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Défense de la Vie - Page 140

  • Le président de l'Equateur menace de démissionner si l'avortement est dépénalisé (mise à jour)

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    Lu sur la Synthèse quotidienne de Gènéthique :

    Equateur:  le président menace de démissionner si l'avortement est dépénalisé

     Jeudi 10 octobre, le président socialiste de l'Equateur, Rafael Correa, "a menacé de démissionner si des membres de sa majorité parlementaire tentaient de faire dépénaliser l'avortement dans le cadre d'une réforme du code pénal". 

    Sur la chaîne de télévision équatorienne Oromar, le président a déclaré: " 'Si un groupe de personnes très déloyales réunissent demain une majorité' [parmi les élus de la coalition au pouvoir] 'alianza pais' pour légaliser l'avortement, 'moi immédiatement, je présente ma démission' ". Il a ajouté: "qu'ils fassent ce qu'ils veulent [...] je n'autoriserai jamais la dépénalisation de l'avortement. [...] Au contraire, la Constitution dit défendre la vie dès la conception".

    La synthèse quotidienne de Gènéthique de ce lundi 21 annonce :

    Equateur: l'avortement ne sera pas dépénalisé dans le nouveau Code pénal

     Le président Equatorien Rafael Correa, réélu cette année pour un mandat courant jusqu’à 2017, a obtenu des parlementaires l’adoption d’un nouveau Code pénal. A l’occasion de ce vote, la législation sur l'avortement a été maintenue et n'a pas été assouplie. Après avoir menacé de démissioner le 10 octobre dernier "si des membres de sa majorité parlementaire tentaient de faire dépénaliser l'avortement dans le cadre d'une réforme du Code pénal" (Cf Synthèse de presse Gènéthique du 14/10/2013), le président Equatorien a réaffirmé son opposition à une dépénalisation de l'avortement: "Jamais je n’approuverai la dépénalisation de l’avortement."

    Par ailleurs, le nouveau Code prévoit des sanctions pour tout "mauvais geste ou décision du médecin" qui entraînerait la mort d’un patient. Ainsi, un médecin peut encourir jusqu'à cinq ans de prison, voir sa licence révoquée et être contraint de repasser un examen dans le but de pouvoir à nouveau exercer une activité médicale.

  • Parlement européen : une guerre éclair contre le respect de la vie humaine

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    Parlement européen: guerre à la culture de la vie

    Un déni de bon sens

    (Zenit.org) - Le président de la Fédération des Associations Familiales Catholiques en Europe (FAFCE), Antoine Renard, dénonce une "guerre éclair" au Parlement européen contre le respect de la vie humaine. Il proteste: "en soutenant une résolution au Parlement européen", certains membres du Parlement "neutralisent l'initiative citoyenne européenne en faveur de l'embryon humain "Un de Nous"." Voici ses explications.

    ***

    Le Parlement européen s’apprête à voter, mardi 22 octobre prochain à Strasbourg, une résolution sur « la santé reproductive et sexuelle ». Ayant exprimé leur soutien pour ce texte, les députés européens de l'UMP soutiennent la neutralisation politique de l'initiative citoyenne européenne "Un de Nous" (soutenue par plus de 1.3 million de citoyens de l’UE). Leur position sera vraisemblablement identique à celle de l'UDI, du Modem, des Socialistes, des Verts et des Communistes. La jurisprudence de l’Union européenne qui constitue la base de cette initiative sera ainsi bafouée, ce dont les lobbies pro-avortement s'en félicitent. Un projet de résolution alternative a été déposé pour offrir une vraie alternative au projet initial, faisant respecter le droit communautaire et "Un de Nous".

    Déni de bon sens

    La volonté de certains membres du Parlement européen de neutraliser politiquement le succès de l'initiative citoyenne européenne "Un de Nous" se manifeste par le chiffre A7-0306/2013. Ce projet de résolution déclare l'avortement un droit fondamental, demande une garantie de financement aux associations promotrices de l'avortement, se déclare favorable à la PMA pour célibataires ou lesbiennes, portant ainsi atteinte au droit des enfants de connaître, dans la mesure du possible, leur père et leur mère.

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  • Des médecins s'opposent au projet de loi sur l'euthanasie

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    Mais c'est au Québec, comme on peut le lire sur la synthèse de presse quotidienne de gènéthique.org :

    Québec: des médecins s'opposent au projet de loi autorisant l'euthanasie

    Ce mardi 15 octobre, au Québec, lors d'une conférence de presse, la Coalition des médecins pour la justice sociale (*) s'élève contre le projet de loi 52 du gouvernement du Québec qui vise à autoriser l'aide médicale à mourir (Cf Synthèse de presse Gènéthique du 13 juin 2013). Elle dénonce ce projet "en l'assimilant à un acte d'euthanasie" et prévient que : "les médecins euthanasistes risquent d'être poursuivis au criminel". En effet, précise le Dr Paul Saba, président de la coalition "une loi loi provinciale ne peut rendre inopérant le Code criminel fédéral qui interdit de causer la mort d'un autre individu". 

    Mais avant tout, "le Dr Saba reproche au gouvernement de favoriser l'euthanasie pour des raisons économiques plutôt que d'investir dans les soins palliatifs". Ce projet de loi "donne l'apparence qu'il veut économiser de l'argent parce que ça coûte environ 10$ pour piquer quelqu'un à mort et ça coûte des milliers de dollars de donner des soins palliatifs comme il faut et ça coûte des millions et des millions pour donner aux gens ce dont ils ont besoin: des médecins de famille, des soins qui sont nécessaires", s'insurge-t-il. Il alerte également sur le fait qu'un tel projet pourrait "encourager les jeunes personnes avec des maladies physiques telles que le cancer, ou psychiques telles que la dépression, à abandonner leurs traitements qui pourraient sauver leur vie" alerte-t-il. 

    Le Dr George Casteur, un médecin Belge invité par la Coalition à la conférence de presse pour décrire les dérives de la loi Belge sur l'euthanasie, a souligné: "Très vite, cette loi [i.e le projet de loi du gouvernement québécois] évoluera vers une pente glissante. Le premier pas, on accepte de mettre dans une loi que quelqu'un qui n'a plus que 24h à souffrir, on peut lui donner la mort. Le deuxième pas c'est: pourquoi quelqu'un qui aurait 24 années à souffrir  n'y aurait pas droit?". Par conséquent, "selon le Dr G. Casteur, ces dérives sont inévitables avec le temps puisque le mouvement porte toujours vers l'élargissement des critères et non l'inverse". 

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    (*) Un organisme comprenant des médecins du Québec qui fait la promotion du système de santé public, universel et gratuit

  • Une Miss Monde très politiquement incorrecte

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    Megan Young Miss World Philippines 2013.jpgLu ici :

    La beauté du courage

    Peut-être n’apprécierez-vous pas le genre de beauté de la Philippine Megan Lynne Young, 23 ans, qui vient d’être couronnée Miss Monde le 22 septembre dernier à Bali en Indonésie. Mais sans nul doute vous admirerez le courage dont elle a fait preuve en répondant aux questions d’une journaliste sur le réseau de télévision ABS-CBN le 28 août trois semaines plus tôt.

    - Quelle genre de beauté préférez-vous ?

    - Celle de l’enfant à naître. Je suis opposée à l’avortement, je crois en l’abstinence avant le mariage, et je vois ce dernier comme une union inséparable pour la vie entière.

    A propos du projet de loi de Santé Reproductive (Reproductive Health) du gouvernement philippin bloqué par la Cour Suprême, sa réponse a été la suivante :

    - Je suis pour la vie (pro-life). Si le projet signifie tuer un être qui est là, je suis contre, bien sûr. Mes convictions sont : non à l’avortement.

    Quand on lui a demandé si elle était partisane de la contraception, sa réponse a été claire :

    - Je ne m’engage pas dans un truc pareil. Le sexe est réservé au mariage. Telles sont mes convictions.

    A la question : comment une fille splendide peut-elle ne pas avoir de relations sexuelles ? La réponse a volé :

    - Il faut répondre non à ce genre de demande. Si on essaye de vous y pousser, vous prenez du recul. En effet la personne qui vous propose cela ne mérite pas votre compagnie non plus que la moindre relation. Si en revanche un gars fait ce sacrifice, cela signifie beaucoup.

    Cette série de déclarations “politiquement incorrectes” n’a pas empêché cette jeune femme de remporter la couronne de Miss Monde un mois plus tard.

  • Sur Euthanasie Stop (16/10/2013)

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    AUJOURD'HUI SUR EUTHANASIE STOP - 16/10/2013

     

    Un documentaire censuré par toutes les chaînes

    Publié par Michel JANVA (Journaliste)

    Lire « Un documentaire censuré par toutes les chaînes »

     

     

    L'euthanasie n'est pas la solution !

    Publié par Francesca SIGNORE (Juriste)

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    Papa a eu peur que les médecins l'euthanasient

    Publié par Dominique BASTIN (Employée)

    Lire « Papa a eu peur que les médecins l'euthanasient »

     

    L'amour jusqu'au bout...

    Publié par Marie-Anne SCHNACKERS (Pédagogue)

    Lire « L'amour jusqu'au bout... »

    Découvrez nos autres articles en Néerlandais :
     

    "mensen" met een warm hart...

    Publié par Philip PINTELON (Ambtenaar)

    Lire « "mensen" met een warm hart... »

     
     

    Hedonistisme?

    Publié par Marc VANHOUTTE (Gepensionnerde, Heverlee)

    Lire « Hedonistisme? »

  • Bruxelles : les Veilleurs se mobilisent contre l'euthanasie

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    Pour ceux qui le peuvent et le souhaitent, rendez vous ce soir à 19h devant le Sénat pour "veiller debout" contre l'extension de la loi de l'euthanasie aux mineurs et aux déments.

    (Tous les dimanches à 16h00 et les mardis à 19h00).

    https://www.facebook.com/events/533982063354279/?source=1

    http://www.jeunespourlavie.org/4/post/2013/10/veilleurs-debout-maintenir-la-contestation-contre-leuthanasie.html

  • La lettre d'information de l'Observatoire socio-politique du diocèse de Fréjus-Toulon (octobre 2013)

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    logo letter.jpgTous les mois, La Lettre de l'Observatoire sociopolitique du diocèse de Fréjus-Toulon propose un regard d'Eglise sur les grandes questions de société. Faites-la découvrir à vos amis !

    CANDIDE AU PAYS DES PAPES

    Par P. Louis-Marie Guitton, responsable OSP

    SORTIR DE L'éCONOMIE ?

    Par Falk van Gaver, délégué OSP

    SVT : UNE SCIENCE LIBRE AU SERVICE DE LA VIE (II)

    Par Pierre-Olivier Arduin, responsable bioéthique OSP

    ACTUALITé SUR LES OGM

    Par Philippe Conte, responsable environnement OSP

    HANNAH ARENDT OU LE SOUCI DU MONDE

    Par Falk van Gaver, délégué OSP

    Y'A DE LA JOIE !

    Par la Mouche du Coche

    DéFENDRE LA FOI AUJOURD'HUI ?

    Entretien avec Jean-Michel Castaing

  • Bruxelles : on ne lâche rien; 10 sentinelles devant le Sénat

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  • Le volontariat en soins palliatifs a changé ma vie

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    Le volontariat en soins palliatifs a changé ma vie, avec Attilio Stajano

    Interview exclusive dans le cadre de l’émission « Ethique et moi »; elle sera diffusée :

    Sur RCF Bruxelles 107.6 à quatre reprises la semaine prochaine : ce lundi 14 octobre à 16h00, le mardi  à 12h30,  le jeudi  à 16h30 et le samedi à 9h30. Cette émission est en ligne  à ces mêmes heures sur le site : http://www.rcfbruxelles.be

    Elle sera rediffusée également sur RCF Liège et RCF Namur à une date ultérieure mais assez proche.

    ð      Sur RCF Namur : « Question d'éthique » : Mardi 13h30 -  Jeudi 9h -  Dimanche 16h.

    ð      Sur RCF Liège : « Morale sans histoires » : Semaines impaires : Mardi 11h – Mercredi 2h30 (nuit) – Vendredi 1h  – Lundi 3h (nuit).


    Radiophoniquement vôtre,

    P.S. Il est possible de réécouter les émissions de la semaine qui précède, en podcast,  sur le site de RCF. C’est ici :http://www.rcfbruxelles.be/-Emissions-podcastees-.html ou cette émission à partir de la semaine prochaine.

  • Euthanasie : les Veilleurs se mobilisent à Bruxelles

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    Les discussions concernant l'élargissement de la loi sur l'euthanasie en Belgique ont repris au Sénat depuis le mercredi 9 octobre.

    En signe de protestation face aux projets de loi visant à élargir cette pratique aux mineurs et aux personnes démentes, les Veilleurs debout se postent devant le Sénat (Place de la Nation 1, 1000 Bruxelles - en face du Parc royal, rue de la Loi):

    - ce dimanche13 octobre 2013 à 16h00

    ATTENTION

    Ce n'est pas une manifestation! Les manifestations doivent obtenir un accord préalable de la police.

    Il s'agit de respecter la norme légale d'une distance minimale d'1 mètre entre chaque veilleur debout. Ainsi, agira-t-on en toute légalité en évitant l'effet de rassemblement.

    http://www.libertepolitique.com/Actualite/Decryptage/Gaultier-Bes-de-Berc-Les-Veilleurs-attaquent-le-mal-a-la-racine

  • Qu'est-ce qui pourra limiter un élargissement toujours plus grand de l'euthanasie ?

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    Nous lisons sur Le Soir (pp. 28-29) cette carte blanche :

    Non à l’extension de l’euthanasie aux déments et aux enfants (Carte blanche de Benoît Beuselinck, médecin oncologue (UZ Leuven), co-initiateur d’euthanasiestop.be; Michel Ghins, professeur de philosophie (UCL), co-initiateur d’euthanasiestop.be) :

    « A partir du moment où l’euthanasie est légalisée, des pressions de plus en plus fortes s’exercent en faveur de son élargissement à un nombre toujours croissant de personnes, comme aujourd’hui aux personnes démentes et aux enfants. Rien d’étonnant à cela. Une fois la transgression d’un interdit fondateur de civilisation coulée dans la loi, il est logique de repousser sans cesse les limites d’un pouvoir de tuer au nom de l’autonomie de la personne et du refus absolu de la souffrance. … Si les propositions de loi visant à étendre l’accès de l’euthanasie aux enfants mineurs et aux déments en viennent à être votées, la loi conférera à des médecins la liberté de décider de la vie ou de la mort d’autrui. Il n’est pas sûr que beaucoup de médecins souhaitent se voir investis d’une telle prérogative. Mais, surtout, de tels élargissements iraient à l’encontre d’une base philosophique essentielle de la loi de mai 2002, à savoir que l’accès à l’euthanasie ne peut relever que de la seule décision libre et autonome de la personne concernée et ne saurait en aucune manière dépendre de la décision d’un tiers. »

  • Monseigneur Léonard évoque l'euthanasie

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    Maria Chiara Biagioni, pour Sir Europe (Servizio Informazione Religiosa), s'est entretenue avec le Président des évêques belges, Mgr André-Joseph Léonard, archevêque de Malines-Bruxelles.

    • Qu’est-ce qui pousse les gens vers l'euthanasie ?

    On revendique la liberté individuelle selon laquelle chacun est maître de la vie et la mort, et donc responsable du quand et du comment mourir. Un argument qui est sûrement en prise avec le contexte culturel actuel. Décider de mourir quand et comment l’on veut est pourtant un choix dans lequel sont impliquées d'autres personnes. Il exige que les médecins, les infirmier(e)s, le personnel médical, les pharmaciens s’adaptent à ma volonté et répondent à ma demande de mort. Il est donc illusoire de penser que le choix de l'euthanasie implique seulement la personne concernée ou se réfère à une liberté individuelle, parce que c'est un choix qui implique beaucoup de gens.

    • D'après votre expérience, quelles répercussions une loi sur l'euthanasie a-t-elle sur la société ?

    Elle nuit à la solidarité entre les citoyens. Au fond, la législation sur l'euthanasie encourage inconsciemment dans l'opinion publique l'idée que chacun doit résoudre seul ses propres problèmes. Ce que je crains le plus est précisément cette influence masquée et insidieuse, ce climat que cela génère en particulier auprès des personnes âgées, auprès de celles qui ne suffisent pas à elles-mêmes, et qui peuvent, dans des conditions difficiles, décider de signer un papier et penser qu’avec leur mort tous les problèmes seront résolus. Ne plus être à charge de quelqu’un. Le processus mental est clair: « je sens que je vieillis, que je commence à perdre mes facultés mentales et physiologiques, je ferais mieux de disparaître. » En ce sens, on a été très frappé par le cas du prix Nobel de médecine qui, à l'âge de 95 ans, pour ne plus être un fardeau pour son entourage, a décidé de demander l'euthanasie qui lui a été accordée. Au lieu d'une solidarité où l’on prend soin des plus faibles, on génère une sorte de libération implicite du faible au moment où il devient un fardeau pour la société. »

    • La Belgique prévoit après l'euthanasie pour des souffrances insupportables, qu’on l’étende à présent aux mineurs. Qu’est ce qui se passe à votre avis ?

    La presse internationale a accordé à juste titre beaucoup d'attention à la nouvelle concernant la personne qui a obtenu l'euthanasie parce que l'opération de changement de sexe ne s’est pas bien passée causant une souffrance psychologique qui lui a permis d'obtenir l'euthanasie. Je pense vraiment qu’il faut s’arrêter. Il y a aussi le projet de loi qui veut étendre le droit à l'euthanasie aux mineurs indépendamment du consentement de leurs parents. Je tiens à rappeler à cet égard que la loi belge n'autorise pas les mineurs à signer des contrats économiques, ni à se marier, ni à signer des actes qui engagent leur avenir mais, en revanche, si la loi devait passer, ils pourraient décider de mourir, même sans le consentement de leurs parents. Et enfin, il y a la volonté d'étendre l'euthanasie pour les personnes atteintes de démence et qui ne répondent plus d'elles-mêmes comme les patients souffrant de la maladie d’Alzheimer. Ce sont des propositions qui minent les liens sociaux, mais aussi la solidarité entre les personnes. C'est une porte qui menace de s'élargir de plus en plus ".

    Mais déjà les médias se déchaînent pour fustiger les propos de l'archevêque, voir ICI