a transmis le signal de proche en proche, la force de frappe de La Manif pour tous en pointe. Et aussi parce que les citoyens qui suivent ces mouvements sont surprenants de réactivité et de détermination, les messages d’électeurs interpellant leurs représentants ont porté leurs fruits.

    A l’issue de cet épisode, l’initiative citoyenne européenne Un de nous s’en trouve renforcée.

    La barre des 1,5 million de signatures va être franchie avant la clôture. Quelle que soit la suite politique du rapport Estrela, en particulier au cas où le texte reviendrait en débat en commission, ces 1,5 million de voix seront précieuses. Elles ont déjà parlé.

    Jean-Marie Le Méné est président de la Fondation Jérôme-Lejeune.

    Dernier jours ! Signez sur www.undenous.fr avant jeudi 31 octobre.

  • L’enfant à naître n'appartient pas à une "sous-catégorie d'êtres humains"

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    Le droit de l'enfant à la vie, avant et après la naissance

    ROME, 21 octobre 2013 (Zenit.org -Anne Kurian) - Le Saint-Siège plaide pour « le droit de l'enfant à la vie, avant aussi bien qu'après la naissance », et pour « un respect total des droits, des responsabilités et des devoirs des parents envers leurs enfants ».

    Mgr Francis A. Chullikatt, observateur permanent du Saint-Siège à l'ONU à New York, a pris la parole lors de la troisième commission de la 68e Assemblée générale sur le thème « Promotion et protection des droits des enfants ».

    Protéger le droit de naître

    L'archevêque a commenté le rapport du Secrétaire général sur le statut de la Convention relative aux droits de l'enfant, rappelant que la Convention consacre le « droit à la vie, à la survie et au développement » de l'enfant : « En effet, sans vie, tous les autres droits n'ont aucun sens ».

    Pour le Saint-Siège, « il s'ensuit que l’on doit accorder à chaque enfant en premier lieu le droit de naître ». En outre, « il s'agit d'un droit qui doit être protégé de la même manière pour tous - sans discrimination d'aucune sorte, y compris en raison du sexe, d'un handicap ou de politiques dictées par l'eugénisme ».

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  • Le président de l'Equateur menace de démissionner si l'avortement est dépénalisé (mise à jour)

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    Lu sur la Synthèse quotidienne de Gènéthique :

    Equateur:  le président menace de démissionner si l'avortement est dépénalisé

     Jeudi 10 octobre, le président socialiste de l'Equateur, Rafael Correa, "a menacé de démissionner si des membres de sa majorité parlementaire tentaient de faire dépénaliser l'avortement dans le cadre d'une réforme du code pénal". 

    Sur la chaîne de télévision équatorienne Oromar, le président a déclaré: " 'Si un groupe de personnes très déloyales réunissent demain une majorité' [parmi les élus de la coalition au pouvoir] 'alianza pais' pour légaliser l'avortement, 'moi immédiatement, je présente ma démission' ". Il a ajouté: "qu'ils fassent ce qu'ils veulent [...] je n'autoriserai jamais la dépénalisation de l'avortement. [...] Au contraire, la Constitution dit défendre la vie dès la conception".

    La synthèse quotidienne de Gènéthique de ce lundi 21 annonce :

    Equateur: l'avortement ne sera pas dépénalisé dans le nouveau Code pénal

     Le président Equatorien Rafael Correa, réélu cette année pour un mandat courant jusqu’à 2017, a obtenu des parlementaires l’adoption d’un nouveau Code pénal. A l’occasion de ce vote, la législation sur l'avortement a été maintenue et n'a pas été assouplie. Après avoir menacé de démissioner le 10 octobre dernier "si des membres de sa majorité parlementaire tentaient de faire dépénaliser l'avortement dans le cadre d'une réforme du Code pénal" (Cf Synthèse de presse Gènéthique du 14/10/2013), le président Equatorien a réaffirmé son opposition à une dépénalisation de l'avortement: "Jamais je n’approuverai la dépénalisation de l’avortement."

    Par ailleurs, le nouveau Code prévoit des sanctions pour tout "mauvais geste ou décision du médecin" qui entraînerait la mort d’un patient. Ainsi, un médecin peut encourir jusqu'à cinq ans de prison, voir sa licence révoquée et être contraint de repasser un examen dans le but de pouvoir à nouveau exercer une activité médicale.

  • Parlement européen : une guerre éclair contre le respect de la vie humaine

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    Parlement européen: guerre à la culture de la vie

    Un déni de bon sens

    (Zenit.org) - Le président de la Fédération des Associations Familiales Catholiques en Europe (FAFCE), Antoine Renard, dénonce une "guerre éclair" au Parlement européen contre le respect de la vie humaine. Il proteste: "en soutenant une résolution au Parlement européen", certains membres du Parlement "neutralisent l'initiative citoyenne européenne en faveur de l'embryon humain "Un de Nous"." Voici ses explications.

    ***

    Le Parlement européen s’apprête à voter, mardi 22 octobre prochain à Strasbourg, une résolution sur « la santé reproductive et sexuelle ». Ayant exprimé leur soutien pour ce texte, les députés européens de l'UMP soutiennent la neutralisation politique de l'initiative citoyenne européenne "Un de Nous" (soutenue par plus de 1.3 million de citoyens de l’UE). Leur position sera vraisemblablement identique à celle de l'UDI, du Modem, des Socialistes, des Verts et des Communistes. La jurisprudence de l’Union européenne qui constitue la base de cette initiative sera ainsi bafouée, ce dont les lobbies pro-avortement s'en félicitent. Un projet de résolution alternative a été déposé pour offrir une vraie alternative au projet initial, faisant respecter le droit communautaire et "Un de Nous".

    Déni de bon sens

    La volonté de certains membres du Parlement européen de neutraliser politiquement le succès de l'initiative citoyenne européenne "Un de Nous" se manifeste par le chiffre A7-0306/2013. Ce projet de résolution déclare l'avortement un droit fondamental, demande une garantie de financement aux associations promotrices de l'avortement, se déclare favorable à la PMA pour célibataires ou lesbiennes, portant ainsi atteinte au droit des enfants de connaître, dans la mesure du possible, leur père et leur mère.

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  • Des médecins s'opposent au projet de loi sur l'euthanasie

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    Mais c'est au Québec, comme on peut le lire sur la synthèse de presse quotidienne de gènéthique.org :

    Québec: des médecins s'opposent au projet de loi autorisant l'euthanasie

    Ce mardi 15 octobre, au Québec, lors d'une conférence de presse, la Coalition des médecins pour la justice sociale (*) s'élève contre le projet de loi 52 du gouvernement du Québec qui vise à autoriser l'aide médicale à mourir (Cf Synthèse de presse Gènéthique du 13 juin 2013). Elle dénonce ce projet "en l'assimilant à un acte d'euthanasie" et prévient que : "les médecins euthanasistes risquent d'être poursuivis au criminel". En effet, précise le Dr Paul Saba, président de la coalition "une loi loi provinciale ne peut rendre inopérant le Code criminel fédéral qui interdit de causer la mort d'un autre individu". 

    Mais avant tout, "le Dr Saba reproche au gouvernement de favoriser l'euthanasie pour des raisons économiques plutôt que d'investir dans les soins palliatifs". Ce projet de loi "donne l'apparence qu'il veut économiser de l'argent parce que ça coûte environ 10$ pour piquer quelqu'un à mort et ça coûte des milliers de dollars de donner des soins palliatifs comme il faut et ça coûte des millions et des millions pour donner aux gens ce dont ils ont besoin: des médecins de famille, des soins qui sont nécessaires", s'insurge-t-il. Il alerte également sur le fait qu'un tel projet pourrait "encourager les jeunes personnes avec des maladies physiques telles que le cancer, ou psychiques telles que la dépression, à abandonner leurs traitements qui pourraient sauver leur vie" alerte-t-il. 

    Le Dr George Casteur, un médecin Belge invité par la Coalition à la conférence de presse pour décrire les dérives de la loi Belge sur l'euthanasie, a souligné: "Très vite, cette loi [i.e le projet de loi du gouvernement québécois] évoluera vers une pente glissante. Le premier pas, on accepte de mettre dans une loi que quelqu'un qui n'a plus que 24h à souffrir, on peut lui donner la mort. Le deuxième pas c'est: pourquoi quelqu'un qui aurait 24 années à souffrir  n'y aurait pas droit?". Par conséquent, "selon le Dr G. Casteur, ces dérives sont inévitables avec le temps puisque le mouvement porte toujours vers l'élargissement des critères et non l'inverse". 

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    (*) Un organisme comprenant des médecins du Québec qui fait la promotion du système de santé public, universel et gratuit

  • Une Miss Monde très politiquement incorrecte

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    Megan Young Miss World Philippines 2013.jpgLu ici :

    La beauté du courage

    Peut-être n’apprécierez-vous pas le genre de beauté de la Philippine Megan Lynne Young, 23 ans, qui vient d’être couronnée Miss Monde le 22 septembre dernier à Bali en Indonésie. Mais sans nul doute vous admirerez le courage dont elle a fait preuve en répondant aux questions d’une journaliste sur le réseau de télévision ABS-CBN le 28 août trois semaines plus tôt.

    - Quelle genre de beauté préférez-vous ?

    - Celle de l’enfant à naître. Je suis opposée à l’avortement, je crois en l’abstinence avant le mariage, et je vois ce dernier comme une union inséparable pour la vie entière.

    A propos du projet de loi de Santé Reproductive (Reproductive Health) du gouvernement philippin bloqué par la Cour Suprême, sa réponse a été la suivante :

    - Je suis pour la vie (pro-life). Si le projet signifie tuer un être qui est là, je suis contre, bien sûr. Mes convictions sont : non à l’avortement.

    Quand on lui a demandé si elle était partisane de la contraception, sa réponse a été claire :

    - Je ne m’engage pas dans un truc pareil. Le sexe est réservé au mariage. Telles sont mes convictions.

    A la question : comment une fille splendide peut-elle ne pas avoir de relations sexuelles ? La réponse a volé :

    - Il faut répondre non à ce genre de demande. Si on essaye de vous y pousser, vous prenez du recul. En effet la personne qui vous propose cela ne mérite pas votre compagnie non plus que la moindre relation. Si en revanche un gars fait ce sacrifice, cela signifie beaucoup.

    Cette série de déclarations “politiquement incorrectes” n’a pas empêché cette jeune femme de remporter la couronne de Miss Monde un mois plus tard.

  • Sur Euthanasie Stop (16/10/2013)

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    AUJOURD'HUI SUR EUTHANASIE STOP - 16/10/2013

     

    Un documentaire censuré par toutes les chaînes

    Publié par Michel JANVA (Journaliste)

    Lire « Un documentaire censuré par toutes les chaînes »

     

     

    L'euthanasie n'est pas la solution !

    Publié par Francesca SIGNORE (Juriste)

    Lire « L'euthanasie n'est pas la solution ! »

     

    Papa a eu peur que les médecins l'euthanasient

    Publié par Dominique BASTIN (Employée)

    Lire « Papa a eu peur que les médecins l'euthanasient »

     

    L'amour jusqu'au bout...

    Publié par Marie-Anne SCHNACKERS (Pédagogue)

    Lire « L'amour jusqu'au bout... »

    Découvrez nos autres articles en Néerlandais :
     

    "mensen" met een warm hart...

    Publié par Philip PINTELON (Ambtenaar)

    Lire « "mensen" met een warm hart... »

     
     

    Hedonistisme?

    Publié par Marc VANHOUTTE (Gepensionnerde, Heverlee)

    Lire « Hedonistisme? »

  • Bruxelles : les Veilleurs se mobilisent contre l'euthanasie

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    Pour ceux qui le peuvent et le souhaitent, rendez vous ce soir à 19h devant le Sénat pour "veiller debout" contre l'extension de la loi de l'euthanasie aux mineurs et aux déments.

    (Tous les dimanches à 16h00 et les mardis à 19h00).

    https://www.facebook.com/events/533982063354279/?source=1

    http://www.jeunespourlavie.org/4/post/2013/10/veilleurs-debout-maintenir-la-contestation-contre-leuthanasie.html

  • La lettre d'information de l'Observatoire socio-politique du diocèse de Fréjus-Toulon (octobre 2013)

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    logo letter.jpgTous les mois, La Lettre de l'Observatoire sociopolitique du diocèse de Fréjus-Toulon propose un regard d'Eglise sur les grandes questions de société. Faites-la découvrir à vos amis !

    CANDIDE AU PAYS DES PAPES

    Par P. Louis-Marie Guitton, responsable OSP

    SORTIR DE L'éCONOMIE ?

    Par Falk van Gaver, délégué OSP

    SVT : UNE SCIENCE LIBRE AU SERVICE DE LA VIE (II)

    Par Pierre-Olivier Arduin, responsable bioéthique OSP

    ACTUALITé SUR LES OGM

    Par Philippe Conte, responsable environnement OSP

    HANNAH ARENDT OU LE SOUCI DU MONDE

    Par Falk van Gaver, délégué OSP

    Y'A DE LA JOIE !

    Par la Mouche du Coche

    DéFENDRE LA FOI AUJOURD'HUI ?

    Entretien avec Jean-Michel Castaing

  • Bruxelles : on ne lâche rien; 10 sentinelles devant le Sénat

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