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Persécutions antichrétiennes - Page 149

  • Pétitionner pour sauver Asia Bibi

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    Plus de 580.000 du monde entier ont signé une pétition demandant au gouvernement pakistanais de relâcher Asia Bibi, la jeune femme chrétienne condamnée à mort injustement pour blasphème. Les défenseurs de la jeune femme ont porté l’affaire en appel devant la Haute Cour de Lahore. Le cas est devenu un symbole des persécutions subies par les chrétiens au Pakistan et des abus de la loi sur le blasphème.

    La pétition en ligne a été lancée par l’organisation « Voice of Martyrs » (VOM) ayant son siège aux Etats-Unis et est encore disponible sur le site Internet www.CallForMercy.com. L’organisation l’avait lancé après que, voici un an, environ 150.000 chrétiens pakistanais aient commencé à recueillir des signatures, demandant justice pour Asia Bibi et une plus forte protection des minorités religieuses au Pakistan.

    Les signatures, indique VOM à Fides, sont parvenues de plus de 100 pays du monde et d’autres associations chrétiennes des cinq continents ont appuyé la campagne. Les signatures ont été présentées à l’Ambassade pakistanaise à Washington DC mais leur recueil se poursuit, pour parvenir à un million d’adhésions.

    Selon des fonctionnaires pakistanais, il est bon de laisser le cas suivre son cours au plan légal : la sentence de la Cour d’Appel et éventuellement celle de la Cour Suprême et finalement la possibilité d’un recours direct au Président du Pakistan. Ainsi que le notent des sources de Fides, les ONG qui s’occupent de la jeune femme constatent cependant que ses conditions de santé en prison empirent et que « le temps presse si l’on veut la sauver ». (PA) (Agence Fides 01/02/2012)

  • Les martyrs d'Angers

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    Fêtés aujourd'hui : Guillaume Repin et ses compagnons.

    Source : "Ut pupillam oculi"

    "Guillaume Repin naquit à Thouarcé ( aujourd'hui dans le Maine-et-Loire ), le 26 août 1709. ll entra à dix-neuf ans au séminaire d' Angers et fut ordonné prêtre. De 1734 à 1749, il exerça son ministère sacerdotal à la paroisse de Saint-Julien d' Angers, puis fut nommé curé à Martigné-Briand. et devint chanoine. Il fut aimé de ses paroissiens pendant ses longues années de service. Tout allait changer avec la révolution : au début les changements furent vécus dans un calme relatif ; mais lorsque. la constitution civile du clergé fut votée en 1791, la situation empira.

    Certains curés - les jureurs - prêtèrent serment; d' autres - les réfractaires - refusèrent et durent vivre dans la clandestinité. Le vieux chanoine Repin, lorsque le maire de Martigné-Briand vint lui réclamer les clefs de l' église et lui faire signer le document le 10 février 1791, refusa de s'exécuter. Il partit se réfugier à Angers; mais les désordres y faisaient des ravages. Il fut arrêté, le 17 juin 1792, et emprisonné, avec un grand nombre de prêtres réfractaires de la région, au séminaire transformé en prison.

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  • Des nouvelles des chrétiens de Syrie

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    Source : legrandsoir.info

    "Chers amis, en ce jour où nous célébrons la fête majeure de notre communauté, celle de l’Unité, notre coeur est dans l’amertume mais non sans lever les yeux au ciel d’où vient tout secours.

    Notre vision s’éclaircit petit à petit : elle perce le mur inexpugnable de la désinformation. La réalité n’est pas binaire comme on nous l’assène. Elle est complexe. Les chrétiens de Syrie ont-ils encore une place au sein de la destabilisation entamée d’une société composite ? Le sort de la Syrie sera-t-il calqué sur celui de l’Iraq ? Nous ne savons pas. Nous prions...
    Ne nous oubliez pas !

    Pour mémoire et pour l’histoire :

    Les chrétiens du diocèse de Homs, Hama et Yabroud sont intégrés au tissu social comme des citoyens à part entière. Avant les évènements qui ensanglantent la Syrie il était inconvenant de décliner sa confession religieuse. Aujourd’hui il n’en est plus ainsi. Le conflit qui s’instaure est passé d’une réclamation populaire de liberté et démocratie à une révolution islamiste. Le vendredi 20 janvier le slogan fatidique a été brandi par les comités de coordination de la révolution : « le peuple veut déclarer le Jihad ! ». Jusqu’à présent nous n’avons pas fait état d’une « persécution » directe qui frapperait les chrétiens. Ils étaient englobés dans les sévices ciblant la population participant à la vie civile. Mais il semble que la donne commence à changer. Comme si la tendance qui couvait devenait dorénavant une consigne. Le futur le dira. Toujours est-il que nous portons à votre connaissance diverses agressions désormais franchement antichrétiennes :

    1- Aujourd’hui 25 janvier le Père Basilios Nassar, curé grec orthodoxe du village de Kafarbohom, province de Hama, a été abattu par des insurgés alors qu’il venait en aide à un homme agressé par les insurgés dans la rue Jarajima de Hama. C’est la première fois, depuis l’insurrection, qu’un prêtre est la cible de la violence aveugle qui est devenue l’arme redoutable d’une insurrection de plus en plus manipulée...

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  • Un pasteur dénudé, frappé et humilié par des radicaux hindous

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    Source: Agence Fides

    Bangalore – Battu, dénudé, humilié et tourné en dérision en public pendant des heures attaché à un poteau. C’est le sort qui a échu au pasteur protestant Chandrakanth Kalappa Chavan (27 ans) qui appartient à la communauté évangéliste « New Life Fellowship », victime de violences inouïes de la part d’une foule d’extrémistes hindous à Haliyal, une ville du district d’Uttara Kannada, dans l’Etat indien du Karnataka (sud de l’Inde). De surcroît, le pasteur a été arrêté par la police et se trouve en prison sur la base d’accusations jusqu’ici inconnues.

    L’épisode, qui a eu lieu le 24 janvier dernier et est rapporté à l’Agence Fides par des sources locales, est intervenu après une rencontre de prière qui s’était déroulée au domicile d’une chrétienne. La rencontre a été interrompue par un groupe d’environ 20 militants du mouvement radical hindou « Rashtriya Swayamsevak Sangh » (RSS, qui se traduit pas Corps national des volontaires NDT), qui ont fait irruption dans la maison et insulté les participants. Les militants ont ensuite commencé à frapper le pasteur Chandrakanth. Ils se sont saisis de lui, l’ont dépouillé de ses vêtements et porté en procession nu dans tout le village, l’attachant à un arbre et le tournant en dérision pendant des heures jusqu’au soir. Ils ont ensuite appelé la police qui a arrêté le pasteur et un autre fidèle. L’ONG « Global Council of Indian Christians » a envoyé un avocat afin de connaître le contenu des accusations portées contre les deux chrétiens et pour les faire relâcher. « Le pasteur a été maltraité comme la foule a fait avec Jésus » note une source locale de Fides, stigmatisant la violence contre les chrétiens.
    Selon un récent Rapport de l’ONG « Catholic Secular Forum » les persécutions contre les chrétiens en Inde sont en augmentation. En 2011, plus de 2.000 cas ont été recensés et le Karnataka se trouve en tête de la liste avec plus de 1.000 attaques contre les chrétiens au cours de l’année de référence soit une moyenne de 3 à 5 attaques par jour. (PA) (Agence Fides 27/01/2012)

  • Les catholiques de Bosnie-Herzégovine discriminés

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    Zenit.org : Bosnie-Herzégovine: La discrimination des catholiques, par le card. Puljic

    "L'archevêque de Sarajevo évoque les difficultés de l'après-guerre

    En Bosnie-Herzégovine, l’Eglise catholique ne représente plus aujourd’hui que 10% de la population. Face à l’islamisation croissante du pays, divisé en deux entités politiques distinctes depuis la fin du conflit yougoslave en 1995, les catholiques, discriminés, se sentent trahis par le gouvernement et par la communauté internationale, estime le cardinal Puljic, dans un entretien téléphonique avec l’Aide à l’Eglise en Détresse.

    S’il affirme travailler en bonne entente avec le Grand mufti et avec les autres responsables religieux, l’archevêque de Sarajevo, le cardinal Vinko Puljic, avertit que la solution est d’abord politique. Il faut créer, dit-il, « une entité politique unique, qui garantisse l’égalité des droits et assure le respect de la liberté religieuse »

    « Nous, catholiques, nous voulons continuer à espérer dans l’avenir et à travailler pour créer un climat de confiance, de réconciliation et de tolérance », déclare le cardinal Puljic qui raconte les conditions de vie difficiles des catholiques en Bosnie-et-Herzégovine, parce que « systématiquement discriminés ».

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  • Nigeria : conflit religieux et social

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    De Pierre-François Yves, dans « Valeurs Actuelles » ( Extraits) :

     (…) Pays le plus peuplé d’Afrique (160 millions d’habitants), État fédéral composé de 36 États, le Nigeria n’a jamais connu d’année sans violences ethniques ou religieuses depuis son indépendance vis-à-vis du Royaume- Uni, en 1960. Ces tensions sont une constante de son histoire récente. Le géant démographique et économique de l’Afrique est coupé en deux : le Sud, à majorité chrétienne ; le Nord, dominé par les musulmans.

    Symbole de ce mélange religieux, la capitale administrative, autrefois à Lagos (Sud), a été déplacée en 1991 à Abuja (Centre), ville qui a été la cible d’un nouvel attentat antichrétien à Noël. L’un des problèmes majeurs est que le Sud abrite la quasi-totalité de la richesse pétrolière, qui fait du Nigeria le premier producteur d’Afrique, lieu privilégié pour les investisseurs étrangers, dont la France.

    L’année 2011 a été marquée par un crescendo des violences antichrétiennes (plus d’une centaine de morts), orchestrées par la secte islamiste Boko Haram, auteur de l’attentat suicide perpétré contre le siège de l’Onu en août 2011 (25 morts).

    Boko Haram menace d’amplifier cette année ses attaques contre les églises, les écoles et les commerces tenus par des chrétiens.

    Le gouvernement du président Goodluck Jonathan  un chrétien du Sud, a décrété l’état d’urgence dans les zones les plus sensibles, au nord-ouest et au centre-est du pays. En représailles, menaçant d’affronter l’armée nigériane, un porte-parole de Boko Haram a fixé un ultimatum aux chrétiens pour les forcer à quitter le nord du pays. La menace a provoqué un déplacement important de population, accélérant le phénomène d’“épuration ethnique” dont sont victimes les minorités chrétiennes du Nord.

    L’Association chrétienne du Nigeria – Christian Association of Nigeria, (CAN), regroupant des protestants et des catholiques – a décidé de se défendre. Le pasteur Ayo Oritsejafor, son dirigeant,accuse les gouverneurs des États du Nord de rester inactifs « face à ces tueries insensées ». Les responsables chrétiens dénoncent « un nettoyage ethnique et religieux systématique », soutenus par le Prix Nobel de littérature nigérian, Wole Soyinka : « Le pays se dirige vers une nouvelle guerre civile. »

    La précédente, entre 1967 et 1970 – la guerre du Biafra, du nom d’une province sécessionniste du Sud –, causa la mort de trois millions de personnes.(…)

    Originaire du Sud, Jonathan était parvenu au pouvoir à la faveur du décès de son prédécesseur, le Nordiste Umaru Yar’Adua, en 2010. Il fut largement réélu en avril 2011, réunissant 57 % des suffrages, mais une partie de son mouvement souhaitait que la présidence revienne plutôt à un Nordiste, argumentant que le mandat de Yar’Adua avait été écourté. Affaibli, Jonathan peut compter sur le soutien des Occidentaux (notamment la France et les États-Unis).

    Boko Haram ne lui laissera aucun répit. Né en 2002 dans une mosquée de Maiduguri (nord-est) de la volonté d’un prêcheur, Mohammed Yusuf, ce mouvement porte un nom dont la signification a valeur de programme : “L’enseignement occidental est impur”. Boko Haram dénonce la Constitution nigériane, calquée sur les valeurs de l’Occident, et réclame l’instauration de la charia dans tout le pays, au-delà des dix États du Nord qui l’ont déjà adoptée. (…)

    La secte a compris qu’il lui fallait attiser les rivalités religieuses pour forcer le gouvernement à faire des concessions. Jouant sur les difficultés économiques du Nord, Boko Haram cherche à négocier une nouvelle répartition des revenus de l’État basés sur le pétrole. Actuellement, 13 % des revenus pétroliers sont redistribués aux neuf États producteurs et le reste est distribué selon le bon vouloir de l’État fédéral.(…)

    Tout l’article ici : Terreur islamiste au Nigeria

     

     

  • Pakistan : une blogueuse musulmane prend la défense de chrétiens malmenés

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    Source : Agence Fides

    Une intellectuelle et blogueuse musulmane s'est activée afin de défendre les enfants chrétiens maltraités dans le cadre d'un épisode qui a récemment secoué la communauté chrétienne de Karachi, la capitale du Sindh. Ces jours derniers, un groupe de quatre musulmans a attaqué une église chrétienne pentecôtiste dans la New Colony Mianwali de Manghopir (quartier de Karachi), a giflé les enfants, saccagé l'église, endommagé les objets du culte et piétiné les Bibles, rendant inutilisables les systèmes d'amplification. Selon les agresseurs, provenant d'une mosquée des environs, « les chants des enfants chrétiens troublaient leur prière ».

    « La communauté chrétienne locale n'a pas voulu porter plainte - explique à Fides un chrétien, représentant local de l'APMA (All Pakistan Minorities Alliance) - par crainte de rétorsions. L'attaque a épouvanté la communauté au point que toutes les nouvelles églises de la zone sont demeurées fermées pendant quelques jours. Ce sont surtout les enfants qui sont terrorisés ».

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  • Au Karnataka, 2012 a mal commencé pour les chrétiens

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    Inde, un groupe de Chrétiens agressés par des hindous radicaux.
    Une agression survenue dans une maison privée, sur le territoire de Karnataka

    (Michelangelo Nasca du Vatican Insider, trad. par B.T.)

    Une bande de radicaux hindous armés de bâtons et de barres de fer, a fait irruption chez des privés à Anekal près de Bangapore pour agresser un groupe de chrétiens pentecôtistes accusés, selon les nationalistes de l’Hindutva, de prosélytisme et de conversions forcées.  Parmi les fidèles pris d’assaut, le pasteur Srirangam Shanthakumar de l’Agape Church, a perdu un doigt de la main gauche, tandis que deux autres personnes ont été blessées aux jambes et à la tête.  Le président du « Global Council of Indian Christians (GCIC) » Sajan K George rapporte sur AsiaNews : « une agression aussi grave et injustifiée contre d’innocents chrétiens est une sérieuse violation des droits humains et de la liberté religieuse.  Pour la minorité chrétienne de Karnataka, 2012 a commencé à l’enseigne de la terreur ».

    L’attaque contre les Chrétiens de Anekal est la seconde infligée par des hindous radicaux. Le premier janvier, 20 activistes du Bajrang Dal ont été obligés d’interrompre un moment de prière dans la  Blessing Youth Mission Church.  En cette circonstance le pasteur Siddu Seemanth Gunike a été frappé et accusé d'avoir voulu convertir par la force des hindous.

    Les autorités locales et la commission pour les minorités de Karnataka semblent ne pas prendre au sérieux les agressions envers la communauté chrétienne. Un de leur représensants a en effet déclaré : « s’ils connaissaient vraiment les enseignements de Jésus, les chrétiens ne devraient pas se plaindre » comme pour rappeler à mauvais escient la phrase de Jésus « tend l’autre joue ».

    « Outre les violences physiques, les Chrétiens doivent subir d’ultérieures humiliations de la Commission d’Etat pour les minorités.  La sécurité des Chrétiens de Karnataka est toujours précaire ». Ceci ne semble pas de bon augure pour 2012. Ainsi conclut le président du GCIC."

  • Chronique quotidienne des chrétiens persécutés

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    Jour après jour, l'Agence Fides nous informe de la situation des chrétiens persécutés. Aujourd'hui encore, les nouvelles se suivent et se ressemblent, malheureusement.

  • Quand deux évêques de Chine sont proclamés "hommes de l'année"

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    C'est Sandro Magister, sur son site, qui attire l'attention sur la Chine qui détient de sinistres où deux évêques sont emprisonnés en raison de leur foi :

    "...La Chine est un pays qui détient de nombreux records, dont un qui est emblématique : c’est le seul pays au monde où deux évêques sont emprisonnés en raison de leur foi. On ne sait plus rien à leur sujet, depuis 14 ans pour l’un et depuis 11 ans pour l’autre.

    Le Saint-Siège n’a jamais protesté au grand jour contre ce fait et il n’a jamais réclamé publiquement leur libération.

    Mais l'agence de presse en ligne de l’Institut Pontifical des Missions Étrangères, "Asia News", spécialiste de la Chine et très lue dans ce pays, a décidé ces jours-ci d’attribuer précisément à ces deux évêques le titre d’"homme de l’année".

    Il est bon de dire toute la vérité à propos de ce pays qui, dans un avenir proche, sera la nouvelle superpuissance mondiale.

    On peut lire ci-dessous l'éditorial par lequel le directeur d’"Asia News" a rendu hommage à ces évêques qui se sont sacrifiés pour la vérité et pour la liberté.

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  • Nigéria : une épuration ethnique et religieuse ?

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    Certains n'hésitent pas à voir dans les évènements actuels au Nigeria les prémices d'une guerre civile voire d'un génocide comme ce pays en a connu de 1967 à 1970 lors de la guerre du Biafra (un million de morts).

    "Les leaders chrétiens du Nigeria qualifient de « nettoyage ethnique et religieux systématique » le meurtre de dizaines de chrétiens attribué à un groupe islamiste ces dernières semaines dans le nord du pays. Hier encore, des centaines d'habitants ont fui leurs habitations dans après une nouvelle attaque. Les islamistes du mouvement Boko Haram multiplient les violences après l'expiration d'un ultimatum pour que les chrétiens quittent cette région..."

    Voir la suite ici : http://www.ladepeche.fr

  • La religion la plus persécutée au monde...

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    Les évènements qui se déroulent actuellement au Nigeria (7 morts hier dans un attentat contre une église) confirment les constatations qui suivent.

    JOL press :

    Corée du Nord, Afghanistan, Arabie Saoudite, Somalie et Iran. Dans le classement 2012 de l’Index mondial de la persécution des Chrétiens dans le monde, ces cinq pays arrivent en tête. Au fil de ses deux mille ans d'histoire, le christianisme et les Chrétiens ont toujours été, par endroits, persécutés. Aujourd’hui, les violences, intimidations et discriminations que subissent certains Chrétiens dans plusieurs pays du monde, connaissent une recrudescence et semblent en passe de réveiller l’opinion publique, pratiquante ou pas.

    Parmi les associations qui viennent au secours de ces victimes, l’Organisation non gouvernementale Portes Ouvertes est engagée dans ce combat depuis 1976. Son président, Michel Varton, constate, depuis sa création, les souffrances qui sont infligées à des communautés entières, aux quatre coins du monde. Malgré un bilan 2012 peu optimiste, Michel Varton en est convaincu :  « Vivre libre n’est jamais sans espoir ». Rencontre avec un homme qui a foi dans l'évolution du monde...

    Lire la suite : les-chretiens-sont-les-plus-persecutes-au-monde