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Bioéthique - Page 28

  • Des nouvelles de la pétition "Un de nous" ("One of us")

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    Europe: pétition « Un de nous » - Mobilisation citoyenne

    ROME, 26 avril 2013 (Zenit.org) - L’initiative citoyenne européenne « Un de nous » a atteint à ce jour 249.254 signatures, il lui en reste 750.746 à atteindre pour arriver au million de signatures nécessaires provenant d’au moins 7 pays pour que cette question soit mise au programme politique de la Commission européenne.

    L’Initiative citoyenne Un de nous (« One of us » dans sa version internationale) est une des toutes premières lancées en Europe. Elle demande à l’Union Européenne de ne plus financer la recherche impliquant la destruction d’embryons humains.

    Trois pays ont franchi le seuil : Pologne 146,26 %, Italie 128,27%, Hongrie 115,24%, tandis que d’autres pays sont en passe d’y arriver : Lituanie 78,12%, Slovaquie 74,99%, Pays-Bas 56,69%, Slovénie 52,72% et Espagne 55,12%.

    La France, après le lancement officiel du 15 mars, continue à monter dans la classification des signatures en ligne, dépassant de peu l’Espagne et montant à la troisième place , après la Pologne et l’Italie.

    Le tableau général des signatures récoltées montre que l’Italie est en tête, suivie de la Pologne et de l’Espagne. En quatrième position se trouve la Hongrie et à la cinquième place la France, suivie de l’Allemagne.

    L'augmentation des signatures par rapport à la semaine dernière (232.249 de signatures totales), est chiffrée à environ 17.000. Cela n’est pas satisfaisant. Le défi de cette semaine vise donc les 50.000 signatures.

    Le 18 avril dernier, au parlement européen de Strasbourg et à la commission européenne de Bruxelles, une séance plénière et un workshop d’évaluation générale ont permis de faire le point des résultats, un an après l’introduction de l’initiative. La commissaire Cecilia Maalstrom, a fait valoir son succès malgré quelques problèmes qui doivent être résolus.

    Concernant la pétition elle-même « One of Us », il est question de simplifier le système pour permettre une participation plus large des citoyens. Les coordinateurs nationaux de l’initiative européenne sont les « capitaines » du Comité national de chaque pays européen. 26 pays en ont au moins un, seule Chypre pour le moment manque d’une personne de référence mais elle a le soutien officiel de l’Église orthodoxe.

    Le coordinateur de la France est Caroline Roux, celui de Belgique est Matthieu Bruynseel. Pour pouvoir les contacter où savoir qui sont les autres coordinateurs de chaque pays, se connecter au site www.oneoofus.eu.

    Il est également possible de contacter le Bureau de Coordination européen - One of Us qui a son siège à Bruxelles (205 Chaussée de Wavre, Tel. +0032 (2) 640 77 71; Mob. +0032 488 975 478; Email: info@oneofus.eu ,adelpino@oneofus.euepittino@oneofus.eu, Skype Account: oneofus13), où la coordinatrice Exécutive, Ana del Pino, ainsi que d’autres membres du bureau, sont là pour répondre à toutes les questions.

    Tout citoyen européen pouvant voter, peut avoir accès à la pétition et la signer en ligne à l’adresse www.oneofus.eu .

    « Un de nous » est sur twitter, facebook, google et youtube.

  • Bulletin de l'Institut Européen de Bioéthique (25/4/2013) : Projet pilote Alzheimer / Pilule accidents

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    Sommaire

  • Bulletin de l'Institut Européen de Bioéthique (18/4/2013) : anorexie, euthanasie, cellules souches

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    Sommaire

     

    Des patients anorexiques euthanasiés ? Un ministre réclame plus de transparence

    Catherine Fonck (cdH) a posé une question à Madame Laurette Onkelinx, ministre des Affaires sociales et de la Santé publique. La ministre cdH s’inquiétait d’avoir appris par voie de presse qu’une euthanasie aurait été pratiquée sur une personne qui souffrait d’anorexie. Elle s’étonnait car l’anorexie n’est pas une maladie incurable, et la situation médicale de cette personne n’était donc pas sans issue. Madame Onkelinx a répondu qu’elle ne disposait que des données communiquées dans les rapports de la Commission d’évaluation de la loi sur l’euthanasie, et que seuls cette Commission ou un juge sont habilités à se prononcer sur la légalité d’une euthanasie. Catherine Fonck s’est alors inquiétée du fait que la pathologie à l’origine de la demande d’euthanasie n’est pas toujours clairement mentionnée dans le rapport de la Commission d’évaluation. Madame Fonck s’est alors enquise de l’existence d’une procédure qui permettrait deconvoquer la Commission ou d’obtenir de sa part des réponses écrites.

  • Bulletin de l'Institut Européen de Bioéthique (13/4/2013) : avortement, Alzheimer, césariennes

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    Sommaire (cliquer sur les intitulés pour accéder aux articles)

  • La presse espagnole censure une pub pro-vie

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     Source: http://leblogdejeannesmits.blogspot.be

    Parmi cinq quotidiens nationaux espagnols, seul le quotidien La Gaceta a accepté de publier l'annonce suivante qui interpelle le ministre de la justice, Alberto Ruiz Gallardon du Partido Popular au pouvoir, à propos de l'avortement. El Pais, El Mundo, ABC, et La Razon ont choisi de refuser le visuel de pleine page, à la dernière minute.

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     « Il y a des enfants qui ne souriront jamais. Ils seront morts avant.  Par votre faute, M. le Ministre. »

    « Vous pourriez faire beaucoup pour les sauver et vous ne le faites pas. Simplement, comme tant de puissants de ce monde, vous regardez ailleurs devant l'assassinat massif d'enfants à naître. Ce n'est pas “l'interruption volontaire de la grossesse », ce n'est même pas “l'avortement” : c'est, en vérité, un crime horrible. 

    Vous et votre parti, le PP, vous avez promis la modification de la loi d'avortement, cette funeste loi promue par Bibiana Aido, et vous n'avez pas tenu la promesse. Trois cents enfants meurent chaque jour en Espagne comme conséquence d'une norme dont très sérieusement nous doutons qu'elle puisse mériter de porter le nom de “loi”. 

    Vous, M. le ministre, vous ignorez systématiquement la protection de la vie de l'enfant à naître. Si la vie ne fait pas partie de vos priorités, permettez-nous de douter de la bonté de votre hiérarchie des valeurs. Nous ne voulons pas penser que, parmi vos convictions, se trouve celle selon laquelle le corps du fœtus est le même que celui de la femme et que par conséquent, il peut être éliminé comme s'il s'agissait d'une tumeur. Nous ne voulons pas croire que vous ne savez pas ce que dit la science à ce propos. Nous ne voulons pas croire davantage que vous ne voulez pas que les enfants sourient, ou qu'ils jouent, libres, dans un  monde où – les puissants mis à part – ils sont aimés. Protégez le droit à la vie – le seul qui garantisse les autres droits de l'homme – et modifiez la “loi Aido”. Ne continuez pas d'entasser des erreurs qui coûtent, chaque année, des milliers de vies humaines. »

     L'annonce avait été rédigée et financée par les membres de la plateforme HazteOir (http://www.hazteoir.org) qui entendent maintenant chercher d'autres moyens de la faire circuler.

     Cette annonce intervient à un moment où la pression monte sur le gouvernement de « droite » de Mariano Rajoy pour honorer ses promesses, et semble-t-il fait peur dans les gros médias – mais que craignent-ils ? 

  • Euthanasie psychiâtrie et démence

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    Sommairedu Bulletin de l'Institut Européen de Bioéthique (IEB)


      L’euthanasie en psychiatrie est une alternative valable au suicide


      Euthanasie in de psychiatrie als een alternatief voor zelfdoding


      Euthanasie : position de la Ligue Alzheimer francophone


      Déclaration anticipée en fin de vie

  • Le scandale des embryons de laboratoire

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    "Le scandale des embryons de laboratoire"

     Le jour même de l'examen par l'Assemblée nationale de la proposition de loi autorisant la recherche sur les cellules souches embryonnaires humaines, Jean-Marie Le Méné, président de la Fondation Lejeune, publie une tribune dans le quotidien La Croix, retranscrite ci-dessous*. (SOURCE)

    Contrairement à ce que l’on pense, la première réforme de société à être votée par la gauche - et la plus grave - ne sera pas celle du mariage homosexuel. Dans l’ordre chronologique et d’importance, la première réforme consistera à remplacer le principe de l’interdiction de la recherche sur l’embryon (assorti de dérogations) par celui de l’autorisation. La proposition de loi est inscrite à l’ordre du jour de l’Assemblée nationale, le 28 mars, après avoir été votée au Sénat le 4 décembre.
     
    Il est un moment mystérieux où chaque être vivant, sans changer de nature, se développe et grandit entièrement dans la dépendance d’un autre. De même qu’il ne viendrait à l’idée de personne de contester qu’un embryon de souris est un être murin, aucun scientifique dans le monde ne conteste qu’un embryon d’homme est un être humain. C’est dans cette phase d’énergie vitale et de grande vulnérabilité que le législateur a choisi de l’instrumentaliser. Soyons précis : nous parlons d’embryons vivants qui seront supprimés dans le cadre de projets utilitaristes. A cette fin, certains êtres humains figurent sur une liste éloquemment intitulée "embryons surnuméraires dépourvus de projet parental". S’ils étaient réimplantés dans l’utérus, ils y poursuivraient leur vie suspendue par la cryoconservation.

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  • France, embryons humains : une combattivité payante

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    La France nous offre des exemples de mobilisation très encourageants qui devraient interpeller une Belgique qui semble enfoncée dans une situation de non-retour :
    France: maintenue, l'interdiction de la recherche sur l'embryon humain : réactions de l'Alliance Vita et de la Fondation Lejeune
    PARIS, 29 mars 2013 (Zenit.org) - Alliance VITA salue le maintien par l’Assemblée nationale française du principe d’interdiction de la recherche sur l’embryon humain.

    L’Assemblée nationale a mis en échec, le 28 mars 2013 la proposition de loi qui visait, sans réel débat préalable, à autoriser la recherche qui détruit l’embryon humain. Pour Alliance VITA, ce texte aurait bouleversé les conditions de la recherche sur l’embryon et les cellules souches embryonnaires, en supprimant l’interdiction de principe pour y substituer un cadre beaucoup plus large et flou. Cette discussion a eu lieu sans que les Français aient été préalablement consultés par des états généraux, comme le prévoit pourtant la loi bioéthique du 7 juillet 2011.

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  • France : la recherche sur l'embryon n'a pas été adoptée à l'Assemblée Nationale

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    On pourra lire le détail de l'échec des radicaux de gauche dans leur tentative de faire passer un projet de loi autorisant la recherche sur l'embryon à l'Assemblée Nationale française sur le site du Figaro.

  • France : encore quelques heures pour agir afin que l'embryon humain ne devienne pas du matériau de laboratoire

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    Soyons au rendez-vous avant qu’il ne soit trop tard.


    Urgence Assemblée Nationale : l’embryon humain ne doit pas devenir un matériau de laboratoire !

     

    Nous sommes à J-1 avant le passage en séance publique de la proposition de loi qui vise la levée de l’interdiction de la recherche sur l’embryon humain. 


    48 000 personnes ont déjà signé la pétition en ligne Vous trouvez ça normal ? pour maintenir le principe d’interdiction inscrit dans la loi de bioéthique.


    Objectif : 50 000 signatures avant le passage du texte à l’Assemblée Nationale demain, jeudi 28 !

     

    Un lien, un clic, une seconde !


    Besoin d’infos ?

    ·         Ecoutez l’interview de Jean-Marie Le Méné sur RCF ce matin, interrogé par Christian Vadon.

    ·         retrouvez en ligne tous les numéros du journal hebdomadaire de la campagne et le dernier.

    ·         Télécharger, lisez et diffusez le tract à décryptage express.

  • Se mobiliser pour l'embryon humain

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    Embryon d’Europe

    Par Tugdual Derville (Alliance Vita)

     

    Utilisant une toute nouvelle procédure de démocratie participative, une pétition internationale lancée dans les 27 pays européens pour défendre l’embryon humain démarre en France.

    C’est une « initiative citoyenne » internationale. Elle est dénommée « One of us » (Un de nous). La Fondation Jérôme Lejeune et Alliance VITA se sont associées pour la porter en France, tout en s’engageant à y impliquer d’autres associations. La pétition demande principalement à l’Union Européenne de ne plus financer la recherche impliquant la destruction d’embryons humains. Elle s’appuie sur un instrument de « démocratie participative » qui vient d’être mis en place pour rapprocher les institutions européennes de ceux que, de plus en plus, elles gouvernent.

    L’enjeu est simple : recueillir avant fin octobre 2013 un million de signatures provenant d’au moins 7 des 27 pays de l’Union Européenne. La procédure de recueil et de validation des voix obéit à des règles contraignantes avec, notamment, un numéro de pièce d’identité pour chaque signataire et la garantie que ses coordonnées ne seront aucunement utilisées à une autre fin. La pétition Un de nous a été déposée très tôt, dès le 11 mai 2012, par un groupe de personnalités, dont le Français Grégor Puppinck, mais il a fallu plusieurs mois aux diverses instances nationales pour préciser ces conditions du recueil des signatures et les décliner pour les deux modes possibles : formulaire à remplir par Internet ou à rassembler par courrier. Une signature s’apparente à un vote et obéit à des règles de confidentialité éprouvées.

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  • L'embryon humain n'est pas du matériel de laboratoire

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    Dignité de l'embryon: le card. Vingt-Trois appelle à la responsabilité

    Source: ZENIT.ORG

    "Les Français doivent être conséquents avec leur droit de vote", déclare le card. Vingt-Trosi qui appelle à al responsabilité face à des lois qui nieraient la dignité humaine.

    Ce samedi 23 mars,  dans son entretien hebdomadaire sur l’antenne de Radio Notre-Dame, le Cardinal André Vingt-Trois s’est exprimé au sujet du débat levant l’interdiction de la recherche sur l’embryon humain

    Radio Notre-Dame / Elodie Chapelle - Jeudi prochain 28 mars, une proposition de loi levant l’interdiction de la recherche sur l’embryon humain sera débattue à l’assemblée pour un vote solennel des députés le mardi 2 avril, c’est un texte qui a été validé en catimini par la Commission des Affaires Sociales le 20 mars. Votre réaction ?

    Cardinal André Vingt-Trois - Je pense que c’est une erreur grave par rapport à l’équilibre de notre société. Car quand on donne libre cours à toutes sortes de recherches sur l’embryon cela veut dire que l’on considère que l’embryon n’est rien et que c’est un matériau de laboratoire. Je sais bien qu’il y a des chercheurs qui sont beaucoup plus conscients de l’importance de l’acte qu’ils font et qu’ils ne sont pas tous irresponsables mais la loi de bioéthique qui a été votée en 2011 prévoyait qu’il y ait une autorisation préalable à la dérogation de l’interdit. Ce n’était pas parfait, mais cela avait l’avantage d’une part de maintenir l’interdit de principe, qui rappelle la dignité particulière de l’embryon humain, et d’autre part d’obliger les chercheurs à étayer leur demande sur un certain nombre d’arguments. Et on sait qu’un certain nombre de demandes ont été soit récusées, soit contestées en raison de la faiblesse des arguments qui étaient présentés pour obtenir la dérogation. Le fait que l’on supprime l’interdit a priori, cela veut dire qu’on laisse le champ libre à tous ceux qui voudront essayer quelque chose.

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