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Défense de la Vie - Page 139

  • L'élan magnifique de familles qui voulaient adopter un enfant trisomique

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    Via le blog de Jeanne Smits :

    Une histoire magnifique : un enfant à naître trisomique sauvé de l'avortement par de nombreuses familles voulant l'adopter

    (tiré du Washington Times du 9 juillet 2013 et de LifeSiteNews du 23 juillet 2013, traduction CQV)

    Lorsque le révérend Thomas Vander Woude entendit parler d'un jeune couple qui planifiait de faire avorter leur enfant à naître diagnostiqué avec le syndrome de Down, il tendit la main et offrit un contrat : si les parents acceptaient de donner leur enfant en adoption, il trouverait une famille adoptive appropriée.

    Mais il fallait agir vite.

    La femme, qui n'a pas été identifiée pour respecter sa vie privée et sa sécurité, en était à un peu moins de six mois de grossesse. Elle vit dans un État qui interdit l'avortement après 24 semaines — ce qui voulait dire qu'il avait peu de temps pour trouver une famille prête à s’engager pour toute la vie.

    Le Père Vander Woude, pasteur principal à l’église catholique Sainte Trinité à Gainesville, en Virginie, s'est approché d'un bénévole qui avait contribué à gérer la page des médias sociaux de l’église, et elle fit un appel urgent sur ​​Facebook le lundi matin.

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  • Trisomie 21 et iPS : quand science et éthique se rencontrent

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    De la synthèse de presse quotidienne de gènéthique.org du 23 juillet 2013

    Trisomie 21 et iPS : quand la sience et l'éthique se rencontrent

    La découverte sur la trisomie 21 de l'équipe du professeur Jeanne Lawrence (Massachusetts) qui tend à neutraliser in vitro le troisième chromosome 21 (synthèse de presse Gènéthique du 18 juillet 2013), représente "un nouvel espoir dans la recherche sur la trisomie 21" s'est félicitée la Fondation Jérôme Lejeune le 19 juillet 2013 dans un communiqué de presse. Premier financeur en France de la recherche sur les maladies génétiques de l'intelligence, la Fondation Lejeune s'est réjouie d'une telle recherche, bien qu'à un stade très fondamental, qui vient conforter plusieurs espoirs. D'une part, que le chromosome 21 peut être neutralisé, d'autre part que la recherche sur la trisomie 21 avance, enfin, que la science et l'éthique peuvent marcher ensemble.

    La recherche de l'équipe du Massachusetts vient démontrer que le troisième chromosome 21 peut être neutralisé, en l'inactivant, pour l'instant de 20%. Cette neutralisation "avait déjà fait l'objet d'une publication dans Cell Stem Cell en décembre 2012 par l'équipe de David W.Russel" qui avait réussi, elle aussi, à neutraliser le troisième chromosome 21 en induisant son expulsion.

    Grâce à ces découvertes, la Fondation Lejeune constate que "la recherche sur la trisomie 21 avance, car quand on cherche on trouve". En effet, en six mois de temps deux équipes américaines ont révélé ce qui n'était pas envisageable il y a encore à peine deux ans : l'inactivation ou l'expulsion in vitro du troisième chromosome 21. La Fondation regrette donc que les responsables français ne perçoivent pas ces avancées, la laissant ainsi porter quasiment seule les recherches sur la trisomie 21. Elle se réjouit d'ailleurs que les travaux de l'équipe de Jeanne Lawrence s'appuient en premier lieu sur l'étude du professeur Mégarbané de l'Institut Jérôme Lejeune.

    Enfin, La Fondation Jérôme Lejeune, qui a participé à faire connaître les cellules iPS du prix nobel Yamanaka en 2006, et qui a insisté sur leur potentiel alternatif aux cellules embryonnaires humaines lors du récent débat sur l'autorisation de la recherche sur l'embryon, se félicite que les cellules iPS, utilisées par ces deux dernières équipes, oeuvrent pour la trisomie 21. Elle constate "une fois de plus que l'éthique et la science marchent ensemble".

    (lequotidiendumédecin.fr (Dr Irène Drogou) 22/07/2013 - newspress.fr 23/07/2013 - bionews.org (Lucy Freem) 22/07/2013)

  • Bulletin de l'Institut Européen de Bioéthique (18/7/2013) : don de sperme / ADN / FIV à prix réduit

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    header_fr.jpgSommaire

  • Texas : plus d'avortement après 20 semaines de grossesse

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    Texas: la nouvelle législation sur l'avortement entre en vigueur (gènéthique.org)

    Ce jeudi 18 juillet, la loi adoptée le 13 juillet dernier par le Sénat du Texas (Etats-Unis) pour restreindre le champ d'application de la loi ancienne sur l'interruption volontaire de grossesse (IVG) (Cf Synthèse de presse Gènéthique du 15 juillet 2013), a été signée par le gouverneur républicain Rick Perry. Cette loi interdit notamment de procéder à une IVG après 20 semaines de grossesse, contre 26 antérieurement. 

  • Prends soin de la vie, cela vaut le coup !

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    (Zenit.org - Anne Kurian) - Dans un message aux catholiques d’Irlande, d’Ecosse, d’Angleterre et du Pays de Galles à l’occasion de la Journée annuelle pour la vie, le pape François appelle à « reconnaître la valeur inestimable de toute vie humaine ».

    La Journée pour la Vie aura lieu dimanche 28 juillet, sur le thème « Prends soin de la vie - ça vaut le coup ».

    Citant l'enseignement de saint Irénée selon lequel « la gloire de Dieu c’est l’homme vivant », le pape encourage à « laisser la lumière de cette gloire briller si fort que tout le monde puisse venir reconnaître la valeur inestimable de toute vie humaine ».

    Il rappelle que « même les plus faibles et les plus vulnérables, les malades, les vieux, les enfants à naître et les pauvres, sont des chefs-d'œuvre de la création de Dieu, faits à son image, destinés à vivre pour toujours, et dignes de la plus grande vénération et de respect ».

    Enfin, il assure de ses prières afin que « la Journée pour la Vie aide à faire en sorte que la vie humaine reçoive toujours la protection qui lui est due ».

    Selon un communiqué de la Conférence des évêques nationale, plus d’un demi-million de tracts ont été envoyés aux paroisses en Angleterre et au Pays de Galles en préparation de cette Journée.

    Le thème de la Journée est tiré d'une homélie du cardinal Jorge Mario Bergoglio en 2005, lors d'une messe en l'honneur du protecteur des femmes enceintes, saint Raymond Nonnat.

    Dans cette homélie, le pape disait notamment : « Chacun d'entre nous doit prendre soin de la vie, chérir la vie, avec tendresse, chaleur ... donner la vie c’est ouvrir son coeur, et prendre soin de la vie c’est se donner dans la tendresse pour d'autres, avoir une préoccupation dans son cœur pour les autres ».

    « Prendre soin de la vie du début à la fin. Quelle chose simple, quelle belle chose ... Alors, allez de l'avant et ne vous découragez pas. Prenez soin de la vie. Ça vaut le coup ».

    La Journée de cette année est célébrée en particulier en l’honneur des enfants à naître et de leurs mères, des personnes âgées et des personnes suicidaires et leurs familles.

    Le produit de la collecte qui aura lieu dans les paroisses en Angleterre et au Pays de Galles soutiendra le travail du Centre de bioéthique de Anscombe et d'autres activités liées à la vie soutenues par l'Eglise.

  • Angleterre : un coup de frein à la pratique de l'euthanasie

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    C'est une belle victoire pour la vie, commente Jeanne Smits :

    Le protocole de « fin de vie » connu sous le nom de Liverpool Care Pathway, reposant sur la sédation « terminale » ou « palliative » devrait être abandonné d’ici à l’automne, aux termes d’une enquête parlementaire qui a mis en évidence les abus liés à la procédure, rapporte LifeSite.

    Le  LCP, « parcours de soins de Liverpool », prévoit notamment le retrait de l’alimentation et de l’hydratation couplée à une sédation profonde continue si cela est jugé conforme aux « meilleur intérêt » du patient souffrant d’une maladie incurable.

    Dans les faits, de nombreux médecins et proches de patients ont affirmé ces dernières années que le parcours est volontiers appliqué à des patients qui ne sont pas en fin de vie, sans concertation avec la famille, son utilisation constituant parfois ou fréquemment, selon les sources, une euthanasie lente.

    L’enquête parlementaire, sous le titre « Davantage de soins, moins de parcours », met en avant les cas de soins et de prises en compte des symptômes inadaptés ou insuffisants, et un recours systématique et sans humanité à ce protocole qui cause la mort dans les 29 heures, en moyenne.

    Ce sont les journaux tabloïdes plutôt conservateurs qui ont fait éclater le scandale en donnant la parole à des proches outrés de voir leurs proches poussés vers la mort alors qu’ils auraient pu vivre encore pendant une durée indéterminée.

    Le Parlement a alors joué son rôle, et il n’a pas démenti la crainte et l’indignation des proches des malades. Norman Lamb, ministre qui a commandé l’enquête, l’avait fait en expliquant qu’il avait été personnellement « horrifié » par les souffrances dont témoignaient les proches qui avaient perdu un être cher par le LCP.

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  • Existe-t-il des absolus moraux ?

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    Sur DIDOC.be : Y a-t-il des absolus moraux? (Stéphane SEMINCKX)

    « Est-il toujours mal d’ôter la vie à une personne innocente ? » Voilà la question que Peter Singer pose dans l'article "La question de Beatriz" (La Libre Belgique du 18-6-13). L’Eglise catholique répond oui, Singer prétend que non.

    Le cas de la jeune femme salvadorienne

    Qu’en est-il ? Peter Singer évoque le cas récent d’une jeune femme salvadorienne, souffrant de lupus érythémateux, enceinte d’un fœtus anencéphale, et dont la vie aurait été menacée par cette grossesse. Une particularité du cas est le fait que l’anencéphalie provoque souvent la mort du fœtus avant la naissance ; s’il vient à naître, l’enfant meurt rapidement.

    Pour Peter Singer, il est évident que, dans ce cas, on peut et on doit pratiquer l’avortement pour sauver la mère. Il signale que les tribunaux salvadoriens et la Cour Suprême en ont jugé autrement, s’appuyant sur l’interdit absolu de l’avortement. Finalement Beatriz a été autorisée à subir une césarienne avant terme, qui a été présentée, non comme un avortement, mais comme une « naissance provoquée ». Le nouveau-né est mort cinq heures plus tard. Pour Singer, tout cela est profondément absurde.

    Ce qu’il ne dit pas, c’est que l’on avait conseillé l’avortement à Beatriz, déjà malade, lors de sa première grossesse, que celle-ci a refusé, et que tout s’est bien passé. Ce qu’il ne dit pas, c’est que la Cour Constitutionnelle a interdit l’avortement mais a recommandé de tenter de sauver la vie tant de la mère que de l’enfant. Ce qu’il ne dit pas non plus, c’est qu’un collège d’experts a signalé au Tribunal que la pathologie de la mère n’était pas grave au point de craindre sa mort imminente. Ce qu’il omet de signaler aussi, c’est que la solution adoptée, à savoir la naissance provoquée par césarienne, à la 27ème semaine de grossesse, était conforme à la sentence de la Cour Constitutionnelle.

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  • France : l’embryon humain devient un outil de l’industrie pharmaceutique

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    Communiqué de la Fondation Jérôme Lejeune (16 juillet) (source) :

    "Cet après-midi, les députés ont signé l’épilogue estival de l’entreprise de modification de la loi de bioéthique engagée par les radicaux de gauche et portée avec obstination par la ministre de la recherche. Compte tenu de la réserve et du blocage des votes mis en œuvre par cette dernière jeudi 11 juillet pour abréger l’examen des amendements de l’opposition, et afin d’éviter éviter à tout prix que l’un d’eux ne soit voté, le vote solennel global d’aujourd’hui ne revêtait pas un suspens insoutenable. Or, face aux directives de vote de la majorité et à la discrétion d’une partie des ténors de l’opposition, la Fondation Jérôme Lejeune regrette que les représentants politiques, n’aient pas voté en conscience alors que les conséquences de ce bouleversement sont majeures. Les conséquences concrètes d’une éventuelle adoption de la proposition de loi qui détruit des êtres humains vivants portent atteintes à l’Etat de droit.

    • L’embryon humain est présumé disponible pour être détruit dans la recherche. Le passage d’un principe d’interdiction (assorti de dérogations) à celui d’autorisation (encadrée) fait de façon inédite de l’embryon humain, d’un être humain, un matériau disponible pour des expérimentations sous pavillon de complaisance de la médecine. Nous devenons une société « embryocide » c'est-à-dire dont un des principes repose sur l’homicide de l’embryon humain.
    • La charge de la preuve ne s’impose plus au chercheur qui n’a plus à justifier de sa recherche sur l’embryon. Certains chercheurs partisans de ces recherches - faut-il rappeler que tous n’appellent pas à ce changement législatif loin de là – se sont dits « stigmatisés » par le régime actuel qui les contraint à justifier. Mais n’est-ce pas la moindre des choses, dès lors qu’il s’agit d’expérimenter sur du vivant humain ? Le principe de précaution tant valorisé lorsqu’il s’agit d’écologie par exemple s’évapore ici et un tapis rouge est déroulé à la marchandisation du vivant.
    • L’embryon humain dit « surnuméraire » devient officiellement un réactif de laboratoire. L’embryon humain deviendra un outil de l’industrie pharmaceutique, réelle bénéficiaire de l’adoption de cette proposition de loi. Déjà en 2011, le LEEM soutenait les positions suivantes au moment de la révision de la loi de bioéthique :

    - L’assouplissement des démarches nécessaires au développement des lignées et du champ possible d’investigation en matière de cellules souches embryonnaires

    - La mise en place d’autorisations d’importations de lignées de CSE sans dérogation et de l’autorisation de réaliser des transferts de noyau sous contrôle strict (en d’autres termes, du clonage)

    - Faire entendre la voix de la France via les instances concernées (INPI, …) afin de faire revenir l’OEB sur sa décision d’exclure de la brevetabilité les produits issus de cellules souches embryonnaires

    • La recherche non-embryonnaire – la seule à être à la fois éthique et efficace aujourd’hui - sera sacrifiée dans les plans de financement. Alors que cette dernière reçoit des crédits croissants dans les pays développés en pointe sur l’innovation thérapeutique tel que le Japon, la France va creuser son retard pour des raisons idéologiques.

    La Fondation Jérôme Lejeune constate que, si ce n’est pour des raisons évidentes d’éthique, les députés n’ont pas su discerner les enjeux stratégiques qui se jouent en termes de recherche sur les cellules souches. Ils ont choisi d’enfermer la France dans l’aveuglement et le fantasme entretenus autour des prétendues (depuis plus de 20 ans…) perspectives de la recherche utilisant l’embryon humain au lieu de miser courageusement et efficacement dans ses alternatives. La Fondation Jérôme Lejeune soutient en France l’initiative citoyenne européenne Un de nous qui avance vers le million de signatures et portera à l’automne devant la Commission européenne une requête pour stopper les financements européens aux programmes de recherche sur l’embryon humain."

  • Quand il s'agit bel et bien d'un embryon humain

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    Fabrice Hadjadj est interviewé dans le Figaro où il répond aux propos du Professeur Frydman; extraits :

    LE FIGARO. - Beaucoup affirment que «l'embryon n'est pas une personne». Qu'en pensez-vous?

    Fabrice HADJADJ. - C'est curieux, on ne vient jamais chercher un philosophe pour effectuer une PMA ; mais on n'hésite pas à demander à un médecin de se prononcer sur des questions philosophiques. Je rappelle que la notion de personne est une notion métaphysique, d'origine théologique même, et qu'on ne peut l'employer comme ça sans être plus arriviste et plus fat que Le Bourgeois gentilhomme . D'ailleurs, je ne sais si vous avez remarqué, on s'évertue à dire l'«embryon», tout court. Mais de quoi s'agit-il? D'un embryon de veau, de macaque, d'ornithorynque? Non, il s'agit d'un embryon humain. M. Frydman a beau jeu d'argumenter en disant: «Un œil non averti ne peut différencier un embryon de souris d'un embryon humain.» Lui, le défenseur du «in vitro veritas», connaissant la génétique et maniant le microscope électronique, refuse tout d'un coup de voir le code génétique de cet embryon, fait la promotion de l'«œil non averti». Implante-t-il un embryon de souris chez les femmes qui lui demandent une PMA? Pourquoi pas, si ça ne fait aucune différence? L'évidence, c'est que l'embryon dont il est question est humain. Aucun scientifique ne peut dire le contraire. Or supprimer un être humain, c'est un homicide. Faire de l'être humain un matériau disponible, c'est le comble de l'exploitation. Je n'émets pas ici un jugement de valeur. Après tout, il peut y avoir des motifs d'être homicide, et de nombreux États ont légalisé l'exploitation et la manipulation des humains, au nom du progrès. Ce que je reproche, en tant que philosophe, c'est que l'on refuse d'appeler un chat un chat, et qu'on se livre à des détours de langage qui relèvent de la dissimulation. (...)

    Est-il possible d'affirmer en même temps que l'embryon humain «n'est pas une personne», et qu'«il est une personne en devenir» dans la mesure où il s'inscrit dans un projet parental?

    Les scientifiques qui le soutiennent sont en vérité des adeptes de la magie noire. Abracadabra! Je veux que ce soit une personne, et c'est une personne. Ça n'entre pas de mon projet, et pouf! La personne disparaît! On est vraiment dans le règne des apprentis sorciers. Mais cette manière de voir, si elle fait penser à la magie, est typiquement technocratique. Son principe est que la volonté prime sur l'être, et que dès lors tout le donné naturel, mon corps y compris, n'est qu'un matériau que je peux manipuler au gré de mes caprices. Je rappelle cependant ce que disait Hannah Arendt à la fin du Système totalitaire: l'essence du totalitarisme se trouve dans le refus de la naissance comme événement absolu, c'est-à-dire dans le fait de vouloir que l'individu n'ait de valeur que s'il s'inscrit dans une planification, que s'il est le rouage d'un dispositif antérieur à sa venue, qu'il s'agisse de l'idéologie du Parti, ou du projet des parents. (...)

    L'article est ici : Fabrice Hadjadj, "l'embryon dont il est question est humain"

  • Irlande : quand une ministre irlandaise refuse de voter une loi autorisant l'avortement

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    Lu sur le blog de Jeanne Smits :

    Une ministre irlandaise préfère perdre son poste que de voter l'avortement

    Elle s'appelle Lucinda Creighton, elle a 33 ans, elle est irlandaise, elle est ministre et étoile montante de son parti, le Fine Gael. Ou plutôt, elle l'était. Car elle a préféré démissionner plutôt que de voter, comme l'y obligeait son statut de ministre aux Affaires européennnes, pour la loi sur l'avortement défendue par le gouvernement auquel elle participe.

    Cela s'est passé jeudi soir : les membres du Dail en étaient à l'amendement 56 rendant l'avortement légal pour les femmes enceintes menaçant de se suicider en cas de poursuite de la grossesse.

    Lucinda Creighton, membre du Fine Gael depuis ses 18 ans, savait exactement ce qu'elle avait à faire et et elle en avait mesuré les conséquences. En votant contre l'avortement soutenu par le gouvernement auquel elle participe, elle savait qu'elle serait automatiquement exclue et qu'elle n'aurait plus qu'à démissionner du poste ministériel qu'elle occupait depuis plus de deux ans?

    Souriante et calme, elle s'est jointe au 23 autres élus qui ont osé voter contre (130 élus ont voté pour), après avoir expliqué longuement et posément qu'elle n'était pas une militante pro-vie, mais qu'elle était absolument opposée à l'adoption d'une loi que le parti s'était solennellement engagé à ne pas adopter au cours de sa campagne électorale.

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  • A lire, sur ZENIT.ORG (13.07) :

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    Finances du Vatican : tolérance zéro

    Les comptes de Mons. Scarano gelés

    (12 juillet 2013) 

    Née grâce à la prière de Maria Goretti

    Témoignage du Canada

    (12 juillet 2013)

     
     
     

    Une loi éthiquement inacceptable et scientifiquement injustifiée

    Recherche sur l'embryon : passage en force

    (11 juillet 2013)

    Suisse: tragédie de l'euthanasie, sur erreur de diagnostic

    Un magistrat italien se croyait incurable, mais il n'avait rien

    (11 juillet 2013)

     
     

    Soudan du Sud : prière nationale pour la réconciliation

    2ème anniversaire de l'indépendance le 9 juillet

    (11 juillet 2013)

  • Allez, les Belges, réveillez-vous !

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    Un de nos amis attire notre attention sur deux initiatives importantes sur le plan éthique :

    1. Pétition "Un de nous" www.oneofus.eu .

    Cette pétition demander d'arrêter le financement de la recherche sur l'embryon par la Commission européenne.

    Pour qu'elle contraigne la CE à prendre une initiative, il faut obtenir plus d'un million de signatures avant le 1er novembre 2013 et il faut qu'au moins 7 pays aient plus que leur quota de signatures.

    Trois quart de l'objectif est atteint. L'Italie est le pays qui a recueilli le plus de signatures, suivi par l'Autriche, la Hongrie, la Pologne, la Slovaquie.

    Toutefois, la Belgique n'a recueilli que 15% des signatures nécessaires à son quota et Bruxelles est la capitale de l'Europe...

    Retroussons nos manches !

    2. Le site d'information http://www.euthanasiestop.be/ Ce site permet une expression publique de voix 'discordantes' par rapport à la tendance visant l'extension du champ de la loi sur l'euthanasie.