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Bioéthique - Page 25

  • Embryon : dix vérités scientifiques pour conforter le oui à la vie

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    Du site aleteia.org :

    Embryon : Le oui à la vie en dix vérités scientifiques

    Ces dernières décennies, la connaissance de l'embryon a fait un bond en avant, et les conclusions sont très claires...

    1. Au cours des vingt-cinq dernières années, la science moderne nous en a révélé  davantage sur notre développement biologique que toutes les recherches menées  dans le monde en trois mille ans.

    2. On sait aujourd'hui que l'embryon humain est un sujet à part entière, un individu unique, un être vivant doté d'une nature bien définie, et non une partie du corps de la mère ou un appendice de celle-ci.

    3. Dès l'union d'un gamète (ou cellule) mâle et d'un gamète femelle, l'embryon possède déjà des caractéristiques structurelles et fonctionnelles distinctes de celles de la mère, que ce soit dans son étape unicellulaire ou dans les diverses étapes de la division cellulaire.

    4. Au cours de toutes ces étapes, l'embryon se comporte comme un système organique possédant une identité propre, un métabolisme propre, un système immunologique propre, des acides nucléiques et un groupe sanguin différents de ceux de sa mère, selon un modèle de développement vers des états définis, empiriquement détectables.

    5. En tant qu'individu autonome, l'embryon  s'auto-organise en vue de son unité, avec une totale autonomie. Toutefois, ce développement, bien qu'autonome, n'est pas indépendant de la mère. Il dépend de son utérus  durant un temps variable. Par la suite, à la naissance, l'embryon continuera de dépendre de la mère ou d'autres personnes, pour sa survie, durant un laps de temps plus long, également variable. L'être humain est l'espèce qui prolonge le plus sa dépendance alimentaire. Cependant son état de dépendance intra-utérine n'a rien à voir avec son autonomie et sa condition spécifique.

    6. Le développement embryonnaire est donc continu, sans sauts ni ruptures, irréversible et graduel ;  il s'opère en vertu de programmations effectuées par le génome pour permettre les étapes successives du développement de l'organisme humain individuel.

    7. Par conséquent,  il présente au cours de ces différentes étapes  le développement de structures reconnues comme préparatoires  aux étapes suivantes, celles-ci étant définitives. De sorte que, à dix-huit jours, l'embryon a un cœur qui bat, à vingt jours un système nerveux en croissance constante. À 42 jours il est déjà doté d'un squelette complet et de réflexes. À huit semaines, on peut lui faire un électrocardiogramme,  et il est possible d'enregistrer ses battements de cils, ses réactions, ses réponses à des stimuli.

    8. Toutes ces structures s'ajoutent, petit à petit, les unes aux autres de façon organisée et dans une unité fonctionnelle, pour aboutir à l'état final, définitif, de développement. C'est pourquoi cet être humain est à la fois un et lui-même, dans le plus strict respect de la connaissance biologique. C'est une seule et même personne, depuis la fécondation jusqu'à la gestation puis l'âge adulte.

    9. Pour avoir vieilli, un être humain a dû passer par des étapes : maturité, jeunesse, enfance, mais aussi fœtales et embryonnaires. Au cours de l'ensemble de ce processus continu, ce développement est ni plus ni moins celui d'un être humain, sans sauts ni apparitions mystérieuses d'une condition humaine.

    10. Il est scientifiquement inapproprié d'affirmer que c'est seulement quand apparaissent des structures cérébrales et mentales que l'embryon est à proprement parler 'humain', puisque, pour que ces structures cérébrales et mentales apparaissent dans l'embryon, celui-ci possède déjà une condition biologiquement humaine.

    Traduit de l'édition hispanophone d'Aleteia par Elisabeth de Lavigne

    source:  Revista Ser Persona

  • Action pour la Famille mobilise contre la gestation pour autrui (GPA)

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    Les priorités actuelles d’Action pour la famille-Actie gezin sont l’interdiction de la gestation pour autrui (GPA) et la levée de l’anonymat des donneurs de gamètes (sperme et ovules).

    Dans la gestation pour autrui, une femme porte un enfant pendant neuf mois pour ensuite l’abandonner et le livrer à un couple, homosexuel ou hétérosexuel, ou à une personne seule, afin de répondre à son désir d’enfant. 

    Certainement, la stérilité est pour bien des couples une grande souffrance et nul ne songe à la sous-estimer. Mais peut-on aller jusqu’à traiter des femmes comme de simples machines génitrices et considérer des enfants comme des choses que l’on arrache à leur mère dès la naissance selon les termes d’un contrat commercial ? Non. 

    La seule manière d’éviter de telles pratiques est de légiférer en interdisant purement et simplement la gestation pour autrui dans notre pays, et même dans tous les pays, comme l’a proposé récemment le premier ministre socialiste français Emmanuel Valls.

    IL FAUT AGIR ! Signez dès maintenant la pétition internationale pour l’interdiction de la GPA http://www.nomaternitytraffic.eu/fr/ 

    Dans les faits, la gestation pour autrui est légalement tolérée et pratiquée en Belgique. Plusieurs propositions de loi ont été récemment déposées à la Chambre en vue d’encadrer la gestation pour autrui et de prétendument éviter toute « dérive commerciale ». 

    Comment peut-on imaginer un seul instant qu’il sera possible de vérifier et de contrôler que des cadeaux ou des dessous de table n’auront pas été donnés à la mère de substitution et à d’autres intermédiaires ? 

    En plus, serait-il normal qu’une femme qui porte un enfant pendant neuf mois pour quelqu’un d’autre ne reçoive aucune forme de rétribution ? Comment peut-on croire que les conditions « strictes » stipulées par une loi initiale ne seront pas progressivement élargies pour en arriver à une banalisation dont l’avortement et l’euthanasie nous offrent les tristes exemples ?

    Informez-vous en visitant notre site, en particulier la page des documents sur la GPA et la procréation médicalement assistée (PMA)

    Et regardez absolument le film Google_Baby, un documentaire sur le trafic des embryons et le business des mères porteuses aux Etats-Unis, en Inde et Israël, fait par un réalisateur qui est en faveur de la GPA. Les 20 premières minutes suffisent pour saisir toute l’horreur de ces pratiques.

    Action pour la famille collabore activement avec d’autres organisations pour aboutir à l’interdiction de la GPA en Belgique. Nous avons des rendez-vous avec plusieurs députées au niveau fédéral dans les prochaines semaines. Nous vous maintiendrons au courant des actions que nous mettrons en place début 2015.

    Du côté de la levée de l’anonymat des donneurs de gamètes, les mentalités semblent évoluer favorablement. Les centres qui pratiquent la PMA se rendent compte des dégâts psychologiques que peut provoquer chez certaines personnes l’impossibilité qui leur est imposée de connaître leur origine, en contradiction avec l’article 7 de la Déclaration universelle des droits de l’enfant. Sur ce point aussi, nous vous tiendrons informés de l’évolution de la situation.

    Suivez-nous aussi sur notre page Facebook / https://www.facebook.com/agafasbl

    Action pour la famille asbl-Actie gezin vzw / http://www.actiegezin-actionfamille.be 

    Action pour la famille asbl est une association citoyenne, pluraliste et indépendante qui ne reçoit aucune subvention d’organisations publiques ou privées. Elle est gérée par des bénévoles. 

    Si vous souhaitez soutenir notre action, effectuez un versement sur le compte d’Action pour la famille asbl : 363 0704704 39 
    IBAN : BE13 3630 7047 0439 – BIC : BBRUBEBB
    (Nous ne pouvons pas délivrer d’attestation fiscale.)

  • PÉTITION À L’ATTENTION DU CONSEIL DE L'EUROPE : Les infanticides néonataux en Europe doivent être condamnés

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    Le 19 novembre, veille de la journée internationale des droits de l’enfant, le Commissaire aux droits de l’homme du Conseil de l’Europe a fait savoir qu’il estime que la pratique de l’infanticide néonatal ne relève pas de sa compétence et refuse de rencontrer des ONG désireuses de l’informer à ce sujet. En juillet 2014, le Comité des Ministres ne parvenait pas à se prononcer sur ce même sujet.

    Par un courrier du 1er novembre, quatre organisations non gouvernementales (le Bureau international catholique de l'enfance, l’Union mondiale des organisations féminines catholiquesla Fédération des associations familiales catholiques en Europe et le Centre européen pour le droit et la justice) ont demandé à M. Nils Muižnieks, le Commissaire aux droits de l’homme du Conseil de l’Europe, de le rencontrer pour lui remettre un dossier exposant le sort des enfants nés vivants après un avortement. Chaque année en effet, de nombreux enfants naissent vivants lors d’avortements, en particulier quand ils sont pratiqués au-delà de la 20ème semaine de grossesse. Ces enfants sont le plus souvent abandonnés à la mort sans soins, luttant pour respirer pendant parfois plusieurs heures, ou tués par injection létale ou asphyxie, puis jetés avec les déchets biologiques.

    Ces faits sont attestés par des données officielles et des témoignages de sages femmes. Une étude publiée dans le British Journal of Obstetrics and Gynaecology a conclu qu'à 23 semaines de gestation, le taux d’enfants survivant à l’avortement atteint 10%.

    Laisser des enfants agoniser sans soins, ou les tuer, simplement parce qu'ils ne sont pas désirés, est inhumain. C’est pourquoi, ces ONG voulaient rencontrer le Commissaire aux droits de l’homme pour lui demander de réaffirmer que tous les êtres humains-nés vivant, ont le même droit à la vie et aux soins de santésans discrimination fondée sur les circonstances de leur naissance, conformément aux droits de l’homme.

    Mais le Commissaire a refusé de recevoir ces ONG, estimant que sa compétence « ne couvre pas les questions soulevées ». Pourtant, le 15 janvier 2014, il avait pris position publiquement contreles avortements sélectifs en fonction du sexe, demandant leur interdiction pénale. En outre, la Convention Internationale relative aux Droits de l’Enfant, dont on célèbre le 25ème anniversaire, rappelle que« l’enfant, en raison de son manque de maturité physique et intellectuelle, a besoin d’une protection spéciale et de soins spéciaux, notamment d’une protection juridique appropriée, avant comme après la naissance ».

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  • Conférence sur la Gestation pour Autrui le 26 novembre à Bruxelles

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    Confrence GPA 26 nov 2014.png

  • Liège (carmel de Méhagne), 15 novembre : Bioéthique et Foi Chrétienne

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    BIOÉTHIQUE ET FOI CHRÉTIENNE

    15 nov 2014 - Carmel de Mehagne (Liège)

    (Communauté du Chemin neuf)

    Date : le 15 novembre 2014 de 15:00 à  19:30 

    Lieu : Carmel de Mehagne (Liège) 
    27, Chemin du Carmel 
    4053 Embourg - Chaudfontaine 

    Merci de stationner votre voiture sur le parking à l'entrée du Carmel.

    Public accueilli :
         
    Couple
         
    Jeune 18-30 ans
         
    Individuel
         
    Fiancés
    Participation aux frais : 6 - 10 € 

    Contact : Contact :
  • Bulletin de l'I.E.B. (28/10) : congélation "sociale" d’ovules pour des femmes célibataires

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    header_fr.jpgSommaire

  • Qu'en est-il de la Gestation pour Autrui (GPA) en Belgique ?

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    Le Bulletin de l'Institut Européen de Bioéthique répond à cette question :

    Interdite en France, la GPA est une réalité en Belgique

    Peu encline à mener une réflexion approfondie sur le bien-fondé de certaines pratiques, la société belge en général, et le législateur en particulier, ont tendance à faire preuve de « pragmatisme » en encadrant les transgressions. Ainsi en est-il de la gestation pour autrui.

    En 2007, une loi a fixé, sans grand bruit, les conditions éthiques d’accès à la PMAn’abordant pas la question de la gestation pour autrui. Aujourd’hui, les mentalités ont changé. La société belge semble « mûre » pour accepter la pratique des « mères porteuses ».

    Quatre hôpitaux belges la pratiquent déjà : le Centre Hospitalier Régional de la Citadelle à Liège, les hôpitaux universitaires de Gand et d’Anvers et l’hôpital Saint-Pierre à Bruxelles. Ils mettent toutefois en garde les demandeurs quant au fait qu’il est prudent de se faire conseiller par un bon avocat au cas où les choses tourneraient mal.

    Les 4 hôpitaux concernés accèdent aux demandes de GPA dans des cas bien précis et sous des conditions présentées comme très strictes. La femme n’a pas d’utérus, ou celui-ci est  non fonctionnel, ou la santé de la femme est incompatible avec une grossesse. La limite d’âge pour la mère intentionnelle (qui ne porte pas l’enfant) est celle de la fécondation in vitro (FIV), à savoir 43 ans. Quant à la mère porteuse, elle doit avoir moins de 40 ans. L’ovocyte est celui de la femme intentionnelle et non celui de la femme porteuse de sorte que celle-ci n’est pas la mère génétique de l’enfant. Cela serait ainsi plus facile pour celle-ci d’abandonner l’enfant et de le laisser adopter par le couple intentionnel.

    C’est ce qu’explique le Dr Petra De Sutter, de l’hôpital de Gand lors d’une interview pour la RTBF.

    Un accompagnement psychologique est bien sûr mis en place. Il est souligné dans cet entretien à la RTBF que « le but est aussi d’éviter toute commercialisation. Quand il y a gestation pour autrui en Belgique, l’acte n’est jamais rémunéré et concerne uniquement des belges. On évite ainsi le tourisme des mères porteuses. »
    Entre 5 à 10 nouveau-nés voient ainsi le jour chaque année à l’hôpital de Gand. Depuis 3 ans, la GPA est aussi offerte aux couples homosexuels masculins.

    A ce sujet, Action pour la Famille communique :

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  • Découverte à propos des cellules souches présentes dans le sang du cordon

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    Voir le bulletin de l'Institut Européen de Bioéthique du 17 octobre :

    Sommaire

  • BXL : l'Institut Sophia organise un Atelier de bioéthique ouvert à tous

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    201409euthanasie.jpgAtelier de bioéthique pour tous!

    Le lundi 29 septembre commence cet atelier de bioéthique !

    Il est ouvert à TOUS !

    L’objectif poursuivi est de donner les outils aux participants pour comprendre, dialoguer et accueillir.

    L’actualité souligne la nécessité d’avoir des chrétiens bien formés : demain l’EUTHANASIE des personnes atteintes de démence mais aussi la question de la GPA (mères porteuses).

    Cet atelier INTERACTIF se donnera tous les LUNDIS - De 13h30 à 15h40 durant 12 semaines. (congés scolaires exclus)
    Les échanges sont très riches de par la dynamique du petit groupe (8 à 15 participants)

    Lieu : IET, boulevard Louis Schmidt 24 – 2ème étage – 10 40 Bruxelles (Square Montgomery)

    Animatrice : Carine Brochier Tél. 00 32 (0) 477 042 367

    Il est important de s’inscrire par mail :  institutsophia@yahoo.fr

    • La bioéthique est-elle réservée aux scientifiques et aux politiciens ? 
    • Le public comprend-t-il toujours les termes techniques utilisés dans la presse ? 
    • Comment le citoyen peut-il s’informer pour participer au débat et exercer judicieusement certains choix difficiles ? 
    • Quid de l’engagement et de la communication en tant que catholiques?

     

  • Quand le risque de l'eugénisme se précise

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    Lu sur le site de La Vie :

    Pour Jacques Testart, "le risque de l'eugénisme se précise" 

    Trente-deux ans après avoir fait naître Amandine, premier « bébé éprouvette » français, le biologiste Jacques Testart appelle à la démédicalisation de la procréation. Dans un nouvel et passionnant essai (Faire des enfants demain, au Seuil), il alerte sur les risques de basculer avant la fin du siècle dans un eugénisme d'ampleur inédite dans l'histoire de l'humanité.

    L'assistance médicale à la procréation (AMP) va devenir, dites-vous, la façon pour tous de faire ses enfants. Pourquoi ?

    Parce que nous allons vraisemblablement être capables de produire sans limites des gamètes à partir de cellules banales. C'est une révolution biologique car jusqu'à présent, on connaît deux lignées bien distinctes : les banales cellules somatiques, et les cellules germinales. Or voilà que les Japonais et les Coréens, notamment à partir des travaux du prix Nobel Shinya Yamanaka, nous montrent sur la souris qu'on peut fabriquer l'une à partir de l'autre. Pour l'ovule cela va tout changer, car c'est la cellule la plus rare ! On va donc être en mesure de produire des embryons in vitro par centaines, et de recourir au DPI (diagnostic pré-implantatoire) pour choisir et transplanter celui qui présente le moins de défauts. L'AMP, qui est actuellement un parcours du combattant, va devenir indolore et sans astreinte puisqu'il suffira de laisser quelques unes de vos cellules de peau au laboratoire. Celui-ci procédera à la transformation cellulaire, puis à la fécondation, à des tests génétiques, et appellera le couple pour le transfert de l'embryon qui aura été choisi. Les couples pourront aussi se faire stériliser pour ne plus avoir à se soucier de contraception : ils pourront quand même procréer quand ils le veulent. Et deuxième révolution : celle de la génétique avec la détection de caractéristiques innombrables, et de l’outil informatique pour en déduire des prédispositions. Il n'y a donc pas de raison que l'AMP ne devienne pas une façon normale de fabriquer sérieusement des bébés, plutôt que de laisser faire le hasard.

    Ne peut-on pas imaginer que le bon sens limite les gens ?

    Je constate au contraire que les gens s'accoutument à tout. Dès les débuts de l'AMP, j'ai alerté sur la fait qu'à partir du moment où on avait accès à l'embryon avec neuf mois d'avance par rapport à la naissance et où on en disposait en nombre, on en viendrait à faire du tri. Il y a trente ans le grand public était bouleversé par mes propos. Aujourd'hui, j'ai beaucoup plus d'arguments pour montrer que le risque se précise, mais on me traite d'ayatollah. C'est logique : les gens ont peur d'avoir un enfant anormal depuis toujours; à partir du moment où c'est faisable, ils ne voient pas pourquoi y renoncer. Au départ, le DPI n'est prévu que pour des parents porteurs de maladies graves. Mais comme on sait que souvent un tiers des maladies graves surviennent par une mutation génétique non héritée des parents, on ne voit pas pourquoi on ne se proposerait pas le DPI à tous les parents, pour rechercher toutes les maladies possibles. Cette logique est imparable, on ne peut que l'accepter ou la rejeter en bloc. Seule la pénibilité actuelle de la FIV limite la médicalisation généralisée.

    Lire la suite sur le site de la Vie

     

  • L'euthanasie des nouveaux-nés et le Protocole de Groningen : un nouveau dossier de l'IEB

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    Euthanasie des nouveau-nés : le Protocole de Groningen

    Ce nouveau Dossier de l'IEB présente le Protocole de Groningen, adopté aux Pays-Bas pour l'euthanasie des nouveau-nés atteints d'une grave affection et dont la "qualité de vie" est estimée insatisfaisante. Après l'exposé de la teneur du protocole de Groningen, de son statut juridique aux Pays-Bas et de quelques statistiques, les principales critiques adressées audit protocole sont passées en revue. Enfin, la question de l’acharnement thérapeutique dans le cas spécifique des nouveau-nés est évoquée.

  • Plainte contre un médecin euthanasie/ PMA à Namur

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    institut Européen de Bioéthique

    Bulletin de l'IEB - Le 6 mai 2014

    plainteTom Mortier porte plainte contre un médecin suite à l’euthanasie qui a tué sa maman

    Le fils d'une femme souffrant d'une dépression chronique a porté plainte mardi au parquet de Bruxelles contre le praticien Wim Distelmans, qui a procédé à l'euthanasie de sa mère. Tom Mortier avait déjà amené l'affaire devant l'Ordre des Médecins en février dernier. "De sérieux indices prouvent que la loi n'a pas été correctement appliquée dans le traitement de la demande d'euthanasie de la patiente", déclare mercredi l'avocat du plaignant. Une démarche qui permettra de lever le doute qui plane sur cette affaire, estime l'UZ Brussel. La plainte concerne le professeur Wim Distelmans, président de la commission de contrôle de l'euthanasie en Belgique. C'est la première fois que le médecin favorable à l'euthanasie est l'objet d'une plainte.  Source : La Libre

    biologiqueDonorkind.be : une nouvelle association pour retrouver son père biologique

    Leen Bastiaansen a appris à 21 ans qu'elle était un enfant de donneur et sa vie a basculé. C’est pourquoi, elle a créé Donorkind,  une asbl pourdéfendre les intérêts des enfants de donneur et les aider à se battre contre l'anonymat total des donneurs qui existe en Belgique. « Nous voulons faire prendre conscience que le don de sperme n'est pas anodin et qu'il y a ... Lire la suite

    procréationProcréation médicalement assistée : performances du CHRN à Namur

    Madame Anne Vansteenbrugge, biologiste responsable du laboratoire s’exprime sur les chiffres de réussite en procréation médicalement assistée qu’elle attribue à la qualité de l’accueil et à l’« environnement extrêmement performant où tout est contrôlé ». Le contrôle va jusqu’à une sélection tardive de l’embryon avant réimplantation.  Lire la suite

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