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Persécutions antichrétiennes - Page 145

  • Pakistan : le martyre des chrétiens ne connaît pas de répit

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    C'est sur Zenit.org :

    "Une « martyre de la foi » c’est le titre que la communauté catholique de Faisalabad, au Pakistan, a déjà conféré spontanément à une jeune fille tuée le 27 novembre : Mariah Manista, une « Maria Goretti » qui a refusé de renier le Christ.

    Son histoire tragique est rapportée à Rome notamment par l’agence vaticane Fides. La mission du Saint-Siège à l’ONU  lui rend hommage sur son site en ligne.

    Mariah Manista était une jeune catholique de 18 ans, des environs de Faisalabad, tuée le 27 novembre par un musulman de 28 ans, Arif Gujjar, toxicomane, et fils d’un riche propriétaire terrien, précise AsiaNews.

    Il voulait l’épouser et il l'a enlevée alors qu’elle allait puiser de l’eau avec sa mère, Razia Bibi, en les menaçant d’un pistolet. Comme elle refusait ses avances, il l’a tiré sur elle puis il a caché le corps, retrouvé plus tard par le père de la jeune fille, Mansha Masih, selon la même source.

    Le P. Zafal Iqbal, curé de Khushpur, où vit la famille de la jeune Mariah, confirme à Fides que « la jeune fille a résisté », qu’« elle n'a pas voulu se convertir à l'islam », refusant « d’épouser l'homme qui, pour cette raison, l'a tuée : il s'agit d'une martyre ».

    Le cas a été porté par le P. Iqbal devant la Commission Justice et Paix et devant l'évêque de Faisalabad, Mgr Joseph Cutts.

    « Le coupable a été arrêté et la police mène l'enquête. Espérons que la justice soit rendue alors que la communauté est triste et déconcertée » remarque le P. Iqbal.

    Un autre cas de persécution anti-chrétienne dans le Pendjab, est celui de Rehmat Masih, catholique de 72 ans, de Faisalabad, libéré voici une semaine, après deux ans de réclusion et de souffrances effroyables, conséquences d’une fausse accusation de blasphème, déplore Fides.

    Parmi d’autres cas, « Eglises d’Asie », l’agence des Missions étrangères de Paris, dénonce celui d’Akram Masih, un catholique militant contre les expropriations des chrétiens par les propriétaires terriens musulmans, abattu dans le district d’Okara, au Pendjab, dans la nuit du 23 au 24 novembre.

    Shahbaz Masih, un jeune chrétien a été tué par des musulmans à Kasur. Son père, Javed Masih, vient de parvenir déposer une plainte officielle (First Information Report) et maintenant, il demande à ce que justice soit faite, toujours selon Fides.

    Fides explique aussi que, par nécessité économique, les familles chrétiennes les plus pauvres envoient souvent leurs enfants mineurs travailler comme domestiques auprès de familles musulmanes. Là, les jeunes subissent des abus et des mauvais traitements comme cela est arrivé à Rebecca Bibi (pseudonyme), 12 ans, de Lahore, qui est revenue chez elle couverte d’ecchymoses et de blessures. Ces proches l’ont emmenée à l’hôpital et ils ont porté plainte, la fillette ayant perdu un œil. Le pasteur Gill déclare à Fides : « Au Pendjab, la situation des chrétiens est critique : ils sont victimes d’abus de la part des puissants et n’obtiennent pas justice vue la faiblesse du système légal qui constitue un grave problème ».

    Sonia Bibi, chrétienne âgée de 20 ans, de Kasur, également, a été violée par un groupe de jeunes musulmans.

    « Des cas comme celui-ci arrivent chaque jour au Pendjab » confirme à Fides le P. Khalid Rashid Asi, vicaire général du diocèse de Faisalabad, qui ajoute : « C’est très triste. Les chrétiens, souvent de jeunes femmes, sont des victimes sans défense »."

  • Pakistan : 95 % des accusations de blasphème sont fausses »

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    par Aide à l'Église en Détresse - Canada, jeudi 1 décembre 2011, 18:26

    Au Pakistan, 95 % des accusations de blasphème contre le prophète Mahomet ou le Coran sont fausses, selon ce qu’a déclaré un avocat musulman à l’œuvre internationale de bienfaisance catholique « Aide à l’Église en Détresse ».

    Par Eva-Maria Kolmann (AED International)

    Adaptation Marie-Claude Lalonde (AED) Canada

    Cet avocat musulman est obligé de demeurer dans l’anonymat pour des raisons de sécurité.  Dans la plupart des cas, la loi contre le blasphème est utilisée abusivement pour se venger de quelqu’un ou pour lui nuire.  Presque toutes les accusations seraient portées contre des personnes pauvres, qui ne bénéficient « d’aucun statut social » et ne peuvent donc pas se défendre.

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  • Les chrétiens craignent l'intolérance en Algérie

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    Le Figaro se penche sur le sort réservé aux chrétiens en Algérie :

    "Le récent procès d'un converti accusé d'«injures envers le Prophète» illustre le retour en force des islamistes.

    La cour d'appel d'Oran a abrité, jeudi dernier, un nouveau procès pour délit religieux. Siaghi Krimo, un maçon de 29 ans converti au christianisme en 2007, est cité à comparaître pour «injures envers le Prophète». En mai dernier, il a été condamné, en première instance, à cinq années de prison ferme. Dénoncé par un voisin à qui il avait remis un DVD sur la vie du Christ, il a été brutalement arrêté par une escouade de policiers comme un dangereux criminel..."

    On lira, avec intérêt, la suite ici : http://www.lefigaro.fr/international/

  • Le nom de Jésus est interdit dans les SMS au Pakistan

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    Agence Fides

    Au Pakistan, il est interdit d’écrire le nom de Jésus Christ dans les messages de texte (SMS) envoyés au moyen de téléphones portables. C’est ce qu’a établi l’Autorité pour les Télécommunications du Pakistan dans une mesure qui donne l’ordre aux sociétés de téléphonie mobile de bloquer les messages de texte contenant un certain nombre de mots considérés comme vulgaires, obscènes ou nocifs au sens de la pudeur. Parmi les quelques 1.600 mots prohibés, signale à Fides une source locale, se trouve également Jésus Christ et Satan. Les compagnies disposent de sept jours pour rendre opérationnelle la disposition mais les églises chrétiennes et les organisations de défense des droits humains au Pakistan ont promis de s’y opposer.

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  • 1500 martyrs du communisme canonisés par l'Eglise orthodoxe russe

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    Nous lisons sur Zenit.org (17/11)

    « Les quelque1500 nouveaux martyrs et confesseurs élevés aux honneurs des autels de l’Eglise russe ne constituent qu’une petite partie du large cercle de saints orthodoxes qui ont permis le triomphe spirituel historique de l’Eglise au milieu des persécutions communistes sans précédents commises de manière cruelle et sacrilège », déclare le P. Georgij Mitrofanov, prêtre orthodoxe russe, professeur d’histoire à l’académie théologique orthodoxe de Saint-Pétersbourg.

    Il a présenté ces nouveaux saints en Italie, lors d’un congrès international organisé à Milan et Seriate, du 28 au 30 octobre derniers, par la Fondation Russie chrétienne, sur le thème : « Crise de l’humain et désir de bonheur. Qu’est-ce que l’Eglise a à dire aujourd’hui ? ».

    Georgij Mitrofanov est l’auteur du livre : « La Russie et le XXème siècle » publié par les éditions Agat de Saint-Pétersbourg. Evoquant les persécutions du régime communiste contre l’Eglise orthodoxe, le professeur russe a expliqué qu’entre 1918 et 1921, le régime bolchévique, qui visait à la suppression physique de l’Eglise et de ses membres actifs, n’essayait d’habitude pas d’impliquer les prêtres dans les actions antireligieuses de ses organes répressifs ou de propagande.

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  • Inde : une religieuse catholique tuée à coups de bâtons

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    Sur le site des Missions Etrangères de Paris :

    Mercredi 16 novembre, Sr. Valsa John, 53 ans, connue pour son combat en faveur des droits des aborigènes, a été frappée à mort par des personnes non identifiées à Pachwara, dans le district de Pakur, au Jharkhand, Etat situé dans le quart nord-est de l’Inde.

    Sr. Valsa John, originaire du Kerala, était une religieuse catholique, membre de la congrégation des Sœurs de la Charité de Jésus et Marie (1). Profondément engagée dans la défense des aborigènes, auprès desquels elle vivait depuis une vingtaine d’années, elle en avait adopté le mode de vie. En 2007, son action était devenue particulièrement médiatique lorsqu’elle avait été arrêtée pour avoir dénoncé la confiscation de terres appartenant aux adivasi (aborigènes) par la compagnie minière PANEM Coal Company Limited, ainsi que le déplacement forcé de l’ethnie santal et son exploitation « inhumaine » par la mafia minière.

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  • Un prêtre, martyr du nazisme, béatifié

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    index.jpg(ZENIT.org) Benoît XVI évoque ce prêtre autrichien héroïque

    ROME, dimanche 13 novembre 2011 – Le P. Carl Lampert (1894-1944), prêtre catholique autrichien n’a pas eu peur de s’opposer au nazisme : il est aujourd’hui béatifié en tant que martyr à Dornbirn, dans le Vorarlberg, où il est né. Il avait été ordonné prêtre à Brixen (Bressanone), aujourd’hui en Italie.

    « Je m’unis particulièrement aux fidèles qui participent cet après-midi, à Dornbirn, à la béatification du prêtre martyre Carl Lampert, a déclaré le pape en allemand après l’angélus de ce dimanche 13 novembre, anniversaire de la mort du nouveau bienheureux.

    Le pape a évoqué cet ultime témoignage du prêtre autrichien, figure de la résistance au nazisme: « A l’époque sombre du national-socialisme, il a clairement vu la signification de la parole de saint Paul : « Nous n’appartenons pas à la nuit ni aux ténèbres » (1 Thess. 5,5). Lors d’un interrogatoire qui aurait pu le conduire à la liberté, il a témoigné avec conviction : « J’aime mon Eglise. Je reste fidèle à mon Eglise, et aussi au sacerdoce. Je suis du côté du Christ et j’aime son Eglise ».

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  • Inde : des médecins chrétiens chassés par des extrémistes hindous et des fidèles en prière dans le cadre de la « Journée de prière pour les persécutés »

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    Bangalore (Agence Fides) - Les chrétiens indiens de toutes les confessions et de tous les Etats de l'Inde prieront aujourd'hui 12 novembre et demain au cours des liturgies dominicales pour l'ensemble des fidèles persécutés en Inde et dans le monde entier, dans le cadre de la « Journée internationale de prière pour les chrétiens persécutés » qui se célèbre aujourd'hui dans le monde entier. Ainsi que le communique à Fides le « Global Council of India Christians » (GCIC), « tous sont appelés et s'engagent à élever leurs mains vers le ciel en faveur de ceux qui sont persécutés pour leur foi au Christ ».

    Le GCIC rappelle que, de 2006 à aujourd'hui, 1.556 attaques graves contre des chrétiens ont été commises dans différents Etats indiens. En 2008, plus de 100 responsables chrétiens furent martyrisés pour leur foi. En Orissa, deux pasteurs ont été tués cette année alors que les attaques anti-chrétiennes perpétrées par des extrémistes hindous se poursuivent dans le sud de l'Inde comme au Karnataka. L'organisation chrétienne protestante « Mission India » raconte à Fides l'un des plus récents épisodes intervenus au Karnataka : un certain nombre de médecins chrétiens avait lancé une mission sanitaire, en ayant recours à une clinique mobile, fournissant assistance médicale gratuite aux nécessiteux qui se présentaient. Un groupe de plus de 150 radicaux hindous les ont bloqués, les contraignant par la violence à quitter le village sous menace de mort, les accusant de mener « des conversions au christianisme ».

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  • Franz Jägerstätter, un objecteur de conscience victime du nazisme

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    Catherine Aubin, sur Radio Vatican, présente:

    "Franz Jägerstätter, né en 1907 près de Salzbourg, et mort en 1943 à Berlin, était un objecteur de conscience autrichien. En 1938, après que les troupes d'Hitler aient pénétré en Autriche, il est le seul de son village à voter contre l'Anschluss. Il se rend à une brève période de formation militaire, mais n'adhère à aucune organisation politique et manifeste ouvertement son opposition au nazisme, il est alors emprisonné à Berlin ; condamné à mort par un tribunal militaire, il est décapité le 9 août 1943. Le 1er novembre 2007, le Cardinal Schönborn, archevêque de Vienne, déclarait : « Ce qui est fascinant chez Franz Jägerstätter, c'est la clairvoyance du martyr qui a, mieux que de nombreux académiciens de son temps, su discerner l'incompatibilité entre le national-socialisme et la foi chrétienne »." (à écouter sur Radio Vatican)

  • Inde : « l'Evangélisation se poursuit » face aux menaces des groupes extrémistes hindous

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    New Delhi (Agence Fides) - « Nous recevrons la force de l'Esprit Saint pour résister aux forces du mal et aux forces destructrices. La mission de l'Eglise se poursuit sans crainte » : c'est ce que déclare à l'Agence Fides le Père Babu Joseph Karakombil, SVD, porte-parole de la Conférence épiscopale indienne, en réponse à la campagne antichrétienne agressive conduite par des responsables extrémistes hindous qui s'est intensifiée ces derniers temps (voir Fides 03 et 08/11/2011). Au cours de ces derniers jours, ainsi que l'indique à Fides le « Global Council of Indian Christians », Praveen Togadia, Secrétaire général du réseau extrémiste hindou Vishwa Hindu Parishad, a été jusqu'à réclamer « la décapitation de ceux qui cherchent à convertir les hindous à la foi chrétienne ».

    Le Père Babu Joseph explique à Fides : « La violence verbale mais aussi en actions contre les chrétiens se poursuit par intermittence dans différents Etats pour des questions locales ou nationales et elle est l'oeuvre du réseau des groupes radicaux hindous. Beaucoup dépend de la politique : la violence augmente lorsque ces mouvements, grâce à la protection politique de la droite nationaliste hindoue, disposent de plus de liberté d'action ».

    L'Eglise ne se laissera pas intimider - affirme le porte-parole. « L'Inde a une histoire chrétienne très ancienne. Les chrétiens représentent en Inde 2,5% de la population et par conséquent de très nombreux indiens n'ont pas encore rencontré et connu l'Evangile. L'évangélisation se poursuit même si, au cours de ces 35 dernières années, les mouvements antichrétiens ont connu une montée en puissance et bien que les épisodes de violence contre des personnes, des lieux et des institutions chrétiennes se soient multipliés. Les communautés de fidèles vivent, dans certains Etats, une époque vraiment difficile. Annoncer l'Evangile est toujours une opportunité et un défi qui mesure notre foi ». (PA) (Agence Fides 10/11/2011)

  • Ombres chinoises

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    Les croyants en Chine, pris à la gorge par les autorités qui multiplient les formes de persécution, se trouvent dans une situation impossible. Chez les catholiques, la question de la licéité des ordinations de prêtres et d'évêques se pose avec de plus en plus d'acuité.

    CHINE-~1.JPGLes tensions sont particulièrement vives en ce moment entre le Dalaï-Lama et la Chine, puisque le leader tibétain a fait savoir qu'il souhaitait choisir lui-même de son vivant sa réincarnation - ce qui est possible dans le bouddhisme pour les lamas ayant atteint un niveau d'éveil particulier. Cette question est cruciale pour l'avenir du bouddhisme tibétain; les autorités chinoises rêvent en effet de choisir elles-mêmes le successeur de l'encombrant lama, afin de contrôler les consciences tibétaines.

    Du côté des catholiques, l'étau de la dictature chinoise se fait également sentir, multipliant les problèmes canoniques quant à la licéité des ordinations pratiquées dans l'empire du milieu. Un exemple tout récent que nous raconte Eglises d'Asie: trois jeunes séminaristes du diocèse de Shantou viennent d'être ordonnés prêtres. Or l'évêque de Shantou n'est pas reconnu par Rome: soucieux que son illégitimité n'entache pas de nullité les ordinations des jeunes gens, Mgr Huang (photo) a donc demandé à l'évêque de Haimen, Mgr Joseph Shen Bin, qui a la particularité d'être reconnu à la fois par Rome et Pékin, de procéder à l'ordination des jeunes gens. Mais le code de droit canon est clair: s'ils ne sont pas ordonnés par leur évêque, leur ordination est illicite. Un exemple parmi d'autres de la perversité extrême de la situation chinoise, dans laquelle Eglise patriotique et Eglise clandestine sont toutes deux dans des situations ubuesques.

    Ici: Mortel casse-tête chinois

  • Bertrand Delanoë : deux poids, deux mesures ?

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    thumb.jpgC’est le Salon beige qui relève l’incohérence du maire de Paris, ou plus exactement sa vision différenciée du respect dû aux religions.

     Reaction du maire de Paris suite aux manifestations contre la pièce de théâtre de Castellucci :

     Depuis une semaine, chaque soir, des militants fanatisés tentent d’empêcher la tenue du spectacle de Romeo Castellucci, « Sur le concept du visage du fils de Dieu », au Théâtre de la Ville. Je tiens à exprimer ma consternation et mon inquiétude face à ces faits inacceptables qui se reproduisent chaque soir et devant la manifestation prévue demain par les groupements qui en sont à l’origine. Elle prendra de toute évidence fin par une nouvelle confrontation entre le public et les manifestants place du Châtelet, pouvant donner lieu, encore une fois, à des dérives, des dérapages, voire à des violences. Nous ne pouvons tolérer au coeur de Paris, ville qui promeut à travers le monde les valeurs humanistes de liberté et de démocratie, de telles expressions d’intégrisme et d’intolérance…. A Paris comme ailleurs, nous défendrons toujours, ensemble, la liberté de création et d’expression, valeurs suprêmes de notre République et condition de notre vivre ensemble. »

    Pour mémoire, voici la réaction du même maire, lors des fameuses caricatures de Mahomet :

    « Dans une lettre à Dalil Boubakeur rendue publique jeudi, le maire de Paris, Bertrand Delanoë, dit se sentir « proche » des musulmans qui ont ressenti la caricature du prophète Mahomet « comme une profanation ». « Aucun amalgame ne peut être toléré, ni même suggéré entre une grande religion porteuse d’une part de l’universel et les quelques fanatiques qui sèment la barbarie en son nom », écrit Bertrand Delanoë, en appelant « chacun des acteurs de cette affaire, les musulmans et les journalistes, à l’apaisement ». 

    Cherchez l’erreur.

    Quoi qu’il en soit  de l’intention exacte qui sous-tend cette pièce "dérangeante", les controverses exégétiques montrent qu'il y a au moins ambiguité et au premier degré provocation.