C'est à lire sur le blog de Jeanne Smits :
Voir également, sur gènéthique.org : "L'avortement, un tabou qui dérange"
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Proposition d'initiative citoyenne européenne:
Un de nous
La protection juridique de la dignité, du droit à la vie et à l'intégrité de tout être humain depuis la conception dans les domaines de compétence de l'UE où cette protection s'avère d'une importance particulière.
La dignité et l’intégrité de l'embryon humain doivent être respectées. Ceci a été établi par l'arrêt Brüstle contre Greenpeace de la CJUE qui définit l'embryon humain comme le commencement du processus de développement d’un être humain. Afin d’être cohérente dans l’exercice de ses compétences, l'UE devrait interdire et mettre fin au financement des activités qui impliquent la destruction d'embryons humains, en particulier dans les domaines de la recherche, de l’aide au développement et de la santé publique.
ECI(2012)000005 - 11/05/2012 - http://ec.europa.eu/citizens-initiative/public/initiatives/ongoing/details/2012/000005/fr)
QUINTAVALLE JOSEPHINE, VARI FILIPPO, PUPPINCK PATRICK GREGOR, BALTROSZEWICZ JAKUB, LIEBNER MANFRED, FRIVALDSZKY EDITH, LATORRE ALICIA
VARI FILIPPO, PUPPINCK PATRICK GREGOR - filippo.vari@gmail.com, g.puppinck@gmail.com
Pour soutenir une initiative citoyenne européenne, vous devez être un citoyen de l'UE (ressortissant d'un État membre) et être en âge de voter aux élections du Parlement européen (18 ans, sauf en Autriche où l'âge requis est 16 ans). Pour en savoir plus sur les règles et les conditions applicables à l'initiative citoyenne européenne:http://ec.europa.eu/citizens-initiative
Soutenir la proposition d'initiative citoyenne européenne:
Un de nous : https://ec.europa.eu/citizens-initiative/ECI-2012-000005/public/signup.do
Depuis le début du pontificat en 2005, 20.544.970 personnes ont participé aux rencontres
Cité du Vatican, 4 janvier 2013 (VIS). La Préfecture de la Maison pontificale a publié les chiffres de la fréquentation du Vatican en 2012: 2.351.200 personnes ont pris part aux différentes manifestations présidées par Benoît XVI, soit 447.000 pour les audiences générales, 146.800 pour des audiences particulières, 501.400 pour les messes, et 1.256.000 pour les angélus et Regina Coeli. Ces chiffres, qui regardent les évènements du Vatican et de Castelgandolfo, ne tiennent pas compte des milliers de fidèles rassemblés lors des visites pastorales et voyages apostoliques (le Mexique et Cuba, le Liban et, en Italie, Arezzo-San Sepolcro, l’Emilie Romagne, Lorette et Milan). Ils sont établis sur la base des requêtes parvenues à la Préfecture et des estimations de présence Place St.Pierre lors des cérémonies, des messes ou des angélus. Au total, selon ces calculs, depuis le début du pontificat de Benoît XVI en 2005, 20.544.970 personnes ont participé aux rencontres avec Benoît XVI.
Selon un communiqué de l’agence Belga répercuté ce jour par « La Libre » au total, 103,4 millions d'euros sont sortis des caisses de l'Etat belge l'an dernier :
En 2012, le SPF Justice, qui a la tutelle en la matière, a versé 88,3 millions d'euros pour l'ensemble des prêtres catholiques, orthodoxes, anglicans, protestants ainsi que pour les rabbins de Belgique. Les imams ont reçu 3 millions d'euros, soit quatre fois moins que les tenants de la laïcité (12,1 millions d'euros), écrit lundi Sudpresse. Au total, 103,4 millions d'euros sont ainsi sortis des caisses de l'Etat l'an dernier.
Outre les dépenses de personnel, le SPF Justice donne aussi des subventions, qui s'élevaient en 2012 à 2,1 millions d'euros pour la laïcité, 459.000 euros pour le culte islamique et 221.000 euros pour le bouddhisme. Soit un total de 2,8 millions d'euros.
L'enseignement de la religion, porté pour sa part par la Fédération Wallonie-Bruxelles à travers l'organisation de l'enseignement obligatoire, a aussi un coût: au 1er décembre, les cours philosophiques occupaient 3.717 équivalents temps plein (ETP). Le coût total des salaires n'est pas connu mais il tournerait autour des 66 millions d'euros.
Christian Laporte, dans la Libre, rapporte le fait suivant :
On ne l’a pas assez souligné en octobre dernier, mais le Parti du Travail de Belgique - Partij van de Arbeid en version néerlandophone... - a réalisé une vraie percée dans tout le pays avec l’élection de 31 conseillers communaux, de 17 conseillers de district (à Anvers) et, enfin, de 4 conseillers provinciaux. Parmi ces 52 élus, il en est un dont on n’a pas fini de parler: prêtre-ouvrier - il est chauffeur de bus pour des enfants de l’enseignement spécial -, l’abbé Georges Houtmeyers, qui a été élu conseiller communal à Genk, pourrait être suspendu par l’évêque de Hasselt, Mgr Patrick Hoogmartens.
Mise à jour (7/1 à 14H40)
Cependant, d'après Angélique Tasiaux sur Info.catho.be, tout cela n'est qu'une "rumeur non fondée"; cela signifierait-il que le chroniqueur religieux de la Libre se lancerait dans des conjectures hasardeuses ? Et qu'il serait indifférent à nos autorités ecclésiastiques qu'un prêtre milite sur une liste d'extrême-gauche d'obédience marxiste ?
Lors des dernières élections communales, l’abbé Georges Houtmeyers a été élu conseiller municipal de la ville limbourgeoise de Genk, sur la liste PVDA. Rien de changé, nous assure-t-on au diocèse d’Hasselt, puisque Georges Houtmeyers n’assure pas de fonction pastorale. Il exerce simplement une fonction de chauffeur.« Le fait que l’abbé Houtmeyers se soit présenté sur une liste électorale – en l’occurrence le PVDA – ne change rien à ses attributions », nous a assuré Clem Vande Broek, le porte-parole du diocèse d’Hasselt. Le prêtre-ouvrier Georges Houtmeyers pourra donc continuer à exercer ses fonctions comme par le passé.Il y a quelques années, le diocèse avait connu un fait précédent avec don Angelo, qui s’était alors présenté sur une liste du CD&V.
A. T.
Cité du Vatican, 7 janvier 2013 (VIS). Benoît XVI a reçu ce matin pour le traditionnel échange des voeux le corps diplomatique accrédité près le Saint-Siège (représenté auprès de 179 états, plus l'ONU et ses agences, l'Union Européenne, l'Ordre de Malte, l'OLP, 8 organisations internationales et 5 régionales). Après le salut exprimé au nom de toutes les délégations par le Doyen des ambassadeurs M.Alejandro Valladares Lanza (Honduras), et par le Vice-Doyen M. Jean-Claude Michel (Monaco), le Saint-Père a prononcé le discours dont voici de larges extraits:
"C’est avant tout aux autorités civiles et politiques qu’incombe la grave responsabilité d’œuvrer pour la paix. Elles sont les premières à être appelées à résoudre les nombreux conflits qui continuent d’ensanglanter l’humanité, à commencer par cette région privilégiée dans le dessein de Dieu qu’est le Moyen Orient. Je pense d’abord à la Syrie, déchirée par des massacres incessants et théâtre d’effroyables souffrances pour la population civile. Je renouvelle mon appel afin que les armes soient déposées et que prévale le plus tôt possible un dialogue constructif pour mettre fin à un conflit qui ne connaîtra pas de vainqueurs, mais seulement des vaincus, s’il perdure, ne laissant derrière lui qu’un champ de ruines. Permettez-moi de vous demander de continuer à sensibiliser vos gouvernements, afin que soient fournies de façon urgente les aides indispensables pour affronter la grave situation humanitaire. Je regarde ensuite avec une vive attention vers la Terre Sainte. Suite à la reconnaissance de la Palestine comme état Observateur non Membre des Nations-Unies, je renouvelle le souhait que, avec le soutien de la communauté internationale, Israéliens et Palestiniens s’engagent pour une cohabitation pacifique dans le cadre de deux états souverains, où le respect de la justice et des aspirations légitimes des deux peuples sera préservé et garanti. Jérusalem, deviens ce que ton nom signifie. Cité de la paix et non de la division, prophétie du Royaume de Dieu et non message d’instabilité et d’opposition!".
Lu sur Eecho.fr :
Défendre l’idée « d’égalité » ou l’humanité elle-même ? - Edouard-M. Gallez
_____Sans nul doute, la « manif-pour-tous » répondant au projet Hollande de « mariage pour tous » fera plus pour rapprocher les personnes de bonne volonté d’horizons très divers que les prétendus « dialogues interreligieux » et spécialement « islamo-chrétiens » (1). Pourquoi ?
_____Contrairement à l’Espagne ou à la Grèce, la population française est encore anesthésiée par les médias globaux et ses discours à l’eau de rose ; elle commence seulement à comprendre que le gouvernement poursuit des objectifs qui n’ont rien à voir avec son bien. La « manif pour tous » joue ici un certain rôle de déclencheur, notamment parce qu’elle va rassembler des Français d’horizons et de convictions diverses, y compris religieuses : des chrétiens d’Occident et d’Orient, des musulmans, des juifs, des agnostiques et d’autres encore. Une petite équipe autour de Frigide Barjot, Béatrice Bourges, Lionel Lombroso et en particulier Camel Bechikh a concrétisé cette prise de conscience commune encore floue : nous sommes manipulés, et par des intérêts supranationaux qui sont des ennemis de l’humanité.
Le pape a répondu à cette question ce matin, lors de l'homélie prononcée à Saint-Pierre en ce jour de l'Epiphanie, durant la messe au cours de laquelle il a procédé à quatre ordinations épiscopales (cfr note précédente).
"(...) nous arrivons à la question : comment doit être un homme à qui on impose les mains pour l’ordination épiscopale dans l’Église de Jésus Christ ? Nous pouvons dire: il doit être avant tout un homme dont l’intérêt est tourné vers Dieu, car c’est seulement alors qu’il s’intéresse vraiment aussi aux hommes. Nous pourrions aussi le dire en sens inverse: un évêque doit être un homme à qui les hommes tiennent à cœur, un homme qui est touché par les situations des hommes. Il doit être un homme pour les autres. Toutefois, il peut l’être vraiment seulement s’il est un homme conquis par Dieu. Si pour lui, l’inquiétude pour Dieu est devenu une inquiétude pour sa créature, l’homme. Comme les Mages d’Orient, un évêque ne doit pas aussi être quelqu’un qui exerce seulement son métier et ne veut rien d’autre. Non, il doit être pris par l’inquiétude de Dieu pour les hommes. Il doit, pour ainsi dire, penser et sentir avec Dieu. Il n’est pas seulement l’homme qui porte en lui l’inquiétude innée pour Dieu, mais cette inquiétude est une participation à l’inquiétude de Dieu pour nous. Puisque Dieu est inquiet de nous, il nous suit jusque dans la mangeoire, jusqu’à la Croix. «En me cherchant, tu as peiné; tu m’as sauvé par ta passion : qu’un tel effort ne soit pas vain», prie l’Église dans le Dies irae. L’inquiétude de l’homme pour Dieu et, à partir d’elle, l’inquiétude de Dieu pour l’homme ne doivent pas donner de repos à l’évêque. C’est cela que nous comprenons quand nous disons que l’évêque doit être d’abord un homme de foi. Car la foi n’est pas autre chose que le fait d’être intérieurement touché par Dieu, une condition qui nous conduit sur le chemin de la vie. La foi nous introduit dans un état où nous sommes pris par l’inquiétude de Dieu et fait de nous des pèlerins qui sont intérieurement en marche vers le vrai Roi du monde et vers sa promesse de justice, de vérité et d’amour. Dans ce pèlerinage, l’évêque doit précéder, il doit être celui qui indique aux hommes le chemin vers la foi, l’espérance et l’amour.
Radio Vatican : Benoît XVI qui impose les mains sur la tête de Mgr Georg Gänswein, agenouillé devant lui. C’est l’image que tout le monde gardera en mémoire de ce dimanche de l’Epiphanie. Le Pape, en la Basilique Saint Pierre, a ordonné évêque son secrétaire particulier, nommé aussi préfet de la Maison Pontificale. Trois autres prélats ont reçu l’ordination épiscopale : le nigérian Mgr Fortunatus Nwachukwu, qui devient nonce au Nicaragua, le français Mgr Nicolas Thévenin, qui devient nonce au Guatemala, et Mgr Vincenzo Zani, récemment nommé secrétaire de la Congrégation pour l’Education catholique.
Le Pape, dans son homélie, a voulu parler des qualités que devraient avoir les évêques. Des hommes « inquiets, qui doivent se préoccuper des autres hommes et être capables de leur indiquer la route vers la foi et le juste chemin de la vie ». Des hommes « courageux, valeureux, que le Seigneur envoie comme des agneaux au milieu des loups » et qui annoncent la vérité « en conflit avec la pensée dominante et avec l’agnosticisme aujourd’hui tout puissant et extrêmement intolérant ».
Georgina Dufoix a été secrétaire d'Etat à la famille (1981-84), ministre des Affaires sociales et de la solidarité nationale (1984-86), ministre chargée des questions familiales (1988), sous la présidence de François Mitterrand. Elle s'est convertie au protestantisme évangélique au début des années 90. Cette femme courageuse et engagée prend position contre le mariage pour tous et ira manifester le 13 janvier. Olivia Elkaïm l’ a interviewée pour “La Vie”
“Pourquoi apportez-vous votre soutien aux manifestants contre le mariage pour tous ?
François Hollande a annoncé pendant sa campagne qu'il souhaitait établir un mariage pour les homosexuels. Les Français ont voté pour lui, et donc en faveur de cette mesure. Mais il n'avait pas dit qu'il allait transformer le mariage tel qu'il est instauré. Sa proposition ne remplaçait pas les notions de père et de mère par une notion neutre qui change la vie de tous les Français.
Dans quelle mesure cela pose-t-il problème ?
Les statuts de mère et de père ont un impact dans l'intime de notre être. Il ne s'agit pas seulement d'un statut juridique. Ce sont des notions profondes et délicates qui nous structurent individuellement, dans le rapport aux autres, à la fois entre le père et la mère eux-mêmes, et dans la relation aux enfants et à la société dans son ensemble. Si François Hollande avait posé la question suivante : êtes-vous d'accord pour supprimer les mots père et mère du droit civil français et des codes qui régissent la famille, les Français s'y seraient opposés. Nos concitoyens n'ont pas compris que derrière le mariage des homosexuels, c'est la théorie du genre qui est insufflée dans la société française. Cette théorie qui vient des Etats-Unis estime qu'homme et femme sont interchangeables.
Une note sur ce sujet a été mise en ligne par un prêtre du diocèse de Tournai et qui y dirige l'Institut Supérieur de Théologie :
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le message de l'Église aux personnes qui ont une tendance homosexuelle |
La grandeur du message de l’Église catholique aux personnes homosexuelles est réelle, mais elle n’apparaît pas facilement. Il y a eu trop souvent par le passé des propos très durs et abrupts sur l’homosexualité dans des discours officiels ; et d’autre part l’Église catholique passe aux yeux de beaucoup pour homophobe parce qu’elle refuse simplement de considérer l’homosexualité comme une orientation équivalente à l’hétérosexualité.
Pourtant réputée pour sa prudence de sioux, soucieux de respecter la «liberté de conscience» inscrite dans la loi Debré, la direction de l'Enseignement catholique de France est en effet sortie du bois le 12 décembre en envoyant une lettre aux 8500 chefs des établissements catholiques sous contrat. Rappelant «des références sociales aussi fondamentales que le mariage, union d'un homme et d'une femme», le texte invite chaque établissement à «prendre les initiatives qui lui paraissent localement les plus adaptées pour permettre à chacun l'exercice d'une liberté éclairée à l'égard des choix aujourd'hui envisagés par les pouvoirs publics». Si certains y voient un appel à peine déguisé à participer à la manifestation du 13 janvier contre le mariage gay, Éric Delabarre, le secrétaire général de l'enseignement catholique s'en défend, mettant en avant le débat qui doit enfin s'ouvrir «en conscience et avec clairvoyance».
Dans une lettre adressée à tous les recteurs de France le ministre français de l'Éducation nationale a décidé aujourd'hui de recadrer l'enseignement catholique au sujet du mariage gay. Il appelle à «la plus grande vigilance à l'égard des conditions du débat légitime qui entoure le mariage pour tous (...) notamment dans les établissements privés sous contrat d'association. Le caractère propre de ces établissements ne saurait leur permettre de déroger au strict respect de tous les individus et de leurs convictions». Interviewé par Le Monde, le ministre est allé plus loin, évoquant «une faute» de l'enseignement catholique.
Dans une interview accordée aujourd’hui au « Figaro » Laurent Wauquiez (photo) s'insurge contre les propos «scandaleux» du ministre de l'Éducation. Député (UMP) de la Haute-Loire, Laurent Wauquiez a été ministre chargé des Affaires européennes puis ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche. Conseiller politique de l'UMP depuis 2009, il a fondé La Droite sociale, un club de réflexion de parlementaires voué à faire entendre la sensibilité sociale au sein de la droite :