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Défense de la Vie - Page 143

  • Les Polonais sont de plus en plus opposés à l'avortement

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    Lu ICI :

    Les Polonais de plus en plus opposés à l’avortement

    Dans un sondage CBOS publié par le quotidien Rzeczpospolita, 75% des Polonais considèrent que l’avortement est un mal et qu’il ne peut en aucun cas se justifier. C’est la plus forte proportion d’opposants à l’avortement en Europe et c’est 6% de plus qu’il y a 3 ans. Un autre sondage publié en juin 2012 montrait que pour 80% des Polonais, « la vie humaine doit être protégée de la conception à la mort naturelle toujours et quelles que soient les circonstances ». 150 000 Polonais ont d’ailleurs déjà signé l’initiative citoyenne européenne « Un de Nous » et 400 000 environ ont signé une récente initiative citoyenne nationale pour protéger les enfants trisomiques de l’avortement.

    En Europe, seuls les Polonais et les Irlandais sont très majoritairement opposés à l’avortement. Les Irlandais ont rejeté à trois reprises par référendum des projets de légalisation de l’avortement. Malheureusement, le parlement irlandais a décidé récemment de passer outre la volonté du peuple et il a légalisé une certaine forme d’avortement à la demande en l’autorisant lorsqu’un groupe de médecins et de psychiatres considérera qu’il existe un risque de suicide pour la femme enceinte si l’avortement lui est refusé.

    Interrogée par Rzeczpospolita, une responsable de Human Life International Pologne, Ewa Kowalewska, explique que les Polonais sont en moyenne bien mieux au courant de la réalité biologique du développement de l’enfant dans le ventre de sa mère que la plupart des Européens. Mme Kowalewska cite le cas de la Russie et de la Géorgie, deux pays avec des taux d’avortement extrêmement élevés où le citoyen moyen ne savait presque rien il y a quinze ans des différents stades du développement de l’enfant alors qu’aujourd’hui la renaissance de l’Église orthodoxe s’accompagne d’une meilleure sensibilisation au développement prénatal de la personne humaine.

    On pourrait aussi citer la France où de nombreux adultes s’imaginent, après 40 ans de propagande pro-avortement, que le fœtus à la 12e semaine de grossesse (le délai légal pour avorter à la demande) n’est qu’un amas de cellules sans forme humaine. Ce qui explique pourquoi même les partis politiques à l’origine opposés à l’avortement à la demande, comme le Front national ou le Parti chrétien-démocrate, n’osent même plus demander l’abrogation de la loi Veil.

    En Pologne, au contraire, les deux partis de gauche qui voudraient rétablir l’avortement à la demande (interdit depuis 1993) sont dans l’incapacité de gagner une élection nationale puisqu’ils n’obtiennent ensemble le soutien que de 15-20 % des électeurs.

  • Quand se joue l'avenir de nos démocraties et la cohérence de nos hommes politiques

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    L'évêque auxiliaire de Santiago du Chili réagit à la profanation de la cathédrale par des militants pro-avortement dans une lettre (traduite par Jeanne Smits) où il s'exprime ainsi :

     ... je propose aux chrétiens la réflexion suivante par rapport à la vie, la fécondité et la mort. C’est ici que se joue l’avenir de notre démocratie et la cohérence des hommes politiques chrétiens que nous allons devoir choisir lors des prochaines élections présidentielles et parlementaires.

    1. Cela donne à penser, et même beaucoup à penser, que la sacralité de la vie dépend, dans la pratique, de ceux qui détiennent le pouvoir politique, économique et culturel. Ce sont eux qui décident qui a le droit de vivre et qui va droit à la mort. Il n’y a que trop d’exemples. Même au Chili.

    2. Cela donne à penser, et même beaucoup à penser, que des éléments aussi essentiels que la différence et la complémentarité entre un homme et une femme puissent apparaître aujourd’hui comme une divagation propre aux gens aliénés ou aux rétrogrades « conservateurs ». « Egalité », « égalitaire », voilà la consigne. La différence ne vaut plus grand chose. Y a-t-il quelque de plus « paritaire » que le mariage entre un homme et une femme ? C’est pourquoi la foi chrétienne n’impose pas aux personnes homosexuelles le « mariage », qui est le propre de l’homme et de la femme, nécessaire à la procréation.

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  • La Fondation Jérôme Lejeune attaquée par les extrémistes d'Act Up

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    Communiqué de presse de la Fondation :

    L'attaque par Act Up de sa consultation médicale n'intimide pas la Fondation Jérôme Lejeune mais choque le monde du handicap

    Après l'agression violente d'Act up dont elle a été victime (le dimanche 4 août), la Fondation Jérôme Lejeune a immédiatement porté plainte contre l'association militante extrémiste.

    Ce matin, en arrivant, les médecins et les patients devaient passer devant des affiches injurieuses et marcher parmi des préservatifs et poches remplis de peinture rouge sang lancés contre les murs portes et fenêtres. Le Pr. Marie-Odile Réthoré, directrice de la consultation médicale, présente sur les lieux à 7h30, a considéré que ce spectacle était de nature à choquer les enfants et les familles en consultation aujourd'hui.

    Pour Jean-Marie Le Méné, président de la Fondation : « Je dénonce cet acte d'intimidation d'autant plus scandaleux qu'il porte sur un espace médical accueillant des personnes atteintes de déficience intellectuelle et leur famille. Il est toujours plus facile de s'attaquer aux plus faibles et de les prendre comme bouc émissaire.»

    La Fondation souligne également sa totale solidarité avec sa salariée Ludovine de la Rochère par ailleurs présidente de La Manif pour tous. Elle note la confusion du message véhiculé par l'agression d'Act Up qui n'apporte aucun élément en mesure de faire comprendre cette violence gratuite.

    La Fondation attend des responsables de l'ordre public une réaction officielle contre ce terrorisme d'Act Up :

    • dont la violence porte en germe des éléments de stigmatisation et d'handiphobie qui se développent depuis 20 ans en France, particulièrement à l'encontre des personnes trisomiques,
    • qui porte atteinte à l'image d'une fondation reconnue d'utilité publique qui assure une mission capitale en matière de recherche et de soins au profit des plus déshérités.

    Elle remercie les nombreux sympathisants qui lui témoignent depuis hier leur soutien et les assure de son intention de continuer l'ensemble de ses engagements, notamment ceux consistant à participer au débat sur les enjeux bioéthiques.

  • Sur Gènéthique.org : biomédecine, PMA, avortement, transsexualisme, cellules souches

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  • La reconnaissance de l'enfant à naître et les incohérences d'une société déboussolée

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    Un avant-projet de loi permettant aux parents qui le demandent de faire inscrire dans les registres d'état civil la naissance d'un foetus né sans vie entre le 140e et le 179e jour de gestation a été approuvé en conseil des ministres. C'est un progrès dont nous nous réjouissons puisqu'il va dans le sens d'une prise en considération de l'enfant à naître mais cela met aussi en évidence les incohérences de notre société à l'égard de l'enfant en gestation. Tout se passe dans l'arbitraire, sans justifications d'aucun ordre : pourquoi le 140e jour et pas le 139e? Pourquoi ce seuil des six mois? Et si, d'une part, on reconnaît aux parents le droit de faire consigner l'existence d'un foetus né sans vie, la loi permet également de mettre fin aux jours de foetus bien en vie sans autre forme de procès... 

    Voici l'information telle qu'elle est parue dans La Libre :

    Perdre un enfant, désiré et attendu, en cours de grossesse est toujours un drame. Auquel s’ajoutait jusqu’ici la douleur immense de la non-reconnaissance : avant six mois de grossesse, le fœtus né sans vie n’a aucune existence officielle.

    Les fœtus nés sans vie avant 6 mois de grossesse (le seuil légal de viabilité) n’ont aucune existence officielle. Il n’y a ni acte de naissance ni acte de décès. Ces bébés ne sont pas portés dans les registres de l’état civil et ne reçoivent, officiellement, pas de prénom.

    Un avant-projet de loi, approuvé discrètement en première lecture par le dernier Conseil des ministres avant la pause d’été – le 19 juillet –, vise à corriger ce cruel vide législatif. Porté par la ministre de la Justice, Annemie Turtelboom (Open VLD), et cosigné par la ministre de la Santé publique, Laurette Onkelinx (PS), ce texte “a un seul objectif”  : faciliter le deuil des parents confrontés à une mort périnatale.

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    et l'éditorial d'Annick Hovine

  • Avortement : décrire la réalité telle qu'elle est

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    Lu sur le blog de Jeanne Smits :

    Jim Walsh, sénateur irlandais du Fianna Fail, fait partie de ceux qui ont combattu l'adoption de la loi d'avortement irlandaise, et il y a une semaine il a été vivement attaqué pour avoir décrit en détail un avortement de 2e trimestre – envisagé par la loi si la santé de la mère est menacée même par une idée de suicide – en rappelant comment cela peut se faire par démembrement de l'enfant,  le médecin vérifiant le passage des bras, des jambes, du cerveau de l'enfant… Il vient de s'en expliquer dans l'Irish Times, en refusant de se rétracter de quelque manière que ce soit. Voici la traduction de sa lettre ouverte. – J.S.

    Vu la manière dont le débat sur l'avortement s'est développé ces derniers mois,  je n'ai pas été surpris par la réaction à certains aspects de mon discours devant le Seanad la semaine dernière. 

    La très grande majorité des commentaires médiatiques ont tout simplement relayé la mise en scène gouvernementale qui présente la loi sur l'avortement comme « très restrictive » et qui a balayé toute argumentation contraire comme relevant d'une tactique d'intimidation.

    Peu, au sein des médias, semblent vouloir envisager un seul instant la possibilité très concrète de voir la nouvelle loi aboutir, avec le temps, à l'avortement largement accessible. 

    Certains commentateurs et parlementaires peuvent sincèrement croire que la loi est strictement limitée aux interventions destinées à sauver la vie de femmes enceintes. Cependant, au fond d'eux-mêmes, beaucoup doivent savoir que la réalité sera très différente. 

    Je savais que mon discours provoquerait des critiques mais j'ai choisi de le faire parce que le débat a été dominé par des demi-vérités aseptisées et des fictions réconfortantes. L'une de ces fictions est que la loi est « restrictive ». Ceux qui ne sont pas nés n'ont ni voix ni vote, par conséquent, si ceux qui ont une éthique pro-vie n'expriment pas en paroles la protection de leur statut innocent et vulnérable, leur cause est écartée, à la grande honte de l'humanité. 

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  • Chili : la cathédrale de Santiago attaquée par des militants pro-avortement

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    Attaque de la cathédrale de Santiago au Chili par des extrêmistes pro-avortement (source)

    C’est « l’irrationalité violente » et une « grave offense envers Dieu et à la communauté » qui résulte de l’attaque de la Cathédrale, à dit l’Archevêque de Santiago

    www.radinrue.com par : Agence FIDES.

    L’Archevêque de Santiago, S.Exc. Mgr Ricardo Ezzati, a condamné l’attaque qu’a subi la Cathédrale de la ville de la part des manifestants en faveur de l’avortement et a fait état de « sa consternation face à ceux qui ont l’obligation de garantir la sécurité des personnes ».

    La note envoyée à Fides par l’Archidiocèse de Santiago fait état de ce que Mgr Ezzati a écrit dans la lettre adressée à la communauté nationale à propos des faits intervenus dans la Cathédrale métropolitaine, le jour même de la fête patronale de la ville, Saint Jacques (25 juillet). « L’entrée violente d’un groupe d’anarchistes qui a pris d’assaut l’église avec des slogans contre la vie et pour l’avortement, l’intolérance des fanatiques et leur irrationalité violente ont constitué une grave offense envers Dieu et la communauté des croyants dans le Christ. Elle a laissé des empreintes douloureuses au travers des agressions et des mauvais traitements (infligés) à différentes personnes et de la destruction et des dommages faits au patrimoine artistique et religieux de la principale église du pays ».

    « La Cathédrale métropolitaine est un lieu public, ouvert, déclaré monument national, où se rendent chaque jour des centaines de personnes, bien que ces derniers temps, elles aient été menacées par des bombes et d’autres attaques. Nous espérons pouvoir bénéficier à l’avenir d’une protection à laquelle nous avons droit ».

    L’Archevêque de Santiago a également annoncé que les avocats de l’Archidiocèse ont déposé plainte devant le tribunal contre les auteurs de l’attentat.

    Par ailleurs, l’agence de presse Fides annonce que le Président chilien, Sebastián Piniera, a condamné l’attaque menée contre la Cathédrale de Santiago, qui a eu lieu jeudi 25 juillet au cours de la célébration de la fête patronale de la ville, en la fête de l’Apôtre Saint Jacques. « Je désire exprimer notre condamnation absolue et le refus de tels actes, dans la mesure où cela signifie ne pas respecter les droits des autres » a déclaré le Président.

    Jeudi soir, environ 5.000 personnes ont manifesté dans le centre de Santiago afin de demander « l’avortement libre ».

    Un groupe de manifestants est entré dans la Cathédrale métropolitaine, a interrompu la Messe provoquant le chaos, détruisant une partie de l’église, barbouillant de peinture des autels latéraux et tentant d’incendier les bancs de l’église.

    « J’ai parlé avec l’Archevêque de Santiago afin de lui exprimer notre complète solidarité et de ratifier l’engagement de ce gouvernement en faveur de la liberté religieuse, de la liberté de culte et de la sauvegarde de la vie de l’enfant à naître » a ajouté le Président chilien.

    Le Maire de Santiago, Carolina Toha, a indiqué aux journalistes qu’elle « n’est pas croyante » mais qu’elle considère que « les personnes qui se trouvaient dans la cathédrale à ce moment-là ont été agressées de manière gratuite, ce qui est inacceptable ». Mme Toha faisait partie de ceux qui assistaient à la Messe célébrée par l’Archevêque métropolitain de Santiago, S.Exc. Mgr Ricardo Ezzati, à l’occasion de la fête de Saint Jacques, patron de la ville.

    radinrue.com

  • Bulletin de l'Institut Européen de Bioéthique (25/7/2013) : USA / Belgique / France / Royaume-Uni

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    header_fr.jpgSommaire

      USA : une femme se réveille du coma juste avant le prélèvement de ses organes
      Belgique : déclaration anticipée en fin de vie : comment trouver des « témoins » ?
      France : vote de la proposition de loi autorisant la recherche sur l’embryon humain

      Royaume-Uni : enquête parlementaire et arrêt de la sédation terminale

  • L'élan magnifique de familles qui voulaient adopter un enfant trisomique

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    Via le blog de Jeanne Smits :

    Une histoire magnifique : un enfant à naître trisomique sauvé de l'avortement par de nombreuses familles voulant l'adopter

    (tiré du Washington Times du 9 juillet 2013 et de LifeSiteNews du 23 juillet 2013, traduction CQV)

    Lorsque le révérend Thomas Vander Woude entendit parler d'un jeune couple qui planifiait de faire avorter leur enfant à naître diagnostiqué avec le syndrome de Down, il tendit la main et offrit un contrat : si les parents acceptaient de donner leur enfant en adoption, il trouverait une famille adoptive appropriée.

    Mais il fallait agir vite.

    La femme, qui n'a pas été identifiée pour respecter sa vie privée et sa sécurité, en était à un peu moins de six mois de grossesse. Elle vit dans un État qui interdit l'avortement après 24 semaines — ce qui voulait dire qu'il avait peu de temps pour trouver une famille prête à s’engager pour toute la vie.

    Le Père Vander Woude, pasteur principal à l’église catholique Sainte Trinité à Gainesville, en Virginie, s'est approché d'un bénévole qui avait contribué à gérer la page des médias sociaux de l’église, et elle fit un appel urgent sur ​​Facebook le lundi matin.

    Lire la suite sur Campagne Quebec Vie

  • Trisomie 21 et iPS : quand science et éthique se rencontrent

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    De la synthèse de presse quotidienne de gènéthique.org du 23 juillet 2013

    Trisomie 21 et iPS : quand la sience et l'éthique se rencontrent

    La découverte sur la trisomie 21 de l'équipe du professeur Jeanne Lawrence (Massachusetts) qui tend à neutraliser in vitro le troisième chromosome 21 (synthèse de presse Gènéthique du 18 juillet 2013), représente "un nouvel espoir dans la recherche sur la trisomie 21" s'est félicitée la Fondation Jérôme Lejeune le 19 juillet 2013 dans un communiqué de presse. Premier financeur en France de la recherche sur les maladies génétiques de l'intelligence, la Fondation Lejeune s'est réjouie d'une telle recherche, bien qu'à un stade très fondamental, qui vient conforter plusieurs espoirs. D'une part, que le chromosome 21 peut être neutralisé, d'autre part que la recherche sur la trisomie 21 avance, enfin, que la science et l'éthique peuvent marcher ensemble.

    La recherche de l'équipe du Massachusetts vient démontrer que le troisième chromosome 21 peut être neutralisé, en l'inactivant, pour l'instant de 20%. Cette neutralisation "avait déjà fait l'objet d'une publication dans Cell Stem Cell en décembre 2012 par l'équipe de David W.Russel" qui avait réussi, elle aussi, à neutraliser le troisième chromosome 21 en induisant son expulsion.

    Grâce à ces découvertes, la Fondation Lejeune constate que "la recherche sur la trisomie 21 avance, car quand on cherche on trouve". En effet, en six mois de temps deux équipes américaines ont révélé ce qui n'était pas envisageable il y a encore à peine deux ans : l'inactivation ou l'expulsion in vitro du troisième chromosome 21. La Fondation regrette donc que les responsables français ne perçoivent pas ces avancées, la laissant ainsi porter quasiment seule les recherches sur la trisomie 21. Elle se réjouit d'ailleurs que les travaux de l'équipe de Jeanne Lawrence s'appuient en premier lieu sur l'étude du professeur Mégarbané de l'Institut Jérôme Lejeune.

    Enfin, La Fondation Jérôme Lejeune, qui a participé à faire connaître les cellules iPS du prix nobel Yamanaka en 2006, et qui a insisté sur leur potentiel alternatif aux cellules embryonnaires humaines lors du récent débat sur l'autorisation de la recherche sur l'embryon, se félicite que les cellules iPS, utilisées par ces deux dernières équipes, oeuvrent pour la trisomie 21. Elle constate "une fois de plus que l'éthique et la science marchent ensemble".

    (lequotidiendumédecin.fr (Dr Irène Drogou) 22/07/2013 - newspress.fr 23/07/2013 - bionews.org (Lucy Freem) 22/07/2013)

  • Bulletin de l'Institut Européen de Bioéthique (18/7/2013) : don de sperme / ADN / FIV à prix réduit

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    header_fr.jpgSommaire

  • Texas : plus d'avortement après 20 semaines de grossesse

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    Texas: la nouvelle législation sur l'avortement entre en vigueur (gènéthique.org)

    Ce jeudi 18 juillet, la loi adoptée le 13 juillet dernier par le Sénat du Texas (Etats-Unis) pour restreindre le champ d'application de la loi ancienne sur l'interruption volontaire de grossesse (IVG) (Cf Synthèse de presse Gènéthique du 15 juillet 2013), a été signée par le gouverneur républicain Rick Perry. Cette loi interdit notamment de procéder à une IVG après 20 semaines de grossesse, contre 26 antérieurement.