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Au rythme de l'année liturgique - Page 226

  • Troisième dimanche de l’Avent : « Gaudete »

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    Chasuble-rose.jpgAntienne ad introïtum missae (phil. 4, 4-6) : Gaudete in Domino semper : iterum dico, gaudete. Modestia vestra nota sit omnibus hominibus : Dominus enim prope est. Nihil solliciti sitis : sed in omni oratione petitiones vestrae innotescant apud Deum (Soyez toujours joyeux dans le Seigneur : je vous le répète, soyez joyeux. Que votre sérénité soit remarquée par tous les hommes, car le Seigneur est proche. Ne vous inquiétez de rien, mais qu’en toute prière vos besoins se fassent connaître auprès de Dieu)

    Le dimanche rose C’est un dimanche de joie pendant l’Avent. Comme des enfants qui attendent impatiemment l’Enfant-Jésus, nous ne pouvons plus maîtriser la joie que nous cause la venue du Seigneur ; ce sentiment de joie nous domine. Cette joie est comme une joie de Noël anticipée. La couleur liturgique est au lieu de violet, le rose. Le rose est une atténuation du violet, il tient par conséquent le milieu entre la couleur de la pénitence et celle de la joie ; il signifie une joie modérée, une joie anticipée. On peut, aujourd’hui, à la différence des autres dimanches de l’Avent, orner l’autel de fleurs et les orgues se font entendre. A la grand’messe, le diacre et le sous-diacre portent la dalmatique et la tunique.

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  • Quand Noël supplante Pâques

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    Une réflexion de Jean-Michel Castaing sur Liberté Politique

    Un signe des temps : Pâques supplanté par Noël

    Noël reste, de très loin, la fête chrétienne la plus populaire, la plus aimée. Qui s'en plaindrait ? Cependant, cette prédilection est-elle un signe de bonne santé spirituelle ? Au risque de  jouer les trouble-fête, il est permis d'en douter.

    EXPLIQUONS-NOUS. En donnant la priorité, dans son affection, à la Nativité au détriment de Pâques, l'opinion la lui accorde également dans sa « théologie », aussi sommaire que soit cette dernière. Si un sondage interrogeait les Français sur l'événement liturgique le plus important du christianisme, il y a de fortes chances en effet que la Nativité soit désignée comme le sommet des célébrations de la religion initiée par le Christ.

    Or, il n'en est rien. C'est Pâques qui constitue le moment décisif de l'année liturgique, le centre autour duquel gravitent toutes les autres fêtes, Noël, l'Assomption ou la Toussaint. Malheureusement, cette donnée fondamentale de la foi n'est plus intégrée par la majorité de la population. Dans son esprit, Noël a pris la place de Pâques. Plusieurs raisons expliquent cette éviction. Je ne m'attarderai pas ici à les énumérer toutes. Je me pencherai plutôt sur ce dont cette éviction de Pâques est le signe en ce qui regarde la compréhension du christianisme par une bonne partie de l'opinion, et ce que nous pouvons en conclure relativement à la santé spirituelle de nos contemporains.

    Une société qui ne marche plus qu’à l'affectif : « je like » ou « je like pas »

    Tout d'abord, en faisant passer Noël avant Pâques dans l'ordre d'importance des célébrations, nos pays sécularisés font déjà l'économie du carême ! Sans doute ignorent-ils que l'Avent reste pour les chrétiens orthodoxes une rude période de jeûne. Mais pourquoi leur demander de connaître la tradition des autres alors qu'ils ignorent la leur ? Toujours est-il que dans l'esprit de beaucoup de personnes, se préparer à Noël est moins ardu que faire place nette dans son esprit à la mort et la résurrection de Jésus.

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  • Ah si vous aviez écouté mes enseignements... (Isaïe)

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    Homélie du jour par le père Joseph-Marie Verlinde (Homelies.fr - Archive 2007)

    Le Seigneur se fait suppliant ; par la voix du prophète Isaïe, il déverse la plainte de son cœur de Père : « Ah si vous aviez écouté mes enseignements, si vous vous étiez attachés à mes commandements, vous marcheriez sur des chemins de justice et de paix durables. Vous seriez “comme un arbre planté près d’un ruisseau, qui donne du fruit en son temps, tout ce que vous entreprendriez réussirait” (Ps 1). Hélas vous n’avez pas écouté ma voix : refusant de vous laisser guider, et méprisant mes conseils, vous avez préféré décider vous-mêmes de la voie à suivre, n’écoutant que la malice de vos cœurs enténébrés par le péché. Vous vous êtes fourvoyés dans vos pensées tortueuses, vous entraînant les uns les autres sur des chemins de perdition ». 

    Non seulement nous sommes rebelles et refusons d’écouter notre Dieu, mais nous prétendons même lui dicter le comportement qu’il devrait adopter. C’est bien ce que Jésus dénonce à travers la parabole des jeux d’enfants. Le jeu consiste pour un des groupes à mimer par la danse ou les pleurs, la tonalité de la musique entonnée par l’autre. Celui qui ne reconnaît pas la mélodie ou se trompe d’attitude, est exclu. A travers cet exemple, Jésus reproche à ses auditeurs de ne plus laisser d’espace à l’imprévu de Dieu, de ne plus être ouverts aux initiatives toujours déconcertantes par lesquelles le Seigneur conduit l’histoire sur des chemins qui ne sont pas les nôtres. Au lieu de se laisser interpeller par la parole prophétique du Baptiste les appelant à la conversion, les contemporains de Jean-Baptiste se sont fermé les oreilles en prétextant qu’il était possédé ; au lieu de se laisser toucher par la miséricorde de Jésus qui mange à la table des exclus, ils l’accusent de complicité avec « les publicains et les pécheurs ». Par leur attitude, les scribes et pharisiens trahissent qu’ils se sont érigés eux-mêmes en norme ultime de comportement. Prétendant posséder la clé d’interprétation des Ecritures et parler en leur nom, ils se posent en maîtres de justice, « connaissant le bien et le mal » (Gn 3, 5). Ils n’ont de comptes à rendre à personne, pas même à Dieu dont ils ont orgueilleusement usurpé la place. Notre-Seigneur aurait beau leur donner tous les signes qu’ils réclament : cela n’y changerait rien, car ils sont aveuglés par leur soif de pouvoir. 

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  • Notre-Dame de la Guadalupe, Impératrice du Mexique et Reine de l'Amérique (12 décembre)

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    our-lady-of-guadalupe2.jpgAmérique, sois généreuse!

    Fête de Notre Dame de Guadalupe

    (Zenit.org« L’Amérique – du Nord et du Sud – est appelée à être une terre où les différents peuples s'unissent ; une terre prête à accepter la vie humaine dans toutes ses étapes ; une terre qui accueille les immigrés, les pauvres et les marginaux. Une terre de générosité », exhorte le pape lors de l’audience générale de ce 11 décembre 2013.

    Le pape François a adressé un message au continent américain pour la fête de Notre Dame de Guadalupe, « Impératrice du Mexique et Reine de l'Amérique », célébrée demain, 12 décembre. Il l’a lu en espagnol, après la catéchèse de ce mercredi matin, place Saint-Pierre. Un de ses collaborateurs a ensuite lu le même message en anglais.

    Message du pape François

    Demain, c'est la fête de Notre Dame de Guadalupe, Patronne des Amériques. Je tiens à saluer tous mes frères et sœurs de ce continent, et je le fais en pensant à la Vierge de Tepeyac.

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  • BXL, 13 décembre : L'Oratorio de Noël de J.S. Bach

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  • Le pape François, dévot de l'Immaculée

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    Rome, 8 décembre 2013 (Zenit.org)

    « Le Seigneur vient ! Attendons-le ! »,  a exhorté le pape François avant la prière de l’angélus, méditant sur la beauté de la Vierge Marie, l’Immaculée en disant : « Elle nous enseigne à vivre ce temps de l’Avent dans l’attente du Seigneur ».

    Le pape a invité la foule à invoquer avec lui trois fois le qualificatif biblique donné par l’Ange à la Vierge Marie dans l’Evangile de l’Annonciation: « pleine de grâce », ou, dans la traduction liturgique de la bible, « comblée-de-grâce ».

    Paroles du pape François avant l’angélus

    Chers frères et sœurs, bonjour,

    Ce deuxième dimanche de l’Avent tombe le jour de la fête de l’Immaculée Conception de Marie, et alors notre regard est attiré par la beauté de la Mère de Jésus, notre Mère ! C’est avec une grande joie que l’Eglise la contemple « pleine de grâce » (Lc 1, 28), et, en commençant par ces mots, nous la saluons tous ensemble : « Pleine de grâce ». Disons trois fois : « Pleine de grâce ! » Tous : « Pleine de grâce ! Pleine de grâce ! Pleine de grâce ! » Et ainsi, Dieu l’a regardée dès le premier instant de son dessein d’amour. Il l’a regardée, belle, pleine de grâce. Elle est belle, notre Mère ! Marie nous soutient sur notre chemin vers Noël, parce qu’elle nous enseigne à vivre ce temps de l’Avent dans l’attente du Seigneur. Parce que ce temps de l’Avent est une attente du Seigneur, qui viendra tous nous visiter lors de la fête, mais aussi, chacun, dans notre cœur. Le Seigneur vient ! Attendons-le !

    L’Evangile de saint Luc nous présente Marie, une jeune-fille de Nazareth, petite localité de Galilée, à la périphérie de l’empire romain, et aussi à la périphérie d’Israël. Un petit village. Et pourtant, c’est sur elle, cette jeune-fille de ce petit village lointain, sur elle, que s’est posé le regard du Seigneur, qui l’a choisie pour être la mère de son Fils. En vue de cette maternité, Marie a été préservée du péché originel, c’est-à-dire de cette fracture dans la communion avec Dieu, avec les autres et avec la création qui blesse en profondeur tout être humain. Mais cette fracture a été guérie à l’avance dans la Mère de Celui qui est venu nous libérer de l’esclavage du péché. L’Immaculée est inscrite dans le dessein de Dieu ; elle est le fruit de l’amour de Dieu qui sauve le monde. »

    Et la Madone ne s’est jamais éloignée de cet amour : toute sa vie, tout son être est un « oui » à cet amour, est un « oui » à Dieu. Mais certainement, cela n’a pas été facile pour elle ! Quand l’Ange l’appelle « pleine de grâce » (Lc 1, 28), elle en est « toute bouleversée », parce que, dans son humilité, elle se sent comme un rien devant Dieu. L’Angle la réconforte : « Sois sans crainte, Marie, car tu as trouvé grâce auprès de Dieu. Voici que tu vas concevoir un fils (…) et tu lui donneras le nom de Jésus » (v. 30). Cette annonce la bouleverse encore plus, aussi parce qu’elle n’était pas encore mariée avec Joseph ; mais l’Ange ajoute : « L'Esprit Saint viendra sur toi (…), c'est pourquoi celui qui va naître sera saint, et il sera appelé Fils de Dieu » (v. 35). Marie écoute, obéit intérieurement et répond : « Voici la servante du Seigneur ; que tout se passe pour moi selon ta parole» (v. 38).

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  • Immaculée

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    Immaculée 

    « Je suis l'Immaculée Conception », Lourdes, 1858). Paroles étranges et suspectes, diront certains. Comme par hasard, la Vierge reprend les termes du dogme défini par l'Eglise quatre ans auparavant. Relation de cause à effet ? Invention faite par sainte Bernadette  ou par des prêtres trop zélés ? Il en est qui franchissent le pas. Sauf que... sauf que cette affirmation avait déjà été formulée en 1830. « ô Marie, conçue sans péché, priez pour nous qui avons recours à vous » (Paris, rue du Bac). Donc, s'il y avait copie, la faute reviendrait à l'Eglise plutôt qu'à l'apparition de Lourdes. Allons plus loin. S'il y a erreur, la responsabilité semble revenir aussi à l'Ecriture et plus spécialement à l'ange Gabriel qui nous dit que Marie est pleine de grâce et qu'Elle est bénie entre toutes les femmes. En lisant entre les lignes, il est loin d'être absurde d'en conclure qu'Elle est immaculée. Ces paroles que nous disons en priant le « Je vous salue Marie » sont donc des paroles célestes. Cela, tout catholique un peu éclairé le sait. Par contre, peu savent la provenance de la deuxième partie de l'Ave Maria. D'où proviennent les paroles : « Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous maintenant et à l'heure de notre mort »? De l'Evangile également ? Non, elles ne s'y trouvent pas. Alors d'où viennent-elles ? Qui en est l'auteur ? Langue au chat ?... Eh bien, elles sont de saint Simon Stock ; carme anglais du XIIIe siècle qui les a prononcées juste avant sa mort. Peu de temps après, l'Eglise a choisi de les ajouter à  la salutation angélique, d'où le « Je vous salue Marie »  que nous connaissons depuis lors et qui est sans doute la prière la plus récitée au monde…

    Jean-Pierre Snyers (jpsnyers.blogspot.com)

    illustration : Notre Dame donnant le Rosaire à saint Dominique et le Scapulaire à saint Simon Stock. Eglise Saint-Pierre-et-Saint-Paul (ancien couvent des Cordeliers). Lons-le-Saulnier. Jura. XVIIIe.

  • Affichons Noël à nos fenêtres

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    L'affiche "Noël dans la Cité" 2013 est disponible;

    elle peut être commandée GRATUITEMENT et en autant d'exemplaires souhaités

    à l'Aide à l'Eglise en Détresse;

    cliquer sur ce lien

  • A la venue de Noël...

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    ... chacun se doit bien réjouir, car c'est un testament nouvel que tout le monde doit tenir (comptine provençale).

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    Pierre Matot a débuté sa carrière comme professeur d’orgue, d’harmonie et de solfège au conservatoire de Huy. Il fut ensuite chargé de cours d’orgue et professeur d’harmonie au conservatoire royal de Liège et termina sa carrière d’enseignant comme directeur de l’Académie Grétry à Liège. Ses récitals d’orgue l’ont conduit dans plusieurs pays d’Europe, aux Etats-Unis et au Mexique. Notamment associé au corniste Francis Orval, au violoniste Michel Leclerc, à la mezzo Cécile Leleux, il participa aussi à plusieurs concerts donné par l’orchestre philharmonique de Liège.

    Au programme de son récital :  kyrie anonyme (XIVe s.), œuvres de Conrad Paumann (XVe s.),Thomas de Santa Maria, Antonio de Cabezon et trois anonymes (XVIe s.), Johann Pachelbel (XVIIe s.), Jean-Sébastien Bach et Wolfgang-Amadeus Mozart (XVIIIe s.) et César Franck (XIXe s.).

    L’orgue de l’église du Saint-Sacrement est un instrument reconstitué et harmonisé à l’ancienne en 1983 par le facteur d’orgue André Thomas (Ster-Francorchamps), à partir des vestiges de l’orgue de Sibret, près de Bastogne. Il servit jusqu’en 1995 à la chapelle Saint-Lambert (XVIIIe s.) à Verviers, avant d’être racheté pour l’église du Saint-Sacrement à Liège (édifice achevé en 1766).

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    NOËLS A L'ORGUE

    Eglise du Saint-Sacrement à Liège (Bd d’Avroy, 132), samedi 7 décembre 2013, 11 heures. Entrée libre. Apéritif offert à l’issue du concert, dans les locaux attenant à l’église.

     JPSC

  • Avent : faire retraite sur le web

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    Différentes propositions :

    cfr : http://info.catho.be/2013/11/28/ces-cyber-retraites-qui-vous-font-vivre-lavent-autrement/#.UpsuqsRWySo

     

    1. Vers la lumière : Retraite de l'Avent « Notre Dame du Web

      www.ndweb.org/2013/11/retraite-avent-2013/
       
      21 nov. 2013 - Vers la lumière : Retraite de l'Avent. flier avent 2013 v2. 8 propositions s'articuleront autour de chaque semaine : un édito donnant la tonalité ...
      1. Retraite dans la Ville

        www.retraitedanslaville.org/
         
        Le cœur de Retraite dans la Ville est le couvent des frères dominicains de ... Aventdans la Ville ... Approfondissez votre foi sur la web tv du Jour du Seigneur.
        1. Retraite en ligne | Province de Paris des Carmes Déchaux

          www.carmes-paris.org/retraite-en-ligne/
           
          Pour vivre l'Avent 2013, la Province des Carmes de Paris vous propose une retraiteavec Élisabeth de la Trinité, carmélite béatifiée en 1984 par Jean-Paul II et  ...
        2. Retraites en ligne avec les Fraternités de Jérusalem | Facebook

          https://www.facebook.com/retraitesavecjerusalem
           
          Depuis 2007, les Fraternités de Jérusalem proposent sur leur site de vivre des ... Bien sûr, rien ne remplace une «vraie» retraite avec ce que cela implique de mise à ...L'homélie de la Solennité de Toussaint 2013 à Saint-Gervais, par frère  ...
          1. Cyber retraite Avent - Notre Dame du Cénacle

            www.ndcenacle.org/page-1105.html
             
            La structure de cette cyber-retraite repose sur : ... La cyber-retraite de l'Avent de Notre Dame du Web aide chaque année plus de 8.000 ... 2013-01-ouganda  ...
          2. Et aussi : "Monastère Invisible" http://www.monastere-invisible.com/enseignement.php
  • Les intentions de prière du pape pour décembre 2013

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    Intention de prière universelle :  La protection des enfants
    Pour que les enfants victimes de l'abandon et de toute forme de violence 
    puissent trouver l'amour et la protection dont ils ont besoin.

    Intention de prière pour l'évangélisation : La mission des chrétiens 

    Pour que les chrétiens, illuminés par la lumière du Verbe incarné, 
    préparent l'humanité à l'avènement du Sauveur.

    source

  • Liège : les prêtres sont de retour au confessionnal

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    3621671362_e2d44f8bf8_m.jpgLes plus anciens s’en souviennent : à  l’église Saint-Denis à Liège, tous les jours que Dieu fasse, on trouvait autrefois un confesseur de permanence. Grâce, notamment, à la persévérance du doyen de Liège (rive gauche), Eric de Beukelaer, ce temps est aujourd’hui de retour, comme le précise un communiqué :  

    « (...) A partir du lundi 2 décembre 2013, début du temps de l'Avent (la préparation spirituelle à Noël), il y aura donc à nouveau un prêtre à l'écoute à Saint-Denis, tous les matins du lundi au vendredi (de 10h à 12h, avec la Messe à 11h30) et tous les après-midis du lundi au jeudi, ainsi que les 4° vendredis du mois (de 15h à 17h). Dans un monde où tant de personnes cherchent une oreille bienveillante et attentive pour quelque peu se décharger du fardeau du jour, chacun - croyant ou non, pratiquant ou peu - est le bienvenu à Saint-Denis (Place Saint-Denis et Rue Cathédrale, 66, 4000 Liège) ».

    Reste à rendre aux chrétiens et à l’âme religieuse populaire, qui n’est pas nulle dans cette ville, le sens même de la confession, ce grand sacrement délaissé : toute une éducation à refaire. JPSC.