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Spiritualité - Page 388

  • Quand justice et miséricorde se rencontrent…

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    Lu sur le blog « cahiers libres » :

    Une tension immémoriale

    2_rembrandt_610x343.jpgLe 8 décembre prochain débutera pour l’Église l’année de la Miséricorde. Sans attendre cette date, il m’a paru important de souligner l’importance de celle-ci pour la vie des croyants. De plus, ayant besoin d’un angle d’approche très précis pour ce court article, j’ai choisi d’aborder le sujet de la miséricorde dans son rapport avec la justice.

    Thème éternel que ce face à face entre justice et miséricorde ! Très logiquement la justice a été associée à la vérité, et la miséricorde à l’amour. La justice de Dieu nous met face à la réalité de notre péché, de nos contradictions. Quant à la miséricorde, elle déplace le curseur en direction de la bonté : avec elle, Dieu passe outre nos égarements. La justice de Dieu porte la lumière sur nos errements ; la miséricorde, quant à elle, met l’onguent de la tendresse sur nos plaies en y apposant le sceau du pardon. Dieu, à défaut d’être complaisant envers elles, prend pitié de nos faiblesses, parfois même les « comprend ».

    De plus, la justice n’est pas seulement l’affaire de Dieu. Nous devons la consolider à notre tour avec nos actes. En religion, cela s’appelle expiation, réparation. Mais point n’est besoin de croire pour cela. En toute justice, nous devons réparer les dégâts que nous avons causés. Par miséricorde, Dieu continue de payer le plus gros de l’addition à notre place – ce qu’il a réalisé principalement en envoyant son Fils dans le monde (dans quelles conditions !).

    Cependant, cette distribution des rôle entre justice et miséricorde, vérité et amour, n’est-elle pas trop évidente pour être tout à fait probante ? Les choses ne sont-elles pas un peu plus complexes ? Et si la justice était aussi une question d’amour, et la miséricorde, une question de vérité ?

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  • De Corydalle à Lérins

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    Dans  l'homélie du papeprononcée à la cathédrale de la Havane, lors des vêpres de dimanche dernier, on peut retenir ce passage qui introduit opportunément l’article que voici, à paraître dans le magazine trimestriel « Vérité et Espérance-Pâque nouvelle » (sursumcorda@skynet.be) le 30 septembre prochain : «  Il est fréquent de confondre l’unité avec l’uniformité, avec le fait que tous font, sentent et disent la même chose. Cela n’est pas l’unité, c’est l’homogénéité. C’est tuer la vie de l’Esprit, c’est tuer les charismes qu’il a distribués pour le bien de son peuple. L’unité se trouve menacée chaque fois que nous voulons faire les autres à notre image et ressemblance. C’est pourquoi l’unité est un don, ce n’est pas quelque chose que l’on peut imposer de force ou par décret » 

    « Qu’il soit fidèle, plutôt que

    minutieusement profilé... »

    (Cf. V&E n° 95, Pâque Nouvelle, p. 16)

    procuste.jpgIl est dans la campagne attique, sur la route qui mène d’Athènes à Eleusis, un patelin oublié aujourd’hui de tous, qui a nom Corydalle. Il importerait peu d’en ressusciter ici le souvenir, si l’endroit n’avait été le théâtre autrefois d’une affaire atroce ; mythologique sans doute, mais donc intemporelle, et, hélas ! ― par le fait même ― toujours bien d’actualité...

    Plus évocateur que Corydalle sera probablement le nom de Procuste qui y sévissait. Au dire des Anciens, il offrait avenante hospitalité au voyageur de passage ; mais ce n’était là que tromperie : quelqu’un venait-il en effet frapper à sa porte, après un accueil peint d’affabilités, notre homme plaquait soudain le malheureux sur un lit et s’employait aussitôt à l’étirer ou bien à le rogner, dans sa brutale incapacité à le trouver convenable, qu’il ne l’eût mis au gabarit de cette couche idéale.

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  • "Si quelqu'un veut être le premier..." Homélie du père Zanotti pour le 25e dimanche du temps ordinaire

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    Prédication du 23 septembre 2012 par le père Michel-Marie Zanotti-Sorkine (Mc 9, 30-37) / MERCI au père MICHEL-MARIE ZANOTTI-SORKINE de nous permettre de vous partager cette prédication de la Parole de Dieu. / Visitez son site Internet : http://www.delamoureneclats.fr / Visitez également le site : http://www.unfeusurlaterre.org / Références bibliques : http://aelf.org/ Évangile : Deuxième annonce de la Passion et appel à l'humilité (Marc 9, 30-37)
    Jésus traversait la Galilée avec ses disciples, et il ne voulait pas qu'on le sache. Car il les instruisait en disant : « Le Fils de l'homme est livré aux mains des hommes ; ils le tueront et, trois jours après sa mort, il ressuscitera. » Mais les disciples ne comprenaient pas ces paroles et ils avaient peur de l'interroger. Ils arrivèrent à Capharnaüm, et, une fois à la maison, Jésus leur demandait : « De quoi discutiez-vous en chemin ? » Ils se taisaient, car, sur la route, ils avaient discuté entre eux pour savoir qui était le plus grand. S'étant assis, Jésus appela les Douze et leur dit : « Si quelqu'un veut être le premier, qu'il soit le dernier de tous et le serviteur de tous. » Prenant alors un enfant, il le plaça au milieu d'eux, l'embrassa, et leur dit : « Celui qui accueille en mon nom un enfant comme celui-ci, c'est moi qu'il accueille. Et celui qui m'accueille ne m'accueille pas moi, mais Celui qui m'a envoyé. »

  • Un inédit à Liège, le dimanche 20 septembre 2015 à 16h00 : les vêpres liturgiques anciennes (Xe siècle) de la fête de saint Lambert célébrées en plain-chant à l’église du Saint-Sacrement

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    Le chant médiéval avec Marcel Pérès:

     

  • Pour les scouts d'Europe aussi, c'est la rentrée

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  • Liturgie : l’eucharistie face à Dieu

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    5068082-7565726.jpgL’évêque d’Ajaccio, Mgr de Germay, publie sur le site de son diocèse un éditorial plein de bonnes intentions. Mais l’enfer lui-même, dit-on, en serait pavé. Le sens de la liturgie est perdu, à peu près partout, dans l’Eglise d'Occcident où un propos comme celui de Mgr de Germay est devenu inaudible. Irréversible ?

    « En ce début d’année pastorale, il est bon de se rappeler le but de ce que nous allons entreprendre. Nos activités ne visent pas à faire fonctionner une institution mais à évangéliser. Elles se situent dans la dynamique des paroles du Christ : « allez, de toutes les nations, faites des disciples ».

    Or, reconnaissons-le, cette évangélisation ne va pas de soi. Dans nos pays de vieille chrétienté, l’Eglise vit une mutation qui comporte des aspects positifs mais aussi – et de façon assez évidente depuis plusieurs dizaines d’années – les éléments d’une décroissance qui dure encore. Aujourd’hui la grande majorité des jeunes de moins de 20 ans ne savent quasiment rien de Jésus-Christ. Le défi de la nouvelle évangélisation est immense et passionnant à la fois. Il nous pousse à revenir sans cesse à ce qui constitue le cœur de notre foi, c’est-à-dire au kérygme comme aime à le rappeler le Pape François.

    l’intérêt d’aller à la messe chaque dimanche

    La nouvelle évangélisation passera également par une pastorale renouvelée de l’eucharistie. Comment pourrait-il en être autrement puisqu’elle est « la source et le sommet de la vie chrétienne » ? La désaffection que nous constatons pour nos messes dominicales doit nous interroger. Comment se fait-il que tant de jeunes et d’adultes qui ont été initiés à la foi chrétienne ne voient pas l’intérêt d’aller à la messe chaque dimanche ?

    Même si ce n’est pas la seule raison, nous devons accepter de remettre en question la façon dont nous célébrons l’eucharistie. La réforme liturgique qui a suivi le Concile était nécessaire. Elle a permis, entre autres, de donner une place plus large à la Parole de Dieu, de permettre une participation plus aisée des fidèles par l’utilisation de la langue vernaculaire, de promouvoir une certaine sobriété des rites tout en retrouvant des éléments de la grande tradition liturgique de l’Eglise. S’il ne s’agit donc pas de remettre en cause la réforme liturgique, il n’est en revanche pas interdit de s’interroger sur la façon dont elle a été mise en œuvre.

    La possibilité pour le prêtre de célébrer face au peuple a été selon moi mal accompagnée

    Un des aspects concerne l’orientation de nos liturgies. La grande majorité des églises sont orientées vers l’Orient qui symbolise le Christ. Les anciens avaient bien conscience de prier en étant tournés vers le Christ. La messe était perçue comme un moment où les fidèles se tournaient vers leur Dieu, d’abord pour l’écouter puis pour lui offrir le sacrifice d’action de grâces. La possibilité pour le prêtre de célébrer face au peuple a été selon moi mal accompagnée. On a alors progressivement perdu le sens de cette orientation fondamentale et perçu la messe uniquement comme un dialogue entre l’assemblée et le prêtre. Celui-ci s’est ainsi parfois considéré comme un animateur, se sentant la mission de rendre la messe accessible, compréhensible, animée, sympathique même, faisant des commentaires, se permettant d’adapter les formules liturgiques, etc. Du coup, l’attention des fidèles était de plus en plus captivée par la « prestation » du prêtre et/ou celle de l’animateur de chants.

    En voulant expliquer les rites, on leur interdit de remplir leur fonction qui est de suggérer le mystère

    Cette dérive n’a pas favorisé la participation des fidèles souhaitée par le Concile. En voulant absolument expliquer les rites, en effet, on les « aplatit », on leur interdit de remplir leur fonction qui est de suggérer le mystère. La formation liturgique est certes nécessaire, mais en dehors de la messe. Bien célébrée, la liturgie de l’Eglise peut orienter les cœurs vers Dieu, manifester sa présence et aider les fidèles à se laisser toucher par « l’œuvre de la rédemption qui s’accomplit ». Elle est le fruit de 2000 ans de tradition. Tout y est pensé pour être au service d’un événement dont l’acteur principal est Dieu lui-même et auquel nous sommes invités à participer, d’une participation non pas d’abord extérieure mais intérieure.

    Avec l’humilité de celui qui sait être au service d’une œuvre qui le dépasse, avec simplicité et sans ritualisme, sachons être les serviteurs de la beauté de la liturgie pour redonner à ceux qui l’ont perdu le goût du don de Dieu.

    + Olivier de Germay Evêque d’Ajaccio »

    Ref. Liturgie : l’eucharistie face à Dieu

    JPSC

  • Banneux, 2-4 octobre : week-end de la Miséricorde divine

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    Se convertir à la Miséricorde de Dieu,

    chemin de préparation pour l'année Sainte

     

     

    Du 02 au 04 octobre 2015

    Week-end Miséricorde Divine

    avec la présence des Reliques de Sainte-Faustine

    animée par Hélène Dumont

    auteur de plusieurs ouvrages sur la Miséricorde nous fera

    méditer sur la profondeur de l’Amour miséricordieux.

    participation 10€/jour

     

     

    Congrégation St Jean - Regina Pacis

    Rue de la Sapinière, 50 - 4141 Banneux ND

    Contacts :

    Fr Alain T04 360 01 24 – gsm 04 92 67 44 90

    Fr Cyrille Marie (Fr hôtelier) T 04 360 01 28 – gsm 0483 36 73 59

    mail : fralaingcs@gmail.com – frcyrillemarie@gmail.com

  • Quand le pape autorise les prêtres à pardonner l'avortement

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    Lu sur le nouvelobs.com :

    Le Pape demande aux prêtres de pardonner l'avortement : il n'en minimise pas la gravité

    Par Abbé Grosjean, Curé

    LE PLUS. À l'occasion du jubilé de la Miséricorde qui débutera en décembre, le Pape François a voulu étendre aux prêtres du monde entier la faculté de pouvoir pardonner l'avortement aux couples qui expriment leur repentir. Une révolution ? Pas vraiment, mais plutôt un geste fort qui se veut un appel, comme nous explique l'Abbé Grosjean, Curé de Saint-Cyr l'École.

    Édité par Louise Pothier 

    À l’occasion du Jubilé de la Miséricorde – une année pour redécouvrir le pardon de Dieu – le Pape a étendu aux prêtres du monde entier la faculté de pardonner le péché d’avortement. Dans le droit de l’Église, l’absolution de ce péché est normalement réservée aux évêques, même si, en France, beaucoup d’entre eux ont déjà transmis aux prêtres de leur diocèse la faculté de la donner.

    Le pardon de Dieu est libérateur

    Le Pape avait déjà dit qu’il considérait l’Eglise comme "un hôpital de campagne" qui soigne les cœurs blessés. Il explique avoir "rencontré de nombreuses femmes qui portaient dans leur cœur la cicatrice de ce choix difficile et douloureux" de l’avortement. Le Pape veut pour elles, mais aussi pour tous ceux qui ont pu participer à un avortement (le conjoint, les médecins, le personnel soignant…) rendre plus accessible le pardon, dont beaucoup ont besoin pour se reconstruire et avancer.

    Je suis moi-même marqué de recevoir des femmes ou des couples qui portent parfois depuis plusieurs années une vraie souffrance intérieure, une vraie blessure, suite à un avortement.

    Beaucoup de ces femmes, comme le rappelle le Pape, se sont retrouvées dans des situations des détresse ou d’isolement, et se sont résolues à poser cet acte à contre-cœur. Beaucoup ne voyaient pas comment faire autrement. L’Eglise veut leur témoigner cette bienveillance inconditionnelle, et les aider à se libérer de leur culpabilité. Elles doivent se sentir accueillies et non jugées ni condamnées.

    Ce pardon de Dieu aide à se pardonner à soi-même, il est libérant.

    Le Pape ne minimise pas la gravité de l’acte

    Ce geste du Pape ne change rien à la doctrine. Le Pape ne minimise pas la gravité de l’avortement. Il le considère toujours comme "l’un des graves problèmes de notre temps" et un "drame existentiel et moral".

    D’ailleurs, pour recevoir le pardon, il faut regretter son acte et le reconnaître en vérité. Mais l’Église veut toujours concilier cette vérité exigeante et une miséricorde, une bienveillance toute aussi grande. L’Église condamne un acte grave, qui touche à la vie de l’enfant à naître et qui blesse profondément la femme qui le subit.

    Mais l’Église ne condamnera jamais la personne. On ne réduit jamais quelqu’un à ses actes. Voilà pourquoi le pardon est toujours possible ! On vaut toujours plus que ce qu’on a fait. Le Pape François est vraiment dans le même esprit que ses prédécesseurs, en particulier de Jean-Paul II qui a beaucoup défendu le droit à la vie.

    Une souffrance trop souvent tue

    On ne parle guère de la souffrance que les femmes peuvent porter– souvent seules – après une IVG. Le confessionnal est un lieu où certaines peuvent reconnaître leur blessure et déposer leur souffrance, car elles savent que l’Église, tout en les aidant à mettre les mots en vérité sur ce qu’elles ont vécu, ne va pas les juger ni les condamner, mais les aider à se relever.

    Ces femmes qui souffrent n’ont pas besoin d’entendre que "ce n’est pas grave", elles veulent pouvoir vivre l’expérience du pardon, et une vraie réconciliation, avec elle même, avec l’enfant qui n’a pu être accueilli, avec leurs proches éventuellement, avec Dieu qui n’a jamais cessé de les aimer.

    L’Église est comme une mère

    Même si ce geste n’est pas "révolutionnaire" puisque ce péché était déjà bien sûr pardonnable et pardonné, j’espère qu’il fera comprendre au plus grand nombre la beauté du pardon, et la libération qu’il apporte aux cœurs éprouvés.  

    Pour eux, pour chacun de nous, l’Église est comme une mère : exigeante – elle veut nous faire grandir – et bienveillante – elle nous accompagne, et nous manifeste l’amour inconditionnel de Dieu. Les blessures du cœur sont à la fois les plus cachées et les plus lourdes à porter.

    Mais comme l’écrit Saint Jean : "Si ton cœur te condamne, sache que Dieu est plus grand que ton cœur."

     Propos recueillis par Louise Pothier.

  • Synode : 17 cardinaux font bloc contre les théories réformistes

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    De Sandro Magister sur chiesa.espresso.repubblica.it :

    Les cardinaux anti-Kasper: ils étaient cinq, maintenant ils sont dix-sept

    Et ils interviennent en même temps par le biais de deux livres qui vont être publiés alors que le synode est proche. Au premier rang, Robert Sarah et les Africains 

    par Sandro Magister

    ROME, le 31 août 2015 – Le cardinal guinéen Robert Sarah, préfet de la congrégation pour le culte divin, se trouve ces jours-ci à Ratisbonne, afin d’y présenter l'édition allemande de son livre "Dieu ou rien". Celui-ci a été publié en France au mois de février dernier et il est actuellement sur le point de paraître en neuf autres langues dans le monde entier, en raison de l'énorme intérêt qu’il a suscité, à cause de son contenu et de la personnalité de son auteur, comme www.chiesa l’a déjà montré :

    > Un pape d’Afrique noire

    À Ratisbonne, c’est le cardinal Gerhard Müller, préfet de la congrégation pour la doctrine de la foi, qui présentera le livre. La préface de l’édition allemande a été rédigée par l’archevêque Georg Gänswein, préfet de la maison pontificale et secrétaire particulier de Benoît XVI.

    Mais le pape émérite lui-même n’a pas manqué de dire au cardinal Sarah tout le bien qu’il pensait de son ouvrage. Il lui a notamment écrit ceci :

    "C’est avec beaucoup de profit spirituel, de joie et de gratitude que j’ai lu 'Dieu ou rien'. La réponse courageuse que votre ouvrage donne aux problèmes suscités par la théorie du 'genre' pose avec netteté, dans un monde qui n’y voit plus clair, une question anthropologique fondamentale".

    Sur près de quatre cents pages que compte l’ouvrage, il n’y en a que quelques-unes qui concernent le synode consacré à la famille. Mais ces pages-là ont produit une forte impression, en raison de la netteté et de la lucidité avec lesquelles elles s’opposent aux courants de pensée qui sont favorables à un changement dans la doctrine et dans la pastorale relatives au mariage, courants dont le représentant le plus en vue est le cardinal Walter Kasper.

    Sarah ne fait pas partie du groupe de cinq cardinaux – le premier d’entre eux étant Müller – qui, à la veille de la session du synode qui s’est tenue au mois d’octobre dernier, ont fait bloc contre les novateurs en rédigeant un ouvrage collectif qui a provoqué des réactions vives et nombreuses.

    Mais, alors que la seconde et dernière session du synode est proche, voici que de nouveaux combattants se lancent dans la bataille pour défendre la doctrine et la pastorale traditionnelles en matière de mariage : il s’agit non plus de cinq, mais de onze cardinaux, qui ont, cette fois encore, rédigé un ouvrage collectif. Et parmi eux figure Sarah.

    Les dix autres sont, par ordre alphabétique :

    - Carlo Caffarra, archevêque de Bologne, Italie ;
    - Baselios Cleemis Thottunkal, archevêque majeur de Trivandrum de l’Église syro-malankare. Inde ;
    - Josef Cordes, président émérite du conseil pontifical Cor Unum, Allemagne ;
    - Dominik Duka, archevêque de Prague, République Tchèque ;
    - Jacobus Eijk, archevêque d’Utrecht, Pays-Bas ;
    - Joachim Meisner, archevêque émérite de Cologne, Allemagne ;
    - John Onaiyekan, archevêque d’Abuja, Nigeria ;
    - Antonio Maria Rouco Varela, archevêque émérite de Madrid, Epagne ;
    - Camillo Ruini, vicaire émérite du pape pour le diocèse de Rome, Italie ;
    - Jorge Urosa Savino, archevêque de Caracas, Vénézuela.

    Le livre a pour titre :

    "Le mariage et la famille dans l’Église catholique. Onze cardinaux apportent un éclairage pastoral".

    Il sera publié à septembre en cinq langues : anglais (Ignatius Press), italien (Cantagalli), français (Artège), allemand (Herder), espagnol (Ediciones Cristiandad).

    Et il ne s’agit pas d’un travail de compilation. Les textes qui y figurent seront publiés pour la première fois, à la seule exception de celui du cardinal Ruini, qui a déjà été mis en ligne, il y a un an, sur www.chiesa :

    > Le vrai dilemme: indissolubilité ou divorce

    Pour davantage de détails et d’informations en avant-première à propos du contenu de ce livre, voir :

    > Pre-Synod Book "Eleven Cardinals Speak on Marriage and the Family"

    Mais ce n’est pas tout. En effet un autre livre collectif est sur le point d’être publié, également dans la perspective du synode. Ses  auteurs sont tous africains. Pour le moment il est édité uniquement en anglais, aux États-Unis par Ignatius Press et au Kenya par les éditions Paulines.

    Son titre est :

    "L’Afrique, nouvelle patrie du Christ. Contributions de pasteurs africains au synode consacré à la famille".

    Lire la suite sur le site de S. Magister

  • Bruxelles, Cinéma Aventure, 4 septembre : M et le 3e secret

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     cliquer sur l'image pour l'agrandir

    ​​Le film est diffusé en avant-première à BRUXELLES avec présence du
    réalisateur, Pierre Barnérias, au cinéma Aventure ce vendredi 4 septembre à
    19h.
    Il est sous-titré en néerlandais.
    Bande-annonce: https://www.youtube.com/watch?v=79hikZ9pNUM
     


    Cinéma AVENTURE
    Galerie du Centre Bloc II
    rue des Fripiers 57
    1000 Bruxelles

    Centrumgalerij Blok II
    Kleerkopersstraat 57
    1000 Brussel

    http://www.cinema-aventure.be/
     

    http://msecret-lefilm.com/
     

    L'évènement facebook: https://www.facebook.com/events/112258452460941/
  • 31 août : Marie Médiatrice, un culte cher à la Belgique

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    31 août : Marie Médiatrice

    Les évangiles, et en particulier l’évangile de Cana montre la sollicitude et l’intercession de Marie.

    Les pères de l’Eglise ont aussi magnifié le pouvoir d’intercession de Marie.

    Jean-Paul II a expliqué la médiation de Marie dans son encyclique "La mère du Rédempteur".

    Après la première guerre mondiale, il y eut en Belgique un large mouvement pour honorer de façon particulière la médiation universelle de Marie. Le cardinal Mercier en fut un des principaux initiateurs.

    Le Vatican approuve un office propre à cette fête et l’accorde à toutes les églises qui en feraient la demande. (source : Marie de Nazareth)

    De Jean Daujat : dans Doctrine et Vie chrétiennes, p.464 (Tequi) :

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  • Liège : découvrir l’office primitif de la fête de saint Lambert, avec Marcel Pérès

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    Une initiative de l’Académie de Chant grégorien à Liège :

     

    À l’abbaye de la Paix Notre-Dame (Bd d’Avroy, 54 à Liège), Marcel Pérès, directeur du Cirma (Centre itinérant de recherche sur les musiques anciennes) et de l’Ensemble vocal « Organum » ,animera deux week-ends de formation consacrés au chant de l’office primitif de saint Lambert (Etienne de Liège, Xe s.) :

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    du vendredi 4 (17h00) au dimanche 6 septembre 2015 (18h00) et

    du vendredi 18(17h00) au dimanche 20 septembre 2015 (18h00)

    Trente places sont ouvertes pour ces deux week-ends de stage. Les cours s’adressent prioritairement aux personnes qui disposent d’une formation musicale ou d’une pratique chorale confirmée 

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    Le second week-end se clôturera le dimanche 20 septembre à 16 heures par la célébration liturgique des vêpres restituées pour la Solennité de la fête de saint Lambert, patron de la ville et du diocèse de Liège. Cette manifestation publique aura lieu à l’église du Saint-Sacrement (Bd d’Avroy, 132 à Liège). Entrée libre. 

    Plus de renseignements ou inscription au stage :

    S’adresser à Jean-Paul Schyns, Quai Churchill, 42/7 4020 Liège.Tél. 04.344.10.89 (de l’étranger :+32.4.344.10.89). E-mail : jpschyns@skynet.be Informations générales et inscriptions en ligne sur le site de l’académie : www.gregorien.com Copie de chantgrego_46.jpg

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