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Eglise - Page 1488

  • Chemin de croix dans les rues d'Uccle

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    arton4178-6b12a.pngChemin de croix dans les rues d'Uccle.Vivre avec notre cœur et notre corps le mystère de l’Amour qui s’est livré pour chacun de nous et qui vit avec nous chacune de nos souffrances est la clef qui permet d'accéder à la joie de Pâques. Cet Amour est offert à tous, croyants ou non. Voilà pourquoi l'Unité Pastorale Boetendael a décidé de vivre et de témoigner de cette rencontre au milieu de l'espace public, à l'image du Christ Lui-même, qui a souffert sa passion à la vue de tous les habitants de la ville.Cet évènement est ouvert à tous les âges, et tout particulièrement aux jeunes et aux familles pour qui l'expérience d'un vécu concret est tellement importante.

    L’homme contemporain a besoin de rencontrer le Christ crucifié et ressuscité !
    (Jean Paul II)

    Départ devant l’église St-Marc (av. De Fré, à côté du Delhaize) à 18h45

    Pour ceux qui le désirent, le chemin de croix est suivi de l'office du Vendredi Saint à l'église Saint-Marc.

  • Benoît XVI aux prêtres à la Messe chrismale du Jeudi-Saint : et le zèle pour les âmes ?

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    « Le dernier mot-clé que je voudrais encore évoquer s’appelle le zèle pour les âmes (animarum zelus). C’est une expression démodée qui aujourd’hui n’est presque plus utilisée. Dans certains milieux, le mot âme est même considéré comme un mot prohibé, parce que – dit-on – il exprimerait un dualisme entre corps et âme, divisant l’homme à tort. L’homme est certainement une unité, destiné avec son corps et son âme à l’éternité. Mais ceci ne peut signifier que nous n’avons plus une âme, un principe constitutif qui garantit l’unité de l’homme dans sa vie et au-delà de sa mort terrestre. Et naturellement comme prêtres nous nous préoccupons de l’homme tout entier, justement aussi de ses nécessités physiques – des affamés, des malades, des sans-toit. Toutefois, nous ne nous préoccupons pas seulement du corps, mais aussi des besoins de l’âme de l’homme : des personnes qui souffrent en raison de la violation du droit ou d’un amour détruit ; des personnes qui se trouvent dans l’obscurité à propos de la vérité ; qui souffrent de l’absence de vérité et d’amour. Nous nous préoccupons du salut des hommes dans leur corps et dans leur âme. Et en tant que prêtres de Jésus Christ, nous le faisons avec zèle. Les personnes ne doivent jamais avoir la sensation que nous accomplissons consciencieusement notre horaire de travail, mais qu’avant et après nous nous appartenons seulement à nous-mêmes. Un prêtre ne s’appartient jamais à lui-même. Les personnes doivent percevoir notre zèle, par lequel nous donnons un témoignage crédible pour l’Évangile de Jésus Christ. Prions le Seigneur de nous remplir de la joie de son message, afin qu’avec un zèle joyeux nous puissions servir sa vérité et son amour."

  • Les prêtres invités à la radicalité de l'obéissance

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    La Croix présente l'homélie de Benoît XVI prononcée lors de la messe chrismale  de ce Jeudi Saint. Il y rappelle les prêtres à l’obéissance.
    La Croix y voit une réponse explicite à l’appel signé le 19 juin 2011 par 329 prêtres autrichiens (appel en faveur de l’ordination des femmes et d’autres réformes dans l’Église, repris également en Allemagne, en France, aux États-Unis, ...et en Belgique).  "...Le pape a pris acte de « la situation souvent dramatique de l’Église d’aujourd’hui », et de l’« appel à la désobéissance publié par un groupe de prêtres dans un pays européen ».

    Il constate que « cet appel devrait ignorer même des décisions définitives du magistère, par l’exemple sur la question de l’ordination des femmes, à propos de laquelle le bienheureux pape Jean-Paul II a déclaré de manière irrévocable que l’Église, à cet égard, n’a reçu aucune autorisation de la part du Seigneur »
     
    Là n’est pas, pour le pape, le point essentiel. « La désobéissance est-elle un chemin pour renouveler l’Église ? »  La réponse de Benoît XVI est clairement négative. Pour lui, seule, la « configuration au Christ est la condition nécessaire d’un vrai renouvellement, et non pas seulement l’élan désespéré pour transformer l’Église selon nos désirs et nos idées. »

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  • Le site des médias catholiques victime de pirates informatiques ?

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    Le site officiel des médias catholiques (catho.be) est bloqué depuis quelque temps, sans doute victime d'un acte de malveillance de quelconques anonymous ou autres énergumènes, partisans du pluralisme, et de la liberté d'expression. Dans ce cas, chacun pourra apprécier le choix du moment en ce début du triduum pascal.

  • Liège : les catholiques sortent des églises

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    Nous lisons dans Le Soir : "Les catholiques sortent des églises vendredi. Pour la première fois, un chemin de croix est organisé au centre-ville."

    phpThumb_generated_thumbnailjpg.jpgC'est une première dans le centre-ville liégeois : à l'initiative des deux doyens – rive gauche et rive droite –, les catholiques devraient se retrouver vendredi pour un chemin de croix allant de Saint-Pholien à Saint-Paul, en passant par la place Saint-Lambert, « lieu du martyr de l'évêque saint Lambert mais aussi en mémoire des victimes de la tuerie de décembre dernier, sans oublier le drame de la rue Léopold et les petites victimes du terrible accident de Sierre. »

    Amené par l'évêque Aloys Jousten, ce rassemblement se veut « ouvert à tous » mais « les marcheurs suivront symboliquement une grande croix et porteront des cierges. »

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  • Quand des catholiques sauvaient des juifs durant l'Occupation

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    Le Figaro recense une biographie du cardinal Lustiger et rappelle ces évènements :

    C'était le jeudi saint 1940. Sans savoir pourquoi, un jeune juif, Aron Lustiger, entre dans la cathédrale d'Orléans. Il est saisi. «Là, témoignera-t-il, j'ai eu l'intuition que ce que je pensais de la condition juive trouvait dans la figure du Messie son sens et un certain aboutissement.» Le 25 août 1940, Aron et sa sœur Arlette sont baptisés. Contre l'avis de leurs parents qui tenteront une médiation avec un grand rabbin pour empêcher cet acte.

    Cette histoire est très connue. Elle est racontée dans une biographie, Jean-Marie Lustiger, le cardinal prophète, publiée mercredi chez Grasset (360 p., 20,90 €) et signée par Henri Tincq, ancien chroniqueur religieux au journal Le Monde. Mais ce livre très fouillé contient une révélation de taille: les parents du futur cardinal seront également baptisés…

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  • Vendredi saint – Un chemin de croix dans les rues de Liège

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    image001.jpgVendredi saint – Chemin de croix dans les rues de Liège (communiqué de presse)

    Vendredi 6 avril, c’est vendredi saint. Les chrétiens font mémoire de la mort de Jésus sur la croix, deux jours avant de fêter sa résurrection à Pâques. A cette occasion, la « Pastorale Urbaine » qui organise diverses animations pour les catholiques de Liège, renoue avec une antique tradition : organiser un chemin de croix dans les rues de la ville. Chapeauté par les doyens des deux rives de la ville (Rive-droite, doyen Jean-Pierre Pire et rive-gauche, doyen Eric de Beukelaer), il sera présidé par Mgr Aloys Jousten, évêque de Liège.  Le chemin de croix partira à 18h de l’église Saint-Pholien pour arriver à 19h à la Cathédrale. Les marcheurs suivront symboliquement une grande croix et porteront des cierges. Des intentions seront présentées par des représentants des paroisses et des mouvements (comme Sant’Egidio), mais aussi de la société civile (le monde de la justice, le MOC, le monde scolaire, les mouvements de jeunesse, les victimes de la violence, les étrangers,…) L’événement s’adresse à un large public. Chacun peut librement y participer: Liégeois ou non, jeune ou aîné, croyant ou peu, pratiquant ou pas. Le chemin de croix est une prière par les pieds. C’est un message d’amour universel qui s’adresse bien au-delà des habitués des églises. La Pastorale Urbaine remercie l’administration communale et les forces de police. Grâce à leur aimable collaboration, pareille démarche a pu s’organiser dans d’excellentes conditions.

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  • Ils sont 150 millions de chrétiens à être persécutés dans le monde

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    Chaque année depuis 1997, Portes Ouvertes publie l'Index Mondial de Persécution, un classement des 50 pays oû les chrétiens sont le plus persécutés.

    L'Index est un outil d'analyse. Il permet à Portes Ouvertes d'ajuster le plus précisément possible l'aide humanitaire, juridique et spirituelle en fonction des besoins des églises minoritaires persécutées.

    L'Index Mondial de Persécution prend en compte la pleine complexité de la persécution et la taille de chaque communauté chrétienne persécutée et recense les exactions à l'encontre des chrétiens, quelles que soient leurs dénominations.

  • Qu'est-ce que la messe ?

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    vanderweyden_croix1.jpgLa messe de la Dernière Cène qui se célèbre au soir du Jeudi-Saint -premier jour du « triduum pascal »- commémore l’institution de l’Eucharistie par le Christ « pridie quam pateretur » : à la veille du jour de sa passion. Telle fut la première messe indissociable du sacrifice de la croix qu’elle signifie.

    Sur une page du livre d’intentions ouvert au fond d’une église liégeoise, un fidèle anonyme a écrit : « Qu’est-ce que la messe » ? et consigné la réponse que lui a faite un prêtre : « c’est un repas… ». Essayons donc d’expliciter, humblement, ces points de suspension.

    Dans un petit livre pénétrant, "Ce qu'est le mystère à l'intelligence" (1), Louis Salleron s'est interrogé, après tant d'autres, sur l'"essence" du christianisme, qui se trouve être, pense-t-il, dans le sacrifice:

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  • Joyeuse Vesak-Hanamatsuri !

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    Le dimanche 8 avril prochain, on fête le Vesak-Hanamatsuri. Cela ne vous dit rien ? Alors, Cathobel, sous le titre « Joyeuse Vesak-Hanamatsuri », vous rafraîchit la mémoire (ou vous instruit) en commentant ce communiqué du conseil pontifical pour le dialogue interreligieux :

     « À l’occasion du Vesak-Hanamatsuri, grande fête bouddhiste qui commémore la naissance du bouddha le 8 avril, le président du Conseil Pontifical pour le dialogue interreligieux, le cardinal Tauran, a adressé le 3 avril un message aux bouddhistes. Outre les félicitations de rigueur, c’est sur l’éducation des jeunes générations à la justice, à la paix et au dialogue interreligieux, que le propos s’est concentré. Quelques extraits…

     « Aujourd’hui, dans les salles de classe des écoles et des universités du monde entier, de plus en plus d’étudiants appartenant à diverses religions et croyances sont assis côte à côte et apprennent ensemble, les uns des autres ».

    « En tant que bouddhistes, vous transmettez aux jeunes une sagesse : s’abstenir de nuire aux autres et vivre dans la générosité et la compassion, pratique digne d’estime et de reconnaissance, don précieux pour la société ».

    « Les jeunes nous aident à progresser dans notre pèlerinage vers la Vérité. Par leur dynamisme, comme constructeurs du futur, ils nous contraignent à abattre tous les murs qui, malheureusement, nous séparent toujours. Par leurs interrogations, ils stimulent le dialogue entre les religions et les cultures ».

    « Partageons la responsabilité commune que nous avons envers les générations présentes et futures en les éduquant à être pacifiques et constructeurs de paix ».

    Zenit/A.L "

    C’est ici : Joyeuse Vesak-Hanamatsuri ! | L'information en continu des Médias Catholiques

    Accessoirement, si vous l’ignoriez, on fête aussi, ce même 8 avril, la Résurrection du Seigneur Jésus-Christ, laquelle nous enseigne que, décidément non, nos personnes (corps et âmes) ne sont pas vouées à s’anéantir dans le grand tout, selon les préceptes des  « religions » orientales, bouddhisme en tête. Comme fêtes joyeuses, il est permis de préférer celles de Pâques et de Noël au  « Vesak-Hanamatsuri ».

  • Contraception : un enseignement de l'Eglise qui est mal passé

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    Dans un entretien d’une grande franchise accordé samedi dernier au Wall Street Journal, le cardinal Timothy Dolan, archevêque de New York et président de la Conférence épiscopale des États-Unis, avoue que l’enseignement de l’Église aux fidèles sur la contraception fut un échec qui lui a fait « manquer la chance d’avoir une voix morale cohérente dans l’une des plus brûlantes questions du jour » (le HHS Mandate). Un échec dont le cardinal Dolan ne craint pas d’imputer la responsabilité aux dirigeants de l’Église : « Je n’ai pas peur d’admettre que c’est pour nous un défi catéchétique interne – un défi majeur – que de convaincre nos fidèles de la beauté et de la cohérence morales de ce que nous enseignons. Voilà le gros problème ». Et ce problème, le cardinal Dolan en voit l’origine « vers le milieu ou la fin des années 1960, lorsque le monde entier semblait s’effondrer, et lorsque les catholiques, en général, avaient le sentiment que ce que le Concile de Vatican II enseignait, d’abord et avant tout, c’est que nous devions être copains avec le monde, et que la meilleure chose que l’Église pouvait faire c’était de devenir de plus en plus comme tout le monde ». Pour lui « l’allumette » qui allait provoquer « l’explosion » fut la publication, en 1968, de l’encyclique prophétique de Paul VI Humanæ Vitæ qui « provoqua un tsunami de dissidence, de départs [de l’Église], de critiques de l’Église que, pour la plupart d’entre nous – j’utilise à dessin la première personne du pluriel car je m’y inclus – disions d’une manière un peu subconsciente : “Oh là là ! On aurait mieux fait de ne pas parler de ça, c’est une chose trop dure à assumer. Nous avons manqué la chance d’avoir une voix morale cohérente dans l’une des plus brûlantes questions du jour ».

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  • Les chrétiens du Mali menacés à Gao

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    AFRIQUE/MALI - Destruction de l'église et du siège de la Caritas de Gao - les 200 chrétiens demeurés dans la ville craignent pour leur sort

    Bamako (Agence Fides) - Le bureau local de la Caritas de Gao, dans le nord du Mali, a été détruit tout comme l'église après que les rebelles touaregs se soient emparés de la ville au cours de la fin de semaine dernière. C'est ce qu'affirme Caritas Mali dans un communiqué envoyé à l'Agence Fides.

    Malgré le conflit dans le nord et le Coup d'Etat militaire du mois dernier, Caritas Mali affirme poursuivre ses activités consistant à fournir des aides alimentaires aux populations nécessiteuses dans le reste du pays.
    Les rebelles touaregs ont pris le pouvoir dans trois chefs-lieux de région en trois jours. Le principal groupe rebelle est le Mouvement national pour la Libération de l'Azawad (MNLA). A ses côtés, opèrent le groupe islamique Ansar Edine et Al Qaeda au Maghreb islamique (AQMI). Selon des nouvelles de presse, au cours de ces dernières heures, les miliciens islamiques auraient chassé les hommes du MNLA des positions conquises à Tombouctou et dans d'autres localités.

    Le Père Jean-Jacques, Directeur de Caritas Gao indique : « Samedi soir, nous avons réussi à fuir la ville de Gao après avoir appris que certains groupes rebelles islamistes cherchaient à tuer les prêtres et les religieux. Samedi après-midi, les rebelles ont été repoussés de la ville avant de se regrouper et de finalement s'emparer de Gao abandonnée par les forces armées. Nous avons été prévenus ce matin par notre gardien que la mission et l'église ont été détruites. Nous avons également reçu des appels de chrétiens restés à Gao qui nous disent qu'ils se cachent et craignent pour leur vie. Environ 200 chrétiens sont toujours dans la ville ».

    La capitale du Mali est calme : « Tout est normal ici à Bamako » a déclaré Théodore Togo, le Secrétaire général de Caritas Mali. « Nous suivons la situation dans le nord du pays. Nous avons été contraints d'interrompre temporairement nos opérations dans les Paroisses de Gao et Mopti mais nous poursuivons notre action dans le reste du pays afin d'aider les personnes frappées par la crise alimentaire ».

    Caritas Mali distribue du maïs, du mil, du riz et du sorgo ainsi que des semences à plus de 100.000 personnes touchées par une grave crise alimentaire. « Si les mouvements islamistes se limitent au nord du pays, le programme d'aide alimentaire ne va souffrir d'aucune difficulté dans sa mise en oeuvre » conclut Théodore Togo. (L.M.) (Agence Fides 03/04/2012)