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Europe - Page 138

  • Raz de marée contre le Rapport Estrela

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    Rapport Estrela : le raz-de-marée

    Le rapport Estrela – qui sera soumis au vote des députés européens ce mardi 10 décembre - suscite un véritable raz-de-marée contre lui. En deux jours, ce sont plus de 17 000 personnes qui ont signé la pétition initiée par Droit de Naître. Une vague de fond impressionnante qui continue de monter d’heure en heure. 

    Pour rappel, le rapport Estrela invite l’Union Européenne à reconnaître l’avortement comme un “droit”, limiter l’objection de conscience et promouvoir une éducation sexuelle très précoce et hors de contrôle des parents.
     

    Droit de Naître demande solennellement aux Parlementaires d’écouter la colère des citoyens et de rejeter définitivement ce document qui heurte la conscience de tant d’Européens. En cas d’adoption dudit rapport, les eurodéputés aggraveraient dangereusement le discrédit démocratique dont souffre déjà l’Union Européenne et s’exposeraient sûrement à un vote sanction lors des élections de mai 2014.  

    Voir également : Les-eveques-allemands-demandent-au-Parlement-europeen-de-rejeter-la-resolution-Estrela

  • France : la gauche républicaine a du mal à mobiliser

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    Du Huffington Post :

    La marche des Républicains du 8 décembre peine à rassembler à Paris

    MANIFESTATION - Des organisations de jeunesse de gauche et du centre ainsi qu'une organisation de jeunes gaullistes sociaux appelaient à une "marche des Républicains" ce dimanche 8 décembre. Une initiative "transpartisane" qui n'a pas rassemblé les foules.

    Les jeunes écologistes, le Mouvement des jeunes socialistes (MJS), les jeunes radicaux de gauche, les jeunes démocrates (MoDem), UDI, du rassemblement citoyen ainsi que l'UJP (Union des jeunes pour le progrès, gaullistes sociaux) avaient appelé à soutenir l'initiative lancée sur les réseaux sociaux il y a quinze jours par une étudiante militante au Parti socialiste.

    Selon Libération.fr, un à deux milliers de personnes ont défilé. Sur Twitter, un journaliste assistant à la marche a estimé qu'entre 400 et 500 personnes ont participé au défilé.

    Parmi les personnalités, plusieurs élus socialistes, et Thibault, le professeur d'histoire sympathisant socialiste qui était intervenu le 11 novembre sur les Champs-Elysées tandis que des individus sifflaient François Hollande.

    Outre la manifestation parisienne, une dizaine de marches étaient aussi prévues en province.

    80 personnes environ, dont là encore plusieurs élus socialistes, se sont rassemblées à Saint-Brieuc dans les Côtes-d'Armor.

  • La grande misère de l'Eglise des Pays-Bas

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    Lu sur le blog de Jeanne Smits :

    Visite “ad limina” : l'effondrement du catholicisme néerlandais

    En visite ad limina à Rome, les évêques néerlandais ont fait savoir au pape François la profondeur de la crise de l’Eglise catholique aux Pays-Bas, l’exode des fidèles et des pratiquants ayant atteint des proportions critiques.

    Le cardinal Willem Eijk, archevêque d’Utrecht, s’en est ouvert au micro de Radio Vatican en LifeSiteNews, soulignant que des centaines d’églises catholiques sont aujourd’hui menacées de fermeture et que l’Eglise « qui est aux Pays-Bas » est au bord de l’effondrement après s’être « sécularisée de manière drastique », rapporte Hilary White.

    Le nombre de catholiques pratiquants continue de diminuer. « Pendant les années 1950, 90 % des catholiques allaient encore à l’Eglise tous les dimanches. Aujourd’hui, ils ne sont plus que 5 %. »

    Cela a des conséquences matérielles : l’Eglise catholique ne reçoit aucune subvention publique, ne vivant que du denier du culte et des dons volontairement versés par les fidèles. « C’est pourquoi nous sommes forcés à fermer de nombreuses Eglises », a-t-il expliqué.

    Lire la suite sur le blog de Jeanne Smits

     

  • Europe : Le Secrétariat de la Comece s’inquiète du cadre éthique prévu pour « Horizon 2020 »

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    Le Secrétariat de la Comece s’inquiète du cadre éthique prévu pour « Horizon 2020 » (source)

    Sur proposition de la  Commission européenne, la Commission Parlementaire ITRE (Industrie, Recherche et Énergie) du Parlement européen adoptera cet automne le nouveau programme de recherche et d’innovation de l’UE intitulé « Horizon 2020 ». Cet ensemble de propositions est doté d’un budget de 87 millions d’€
    Le Secrétariat de la COMECE* a pris position sur les aspects éthiques du Programme « Horizon 2020 » : le cadre éthique est plus faible que celui qui est appliqué actuellement pour le programme 2007-2013.
    Dans la disposition juridique concernant ce cadre éthique, deux principes essentiels manquent : celui de la protection de la dignité humaine et celui de la primauté de l’être humain qui doit prévaloir sur l’intérêt de la société ou de la science. En outre, l’engagement de la Commission européenne (Déclaration du 30 décembre 2006) d’exclure toute recherche impliquant l’utilisation de cellules souches embryonnaires a disparu. La récente décision de la Cour européenne de Justice dans l’affaireGreenpeace v. Brüstle qui refuse de reconnaître comme brevetables les procédés utilisant des cellules souches prélevées sur des embryons humains conforte la position du Secrétariat de la COMECE.

    *Commission des Episcopats de la Communauté Européenne

  • Les réfugiés syriens sont repoussés aux portes de l'Europe

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    Lu sur le Huffington Post :

    Les Syriens repoussés des portes de l'Europe

    SYRIE - Depuis deux ans, les Syriens sont toujours plus nombreux à chercher refuge en Europe, un périple qui les mène notamment en Turquie puis en Grèce. Mais une fois aux portes de cet Eldorado tant fantasmé, l’accueil est brutal. Ces hommes, femmes et enfants, fuyant un conflit qui a déjà fait plus de 115 000 morts, se trouvent repoussés par les autorités helléniques vers les frontières turques.

    "Nous avons marché trois nuits d’affilée, il y a des enfants, nous sommes épuisés. Nous venons de Syrie, par pitié, laissez nous passer". Ces phrases, Salwa Al-Rajo les a répétées en boucle aux gardes-frontières grecs qui les ont interceptés. Elle, sa famille et 40 autres Syriens dans la région d’Evros alors qu’ils venaient de traverser les kilomètres de terres séparant la Turquie de la Grèce.

    C’était en août 2012 et Salwa ne risque pas d’oublier ce douloureux voyage. "La journée, nous restions cachés pour ne pas être surpris, nous marchions la nuit, il était impossible de voir devant nous. Mes quatre enfants étaient terrifiés". L’espoir de regagner l’Europe et de sauver sa vie ne mesure pas les risques d’une telle traversée qui a pourtant été vaine. "Les policiers nous ont obligés à monter dans un bateau en plastique laissant le courant nous porter de nouveau en Turquie. Nos passeports prouvant que nous étions Syriens et nos supplications n’ont servi à rien".

    Lire la suite sur le Huffington Post

  • Les racines culturelles et spirituelles de l'Europe

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    les-racines-culturelles-et-spirituelles-de-l-europe_article_large.jpgAuteur : Giovanni Reale

    Chez Mame, 264 pages, 22,50 €

    "Ce livre est né de mon intervention, le 20 juin 2002, lors de la cérémonie d'inauguration du congrès européen : « Vers une Constitution européenne ? » Il avait pour but de soulever les problèmes que la préparation d'une Constitution européenne entraîne inévitablement. Cet ouvrage attire davantage l'attention sur l'identité du citoyen européen en général que sur la Constitution européenne.

    Ces pages ont pour but de montrer comment l'Europe est née, comment elle s'est constituée, afin de permettre à l'homme européen de se connaître lui-même, et donc de renaître.

    J'ai voulu donner leur juste place aux grands fondements culturels et spirituels qui ont donné vie à l'idée de l'Europe, mais également aux raisons qui ont conduit à les oublier."

  • Le Projet de résolution Estrela au Parlement Européen le 10 décembre; un moment crucial.

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    Droit à la vie, liberté de conscience : Appel au rejet du Projet de Résolution Estrela au Parlement européen (source)

    Un appel pressant de Grégor Puppinck, Président du Comité européen de l’Initiative citoyenne « Un de Nous ».

    Mardi, le 10 décembre, le Parlement européen pourrait voter une nouvelle fois sur le projet de Résolution Estrela. Ce texte avait été rejeté une première fois le 22 octobre dernier et renvoyé en Commission pour un nouvel examen.  La tenue d’un vote le 10 décembre prochain reste incertaine car la régularité de la procédure au sein de la Commission est mise en cause, notamment par le service juridique du Parlement européen. En effet, afin d’accélérer la procédure, les députés ont été privés du droit de soumettre des amendements au texte lors de son réexamen en Commission.

    Ce texte radical demeure absolument inacceptable ; il porte atteinte notamment :

    -        au droit à la vie et à la dignité de tout être humain, car il recommande à l’Union européenne de financer l’avortement à travers le monde ainsi que la recherche destructrice sur les embryons humains en Europe ;

    -        à la liberté de conscience des personnels de santé, dont il veut réduire le droit fondamental à l’objection de conscience ;

    -        aux droits éducatifs des parents et des enfants, car il veut imposer l’enseignement obligatoire de l’idéologie du genre à tous les enfants ;

    -        aux compétences nationales, car l’avortement ne relève pas de la compétence européenne (voir ici) ;

    -        et au droit européen, qui d’une part reconnaît que l’embryon humain mérite protection au titre du respect dû à la dignité humaine (arrêt Brustle c Greenpeace), et d’autre part énonce clairement qu’il n’existe pas de « droit de l’homme » à l’avortement (voir iciici et ici).

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  • Enfin! Des élus belges se préoccupent du sort des chrétiens d'Orient

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    C'est une "contribution externe" qui paraît opportunément sur La Libre de ce jour. Elle est due à Vanessa Matz (sénatrice cdH) et à Georges Dallemagne (député fédéral cdH) et est intitulée : Que fait l'Europe pour les chrétiens d'Orient.

    Trois ans après le formidable espoir de démocratisation au Sud de la Méditerranée, la situation des minorités, notamment chrétiennes, est aujourd’hui un motif de grande inquiétude dans de nombreux pays bousculés par le "printemps arabe". Cela mérite une analyse détaillée et des initiatives politiques dans les pays concernés et en Europe.

    La cause des chrétiens d’Orient et des autres minorités nous concerne tous, au titre de la fraternité et au nom de la liberté. Le renoncement ou l’impuissance seraient intolérables devant cette tragédie quotidienne qui met en péril l’existence de communautés chrétiennes dans le monde musulman. Leur existence même nous paraît un enjeu de civilisation commun pour l’Europe et pour l’islam. Comme le disait récemment Shahira Mehrez, une Egyptienne de confession musulmane lors d’une réunion des femmes égyptiennes à l’Onu : "Nous savions bien que la confrérie - je ne veux pas les appeler ‘Frères musulmans’ parce que les musulmans c’est nous - commencerait par les chrétiens, les plus faibles dans la société, mais qu’ensuite ce serait au tour des chiites, des femmes, des pauvres et puis finalement de nous."

    Lire la suite sur LaLibre.be

    Voir également :

  • Une pétition circule pour que Sainte-Sophie de Constantinople ne redevienne pas une mosquée

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    Lu sur Orthodoxie.com :

    Pétition de l’organisation HALC à l’UNESCO pour que Sainte-Sophie de Constantinople ne soit pas transformée en mosquée

    L’organisation HALC (Hellenic American Leadership Council)  a lancé une pétition internationale auprès de l’UNESCO afin que Sainte-Sophie de Constantinople ne soit pas transformée en mosquée. Jusqu’à présent, près de 15000 signatures ont été récoltées. On peut consulter le texte de la pétition ici.

    Par ailleurs, on apprend sur Orthodoxie.com que le plus grand monastère byzantin d'Istanbul sera prochainement transformé en mosquée :

    Le plus grand monastère byzantin d’Istanbul sera transformé en mosquée après sa restauration, l’an prochain. Il s’agit du monastère de Stoudios (ou Stoudion), connu également comme le monument İmrahor et qui sera alors appelé «mosquée İmrahor İlyas Bey ». Le monument restauré, qui fait partie du Musée Sainte-Sophie, connaîtra le même sort que les églises Sainte-Sophie de Trébizonde et d’İznik (Nicée, ndlr) qui ont déjà été transformées en mosquées. « Je ne voudrais pas parler en tant que membre du conseil, mais mon opinion personnelle est qu’un héritage culturel ne devrait être considéré comme un héritage antagoniste. Si nous le répercutons ainsi, cela portera préjudice aux sociétés à un macro-niveau » a dit Laki Vingas, représentant le directeur général des Fondations. M. Vingas a ajouté que cette question créée des douleurs dans la société, ce n’est pas seulement le problème de la communauté grecque ». « Un héritage culturel fait partie des héritages universels, ce qui veut dire qu’ils sont l’héritage commun de l’humanité » a-t-il conclu. La transformation du monument İmrahor en mosquée vient au moment où le débat continue quant à l’opportunité de rouvrir Sainte-Sophie de Constantinople comme lieu de culte. Plus récemment, le vice premier-ministre Bülent Arınç a exprimé l’espoir de voir Sainte-Sophie utilisée comme mosquée. Vingas a déclaré : « Mon opinion personnelle est que, lorsque vous tentez de créer une nouvelle vision, vous devriez veiller à ne pas créer de nouveaux problèmes pour l’avenir ». Le monastère, qui remonte au Vème siècle, était le plus important monastère de Constantinople pendant la période byzantine, constituant également un centre de l’intelligentsia. La basilique a été transformée en mosquée sous la période du sultan ottoman Bayezid II. Après deux incendies importants au XVIIIème et au XIXème siècle, le monastère a été détruit dans sa plus grande partie. En 1946, il a été transformé en musée conformément à la décision d’un cabinet ministériel.

    Source : Hurriyet Daily news, traduit de l’anglais pour Orthodoxie.com

  • Quand l'OMS édicte d'étranges normes d'éducation sexuelle

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    Les étranges « normes » d’éducation sexuelle de l’OMS avant l’âge de 4 ans… et ensuite

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    La section européenne de l’Organisation mondiale de la santé recommande de dispenser une initiation très particulière à la sexualité dès la plus tendre enfance. Dans un document intitulé Normes pour l’éducation sexuelle en Europe, elle prescrit officiellement l’apprentissage de « la jouissance et du plaisir quand nous touchons notre propre corps »… entre 0 et 4 ans ! Elle appelle cela « la masturbation infantile » : voilà qui est clairement dit !

    A 4 ans, d’après l’OMS, les enfants sont aptes à « exprimer besoins, désirs et limites », par exemple « jouer au docteur » (sic). Entre 4 et 6 ans, ce serait une période idéale pour étudier les « relations du même sexe » et « consolider l’identité de genre », et donc en route pour l’homosexualité… Entre 6 et 9 ans, les enfants doivent pouvoir se tenir prêts pour connaître et défendre les « droits sexuels des garçons et des filles ». En futurs citoyens embrigadés du Meilleur des mondes à la Huxley ? Qui sait ?

    Entre 9 et 12 ans, comme l’OMS est scientifiquement prévoyante, il faut alerter d’avance les enfants du problème des grossesses imprévues, et donc en route pour le « planning » familial, le choix d’un projet de vie, la contraception et l’avortement.

    Dès l’âge de 9 ans, on recommande que les enfants sachent où trouver des produits contraceptifs et où pratiquer une « interruption » plus ou moins volontaire de grossesse, autrement dit un avortement.

    Entre 9 et 15 ans, on conseille aux gouvernements de faire une mise en garde contre un danger : l’adversaire idéologique constitué par la religion chrétienne, obstacle pour la jouissance et le plaisir sexuel…

    A l’âge de 15 ans, grand départ pour les aventures tous azimuts, en particulier homosexualité, bisexualité et autres pratiques diversifiées, sans compter les relations sexuelles tarifées et la pornographie, pour les futurs citoyens de base de l’Europe des loisirs où on aura oublié le chômage, ayant les mains occupées ailleurs et l’esprit dans d’épais et fumeux nuages.

    Et qu’on se rassure ! L’Etat grand gérant des activités ludiques est la « source formelle » et « scientifique » de l’éducation des enfants. Les parents, devenus citoyens de seconde zone d’un grand Tout indifférencié, ne seront plus que des « sources informelles ».

    Et la famille, là-dedans ? Sous les auspices de cet individualisme anticonceptionnel et abortif, il n’en est simplement plus question. D.L.

  • Offensive contre l'embryon à Bruxelles : retour de la résolution Estrela au Parlement le 10 décembre. UN DE NOUS appelle à la mobilisation

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    Offensive contre l'embryon à Bruxelles :
    retour de la résolution ESTRELA au Parlement le 10 décembre

    UN DE NOUS appelle à la mobilisation !

    Retour annoncé du texte polémique en séance plénière…

    Des observateurs des instances européennes tirent de nouveau le signal d'alarme : la résolution Estrela qui porte atteinte à la dignité et à la vie de l'embryon humain va être présentée à nouveau au vote le 10 décembre au Parlement européen. Déjà, le 22 octobre, une première tentative a été déjouée grâce à une mobilisation massive des citoyens (BRAVO !) qui ont alerté leurs parlementaires obtenant ainsi un renvoi du texte en commission.


    … après un réexamen litigieux en commission

    La commission chargée des droits des femmes a expédié, mardi 26 novembre, l’examen du texte qui a été adopté à 19 voix contre 15. L’empressement des partisans de la résolution a conduit à bâcler la procédure : le service juridique du Parlement a souligné des vices de procédure que le Président de la commission a choisi d’ignorer !


    Le texte passera en séance plénière le 10 décembre, sauf mobilisation des députés… !

    AUJOURD’HUI et avant mercredi 4 décembre (date de fixation de l’ordre du jour de la séance plénière du 10 décembre), il est urgent de s'opposer de nouveau et avec force à cette résolution pour que l’examen en séance plénière soit sinon annulé au moins reporté pour vice de procédure. Pour cela, vous pouvez dès maintenant mener 3 actions simples et rapides :

    • Demander à Martin Schulz, Président du Parlement européen de retirer le projet de résolution de l'ordre du jour de la séance plénière car ce texte ne relève pas de la compétence de l'Union et est entaché de plusieurs vices de procédure majeurs (standard du Parlement, +32 (0)2 2845 503, ou martin.schulz@europarl.europa.eu)
    • Demander au Parti Populaire Européen (droite démocratique) de rejeter le texte :joseph.daul@europarl.europa.eu ; +32 (0)2 2840 662 (Joseph Daul parlementaire français UMP président du parti PPE, susceptible de mobiliser contre cette résolution)
    • Interpeller les parlementaires français attentifs à la défense de l'embryon (ceux que vous connaissez comme s’étant opposés à la libéralisation de la recherche sur l’embryon en France)
    La proposition de résolution « sur la santé et les droits sexuels et génésiques » (SDSG) seraprésentée à nouveau au vote le 10 décembre au Parlement européen : elle inclut le soutien et le financement de programmes détruisant l’embryon humain.

    Cette résolution excède les compétences de l'Union européenne qui doit laisser les Etats membres légiférer sur les enjeux bioéthiques. Les financements européens de recherche sur l'embryon et de politiques d'aide au développement incluant l'avortement posent problème.

    1 894 693 personnes en Europe sont signataires de l'Initiative Citoyenne Européenne
    UN DE NOUS pour demander précisément l'arrêt du financement par l'Union européenne des programmes menaçant l'être humain déjà conçu.


    Les députés européens ne peuvent ignorer cette mobilisation citoyenne massive à travers toute l'Europe, et inédite sur le sujet. Sous peine de déni de démocratie.

    Il y a urgence à se mobiliser d’ici mercredi.

    Mercredi, nous vous ferons connaître la décision du Président du Parlement

    et la suite ou non de la mobilisation.


    Un très grand merci à tous.

    L'équipe UN DE NOUS France

    L’Initiative UN DE NOUS est portée en France par quatre structures : Alliance Vita, Fondation Jérôme Lejeune, AFC, CPDH.

    * 1 exemple de message électronique :

    Monsieur,

    Une proposition de résolution “sur la santé et les droits sexuels et génésiques” (SDSG) est actuellement inscrite au calendrier du Parlement européen pour le 10 décembre prochain.

    Ce texte ne relève pas de la compétence de l'Union, comme il en a déjà été décidé précédemment : “compte tenu de la dimension éthique, sociale et culturelle de l'avortement, il appartient aux États membres d'élaborer et de faire appliquer leurs politiques et leur législation en la matière. La Commission n'entend pas compléter les politiques nationales de santé publique dans ce domaine.” (Réponse du Commissaire à la santé Dalli du 30 avril 2012).

    Par ailleurs, le renvoi du texte en commission et son réexamen sont entachés de vices de procédures, soulignés par le service juridique du Parlement.

    Je vous demande donc de retirer la programmation de cette proposition abusive, qui heurte profondément la conscience des signataires de l'Initiative Citoyenne Européenne "Un de Nous", soutenue par 1 900 000 personnes en Europe et qui demandent précisément l'arrêt du financement par l'Union européenne de pratiques industrielles et scientifiques impliquant la destruction d'embryons humains.

    Confiant dans votre souci de l’intérêt général, je vous prie de croire, monsieur, à l'expression de ma considération.

    (signature)
     
  • En Croatie, le mariage s'inscrira comme l'union entre un homme et une femme

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    Lu ICI :

    MARIAGE HOMOSEXUEL / La Croatie dit non par référendum

    Les Croates ont voté dimanche en faveur d'une révision de la Constitution pour empêcher le mariage homosexuel.

    ZAGREB - Les Croates ont voté dimanche en faveur d'une révision de la Constitution pour empêcher le mariage homosexuel, au cours d'un référendum réclamé par des ONG conservatrices mais jugé discriminatoire par des militants des droits de l'Homme.

    Selon les résultats officiels portant sur les bulletins dépouillés dans près de 99% des bureaux de vote, 65,76% des Croates ont répondu «oui» à la question de savoir si le mariage devait être inscrit dans la Constitution comme « l'union entre un homme et une femme.»

    Trois heures avant la fermeture des bureaux de vote, le taux de participation (26,75%) était bien inférieur à celui enregistré à la même heure (33,79%) au référendum sur l'adhésion de la Croatie à l'Union européenne en 2012, et qui à la fin du vote avait été de seulement 43%.

    Dans cette ex-république yougoslave de 4,2 millions d'habitants, tout récemment devenue membre de l'UE, l'Église catholique particulièrement influente a donné son plein soutien à l'organisation de cette consultation.

    «Le mariage est le fondement de la famille et de la société. Les Croates ont le droit de dire si pour eux le mariage est l'union entre un homme et une femme», a déclaré dans la journée Zeljka Markic, présidente du collectif conservateur «Au nom de la famille» qui a été à l'origine de cette consultation. (...)

    Le gouvernement de centre gauche dirigé par Zoran Milanovic avait appelé ces derniers jours les citoyens à voter contre un tel amendement. (...)

    Voir également : http://www.presseurop.eu/fr/content/news-brief/4368621-la-decision-du-referendum-sera-inscrite-dans-la-constitution