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Défense de la Vie - Page 135

  • Manifestation pour la Vie : des Belges à Paris

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    Un ami est allé manifester à Paris hier; son témoignage :

    Il est 9h30 ce dimanche 19 janvier 2014. Notre autocar en partance pour Paris démarre de la basilique de Koekelberg. Un petit détour par Nivelles, puis Valenciennes, un court arrêt le long de l'autoroute, et nous voici dans la capitale française vers 14 h.

    L'après-midi est placé sous le thème de l'Espagne, qui a récemment légiféré dans le but de limiter le nombre d'avortements et en tout cas, de ne jamais le considérer comme un droit! On voit flotter ici et là des drapeaux espagnols, alors que bon nombre de manifestants sont habillés de jaune et de rouge!

    La foule commence à affluer, mais ce n'est que peu après 15h que le cortège démarre.

    Au cours de la marche, les organisateurs mettent le public en garde par rapport au projet de loi qui se prépare en France, et qui comporterait deux clauses inacceptables: l'une tend à exclure la clause de "détresse" que toute femme voulant avorter doit invoquer jusqu’à présent, héritage de la loi Veil de 1975; en faisant sauter ce dernier petit verrou, la porte à l'eugénisme est grande ouverte: qui pour choisir le sexe de l’enfant, qui pour éliminer un embryon malade ou choisir la couleur des ses yeux. L’horreur n’a pas de limite! La seconde clause qui se prépare consiste à étendre la notion d'entrave à l’avortement: elle pourrait se traduire par l'interdiction pure et simple des manifestations comme celle à laquelle nous participons. Incroyable dans un pays où, semble-t-il, règne encore la liberté d’expression...

    Après deux heures, la place Vauban constitue le point ultime de notre marche et quelques bonnes surprises nous y attendent: le discours d'un député espagnol, suivi par l'apparition des hommens, qui se manifestent d'abord par leurs torches lumineuses avant de se rassembler sur un podium inondé de fumée rouge. Ils font place à un autre discours, sur un autre podium: celui de Jean-Marie Le Méné de la fondation Jérôme Lejeune. Il souligne que la manifestation est soutenue par l’ex-féministe Jane Roe, qui après avoir fait légaliser l’avortement aux Etats-Unis en 1973, s’est convertie au christianisme et pèse de tout son poids pour aider les associations qui luttent pour la vie.

    Jean-Marie Le Méné est convaincant dans son discours: « Peu importe à quel point une personne ou toute une nation se perd dans l’obscurité de la culture de l’avortement, la rédemption est possible, les choses peuvent changer, nous ne devons jamais perdre cette conviction et nous devons sans cesse nous renforcer dans la lutte pour la vie! » Et de reprendre un extrait de la lettre de Jane Roe: « L’exemple du Professeur Jérôme Lejeune m’inspire comme je sais qu’il vous inspire aussi et je prie pour que nous recevions tous la force de la leçon de sa vie. Et rappelez-vous: nous ne travaillons pas seulement pour la victoire, nous travaillons à partir de la victoire, parce que la vie a déjà triomphé de la mort ».

    Cerise sur le gâteau: nous apprenons des organisateurs le nombre officiel de participants: 45.000 personnes, un record! Nous y aurons participé très modestement, avec notre groupe d’une trentaine de personnes. Mais c’est une nouvelle fois le coeur léger que nous quittons Paris vers 18h30 pour nous retrouver à Bruxelles vers 23h.

    Album photos

    Voir également :  http://www.hommenouveau.fr/898/societe/forte-mobilisation-ce-dimanche-lors-de-la-marche-pour-la-vie.htm

  • Paris : 40.000 personnes à la Marche pour la Vie

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    En Marche pour la Vie

    les photos de la Marche 2014

  • Le pape soutient la Marche pour la Vie du 19 janvier à Paris

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    Le Pape François soutient la Marche pour la Vie à Paris

    source : Radio Vatican

    Le Pape François a apporté son soutien à la Marche pour la vie organisée dimanche à Paris. C’est le nonce apostolique, Mgr Luigi Ventura, qui l’indique dans un courrier aux organisateurs. Le Saint-Père a été informé de cette initiative en faveur du respect de la vie humaine et il réaffirme la nécessité de maintenir vive l’attention pour ce sujet si important. Dans son discours au corps diplomatique lundi dernier, il avait dit l’horreur que lui inspire l’avortement. « La seule pensée que des enfants ne pourront jamais voir la lumière, victimes de l'avortement, nous fait horreur », avait-il lancé. 

    Comme le rappelle l’hebdomadaire Famille chrétienne, en juin dernier, à l’occasion d’une rencontre avec une délégation de parlementaires français, le Pape François avait incité les élus à ne pas hésiter à « abroger» les lois si nécessaire. Il doit par ailleurs rencontrer le président François Hollande, vendredi prochain. Une pétition circule dans les milieux catholiques français pour alerter le pontife au sujet de la politique française hostile, selon ses signataires, aux positions fondamentales des chrétiens sur les questions de la vie et de la famille. Le Souverain Pontife fait donc part de sa proximité spirituelle avec les participants à la Marche pour la vie et leur accorde sa bénédiction apostolique. En 2011, Benoît XVI avait lui aussi béni cette même initiative. 

    L'Eglise de France très attentive au dossier de l'IVG

    Réuni le 15 janvier, le Conseil Permanent de la Conférence des évêques de France est intervenu au sujet du projet de modification sur l’IVG. Il déplore la transformation profonde de la législation que provoquera, s'il est voté, le remplacement des mots évoquant « la situation de détresse de la femme » par les mots « qui ne veut pas poursuivre une grossesse ». Les évêques invitent tous les responsables éducatifs en milieu scolaire, universitaire, au sein des mouvements de jeunes à se mobiliser pour une meilleure éducation affective des jeunes qui leur fasse percevoir la grandeur du corps humain et celle d'une vie affective responsable. 

    Selon les mots du président de la Conférence des évêques, Mgr Georges Pontier, « Ne pas faire place à l'enfant à naître, ne pas accompagner la vie jusqu'au bout, ne pas offrir un avenir professionnel à des milliers de jeunes et adultes, ne pas regarder la vie à partir des plus fragiles, tout cela est un déni de fraternité et d'humanité ». Pour les évêques la suppression de la mention des conditions de détresse de la femme est inacceptable. Elle élude toute l'expression de compassion d'une société et sa volonté d'y répondre. L’avortement n’est jamais banal. De l'embryon naissant, au souffle ultime du dernier jour, notre vie est plus grande que nous-mêmes ! Quelques jours auparavant, la conférence des évêques de France avait publié un document très sévère sur les projets du gouvernement concernant la fin de vie. 

    Le président de la Conférence des évêques de France, Mgr Georges Pontier, ainsi que ses vice-présidents, ont été reçus par le Pape François cette semaine. Les représentants de l’épiscopat français ont évoqué avec lui de nombreux sujets de société en France, comme le mariage pour tous, la laïcité, l’euthanasie, la famille ou encore la place de l’Islam en France.

  • Paris, 19 janvier : Grande Marche nationale pour le respect de la Vie

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    Le communiqué d'En marche pour la vie :

    Subrepticement glissées dans le projet de loi pour l’égalité entre les femmes et les hommes (n°1380), examinées à l’Assemblée Nationale à partir du 20 janvier, ces dispositions relatives à l’avortement, sont sans rapport avec l’objet du texte. L’une des plus inquiétantes est celle qui prévoit d’étendre le délit d’entrave à toute information dissuasive sur l’IVG. Sera retenu comme délit d’entrave à l’IVG une information donnée à une femme enceinte qui n’évoque pas la possibilité d’avorter. "Est puni de deux ans d'emprisonnement et de 30 000 euros d'amende le fait d'empêcher ou de tenter d'empêcher de pratiquer ou de s’informer sur une interruption de grossesse ou les actes préalables prévus par les articles L. 2212-3 à L. 2212-8". 

    Cette disposition vise clairement les plateformes téléphoniques et sites internet d’information spécialisés dans l’écoute et l’accompagnement des femmes enceintes en situation de détresse ou vivant mal leur grossesse. Cécile Edel, porte-parole du Collectif En Marche pour la Vie, ne décolère pas : « Avec cette loi, si elle est votée, on va sanctionner toute information qui alerterait sur les conséquences psychologiques voire physiques de l’IVG chez la femme. La liberté d’expression est ni plus ni moins supprimée au profit du lobbying des féministes visant à promouvoir l’avortement comme un droit ».

    A l’heure où l’Espagne s’apprête à voter une loi de progrès en faveur du respect de la vie en limitant les avortements de complaisance et la plupart des avortements eugéniques, la France reste campée sur de vieilles lunes idéologiques.

    Le Collectif "En marche pour la vie" regroupe une dizaine d’associations françaises d’aide aux mères en détresse et de défense de la vie de la conception à la mort naturelle. La marche, ouverte à tous, quelles que soient les origines, les convictions philosophiques, politiques ou religieuses s’est imposée depuis quelques années comme la plus grande marche annuelle d’Europe en faveur du respect de la vie.

  • Avortement : le projet de loi espagnol vivement débattu au Parlement européen

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    De la synthèse de presse quotidienne de gènéthique.org :

    IVG: le projet de loi espagnol fait débat au Parlement européen

    Les pro-avortements, au premier rang desquels Mme Estrela, député portugaise, en qualifiant le projet de loi espagnol de "régression", de "retour en arrière", "de danger pour l’Europe" ou encore "d’idéologie", n’hésitant pas à dire qu’il "renvoie aux heures les plus noires de l’Europe" selon Mme Berrès député française, ont demandé au Commissaire européen de faire respecter "le droit de choisir", qu’ils avancent comme un droit fondamental de la femme, et de défendre l’Europe de cette menace espagnole. Ils invoquent alors tour à tour,  le "danger" du projet de loi espagnol qui provoquerait le retour aux avortements clandestins dangereux pour la santé des femmes, et la discrimination des femmes fondée sur la richesse.En fin de matinée, le Parlement européen a concentré le débat prévu au sujet de la « Non discrimination dans le cadre de la santé et des droits sexuels et reproductifs – déclaration de la Commission » (rapport Estrela) sur le projet de loi espagnol sur l’avortement.

    Face à ces pressions, les parlementaires pro-vie, ont réagi fortement. M. Carlo Casini, député italien, tout d’abord a rappelé qu’il n’y avait pas un seul document international ou national affirmant que l’être conçu n’est pas un être humain, et que dans ce débat il faut faire respecter "les droits de la femme, et les droits de l’enfant".  Il confirme à ses contradicteurs que tout le monde doit défendre les droits génésiques et sexuels, mais qu’en aucun cas l’avortement fait partie de ces droits. Les autres parlementaires invoquent ensuite la responsabilité des hommes sur le sujet, la décision de la Commission européenne Brüstle c/Greenpeace qui affirme que la vie commence dès la conception, la non compétence de l’Union européenne sur ce sujet ou encore les "arguments anti-européens" que cela engendreraient si l’Europe s’ingérait sur ce sujet. Monsieur Stier, député croate, aura le mot de la fin "Tout ce débat pour un projet de loi espagnol. Il faut accepter que la vie commence par la conception, c’est la science du 20ème siècle qui nous le dit. Ce n’est pas à l’Europe de débattre, mais à l’Espagne. Alors allons-y, vive l’Espagne et défendons le droit à la vie".

    Monsieur Kallas, vice président de la Commission européenne, a déclaré à la fin de ce débat : "la Commission reconnait l’indépendance des Etats sur l’avortement […]  l’Union européenne n’a pas de compétence sur les politiques nationales relatives à l’avortement". Il conclut cependant par une phrase ambigüe : "Mais la Commission souhaite abolir toutes formes de discriminations en matière de soins de santé avec les Etats membres". Qu’entend-il par "soins de santé"? Pour l’heure, la menace du rapport Estrela est écartée et le projet de loi espagnol est préservé.

    Pour en savoir plus sur le projet de loi espagnol, téléchargez ici l’analyse intégrale de Grégor Puppinck, directeur du centre européen pour la loi et la justice (ECLJ)  ou la synthèse de cette analyse.

  • BXL, 12 janvier : carton rouge pour la commission de contrôle de l'euthanasie

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  • Marche pour la Vie : l'engagement déterminé d'un évêque courageux

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    De l'évêque de Bayonne, Lescar et Oloron, sur le site de son diocèse : 

    Communiqué de Mgr Marc Aillet, à propos de la Marche pour la vie du 19 janvier 2014

    1.       Année 2013, année de la « manif pour tous »

    2013 restera gravée dans les mémoires comme l’année d’une mobilisation citoyenne sans précédent autour des questions sociétales relatives à la vie et à la famille. Près de deux millions de pétitions signées, dont 100 000 de France, dans le cadre de l’initiative citoyenne européenne « one of us », pour la protection de l’embryon. 700 000 pétitions déposées au CESE contre le projet de loi de « mariage pour tous ». Des centaines de milliers, voire des millions de manifestants à Paris les 13 janvier, 24 mars et 26 mai contre la loi Taubira et pour la famille fondée sur l’union stable d’un homme et d’une femme, garante de la filiation. Sans doute, on peut à bon droit être frustré devant l’inefficacité apparente de cette mobilisation : pétitions déclarées irrecevables, manifestants traités par le mépris, violences policières, gouvernement sourd au cri de tout un peuple ! On pourrait même être tenté de se démobiliser, d’autant que l’on annonce la discussion prochaine d’un projet de loi sur la fin de vie, incluant la promotion du suicide assisté, sur la base d’une consultation populaire reposant sur un panel de … 18 citoyens triés sur le volet !

    Pourtant, les résultats ne manquent pas : la PMA et la GPA ont été retirés du projet … mais pour combien de temps ? La pétition « one of us » a permis la mise en échec de la résolution Estrela au parlement européen… Le plus important demeurant le sursaut des consciences : quand le bon sens est offusqué, il se réveille et se manifeste. Et on a gardé une attitude pacifique, on ne s’est pas laissé aller à la stigmatisation de quiconque, on n’a pas revendiqué pour des intérêts particuliers, on a manifesté pour le Bien commun, ce Bien que l’on doit rechercher en commun et qui garantit la dignité de toute personne humaine sans exception, à commencer par la plus faible et la plus fragile : l’enfant à naître ou déjà né, la personne porteuse d’un handicap ou en fin de vie.

    On s’est surtout mobilisé pour la famille et l’on doit continuer à se mobiliser, tant les enjeux demeurent entiers en 2014, avec la discussion prochaine d’un projet de loi famille aux conséquences funestes annoncées.

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  • Les gynécologues invités à aller à contre-courant

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    De Pierre-Olivier Arduin, sur la Nef (janvier 2014)

    GYNÉCOLOGUES : ALLEZ À CONTRE-COURANT !

    Appareil législatif, volonté individuelle et potentialités technologiques font aujourd’hui cause commune pour conduire à la suppression systématique de l’enfant à naître lorsque ce dernier n’est pas investi d’un « projet parental ». Le consensus culturel autour de l’interruption volontaire de grossesse est tel dans les pays dits développés que l’on peut parler avec le bienheureux Jean-Paul II de « structure de péché » et de « conspiration contre la vie » (Evangelium vitae, n. 12). L’avortement, dont la première victime est l’enfant in utero, laisse non seulement des marques profondes sur la femme qui l’accomplit et les personnes qui l’entourent mais dénature profondément l’agir soignant en pervertissant la vocation des professionnels de la grossesse. C’est sur ce dernier point qu’a particulièrement insisté le Pape François dans un discours peu commenté qu’il a adressé aux gynécologues catholiques du monde entier réunis au Vatican le 20 septembre 2013[1].

    Dès son introduction, le Saint-Père a alerté ses auditeurs sur « le danger pour le médecin de perdre son identité de serviteur de la vie » en raison d’une « mentalité diffuse de l’utile, une culture du rebut qui aujourd’hui rend esclaves les cœurs et les intelligences de beaucoup » d’un « égarement culturel qui porte atteinte à ce qui semblait un domaine inattaquable, la médecine ». La mission du gynécologue (et avec lui de tous les professionnels de santé qui ont cette mission singulière d’aider à la naissance de nouvelles vies humaines) est en effet aujourd’hui corrompue à sa racine au point que la pratique gynécologique semble uniquement focalisée sur les problématiques de dissociation de la sexualité et de la procréation (contraception sous toutes ses formes, insémination artificielle et fécondation in vitro,…), de contragestion et d’avortement (pose de stérilet, pilule du lendemain, avortement chimique ou chirurgical) sans oublier l’obsession récurrente d’un eugénisme prénatal en passe d’instaurer un contrôle qualité de l’enfant à naître quasiment infaillible.

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  • Sur Euthanasie Stop (8/1/2014)

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    AUJOURD'HUI SUR EUTHANASIE STOP - 08/01/2014

    Ma fille devrait-elle être euthanasiée ?

    Publié par Sacewicz IWONA (Maman)

    La maman d'Isabella dont le témoignage figure à l'indice 1'49, habite Schaerbeek. Voici ce qu'elle écrit. "Je voudrais beaucoup qu'on ne pense pas en Belgique à l'euthanasie des enfants et des jeunes. Je sais que c'est la solution la plus facile. Cependant, au contraire, il faut faire face à ce grand enjeu et aider les enfants et leurs familles. Comme ça, on ne pensera plus à recourir à l'euthanasie. Chacun a le droit de vivre et mourir dignement." 1'49

    Lire « Ma fille devrait-elle être euthanasiée ? »

    Quelle réponse à la souffrance ?

    Publié par Rocco LIRADELFO (Employé)
    Nonobstant la prise en charge, en conscience, de la douleur de l'enfant et des familles concernées, il est important de promouvoir la vie plutôt que la mort dans notre société! La souffrance physique et morale font partie intégrante de la vie de l'Homme (un jour ou l'autre, nous y passerons tous), l'important est d'y apporter des réponses positives qui vont au-delà d'un acte comme l'euthanasie !

    Lire « Quelle réponse à la souffrance ? »

    Euthanasie et protection des plus fragiles

    Publié par Antoine MELLADO (Politologue)
    Dans le cadre de la loi actuelle, où les euthanasies ne seraient pratiquées que sur des personnes le demandant expressément et ayant toutes leurs facultés mentales, il y a toujours des doutes importants de la part des différents acteurs intervenant dans le processus, par rapport à la « véritable » liberté exercée lors de la prise de cette terrible décision. En effet, ces personnes fragiles souffrant de maladies graves, incurables et souvent longues, se trouvent dans des situations d'extrême dép...

    Lire « Euthanasie et protection des plus fragiles »

  • 2013 : les cinq meilleurs moments pour le combat pro-vie et pro-famille

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    Friday-Fax-Header-French.jpgLes cinq meilleurs évènements C-FAM 2013

    Selon C-FAM, il y a eu tellement d’évènements positifs cette année que nous avons eu bien du mal à faire notre choix. Le voici. 

    1. Le Parlement européen nie l’existence d’un « droit » à l’avortement 

    On ne pourra pas vous reprocher d’avoir pensé que l’Europe est une cause perdue dans le domaine de la protection de la vie et de la famille. C’était le cas jusqu’à l’échec dramatique de la Résolution Estrela sur la santé sexuelle et reproductive. Ce rapport qualifiait l’IVG de « droit de l’homme », niait aux praticiens de santé leur droit à l’objection de conscience, et donnait aux enfants des droits sexuels. Peu nombreux étaient ceux qui se doutaient que cette résolution serait rejetée. Mais le Parlement européen l’a rejeté deux fois en un peu plus d’un mois suite à des objections de la population pro vie européenne. A la place, une résolution a été votée qui reconnaît le droit des Etats à légiférer dans le domaine comme ils l’entendent. A l’époque, nous vous avons montré que les lobbies de l’IVG étaient livides quand ils ont découvert que le Parlement européen n’était pas leur terrain de jeu exclusif.

    2. La renaissance européenne pro-vie et pro-famille

    L’affaire Estrela n’était pas un accident isolé. Nous sommes actuellement témoins d’une renaissance des forces pro vie et pro famille en Europe. Une initiative a été lancée pour mobiliser plus d’un million de personnes pour demander un débat public européen. C’est la deuxième à avoir réussi à mobiliser le nombre de signatures requise. La Commission européenne devra se saisir de la question cette année. La Croatie a récemment banni le mariage des homosexuels par référendum. Des Millions de citoyens français se sont mobilisés contre le mariage gay et l’adoption par les homosexuels dans toutes les plus grandes villes de France. Des millions de citoyens espagnols ont défilé dans les rues de Madrid pour la vie et la famille. Enfin, les députés européens de l’OSCE on rejeté une proposition dangereuse sur l’homosexualité et les droits de l’homme.

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  • Cycle de formation bioéthique d'Alliance VITA

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    Pourquoi les Belges n'iraient-ils pas participer au cycle de formation d'Alliance Vita à Lille (par exemple) ?

     
    Cycle de formation bioéthique 

    d'Alliance VITA


     Venez vous former sur les sujets bioéthiques

    5 soirées du 13 janvier au 10 février 2014

    J-8 pour vous inscrire et inviter vos amis ! 

    Partagez ce message à vos contacts 


    Le thème 2014 : QUI EST L'HOMME ?

    Quelle vision de l’homme se dessine, quelle culture est en train de s’élaborer : une culture de la toute-puissance, ou de la vulnérabilité ?


    Au programme :
    • A l’origine de la vie humaine : anthropologie, procréation, maternité, paternité,
    • Homme ou femme : interchangeables ?
    • Fragilité, dépendance et interdépendance
    • Un temps pour vivre, un temps pour mourir
    • Le transhumanisme : vers une “intégration homme – machine” ?
    OU ?
    Dans 50 villes en France en simultanée par visioconférence. 
    > consulter la liste des villes

     QUAND ?
    5 lundis soir du 13 janvier au 10 février 2014 de 20h15 à 22h30
    > Voir le détail du programme

    COMMENT ?
    Une formation inédite en visioconférence, interactive et participative
    AVEC QUI ?
    Tugdual Derville, le Dr Xavier Mirabel, des philosophes, experts et témoins 


    Pour vous inscrire, rendez-vous sur le site www.universitedelavi.fr
    N'hésitez pas à en parler largement autour de vous  !
  • Comment les pro-vie espagnols voient le projet de restriction de l'accès à l'avortement

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    Sur le blog de Jeanne Smits :

    Espagne : comment les pro-vie voient le projet de restriction de l'accès à l'avortement

    L'Espagne secoue « leur » Europe et les partisans du « droit » à l'avortement en proposant de repénaliser cet acte dont le gouvernement Zapatero avait fait un droit.

    Je l'annonçais samedi dernier dans Présent : « Un déchaînement de la gauche et des féministes en Espagne annonce également un début de bonne nouvelle outre-Pyrénées : un projet de loi limitant l’avortement » allait être approuvé par le gouvernement », alors que l’avortement est un droit en Espagne jusqu’à 14 semaines.

    « Les pro-vie espagnols n’ont jamais cessé de mettre la pression sur le gouvernement Rajoy qui avait fait de la remise à plat de la loi une promesse de campagne, réclamant sans complexes l’“avortement zéro”. Le texte préparé par le ministre de la justice, Alberto Ruiz Gallardon, n’ira sans doute pas aussi loin. Mais c’est la ténacité sans concessions des défenseurs de l’enfant qui aura obtenu ce premier pas. »

    Le réseau des associations et personnes pro-vie en Espagne, pour une large part fédérée par le site de pression « citoyenne » HazteOir, n'a jamais hésité à appeler un chat, un chat en effet. Pas de circonlocutions lorsqu'il s'agit de dire ce qu'est une « interruption volontaire de la grossesse », comme on l'appelle en Espagne ; ils n'ont cessé de rappeler au parti de Mariano Rajoy que chaque jour qui passait laissait tuer plusieurs centaines de petits être humains dans le ventre de leurs mères et aujourd'hui que l'avant-projet de loi d'Alberto Ruiz-Gallardon, ministre de la justice, est enfin connu et a été adopté en conseil des ministres, ils reviennent encore à la charge en soulignant que chaque instant perdu laisse se poursuivre le massacre.

    Politique des petits pas ? Très peu pour eux : ils parlent clair… mais savent en même temps se réjouir avec prudence en voyant que plusieurs mesures prévues par l'avant-projet vont pouvoir limiter le nombre d'avortements, si la loi est adoptée.

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