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Belgique - Page 437

  • "Ne vous quittez pas"

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    Peut-être ce texte a-t-il déjà beaucoup circulé depuis les quelques années où il a été composé...

    Pourtant, il garde toute sa fraîcheur et son actualité et c'est pourquoi nous vous invitons à le découvrir ou à le redécouvrir...

     

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  • Le 15 mars : une rencontre pour femmes : "Dieu et moi: une grande aventure"

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    Rencontre pour femmes du 15 mars 2011.jpg

    à la Shekinah, à Woluwe Saint-Pierre, chez les sœurs Annonciades d'Heverlee

    Mardi 15 mars
        "Dieu me pardonne"
        avec le Père Patrick/Marie Jeunesse
        Adoration et confessions
    Les rencontres ont lieu de 9h00 à 11h45.

  • De la pénitence à la réconciliation, à Liège aussi mais comment ?

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    Reconciliation.JPG"Depuis le début de son pontificat, Benoît XVI met souvent l’accent sur la pénitence. Une notion qui semblait tombée en désuétude, mais que des catholiques redécouvrent aujourd’hui, à travers le sacrement de réconciliation..."

    la Croix s'en fait l'écho cliquer ICI

    ...et le diocèse de Liège de publier une brochure sur le même thème :

     "Célébrer la réconciliation"

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  • Une étude franco-belge dirigée par un professeur liégeois sur le "locked-in syndrome"

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    Le-syndrome-d’enfermement-«-locked-in-syndrome-»_Stopsante_774.jpeg"Locked-in syndrome : une majorité de patients heureux" Une étude dirigée par le professeur de neurologie Steven Laureys de l'université de Liège et publiée sur le site du journal britannique BMJ Open*, indique que des patients atteints de locked-in syndrome (LIS) se disent en majorité "heureux" en dépit de leur handicap important. Cette maladie neurologique rare survient le plus souvent après un accident vasculaire cérébral. Les patients sont conscients et conservent leurs facultés intellectuelles mais totalement paralysés. Ils peuvent communiquer par des clignements de paupières ou des mouvements des yeux et dans certains cas peuvent recouvrer le contrôle des doigts, de la tête ou des pieds, voire la parole.

    Menée en lien avec le CHU de Nîmes et l'association française Alis (association pour le locked-in syndrome), cette étude franco-belge avait pour objectif d'évaluer la qualité de vie de ces patients. 168 patients membres d'Alis ont été interrogés "sur leur histoire médicale, leur état émotionnel et leur qualité de vie" avec le concours des personnels soignants. Sur les 91 patients qui ont répondu, 65 ont répondu complètement. Parmi eux, 72% (47 patients) ont déclaré être heureux et 28% (18 patients) malheureux. Seul 4 patients ont indiqué qu'ils opteraient pour l'euthanasie.

    "Cette étude montre d'abord qu'en dépit d'un handicap très lourd, il est possible de vivre avec cette pathologie" et que "contrairement à ce que certains peuvent penser, la vie avec cette pathologie vaut bien la peine d’être vécue" explique le Pr. Laureys. Il relève que sur les 91 patients ayant répondu, les deux tiers vivent chez eux avec un partenaire et la plupart (70%) ont des croyances religieuses. Si l'on ne peut "rester sourd face à la souffrance profonde" que révèle l'option pour l'euthanasie chez quelques-uns, le Pr. Laureys constate que les réponses varient selon la durée du syndrome. "On constate qu'il existe des phases différentes dans la maladie avec une sorte d'adaptation au fil du temps. On remarque par exemple que les personnes qui ne sont pas heureuses sont en général atteintes depuis moins d'un an par ce syndrome" précise le Pr. Laureys qui souligne la nécessité de comprendre leur désarroi.  "C’est un message que la médecine mais aussi la société tout entière doivent entendre, notamment en facilitant l’accès à des services de rééducation qui, en France, est loin d’être optimal". Parmi les critères d'insatisfaction évoqués se trouvent l'anxiété et le manque de mobilité et de distraction.

    Pour les auteurs, les résultats de cette étude contribuent au débat européen sur le suicide assisté que certains veulent rendre accessible à ces patients. Selon eux, les demandes de suicides assistés ne peuvent être considérées comme valides tant que les patients n'ont pas eu "une chance d'atteindre un état stable de bien-être subjectif".

    * BMJ Open, "A survey on self-assessed well-being in a cohort of chronic locked-in syndrome patients: happy majority, miserable minority", Marie-Aurélie Bruno, Jan L Bernheim, Didier Ledoux, Frédéric Pellas, Athena Demertzi, Steven Laureys
     

    Généthique.org

    La Croix (Pierre Bienvault) 25/02/11 - Le Quotidien du médecin (Dr. Guy Benzadon) 25/02/11 - Rtbf.be 24/02/11 - Les Echos.fr 24/02/11

  • Cathobel en remet une couche

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    p07_anne_morelli_(600_x_600).jpgPublicité gratuite sur Cathobel, l'agence interdiocésaine d'information religieuse: encore un caucus sur le célibat des prêtres (cliquez ici :  http://www.catho.be/index.php)! C’est dimanche prochain,  27 février, dans l’émission de la RTBF « Et  dieu (avec minuscule évidemment) dans tout cela » de l’animateur Jean-Pol Hecq : avec deux libre-exaministes bon teint : Baudouin Decharneux, directeur du Centre Interdisciplinaire d’Etudes des Religions et de la Laïcité (CIERL) de l’Université Libre de Bruxelles et son adjointe, l’inénarrable Anne Morelli ainsi que l’abbé Eric de Beukelaer, ancien porte-parole du cardinal Danneels, pour jouer le rôle du chrétien de service. En fait, il s’agit d’ une resucée d’un débat organisé par l’ULB au mois de novembre 2010. Sur le même sujet, Cathobel vous invite, en prime, « à ne pas manquer l’édito » du P. Charles Delhez dans l’édition du journal paroissial « Dimanche » qui paraîtra le même jour. Nous avons déjà dit tout le mal que nous en pensions dans ce « post » :Encore le célibat des prêtres et l’ordination sacerdotale des femmes

  • Le problème belge vu d'Italie

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    Un avenir incertain attend la Belgique ces prochains mois. Habitué depuis toujours à lutter – il suffit de penser aux deux occupations endurées du fait de l’Allemagne au cours di siècle précédent – le peuple belge, depuis plus de 250 jours, n’a plus de gouvernement: jamais jusqu’ici un peuple n’aura vécu une telle expérience.

    Les affaires courantes sont confiées au premier ministre sortant, le chrétien démocrate Yves Leterme, sui avait démissionné en avril 2010. Après l’organisation d’élections anticipées, le pays attendait la sortie de la crise grâce à un vainqueur en mesure de forer un nouveau gouvernement, traditionnellement composé d’une coalition entre plusieurs partis. Les résultats, d’où émerge, au niveau national, le parti socialiste, n’ont pas permis de dégager une majorité stable. Des tentatifes en ve sens ont été effectuées par l’Italo-Belge Elio Di Rupo, président du Parti Socialiste wallon (Ps), et par Bart De Wever, leader des sécessionnistes flamands  modérés de la N.V.A. 

    Récemment, le Roi Albert II, a chargé Didier Reynders, ministre en charge de l’économie, de proposer au parlement la discussion de mesures budgétaires, dont l’approbation est nécessaire pour le déroulement normal de la vie de l’Etat.      

    L’impasse institutionnelle reflète la structure fédérale du pays.  Depuis 1993, le pays est divisé en trois régions: la Flandre (13.522 km² et environ 6,2 millions d’habitants), néerlandophones; la Wallonie (16.884 km² et environ 3,5 millions d’habitants), francophones, et la Region de Bruxelles-Capitale (1,1 milion d’habitants francophones pour la plupart). La Flandre produit 58% du P.I.B.l du pays, la Wallonie 23,3 %. Depuis longtemps les Flamands manifestent une certaine intolérance dans les conflits avec les régions francophones accusées de se laisser assister et de n’avoir qu’une production médiocre.

    A la lumière des divisions existantes, les catholiques, dont la présence a été longtemps primordiale dans l’histoire du pays, peuvent retrouver un rôle de premier plan dans les initiatives pour maintenir l’unité nationale. Depuis son indépendance, survenue en 1830 dans le sillage de la révolution libérale qui avait éclaté dans la France voisine,  la nation belge a put compter sur le soutien des catholiques. Après la séparation d’avec le Royaume des Pays-Bas, ‘Eglise belge fut réorganisée par le cardinal Engelbert Sterckx (1792-1867), archevêque de Malines de 1830 al 1867. A la moitié du XIXe siècle, le catholicisme belge fut en mesure de se poser en modèle pour les catholiques des autres pays, grâce à une collabration fructueuse entre le clergé et les laïcs; ces derniers, comme le rappelait l’historien Roger Aubert, «surent comprendre qu’un loyalisme inconditionnel à l’égard de la foi chrétienne, de l’Eglise et du pape était parfaitement compatible avec une largesse d’esprit, ouverte aux aspirations de son temps et surtout à l’égard de ce qu’il y avait de sain et de fondamentalement chrétien dans les intuitions du libéralisme moderne».

    Malgré sa vitalité, l’Eglise belge aut fort à faire, que ce soit avec le groupe libéral au pouvoir, ou avec la classe ouvrière du pays. Des dispositions anticléricales furent imposées par la majorité libérale tout particulièrement dans le domaine scolaire. La réaction de l’Eglise fut définie lors des congrès de Malines (1863, 1867 e 1909) qui permirent aux catholiques de réagir aux attaques grâce à l’élaboration d’un modèle social alternatif  et à la mise sur pied d’un parti catholique en mesure de participer à la direction du pays avec les autres forces politiques.

    Durant les années qui ont suivi, grâce à la Ligue démocratique et à l’apport de l’Université Catholique de Louvain - la seule université catholique du  monde à organiser toutes les facultés -les catholiques belges participèrent au développement du pays et au développement du catholicisme en général. Le prestige international dont jouit la Belgique dans l’Union Européenne et dans les plus importantes institutions internationales est du en partie à la contribution du catholicisme belge.     

    Récemment, comme l’évoquent les pères jésuites de La Civiltà Cattolica, le clergé belge a été confronté «à la révélation des actes pédophiles commis il y a 25 ans par l’évêque de Bruges. Cet aveu suivi de sa démission, a donné l’occasion aux évêques de Belgique, et en particulier au nouvel archevêque de Malines-Bruxelles, Monseigneur André-Joseph Léonard, successeur du cardinal Godfried Danneels, de manifester leur ferme détermination de donner la priorité au sort des jeunes victimes des abus sexuels, plutôt que de chercher à sauver à tout prix la réputation de l’institution ecclésiale». Malgré les scandales et les attaques subies, le catholicisme belge s’efforce de recouvrer un rôle de premier plan dans la société.

    En ce qui concerne la vie politique, il ne reste qu’à souhaiter l’adoption d’une solution équitable, capable de rencontrer les requêtes des diverses composantes nationales. La charge dévolue aux formations politiques, lesquelles ont manifesté récemment plus d’intérêt pour condamner les déclarations du pape à propos de l’usage du préservatif dans la lutte contre le SIDA en Afrique que pour résoudre les problèmes du pays.

    par Lorenzo Carlesso, La Bussola Quotidiana, 25/2/2011 (traduit par nos soins)

  • Monseigneur Léonard au Cercle de Lorraine

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    40760000_01_facace Merode.jpgSous la signature de Christian Laporte, la Libre Belgique de ce jour se fait l’écho de la causerie que Monseigneur Léonard a faite ce jeudi midi au très huppé Cercle de Lorraine face au palais de justice de Bruxelles.  Le Primat de Belgique y fut introduit par le Grand rabbin de Bruxelles face à une salle comble où figurait notamment l’ancien ministre Mark Eyskens.

    Quelques traits à retenir :

    L’archevêque a dit chercher une « complicité avec la base » : depuis un an, il a visité l’ensemble des doyennés de Bruxelles et a entamé le tour de ceux du Brabant flamand. Une belle occasion "de créer une complicité avec la base". Elle devrait continuer croître avec les trois nouveaux évêques auxiliaires.

    Comme  à Namur, Mgr Léonard cherche et veut former des prêtres et les résultats ne se sont pas fait attendre : il ne put cacher sa fierté qu’alors qu’à son arrivée, voici à peine un an il n’y avait que 4 séminaristes (dont un ordonné depuis lors !) alors qu’ils sont 21 aujourd’hui. Certes 12 d’entre eux, proches du Chemin néocatéchuménal, ne sont pas Belges, mais il les a engagés à devenir très vite bilingues, au sens national du mot s’entend En espérant que les autres séminaristes autochtones, si l’on ose dire, se perfectionnent aussi dans nos deux langues nationales.

    Parmi ses chantiers, l’archevêque entend aussi mettre l’accent sur l’importance du mariage qui concerne "la cellule fondamentale de la société". Notamment en permettant aux couples unis de se redire oui lors de rassemblements cette année à Bruxelles et à Montaigu. Interpellé sur le mariage homosexuel, Mgr Léonard a rappelé que sur le plan politique, on mettait sur le même pied mariage traditionnel et mariage homosexuel. "D’accord que l’on prévoie pour les couples de même sexe une certaine sécurité économique mais pour moi, parler de mariage reste un abus de langage et un abus démocratique. Le Parlement n’a quand même pas une autorité métaphysique et anthropologique !"

    Mgr Léonard, évoquant enfin les persécutions faites aux chrétiens partout dans le monde, a déploré "la grande timidité des autorités occidentales". Il s’est réjoui de ce que l’Union européenne sorte enfin de sa léthargie mais son grand espoir est "que les chrétiens de chez nous prennent mieux conscience de leur identité, notamment dans la confrontation avec d’autres courants de pensée comme la laïcité ou l’islam..."

  • Grossesses : le Souffle de Vie au service des femmes et des couples

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    Le Souffle de Vie a pour but d'aider à long terme toute femme, tout couple, dont la grossesse peut être remise en question par une détresse quelle qu'elle soit.

    Solitude, adolescence, rejet familial, abandon du père…
    Risque de handicap ou handicap de l'enfant à naître…
    Handicap mental, physique ou social des parents…
    Alcoolisme, toxicomanie, pauvreté, Sida…

     

    Aider la femme (le couple) à prendre elle-même la décision qui lui semble la plus appropriée quant à la grossesse qu'elle vit en ayant cherché avec elle tous les éléments qui lui permettraient de poser un choix le plus objectif possible, en connaissance de cause.

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    Le Souffle de Vie propose son aide à toute personne, quels que soient sa nationnalité, son âge, sa conscience philosophique.

    Antenne générale :

    Jacques et Micheline PHILIPPE
    Avenue de Fré, 204
    B-1180 Bruxelles
    Belgique

    Tel : 0032/2/375.95.04
    Fax : 0032/2/375.57.36
    E-mail : info@souffledevie.be

  • Enseignement : des "faits divers" dérangeants

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    Un professeur de religion a présenté sa démission à l'Institut Jean XXIII de R., après avoir fait des commentaires à caractère sexuels à propos d'une élève de deuxième secondaire avec qui il chatait sur Facebook, relate SudPresse. "Bandantes, tes photos": voilà les propos graveleux que l'enseignant aurait tenu sur le physique de la jeune fille. "Quand il s'est présenté, lundi passé, à mon bureau, il a tout de suite annoncé qu'il avait dérapé et nous a expliqué la teneur de ses propos", indique le directeur de l'Institut. "Il connaissait la famille de la jeune fille bien avant son arrivée dans notre établissement scolaire. Mais ses parents ont découvert le contenu de ces dialogues. Le jeune professeur s'est rendu alors compte qu'il avait dérapé", ajoute-t-il. Le prof de religion a quitté l'établissement scolaire et le directeur a organisé une session d'informations pour les parents sur les dangers de Facebook ce jeudi soir à l'Institut. (vt) (24/2/2011) (7sur7)

    Une "jeune fille" de deuxième secondaire...

    Jusqu'où ira le n'importe quoi? On peut ajouter cet autre "fait divers" :

    "Un enseignant a eu un bébé avec une élève de 16 ans

    Le prof a été suspendu de ses fonctions avec une retenue sur salaire de 50%. Il porte plainte contre la Communauté française, relate La Dernière Heure. L'homme de 39 ans, qui enseigne en secondaire, a entretenu une relation avec une de ses élèves, âgée de 16 ans seulement, de laquelle est né un enfant. Une situation qui a provoqué l'émoi dans l'établissement mais surtout une sanction de la part de la Communauté française: six mois de suspension avec retenue de traitement de 50%. (...) L'enseignant a pris ses responsabilités en tant que parent et a continué à assurer ses cours. Quant aux parents de la jeune fille, loin d'être choqués, ils ont même fait savoir au préfet qu'ils étaient "heureux" de la situation." (7sur7)

  • Vous y comprenez quelque chose, vous?

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    Le charabia pédagogique des programmes de religion :

    "Le fait que le programme de religion catholique du secondaire mentionne à la fois des compétences terminales et des compétences disciplinaires est parfois source d'ambiguïtés : Lesquelles prendre en compte? Lesquelles évaluer et comment? "S'ouvrir à la culture" et "Connaître le christianisme" relève-t-il bien d'une compétence? etc. La terminologie "compétence terminale" est en fait peu pertinente : les compétences à exercer dans des séquences de cours et à évaluer au terme de celles-ci sont bien les compétences DISCIPLINAIRES. Les compétences terminales sont autant d'étapes, de balises, de phases dans le parcours pédagogique. Elles correspondent à la démarche scientifique que l'on retrouve dans bien d'autres cours (poser une question-problème ; se documenter pour y répondre ; synthétiser sa recherche et en communiquer le résultat) et sont présentées ici sous forme de "familles de tâches".

    Il s'agit de clarifier la distinction entre compétences terminales et compétences disciplinaires..."

    sur Enseignons.be

  • Dans les environs de Beauraing : la Marche des Mères

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    Dépêche cathobel 24/2/2011 :

    26-27 mars

    Prendre du temps pour soi, pour prier, pour se recentrer sur sa spiritualité, ... Les mères de famille (souvent nombreuse) attendent avec impatience ce week-end qui les rassemble et les nourrit.

    "Autour de toi il a fait sa demeure", tel est le thème choisi pour cette sixième édition.

    Ces deux journées se déroulent en marchant aux alentours de Beauraing. Des temps de prière, de recueillement, mais aussi de partages et de témoignages sont prévus, en alternance.

    Chacune des mamans (ou mamans en devenir) est accueillie avec son vécu, sans obligation particulière de pratique religieuse.

    Dans l'équipe organisatrice, on retrouve la communauté de l'Emmanuel, l'équipe de Rencontres pour Femmes, des membres de la communauté de Tibériade, ainsi que des mères de famille enthousiastes. C'est à Tibériade qu'aura lieu l'envoi sur les chemins, tandis que le week-end se clôturera à Beauraing même.
    Un trajet en bus est assuré, au départ de Bruxelles et Namur.

    Dates : du 26 au 27 mars 2011

    Informations : fc.decaix@gmail.com ou 02.343 87 00 - 0486. 63 35 10 ou 0494. 33 46 63