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Bioéthique - Page 28

  • BXL : à l'Institut Sophia : des cours de bioéthique ouverts à tous

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    logo.pngDes cours ouverts à tous !

    Le cours d’initiation aux  Questions de bioéthique  est ouvert à tous, et donc aussi aux adultes qui ne font pas l'année Sophia.

    Ce cours se donne en journée tous les lundis de 13h30 à 15h40 (congés scolaires exclus) à partir du 30 septembre 2013.

    Ils s’adressent à toute personne curieuse de comprendre et de communiquer sur toutes ces questions essentielles : Euthanasie des mineurs, Soins palliatifs - acharnement thérapeutique - Cellules souches - Avortement - Clonage thérapeutique -Thérapie génique - Clause de conscience, ...

    Ils sont assurés par Carine Brochier et se donnent dans les locaux de l’Institut d’Etudes Théologiques (IET), 24 Boulevard St Michel, 1040 Bruxelles. 

    La participation financière est de 120 euros (60 euros pour les moins de 30 ans) Coordonnées bancaires de l’asbl Sophia : Banque ING : 363-0055152-96 

    Infos : 0477 042 367 (Carine Brochier) - Inscriptions : institutsophia@yahoo.fr

  • Protéger l'embryon humain en Europe : avez-vous signé la pétition ?

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    one_of_us_logo.jpgIl n'est pas trop tard mais il est urgent de signer la pétition européenne pour la défense de l'embryon humain "One of us". Il faut un million de signatures; plus de 600.000 ont déjà été récoltées.

    C'est ici : http://www.undenous.fr/

    N'oubliez pas de transmettre cette pétition à vos parents, amis et connaissances. Il n'y a, jusqu'à présent, que 2300 signatures belges alors qu'il y en a 25000 pour les Pays-Bas !

  • Un de nous : mobilisation urgente pour protéger l'embryon en Europe

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    Chers amis,

    En Europe, les citoyens se mobilisent pour faire signer l’Initiative Citoyenne Européenne UN DE NOUS. L’enjeu : stopper le financement par l’Union européenne des programmes conduisant à la destruction d’embryons humains. En réunissant 1 million de signatures, la Commission européenne aura l’obligation de reconsidérer le financement de la recherche sur l’embryon et de tout programme menaçant l’être humain dès sa conception. Déjà plus de 20 000 signatures en France : Bravo ! Mais il reste beaucoup à faire, mobilisons-nous :
    OBJECTIF 60 000 SIGNATURES D'ICI CET ETE
     
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    L’Initiative Citoyenne Européenne est un nouvel instrument de démocratie participative pour les citoyens européens, avec des modalités légales de signature précises et encadrées. Il ne s’agit pas d’une simple pétition.

    La question est sensible en Europe : le budget européen de la recherche, en cours de négociation pour la période 2014-2020, crée des tensions éthiques entre les Etats membres. Plusieurs d’entre eux sont amenés à subventionner ces recherches, alors même qu’elles sont interdites par leur législation interne. 

    En France l’enjeu est brûlant d’actualité : le gouvernement vient de marquer sa volonté de faire voter avant cet été une proposition de loi visant à autoriser la recherche sur l’embryon. En signant UN DE NOUS, nous envoyons un signal fort d’opposition à cette dérive éthique majeure.

    Alliance VITA, la Fondation Jérôme Lejeune, les Associations Familiales Catholiques et le Comité Protestant évangélique pour la Dignité Humaine, unissent leurs forces pour recueillir les signatures des citoyens qui veulent se faire entendre. Il en va du respect de la dignité de chaque être humain.

    Voir Toutes les informations sur le site Undenous.fr : des conseils pour signer, des arguments, des articles d’actualité…
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  • La bioéthique et la transgression compulsive

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     Henri Hude | Mercredi, 15 Mai 2013


    Ces dernières années, un peu partout, on légifère à tour de bras sur la bioéthique.

    Mais beaucoup se demandent : n’avons-nous rien de mieux à faire ? Pourquoi cet acharnement, alors qu’il y a des défis bien plus urgents en ces temps de crise ? Pourquoi libéraliser l’euthanasie alors qu’on n’a jamais mieux contrôlé la douleur ? Pourquoi légaliser à tout prix le mariage homosexuel quand pratiquement personne ne le demande ? Pourquoi étendre sans arrêt les possibilités de la contraception et de l’avortement alors que nos populations décroissent à vue d’œil ?

    Le philosophe français Henri Hude analyse les racines profondes de cette sorte de « rage bioéthique ». Il y voit une sorte de compulsivité, à savoir un besoin presque irrésistible d’agir dans le sens de la transgression.

    Laissons-lui la parole dans une interview accordée au site Gènéthique, un texte dont l’excellent site didoc.be nous a légèrement adapté la présentation pour ses lecteurs , ici : La bioéthique et la transgression compulsive

  • Bulletin de l'Institut Européen de Bioéthique (15/5/2013) : euthanasie (enfants, droits des institutions, etc)

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    header_fr.jpgSommaire

  • La transgressivité actuelle, prélude à un changement salutaire d'après Henri Hude

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    Sur la Lettre mensuelle de gènéthique.org : 

    Crise bioéthique : Interview de Henri Hude

    Sur les enjeux bioéthiques, l’actualité, le point de vue des décideurs, institutionnels, et responsables politiques révèlent une pensée libertaire, et le culte de la transgression. En France, l’année 2013 a commencé très fort : remboursement à 100% de l’interruption volontaire de grossesse, volonté d’autoriser la recherche sur l’embryon, d’ouvrir la procréation médicalement assistée aux couples homosexuel ou de convenance, projet de dépénaliser l’euthanasie ou légaliser la sédation terminale… La bioéthique est aujourd’hui en crise. Henri Hude (1), philosophe, invite à en analyser les causes afin de dessiner des pistes de solutions

    G : La « crise bioéthique » peut-être analysée comme l’aboutissement de plusieurs années de pensée transgressive. Qu’en pensez-vous? 

    H.H. : C’est un fait que l’homme est travaillé par un besoin de liberté, d’absolu et d’infini. Donc, quand il confond liberté et indépendance, il veut être indépendant à l’infini, et absolument arbitraire. La transgression de tout ce dont il pourrait dépendre est au bout de ce fantasme d’indépendance absolue. Quand l’homme est libre et sain, il vit en acceptant qu’il y ait des choses qui ne dépendent pas de lui. Quand il est possédé par une rage d’indépendance, il veut casser tout ordre dont il dépend, toute loi, toute autorité, toute nature des choses, tout fondement absolu, toute vérité objective, etc. Sa liberté ne peut plus rien supporter, qui la limite : réalité, vérité, justice objective, fondement d’une telle justice. Une volonté possédée par ce fantasme a besoin de s’affirmer en mettant tout à l’envers, en niant la structure et la bonté de la nature, en niant tout Fondement, en violant l’autorité de la conscience, etc. Car tout cela briderait son désir. Ainsi, la liberté dégénère en volonté de transgression pour la transgression. 

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  • Bulletin de l'Institut Européen de Bioéthique (2/5/2013) : Cancers de l'enfant / soins palliatifs d'excellence

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    Sommaire

  • Quand des gynécologues belges s'interrogent...

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    Lu sur le site de la RTBF (D. Van Ossel):

    Une simple prise de sang pour savoir si votre fœtus est porteur de la trisomie 21, c’est désormais possible. Jusqu’à présent, ce test se faisait uniquement par amniocentèse, une technique invasive qui entraîne des risques de fausses couches. Avec la prise de sang, ce risque est écarté. Mais le test coûte cher, 600 euros qui ne sont pas remboursés par la sécurité sociale. Et il pose des questions éthiques. Puisque ce test est sans risque, plus rien, si ce n’est le coût, n’empêche les futurs parents de savoir à l’avance les handicaps ou les maladies dont leur fœtus est porteur et d’agir en conséquence.

    Le professeur Jacques Jani, chef du service de gynécologie-obstétrique à l’hôpital Brugmann explique que "la seule chose c’est que pour l’instant ce test ne se fait que pour les trois trisomies principales. Il est vrai que la question plus éthique va se poser dans les mois ou les années à venir parce qu’on va aller de plus en plus loin dans ce qu’on peut faire sur ce test-là. Ce test permet par exemple de pouvoir dire si c’est un garçon ou une fille. Et en Belgique l’IVG peut se faire avant 12 semaines sans devoir clairement donner une raison. Pour une raison psychologique, une maman qui décide d’avoir le test à 10 semaines et sait quelques jours plus tard si c’est un garçon ou une fille peut se dire qu’elle souhaite interrompre pour le choix du sexe. Cela devient dangereux. (!!!) C’est la raison pour laquelle par exemple personnellement je ne ferai pas une analyse du sexe de bébé, malgré le souhait des parents, si ce n’est pas pour une demande très particulière. Et j’essaie de le faire après le délai de l’interruption volontaire de grossesse".

  • Des nouvelles de la pétition "Un de nous" ("One of us")

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    Europe: pétition « Un de nous » - Mobilisation citoyenne

    ROME, 26 avril 2013 (Zenit.org) - L’initiative citoyenne européenne « Un de nous » a atteint à ce jour 249.254 signatures, il lui en reste 750.746 à atteindre pour arriver au million de signatures nécessaires provenant d’au moins 7 pays pour que cette question soit mise au programme politique de la Commission européenne.

    L’Initiative citoyenne Un de nous (« One of us » dans sa version internationale) est une des toutes premières lancées en Europe. Elle demande à l’Union Européenne de ne plus financer la recherche impliquant la destruction d’embryons humains.

    Trois pays ont franchi le seuil : Pologne 146,26 %, Italie 128,27%, Hongrie 115,24%, tandis que d’autres pays sont en passe d’y arriver : Lituanie 78,12%, Slovaquie 74,99%, Pays-Bas 56,69%, Slovénie 52,72% et Espagne 55,12%.

    La France, après le lancement officiel du 15 mars, continue à monter dans la classification des signatures en ligne, dépassant de peu l’Espagne et montant à la troisième place , après la Pologne et l’Italie.

    Le tableau général des signatures récoltées montre que l’Italie est en tête, suivie de la Pologne et de l’Espagne. En quatrième position se trouve la Hongrie et à la cinquième place la France, suivie de l’Allemagne.

    L'augmentation des signatures par rapport à la semaine dernière (232.249 de signatures totales), est chiffrée à environ 17.000. Cela n’est pas satisfaisant. Le défi de cette semaine vise donc les 50.000 signatures.

    Le 18 avril dernier, au parlement européen de Strasbourg et à la commission européenne de Bruxelles, une séance plénière et un workshop d’évaluation générale ont permis de faire le point des résultats, un an après l’introduction de l’initiative. La commissaire Cecilia Maalstrom, a fait valoir son succès malgré quelques problèmes qui doivent être résolus.

    Concernant la pétition elle-même « One of Us », il est question de simplifier le système pour permettre une participation plus large des citoyens. Les coordinateurs nationaux de l’initiative européenne sont les « capitaines » du Comité national de chaque pays européen. 26 pays en ont au moins un, seule Chypre pour le moment manque d’une personne de référence mais elle a le soutien officiel de l’Église orthodoxe.

    Le coordinateur de la France est Caroline Roux, celui de Belgique est Matthieu Bruynseel. Pour pouvoir les contacter où savoir qui sont les autres coordinateurs de chaque pays, se connecter au site www.oneoofus.eu.

    Il est également possible de contacter le Bureau de Coordination européen - One of Us qui a son siège à Bruxelles (205 Chaussée de Wavre, Tel. +0032 (2) 640 77 71; Mob. +0032 488 975 478; Email: info@oneofus.eu ,adelpino@oneofus.euepittino@oneofus.eu, Skype Account: oneofus13), où la coordinatrice Exécutive, Ana del Pino, ainsi que d’autres membres du bureau, sont là pour répondre à toutes les questions.

    Tout citoyen européen pouvant voter, peut avoir accès à la pétition et la signer en ligne à l’adresse www.oneofus.eu .

    « Un de nous » est sur twitter, facebook, google et youtube.

  • Bulletin de l'Institut Européen de Bioéthique (25/4/2013) : Projet pilote Alzheimer / Pilule accidents

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  • Bulletin de l'Institut Européen de Bioéthique (18/4/2013) : anorexie, euthanasie, cellules souches

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    Des patients anorexiques euthanasiés ? Un ministre réclame plus de transparence

    Catherine Fonck (cdH) a posé une question à Madame Laurette Onkelinx, ministre des Affaires sociales et de la Santé publique. La ministre cdH s’inquiétait d’avoir appris par voie de presse qu’une euthanasie aurait été pratiquée sur une personne qui souffrait d’anorexie. Elle s’étonnait car l’anorexie n’est pas une maladie incurable, et la situation médicale de cette personne n’était donc pas sans issue. Madame Onkelinx a répondu qu’elle ne disposait que des données communiquées dans les rapports de la Commission d’évaluation de la loi sur l’euthanasie, et que seuls cette Commission ou un juge sont habilités à se prononcer sur la légalité d’une euthanasie. Catherine Fonck s’est alors inquiétée du fait que la pathologie à l’origine de la demande d’euthanasie n’est pas toujours clairement mentionnée dans le rapport de la Commission d’évaluation. Madame Fonck s’est alors enquise de l’existence d’une procédure qui permettrait deconvoquer la Commission ou d’obtenir de sa part des réponses écrites.

  • Bulletin de l'Institut Européen de Bioéthique (13/4/2013) : avortement, Alzheimer, césariennes

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