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Bioéthique - Page 26

  • Offensive contre l'embryon à Bruxelles : retour de la résolution Estrela au Parlement le 10 décembre. UN DE NOUS appelle à la mobilisation

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    Offensive contre l'embryon à Bruxelles :
    retour de la résolution ESTRELA au Parlement le 10 décembre

    UN DE NOUS appelle à la mobilisation !

    Retour annoncé du texte polémique en séance plénière…

    Des observateurs des instances européennes tirent de nouveau le signal d'alarme : la résolution Estrela qui porte atteinte à la dignité et à la vie de l'embryon humain va être présentée à nouveau au vote le 10 décembre au Parlement européen. Déjà, le 22 octobre, une première tentative a été déjouée grâce à une mobilisation massive des citoyens (BRAVO !) qui ont alerté leurs parlementaires obtenant ainsi un renvoi du texte en commission.


    … après un réexamen litigieux en commission

    La commission chargée des droits des femmes a expédié, mardi 26 novembre, l’examen du texte qui a été adopté à 19 voix contre 15. L’empressement des partisans de la résolution a conduit à bâcler la procédure : le service juridique du Parlement a souligné des vices de procédure que le Président de la commission a choisi d’ignorer !


    Le texte passera en séance plénière le 10 décembre, sauf mobilisation des députés… !

    AUJOURD’HUI et avant mercredi 4 décembre (date de fixation de l’ordre du jour de la séance plénière du 10 décembre), il est urgent de s'opposer de nouveau et avec force à cette résolution pour que l’examen en séance plénière soit sinon annulé au moins reporté pour vice de procédure. Pour cela, vous pouvez dès maintenant mener 3 actions simples et rapides :

    • Demander à Martin Schulz, Président du Parlement européen de retirer le projet de résolution de l'ordre du jour de la séance plénière car ce texte ne relève pas de la compétence de l'Union et est entaché de plusieurs vices de procédure majeurs (standard du Parlement, +32 (0)2 2845 503, ou martin.schulz@europarl.europa.eu)
    • Demander au Parti Populaire Européen (droite démocratique) de rejeter le texte :joseph.daul@europarl.europa.eu ; +32 (0)2 2840 662 (Joseph Daul parlementaire français UMP président du parti PPE, susceptible de mobiliser contre cette résolution)
    • Interpeller les parlementaires français attentifs à la défense de l'embryon (ceux que vous connaissez comme s’étant opposés à la libéralisation de la recherche sur l’embryon en France)
    La proposition de résolution « sur la santé et les droits sexuels et génésiques » (SDSG) seraprésentée à nouveau au vote le 10 décembre au Parlement européen : elle inclut le soutien et le financement de programmes détruisant l’embryon humain.

    Cette résolution excède les compétences de l'Union européenne qui doit laisser les Etats membres légiférer sur les enjeux bioéthiques. Les financements européens de recherche sur l'embryon et de politiques d'aide au développement incluant l'avortement posent problème.

    1 894 693 personnes en Europe sont signataires de l'Initiative Citoyenne Européenne
    UN DE NOUS pour demander précisément l'arrêt du financement par l'Union européenne des programmes menaçant l'être humain déjà conçu.


    Les députés européens ne peuvent ignorer cette mobilisation citoyenne massive à travers toute l'Europe, et inédite sur le sujet. Sous peine de déni de démocratie.

    Il y a urgence à se mobiliser d’ici mercredi.

    Mercredi, nous vous ferons connaître la décision du Président du Parlement

    et la suite ou non de la mobilisation.


    Un très grand merci à tous.

    L'équipe UN DE NOUS France

    L’Initiative UN DE NOUS est portée en France par quatre structures : Alliance Vita, Fondation Jérôme Lejeune, AFC, CPDH.

    * 1 exemple de message électronique :

    Monsieur,

    Une proposition de résolution “sur la santé et les droits sexuels et génésiques” (SDSG) est actuellement inscrite au calendrier du Parlement européen pour le 10 décembre prochain.

    Ce texte ne relève pas de la compétence de l'Union, comme il en a déjà été décidé précédemment : “compte tenu de la dimension éthique, sociale et culturelle de l'avortement, il appartient aux États membres d'élaborer et de faire appliquer leurs politiques et leur législation en la matière. La Commission n'entend pas compléter les politiques nationales de santé publique dans ce domaine.” (Réponse du Commissaire à la santé Dalli du 30 avril 2012).

    Par ailleurs, le renvoi du texte en commission et son réexamen sont entachés de vices de procédures, soulignés par le service juridique du Parlement.

    Je vous demande donc de retirer la programmation de cette proposition abusive, qui heurte profondément la conscience des signataires de l'Initiative Citoyenne Européenne "Un de Nous", soutenue par 1 900 000 personnes en Europe et qui demandent précisément l'arrêt du financement par l'Union européenne de pratiques industrielles et scientifiques impliquant la destruction d'embryons humains.

    Confiant dans votre souci de l’intérêt général, je vous prie de croire, monsieur, à l'expression de ma considération.

    (signature)
     
  • Bulletin de l'IEB - 19 novembre 2013 - Coût des maladies neurologiques / payer pour les vieux

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  • Trente-cinq bébés médicaments déjà conçus en Belgique

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    Du Bulletin de l'Institut Européen de Bioéthique (15 novembre)

    35 bébés médicaments déjà conçus en Belgique

    15/11/2013 - Procréation médicalement assistée PMA

    ...ou des bébés conçus pour soigner.
    En réponse à une question orale de Mme C. Fonck, Mme Onkelinx a précisé que, après examen génétique préimplantatoire, seule l’UZ Brussel pratiquait la sélection et l’implantation d’embryons HLA (human leukocyte antigens) destinés à soigner un frère ou une soeur existant. Les cellules HSC (hématopoïétiques) du cordon ombilical du bébé donneur sont ainsi utilisées.
    Environ 600 examens préimplantatoires (PGD) sont pratiqués chaque année en Belgique. Le nombre de demandes de traitement PGD-HLA ( Fiv en vue d'un embryon bébé-médicament ) est d’environ 25 par an et reste stable (38 en 2012).
    Avant d’entamer la procédure, le couple prend l’avis du médecin traitant de l’enfant malade. Ensuite, ce couple est soumis à un entretien psychologique approfondi afin d’évaluer le contexte familial et la possibilité pour le futur enfant "sauveur" de décider lui-même du don, quand il sera en âge de le faire. Il est important que soit garanti le bien-être psychique du futur enfant, mentionne la Ministre. Si nécessaire, une commission interne de bioéthique se prononce sur la réalisation du traitement.
    Actuellement, 35 enfants conçus dans cette perspective de sauver un(e) aîné(e) ont vu le jour en Belgique. 
    Le sang ombilical de 7 enfants et la moelle osseuse d’un bébé d'un an, ont été prelevés pour le traitement d’un frère ou d’une soeur malade. Le sang du cordon a été conservé en vue d’une utilisation ultérieure éventuelle ; un don de moelle pourra également être envisagé. La ministre signale que les traitements ont été "fructueux", sans plus de précisions. L'on ne sait donc pas quel est le nombre de guérisons de l'aîné ainsi obtenues.

    Voir Fiche Didactique de l'IEB : "Diagnostic Préimplantatoire"

  • Bioéthique : nos manières de penser sont-elles pertinentes ?

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    Manières de penser

    Arguments et tromperies en bioéthique (via paroisse.com)

    bruno-couillaud-manieres-de-penser-9782755405552.jpgPrésentation :
    Les problèmes éthiques posés par la pratique médicale ou la recherche nous rendent tous avides de solutions et de certitudes : comment évaluer telle pratique, doit-on accepter telle législation ? Cependant, il convient de répondre à une question préalable : nos manières de penser sont-elles pertinentes ? C'est à cette interrogation que ce livre s'efforce d'apporter une réponse, en mettant la logique au service de la bioéthique. 
    Que de problèmes posés aujourd'hui par les progrès de la pratique médicale ou les avancées de la recherche scientifique ! Statut de l'embryon, utilisation des cellules-souches, assistance médicale à la procréation, gestation pour autrui, diagnostic préimplantatoire, bébé médicament, clonage, eugénisme, mais aussi soins et accompagnement des mourants, euthanasie, ou encore avortement, contragestifs... 
    On demande beaucoup à la bioéthique. Mais prend-on le temps d'armer notre raison de la vigilance requise pour aborder ces questions si délicates ? S'interroge-t-on sur la manière dont leurs termes sont ou non définis ? Comment les arguments sont-ils construits ? Sont-ils réels ou fictifs, solides ou incertains ? Enfin, celui avec qui je discute ne se tromperait-t-il pas lui-même, ou ne chercherait-il pas aussi parfois à me tromper ? C'est un service urgent à rendre à l'intelligence que de répondre à ces questions. Il en va de notre responsabilité en matière d'écologie humaine. La bioéthique n'a-t-elle pas pour but le respect de la dignité de "tout homme et de tout l'homme"?
    Auteur : Bruno Couillaud
    Chez :
     François-Xavier de Guibert / mai 2013 /  29 3 pages / 25 €

  • Téléthon : un évêque souligne trois difficultés

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    Les questions de Mgr Aillet au Téléthon (via Liberté politique)

    Interrogé par ses diocésains sur le Téléthon, l’évêque de Bayonne soulève trois difficultés éthiques qui, sous réserve d’un changement de la politique de l’AFM, invitent à la plus grande prudence.

    À l’approche de la 27e édition du Téléthon, qui aura lieu le week-end des 6 et 7 décembre 2013, quelques diocésains ont souhaité connaitre ma position et celle de l’Eglise catholique à propos de cet événement dans lequel certains d’entre eux sont parfois impliqués.

    Je tiens avant toute chose à saluer le dévouement des bénévoles engagés dans la préparation du téléthon et bien entendu, la grande générosité des Français qui par solidarité vis-à-vis des personnes atteintes de myopathie et leurs familles, participent chaque année à cette formidable campagne médiatique de collecte de fonds au profit de la recherche médicale et de la lutte contre les maladies génétiques.

    Au cours des dernières années, l’Église catholique n’a cependant pas manqué d’exprimer, par la voix de plusieurs évêques ou de ses responsables, ses réserves et ses inquiétudes à propos du Téléthon. C’est ainsi que le cardinal Ricard, alors président de la conférence des évêques de France, considérait dès le mois de décembre 2006, qu’il était « légitime qu’à l’occasion du Téléthon, beaucoup de catholiques s’interrogent sur l’affectation de leurs dons », ou que le cardinal André Vingt-Trois, archevêque de Paris, estimait il y a quelques années, qu’on ne saurait « signer des chèques en blanc » en faveur du Téléthon. De même, un communiqué de presse du 2 décembre 2011 disponible sur le site du diocèse de Paris souligne qu’il est nécessaire de « s’engager résolument pour des recherches qui respectent pleinement la vie humaine ».

    Lire la suite

  • Les enfants de tout le monde

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    Publié par Jacques de Guillebon sur le blog du mensuel « La Nef » :

    Si vous ne connaissez pas la dernière invention de nos Faust contemporains qui se déguisent sous le nom de généticiens, je ne saurais trop vous conseiller de jeter un rapide coup d’œil sur le site Généthique (en cliquant ici).

    Il s’agit de la FIV à trois parents. Mais oui, Salomon est définitivement ringardisé. En gros, pour faire disparaître certains risques de maladie héréditaire, on injecte le noyau de l’ovule d’une femme dans le cytoplasme de l’ovule d’une autre. On n’arrête pas le progrès, c’est-à-dire le meccano humain. Tout va bien.

    Ainsi, à l’avenir, rien ne nous empêche d’imaginer la situation suivante : deux hommes en couple désirent avoir un enfant. Ils louent le ventre d’une mère porteuse, et demandent à leur meilleure copine de prêter son ovule. Mais il se trouve que cette copine est susceptible de transmettre une maladie mitochondriale. Nos pères en herbe décident alors de recourir à la FIV à trois parents : le noyau de l’ovule de la copine est donc transféré dans le cytoplasme de l’ovocyte d’une autre donneuse. Pour corser l’affaire, les deux hommes sont stériles : un donneur est donc requis. L’enfant est conçu, couvé, il naît. Tout se passe bien.

    Sauf que si l’on additionne les deux pères légaux, le donneur de sperme, la donneuse d’ovule malade, la donneuse d’ovule sain et la mère porteuse, notre lardon se retrouve avec six parents. Du moins six personnes ayant présidé à sa conception.

    Il n’est pas non plus interdit de penser que les pères se séparent après quelques années, et se remettent en couple chacun de son côté. Ce qui nous fait la somme rondelette de huit adultes pour un enfant. Pratique pour les sorties d’école et les longs week-end d’hiver.

    ---

    "Il exagère", dites-vous ? Cette situation n'est pourtant pas plus absurde que celle de deux jumeaux qui auraient la même mère mais deux pères différents, et vivraient séparés, chacun avec son père célibataire. Cette situation, elle, est bien réelle : ça se passe aux États-Unis, et c'est à lire en cliquant ici.

    Réf. Les enfants de tout le monde

    JPSC

  • Bulletin de l'IEB - 25 septembre 2013; Embryons/Soins Palliatifs/Comece

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  • Bulletin de l'IEB - 20 septembre 2013 - Soins palliatifs / Naissance / iPS

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  • One of Us : le million de signatures est atteint mais ce n'est pas terminé

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    POUR DÉFENDRE L’EMBRYON HUMAIN: PLUS QUE QUELQUES JOURS POUR DONNER VOTRE VOIX !

    12 septembre 2013

    Vous avez été nombreux à vous mobiliser cet été au service de l’initiative Un de NousGrâce à vous, 

    nous venons de dépasser LE MILLION de signatures en Europe !

    BRAVO ET MERCI !

    Attention toutefois : nous ne nous arrêtons pas là. Nouvel objectif de la rentrée : atteindre 1,2 million de signatures d’ici fin octobre 2013. Maintenant que la barre officielle est atteinte, nous devons collecter 200 000 signatures supplémentaires :

    • pour éviter que l’initiative ne soit invalidée in extremis en raison de formulaires mal remplis.
    • pour avoir encore plus de poids auprès des institutions européennes (exemple : l’initiative sur l’accès à l’eau a atteint plus d’1,8 million de signatures)

    La recette
    pour signer aujourd’hui en 3 min !

    1. Je prépare ma carte d’identité, mon passeport ou mon permis de conduire à portée de main.
    2. Je lis les instructions préparées pour que ça se passe bien.
    3. Je ne me décourage pas devant l’aspect rébarbatif du formulaire officiel.
    4. Je me lance maintenant et ne repousse plus à demain…!

    Je fais la promotion de l’initiative UN DE NOUS
    ➢ en diffusant le clip vidéo 30’
    ➢ en placardant l’affiche de la rentrée, à télécharger et à imprimer ici.

  • BXL 19 septembre : rentrée académique à l'Institut Sophia

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    Communiqué :

    Investir dans une formation solide pour fonder sa vie en Christ

    Bonjour !

    La rentrée académique de l'année Sophia est fixée au jeudi 19 septembre 2013.


    Pour les  jeunes qui souhaitent poser leur candidature pour cette année
    c'est encore possible !

    Voici le contact pour rencontrer les responsables de l'année de formation :

    institutsophia@yahoo.fr  -Tél: +32 ( 0 ) 477 042 367

    Nous ne manquerons pas de vous tenir informés de l'ensemble des activités de l'Institut Sophia.

    Belle rentrée!

    P.S. Les jeunes du Kot SOPHIA sur "You TUBE" =  ICI

  • Bulletin de l'Institut Européen de Bioéthique (16/8/2013) : reconnaissance des bébés nés sans vie/ mères porteuses

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  • Empêcher à tout prix les enfants trisomiques de venir au monde

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    D'après la Libre de ce jour (pp. 22-23), les centres belges de généthique proposent dès cet été un test ADN détectant la trisomie du foetus. Cela nous incite à publier à nouveau cet article que nous avions mis en ligne il y a un an. En effet, on sait que ce type d'examen mène 99% des parents à recourir à l'avortement lorsque l'examen diagnostique la trisomie, ce qui est pour le moins interpellant.

    (Source : Gènéthique.org)

    Vers une généralisation du nouveau test de dépistage de la trisomie 21

    Après l’autorisation donnée à la commercialisation du "PraenaTest" en Suisse (Cf Synthèse de presse Gènéthique du 30 juillet 2012), l’Allemagne (Land du Baden-Württemberg) vient elle aussi de donner son feu vert. Les associations Suisses en faveur du droit à la vie des personnes trisomiques "craignent une hausse des IVG" et "une stigmatisation des parents ayant laissé un enfant trisomique venir au monde". La question de l’introduction et de la généralisation de ce nouveau test se pose dans d’autres pays,  notamment en France.

    Actuellement, en France, "toutes les femmes enceintes se voient proposer, dès le premier trimestre, un dépistage qui associe une échographie et des prélèvements biologiques dans le sang". L’objectif est de "déterminer un niveau de risque de trisomie pour chaque grossesse. […] En cas de risque élevé, c’est à dire supérieur ou égal à 1 sur 250, seule une amniocentèse, [un examen invasif], permet de poser le diagnostic de la trisomie". "En 2010, plus de 55 500 femmes ont choisi de subir [l’amniocentèse]", qui présente un risque de fausse couche de 1%. Or, l’Agence de la biomédecine souligne que "95% des femmes demandent une interruption médicale de grossesse" lorsqu’est diagnostiquée une trisomie 21.

    Le nouveau test, conçu par LifeCodexx, "pourra être fait dès la dixième semaine de grossesse". Il consiste à "récolter des informations sur l’ADN du fœtus, présent sous forme de petits fragments dans le sang de la mère", afin de diagnostiquer la trisomie 21.

    Pour le Pr Yves Ville, chef du Service de gynéco-obstétrique de l’hôpital Neker, "plusieurs études internationales ont montré [la] fiabilité [du test], évaluée autour de 99%". Cependant, pour la directrice de l’Agence de la biomédecine, Emmanuelle Prada-Bordenave, l’instauration en France ne serait pas tout de suite car les "premiers résultats, même s’ils sont très prometteurs, doivent être confirmés par des études cliniques menées à grande échelle".

    Mais "pour de nombreux spécialistes, la généralisation du test à l’ensemble  des femmes n’est pas souhaitable". Ainsi, le Pr Israël Nisand, gynécologue obstétricien, qui "s’oppose farouchement à une ouverture au plus grand nombre, même sans remboursement de la sécurité sociale" précise : "il n’y a pas de liberté absolue dans le domaine du dépistage prénatal, mais une politique nationale qui s’impose à tous. Il n’est pas question de céder à une forme de pression induite par les laboratoires". Pour le Dr Henri Bléhaut, directeur de la recherche à la Fondation Jérôme Lejeune, il est à déplorer que "le dépistage de la trisomie 21 se fasse au détriment des programmes de recherche thérapeutique".