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Défense de la Vie - Page 141

  • Les Belges majoritairement opposés à l'euthanasie des mineurs

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    Sondage en ligne organisé par les jeunes du MR à propos de l’euthanasie des mineurs : Euthanasie : mineur mais libre de choisir ?

    Voici l’annonce du sondage et l’invitation pour les citoyens belges à se prononcer. La détermination d’un âge limite dans la perspective d’une extension aux mineurs de la loi sur l’euthanasie n’est pas évidente. Et pourtant, l’euthanasie des mineurs est d’ores et déjà pratiquée sans un cadre légal strictement défini. Il est urgent de légiférer compte tenue de la capacité de discernement des mineurs et afin d’assurer le respect de la dignité humaine !

    • OUI - 13%
    • NON - 87%

    http://www.jeunesmr.be/generationdefi/euthanasie-mineur-mais-libre-de-choisir/

  • Seoul : une marche pour la Vie dans un pays miné par l'avortement

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    Sur Eglises d'Asie :

    Grande « marche pour la vie » dans les rues de Séoul

    Plusieurs milliers de personnes de toutes religions ont défilé à Séoul lors d’une « marche pour la vie ». Sous la bannière « La vie parle, la vie écoute, la vie marche ! », les manifestants ont appelé le gouvernement à respecter la vie, spécialement celle de l’enfant à naître.

    Organisée par la Fédération pour la vie, un groupe interreligieux qui milite contre l’avortement, cette marche de 4 km s’est tenue le 8 juin dernier dans le district de Yeouido de la capitale sud-coréenne. Plus de 3 000 personnes venues de différents milieux et religions ont manifesté dans les rues de Séoul, demandant au gouvernement de « mettre le sens sacré de la vie au cœur de la société », et d’abolir la Loi sur la santé de la mère et de l’enfant (1).

    Avant d’entamer leur marche à travers la ville, les manifestants avaient énoncé leurs demandes, lesquelles ont ensuite été reprises sur le site de la Conférence des évêques catholiques de Corée (CBCK) lundi 17 juin. Dans leur manifeste, les militants pro-vie demandent au gouvernement et au Parlement d’abolir la loi sur l’avortement, de sanctionner l’infanticide (ce qui comprendrait l’enfant à naître), de mettre en place des soutiens financiers pour femmes enceintes et filles-mères, et de prendre en charge les enfants handicapés.

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  • Lutte pour la vie : ces catholiques qui ont déjà déposé les armes

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    Massimo Introvigne rapporte et commente les propos "musclés" tenus par le cardinal Burke à l'occasion de la journée "Evangelium Vitae". Notre amie de Benoît-et-moi en a fait la traduction :

    Samedi 15 Juin se sont ouvertes à Rome les manifestations de la «Journée Evangelium Vitae». En attendant la messe du pape du dimanche, la journée de samedi a offert de nombreux moments de prière et de pénitence - parce que pour les péchés contre la vie, on doit d'abord faire pénitence - une catéchèse en italien du Cardinal Camillo Ruini et d'une conférence en anglais à l'Université Pontificale Urbanienne ouverte par le cardinal américain Raymond Leo Burke. 

    Personnellement, j'ai suivi la conférence de l'Urbanienne, et de la belle relation du cardinal Burke j'ai particulièrement apprécié un passage, d'ailleurs conforme à ce qu'a dit également le cardinal Ruini. Burke a dénoncé le lobby multi-milliardaire qui avec une puissance de feu inouïe mène son combat pour la «culture contraceptive», pour l'avortement et contre la famille. Il n'a pas mentionné explicitement la Fondation Bill et Melinda Gates, qui de ce combat contre la vie sont aujourd'hui les premiers bailleurs de fonds, mais c'est comme s'il l'avait fait. C'est vrai: c'est grâce à l'immense flux d'argent que la propagande contraceptive, abortiste et homosexualiste, nous martèle tous les jours, y compris à travers le cinéma, la télévision, et des romans tels que «L'Enfer» de Dan Brown, qui est un manifeste pour le contrôle de naissances par tous les moyens.

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  • Rome : le "peuple de la vie" réuni autour de François

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    Lu sur Avvenire.it :

    Les personnes pro-vie venues de partout dans le monde se retrouvent autour du Pape pour donner plus de force à l'Evangile de la Vie et s'engager dans la défense des êtres plus faibles et sans défense, avec le soutien de la pétition européenne "One of Us". Présents à ce pèlerinage, des milliers de gens viennent de partout dans le monde; la délégation américaine est particulièrement nombreuse et bien organisée.

    La signification des journées "Evangelium Vitae" est de donner un témoignage commun à la valeur sacrée de la vie, de toute vie humaine. L'archevêque Rino Fisichella , président du Conseil pontifical pour la promotion de la nouvelle évangélisation, en a fait le résumé dans la présentation de l'événement, dont le moment central est la messe présidée par le pape François, ce dimanche 16 juin à 10h30, sur l'esplanade devant la basilique Saint-Pierre. En parcourant la liste des groupes et des associations qui ont adhéré à l'initiative, écrit l'Osservatore Romano, on perçoit la signification de cette manifestation en faveur de la vie, de sa conception à sa fin naturelle. "Notre espoir - écrit l'archevêque Fisichella - est que le nombre des fidèles sur la place Saint-Pierre soit si grand qu'il fasse sentir au monde notre attachement unanime à ce qui est au cœur de la mission rédemptrice de Jésus: « Je suis venu pour qu'ils aient la vie en plénitude. " Samedi, de nombreux pèlerins ont prié sur la tombe de saint Pierre. Une  catéchèse en italien a eu lieu samedi matin, premier rendez-vous pour la délégation de langue italienne, dans l'église de San Giovanni dei Fiorentini avec le cardinal Camillo Ruini, qui a donné un enseignement sur «Evangelium Vitae. "La culture des droits individuels, érigée en absolu, devient une illusion tragique qui conduit à refuser leurs droits à d'autres et, à la fin, se retourne contre nous-mêmes, comme c'est le cas pour l'euthanasie. Le thème de la vie - a déclaré le cardinal - fait l'objet d'attitudes culturelles contrastées dans l'opinion publique. "Il ya une sorte d'accoutumance à l'égard de l'avortement légalisé, qui apparaît finalement comme une chose légitime et sans gravité", débouchant sur une tentative rampante pour faire de l'avortement un véritable droit humain. "Même l'euthanasie, pour la culture dominante, est présentée comme un "libre choix de poursuivre ou d'interrompre sa vie." "Au point que se développe également l'hypothèse d'une euthanasie qui ne serait pas requise par le sujet, mais qui serait pratiquée par un autre qui constaterait que les conditions de vie sont devenues trop mauvaises ou indignes pour être vécues. "L'allégation de la liberté individuelle, a déclaré le cardinal Ruini, est également à la base du testament de vie : "je décide quelle sera ma fin à venir, mais je décide non seulement pour moi, je contrains les autres, les médecins en premier lieu, à se comporter en fonction de ma décision. "Ce qui figure dans" Evangelium Vitae ", a déclaré le cardinal, constitue une doctrine très claire et très forte qui donne de nettes indications sur la législation qui s'y rapporte." "Le commandement  "Tu ne tueras pas" a une "valeur absolue, et le meurtre d'une personne innocente est toujours gravement immoral", lit-on par exemple dans l'encyclique où Jean-Paul II confirme que l'euthanasie, par action ou par omission, constitue une violation grave de la loi divine." En résumé, "la légalisation de l'avortement et de l'euthanasie n'est jamais licite» et l'objection de conscience à l'égard de ces lois "est un droit fondamental." "Ils semblent venir d'une autre planète - dénonce le cardinal Ruini - ces comportements politiques de nombreux politiciens qui se déclarent catholiques, mais qui sont favorables à des législations qui consacrent le droit à l'avortement et à l'euthanasie ".

    L'Assemblée de « one of us »

    À l'occasion de ces journées a lieu également la première coordination effective des 28 comités des associations pro-life qui soutiennent la pétition internationale "One of us" (27 pays de l'UE + la Croatie, qui va entrer dans l'UE le 1er juillet).

  • L’étrange regard d’un philosophe, ou l’arroseur arrosé

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    Nous avons déjà fait écho ici :  « Il faut purifier la sphère du débat public » à la chronique du professeur Haarscher (ULB) récemment publiée par « La Libre » : http://www.lalibre.be/debats/opinions/article/821501/les-mots-ne-veulent-vraiment-plus-rien-dire.html ) . Dans les lignes qui suivent, M. Mutien-Omer Houziaux, un ami lecteur assidu de ce quotidien,  nous fait part  de sa réaction circonstanciée :

    « Dans une récente chronique (LLB, 12 juin 2013), le professeur Guy Haarscher s’emploie à dénoncer ce qu’il considère comme de dangereux détournements lexicaux. À le lire, les « adversaires » de sa libre-pensée useraient, dans leur apologie du passé, d’un langage en quelque sorte volé aux courants « progressistes ».

    Les mots ne veulent vraiment plus rien dire : que ce titre ait été choisi par l’auteur de l’article ou par le quotidien qui accueille sa prose, on n’en pourrait trouver de meilleur pour couler le frêle esquif dans lequel M. Haarscher s’est témérairement embarqué. Le philosophe brandit l’étendard du « mariage pour tous ». Jusqu’il y a seulement une dizaine d’années, et depuis des temps immémoriaux, et sous toutes les latitudes, le mariage n’a jamais été « pour tous », et le Robert comme le Larousse, qui se contentent d’enregistrer l’usage[1] (et de faire fonctionner la caisse enregistreuse), ne changeront rien au fait que le slogan cité devrait, pour proclamer non l’égalité mais l’identité des sexes, en engendrer bien d’autres : pourquoi pas « un utérus pour tous » ou « un hermaphrodisme pour tous » ? Si l’on en croit le même penseur, une « loi au pedigree démocratique » devrait débarrasser « la rue » de tout mouvement protestataire. La démocratie serait-elle  infaillible ! Aurait-il échappé à l’éminent penseur que, de tout temps, pour de mauvaises mais aussi de bonnes raisons, les citoyens ont manifesté contre des lois dûment votées ? La gauche (forcément « progressiste ») dans la rue, oui ; la droite (forcément bêtement réac), non : logique grégaire pour discours racoleur.

    M. Haarscher subordonne les droits DE l’enfant à un droit À l’enfant, en totale contradiction avec la Convention relative aux droits de l’enfant (ONU, 1989), laquelle souligne notamment « le droit [de l’enfant] de connaître ses parents et d’être élevés par eux » ; ce n’est tout de même pas un hasard si tant de personnes ballottées par les guerres, les exodes ou d’autres aléas de l’existence déploient des efforts considérables pour retrouver et connaître leurs racines, quelques excellents soins supplétifs dont elles aient pu bénéficier. Au lieu de rabaisser la famille nucléaire à un « image d’Épinal », et de dénoncer assez stupidement « la misère affective que cache souvent l’honorable façade bourgeoise »,  les (p)artisans du « mariage pour tous » seraient bien avisés de s’interroger sur la légitimité de se livrer à d’invraisemblables contorsions sémantiques. En la matière, il semble bien que le pivot où s’articulent les néologismes cache-misère du politiquement correct, soit le concept de parentalité. Celui-ci est voué aux pires tortures sémantiques, à la faveur d’une prétendue (et envahissante) théorie du genre (angl. gender) : ni papa, ni maman, mais parent 1 et parent 2. Du coup, une pseudo-légitimité est accordée à des créations lexicales farfelues, étymologiquement monstrueuses, comme homoparentalité, monoparentalité.

    Comme je l’ai souligné dans un essai intitulé À contretemps. Regards Politiquement incorrects (Mols, 2010), la bioéthique offre un champ d’étude particulièrement fertile à qui se proposerait d’écrire un Petit précis contemporain de cancérologie lexicale.

    Un dernier exemple. Pour la plupart des Belges, la mort par euthanasie est une mort provoquée, donc non naturelle. Pas aux yeux de la Loibelge de 2002 sur l’euthanasie ! En son art. 15, ladite loi contraint le médecin qui euthanasie à faire état d’une mort naturelle, donc à mentir, et ceci afin de ne pas compromettre « l’exécution des contrats auxquels elle [la personne euthanasiée] était partie, en particulier des contrats d’assurance ». C’est sans doute une des observations (Revue générale, janvier 2013) qui m’auront valu d’un Prix Nobel une violente réplique rédigée quelques jours avant son décès-manifeste (Revue générale, mars 2013).

    En conclusion,  M. Haarscher a raison, mais, apparemment, sans savoir vraiment pourquoi ! Quoi qu’en soit, on est bien d’accord, lui et moi : « Les mots ne veulent vraiment plus rien dire. »

    Mutien-Omer Houziaux.


    [1] Ces deux dictionnaires ont déjà adopté une nouvelle définition du mot mariage...

  • Dimanche 16 juin : célébration de l'Evangile de la Vie en direct de Rome sur KTO

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    Dimanche 16 juin 10h30
    Direct de Rome

    L'Evangelium Vitae

    Dans le cadre de l'Année de la foi, le dimanche 16 juin sera consacré au témoignage de l'Évangile de la vie, pour la promotion de la vie humaine et la défense de la dignité de la personne, de sa conception à sa mort naturelle.

    Le Pape François présidera la messe du dimanche 16 juin à 10h30, à voir en direct sur KTO, avec le "peuple de la vie", et délivrera un message aux personnes malades.

    Un direct à voir sur KTO dimanche 16 juin à partir de 10h30, et à revoir ensuite sur notre site Internet, en cliquant ici.
  • Italie : l'objection de conscience menacée

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    Les associations familiales protestent (Zenit.org)

    « L’objection de conscience, invoquée pendant des générations comme un droit inaliénable est tout à coup devenue facultative », déplore le président du Forum des associations familiales italiennes, Francesco Belletti.

    Après le dépôt d’une motion demandant au gouvernement italien d’intervenir face au nombre croissant de gynécologues italiens objecteurs de conscience, refusant de pratiquer les interruptions volontaires de grossesse, Francesco Belletti s’insurge et déclare : «  Entre le refus de faire son service militaire et la proposition du président Vendola d’autoriser les médecins à ne pas déclarer les immigrés clandestins soignés par eux, l’objection de conscience a toujours existé et a toujours été partagée par la gauche culturelle et politique. Or aujourd’hui, arrive une motion qui veut enlever la possibilité au personnel sanitaire de faire objection de conscience dans le cas des avortements ».  

    Il rappelle qu’en Italie « l’objection de conscience est prévue par la loi 194, protégée par une sentence de la cour constitutionnelle, par des traités internationaux et par le droit de l’Union européenne, et qu’il sera difficile de démontrer qu’il ne s’agit pas d’un droit consolidé ».

    Depuis la loi 194 de 1978, l'interruption volontaire de grossesse (IVG) est en effet légale en Italie, mais prévoit le droit à « l'objection de conscience » des médecins, lesquels peuvent donc refuser d'accomplir un acte médical pour des raisons personnelles, religieuses ou morales.

    Selon les dernières statistiques rendues publiques par le ministère italien de la santé, plus de 70% des gynécologues, et 50% des anesthésistes, invoquent cette clause de conscience pour refuser de pratiquer l'avortement.

    « L’arrogance de certains milieux politiques paraît sans fin, a déclaré le président des associations familiales. « D’un côté  on voudrait étendre les droits civils au droit présumé des homosexuels à avoir accès à un simili mariage et de l’autre on voudrait effacer un vrai droit, un droit proclamé et reconnu en Italie et en Europe, comme celui du droit, pour le personnel soignant, à ne pas participer à des interruptions volontaires de grossesse ».

    « Mais le plus incroyable, ajoute-t-il, c’est que personne, à aucun moment, ne cherche à connaître les raisons qui poussent plus de 70% des gynécologues  à ne pas vouloir pratiquer d’avortements », relève encore Francesco Belletti.

    Et de répondre en soulevant deux questions : « Ne serait-ce pas lié à tout ce qu’ils « voient » dans les blocs opératoires ? Au fait qu’ils ne veulent pas trahir leur conscience et la promesse qu’ils ont faite en prononçant le serment d’Hippocrate qui dit « non » à l’élimination d’un être humain ? »

    Traduction d'Océane Le Gall

  • Cette semaine sur EUTHANASIE STOP - 12/06/2013

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    • Testament de vie...

    Publié par Nathalie de SMET d'OLBECKE (Mère de famille)
    Lire « Testament de vie... »

    • Une société forte ne laisse pas tomber les faibles

    Publié par Daniel TURIEL (Directeur d'une ONG)

    Lire « Une société forte ne laisse pas tomber les faibles »

    • A ceux qui restent...au revoir !

    Publié par Janine ARNOLD (Infirmère retraitée)
    Lire « A ceux qui restent...aurevoir ! »

    Découvrez nos autres articles en Néerlandais :

    • Hij haalt Lazarus uit het graf...

    Publié par Luc Van LOOY (Bisschop)
    Lire « Hij haalt Lazarus uit het graf... »

    • Ethische goeroes.

    Publié par Dr Georges CASTEUR (Huisarts, Oostende)
    Lire « Ethische goeroes. »

  • Beati pauperes, sed etiam…

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    dom-louis-marie-copie.jpgExtrait de la dernière Lettre du Père Abbé Dom Louis-Marie aux amis de l'abbaye Sainte-Madeleine du Barroux :

    « (…) Bienheureux les doux ! Oui, bienheureux ceux qui agissent en respectant la nature des choses. Ils cherchent l’harmonie entre le ciel et la terre, entre l’âme et le corps, entre l’homme et la femme. Bienheureux celui qui, respectant l’altérité féconde, participe au mystère de l’unité. Bienheureux sont-ils car ils posséderont la terre de leur corps, de leur famille et de leur cité. Maudits au contraire les dictateurs qui forcent la nature à main levée. Qui sème la violence récoltera le chaos.

    Bienheureux ceux qui pleurent l Oui, bienheureux ceux qui voient le mal en face et qui en sont émus jusqu’au fond de leur conscience. Ils sont capables de dire « non » avec force et sont capables de prendre des coups. Bienheureux ceux qui pleurent à cause des gaz lacrymogènes, car ils seront consolés par la suavité de la mission accomplie et par ces paroles de Dieu : « Entre dans la joie de ton Maître l » Maudits les insensibles au bien et au mal, surtout quand il touche les plus petits, car tous les sophismes ne suffiront pas à calmer le feu éternel de leur conscience.

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  • Un de nous : mobilisation urgente pour protéger l'embryon en Europe

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    Chers amis,

    En Europe, les citoyens se mobilisent pour faire signer l’Initiative Citoyenne Européenne UN DE NOUS. L’enjeu : stopper le financement par l’Union européenne des programmes conduisant à la destruction d’embryons humains. En réunissant 1 million de signatures, la Commission européenne aura l’obligation de reconsidérer le financement de la recherche sur l’embryon et de tout programme menaçant l’être humain dès sa conception. Déjà plus de 20 000 signatures en France : Bravo ! Mais il reste beaucoup à faire, mobilisons-nous :
    OBJECTIF 60 000 SIGNATURES D'ICI CET ETE
     
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    L’Initiative Citoyenne Européenne est un nouvel instrument de démocratie participative pour les citoyens européens, avec des modalités légales de signature précises et encadrées. Il ne s’agit pas d’une simple pétition.

    La question est sensible en Europe : le budget européen de la recherche, en cours de négociation pour la période 2014-2020, crée des tensions éthiques entre les Etats membres. Plusieurs d’entre eux sont amenés à subventionner ces recherches, alors même qu’elles sont interdites par leur législation interne. 

    En France l’enjeu est brûlant d’actualité : le gouvernement vient de marquer sa volonté de faire voter avant cet été une proposition de loi visant à autoriser la recherche sur l’embryon. En signant UN DE NOUS, nous envoyons un signal fort d’opposition à cette dérive éthique majeure.

    Alliance VITA, la Fondation Jérôme Lejeune, les Associations Familiales Catholiques et le Comité Protestant évangélique pour la Dignité Humaine, unissent leurs forces pour recueillir les signatures des citoyens qui veulent se faire entendre. Il en va du respect de la dignité de chaque être humain.

    Voir Toutes les informations sur le site Undenous.fr : des conseils pour signer, des arguments, des articles d’actualité…
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  • L'avortement est-il devenu un droit ?

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    Source : Bulletin de l'Institut Européen de Bioéthique

    L’avortement est-il devenu un droit ?

    Se joignant aux autres partis politiques, le cdH (Georges Dallemagne) et le CD&V (Roel Desyn) viennent de co-signer le texte de la Résolution relative à la santé et aux droits sexuels et reproductifs dans le cadre des « Objectifs du Millénaire post-2015 », déposée par Karine Lalieux et consorts.

    On y lit notamment que  les signataires considèrent l’avortement comme étant un droit : « l’accès aux moyens contraceptifs ainsi que le droit à l’avortement font partie intégrante des droits sexuels et reproductifs » (p. 12, point V des considérations).

    Cette Résolution engage le gouvernement à différents niveaux et l'invite notamment à « initier un débat, tant au niveau européen qu’international, sur le mode d’adoption de ces objectifs de développement afin d’éviter que, sous la pression d’une minorité de blocage, toute évolution en termes de droits sexuels et reproductifs ou d’égalité des sexes ne soit bloquée. » (p. 13, point 5)

  • Rome, 15-16 juin : le respect de la vie au coeur d'un évènement célébré avec le pape

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    Deux journées pour célébrer la vie
    Zenit.org
    Les « Journées Evangelium vitae », organisées les 15 et 16 juin 2013 à Rome, dans le cadre de l’Année de la foi, réuniront tout le « peuple de la vie » autour du pape François. Mgr Pierre d’Ornellas, donnera une catéchèse en français.

    Mgr Rino Fisichella, président du Conseil pontifical pour la promotion de la nouvelle évangélisation et Mgr José Ruiz Arenas, secrétaire du dicastère, ont présenté cet évènement ce mardi matin, 28 mai 2013, au Vatican.

    L’initiative, intitulée « En croyant, qu’ils aient la vie » célèbrera « l’engagement de l’Eglise dans la promotion, le respect et la défense de la dignité de la vie humaine », en hommage à « tous ceux qui se consacrent à "l’Evangile de la vie" », a expliqué Mgr Fisichella.

    Au programme notamment, un pèlerinage au Tombeau de saint Pierre, samedi 15 juin de 14h à 17h et des catéchèses en diverses langues, dans la matinée du même jour. Parmi les intervenants, le cardinal Camillo Ruini, vicaire général émérite du pape pour Rome, donnera la catéchèse en italien, le cardinal Raymond Burke, préfet de la Signature apostolique, en anglais, Mgr Pierre d’Ornellas, archevêque de Rennes, en français, et Mgr Zygmunt Zimowski, président du Conseil pontifical pour la pastorale de la santé, en polonais.

    Samedi soir, à 20h30, une procession aux flambeaux silencieuse, "en l’honneur de la vie humaine et de sa valeur intangible", partira via de la Conciliazione pour rejoindre la place Saint-Pierre où seront donnés des témoignages.

    Le lendemain, le pape présidera la messe du dimanche 16 juin à 10h30, avec le « peuple de la vie » et délivrera un message aux personnes malades, a indiqué l’archevêque.

    Divers groupes, familles, diocèses, ordres religieux, organismes humanitaires, ont annoncé leur participation, d’Italie, des Etats-Unis, d’Allemagne, du Japon, d’Hongrie, de Roumanie, d’Espagne, de France, du Canada, de Nouvelle-Zélande, d’Argentine, de Grande-Bretagne, de Belgique, de Slovaquie, du Costa Rica, du Portugal et d’Australie.