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Eglise - Page 1491

  • Benoît XVI à Cuba : liberté et vérité

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    Lu dans « Le Figaro », sous la plume de Jean-Marie Guénois (extraits)

    (…) Contrairement à son habitude, Benoît XVI a utilisé l'homélie de la messe devant des centaines de milliers de Cubains -au premier rang desquels figurait Raul Castro- pour délivrer un message très politique, notamment sur la «liberté religieuse» mais aussi sur le rôle des catholiques dans la construction d'une nouvelle société cubaine.(…)

    À l'aéroport, juste avant de quitter l'île, il a aussi plaidé pour que «le meilleur de l'âme cubaine» donne à ses habitants «la force nécessaire pour construire une société solidaire où personne ne se sente exclu» et une «société renouvelée et réconciliée». Il a aussi demandé qu'il n'y ait plus de «limitation des libertés fondamentales» à Cuba ni de «privation de ressources matérielles». Critiquant alors directement le blocus occidental, qui «aggrave» la situation de Cuba par «des mesures économiques restrictives, imposées de l'extérieur du pays et qui pèsent négativement sur la population».(…)

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  • La visite du pape à Cuba

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    - Consulter les nombreux articles et commentaires sur "Benoît et moi" : benoit-et-moi.fr

    - Sur ZENIT.org (et aujourd'hui, les liens fonctionnent!) :

    Voyage à Cuba

    Entretien

  • Vatican II inspirerait-il le "Comité de la jupe" ?

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    C'est ce qui apparaît d'après cette note de Maximilien Bernard :

    Le Comité de la Jupe poursuit son travail de sape

    Christine Pedotti, fondatrice du Comité de la jupe et de la Conférence des Baptisé-e-s, qui milite notamment pour l’ordination des femmes, vient de publier « La bataille du Vatican. 1959-1965« .

    Pas la peine de l’acheter, en voici un bref résumé : tout est idyllique dans l’Eglise depuis Vatican II, y compris -pour une fois- Jean-Paul II qui retrouve grâce car « il n’est pas exagéré de dire [qu'il] fut le principal pape de la réception conciliaire. » (dixit Christine le 18 février 2012). La bête noire est aujourd’hui Benoit XVI. Car c’est bien lui qui est visé lorsqu’on lit que « les évêques conciliaires [...] n’avaient sans doute pas prévu que, 50 ans plus tard, ils auraient des successeurs qui tiendraient à nouveau des discours contre lesquels ils avaient voté avec une écrasante majorité. »  (Monique Hébrard, http://www.baptises.fr/?p=4881)

    On lit encore dans les commentaire de Christine sur la même page, son attachement viscéral à « l’esprit du concile » :

    « La réception du concile n’appartient pas à l’interprétation que les papes en font, elle appartient à l’Église elle-même qui se reçoit de l’Esprit Saint, et qui [se] vit « sous l’Esprit » et « sous la Parole de Dieu ». Il n’est nullement dit qu’elle vit « sous le pape » ou sous la « Parole du pape ». Le pape appartient à l’Église, il n’est pas au-dessus d’elle. [...] Pour finir, le Concile ne « s’applique » pas. Ce n’est pas un texte de loi ou un corpus réglementaire, il suffit de lire les textes pour le constater. Le concile insuffle un sens, un élan dans la vie de l’Église. La question est: « Est-ce que l’Église vit dans le souffle du Concile ? » [...] La minorité ne s’est pas tenue pour battue à l’issue du Concile. Elle tenait la place, Rome, et avait bien l’intention de regagner lentement mais sûrement le pouvoir que le Concile lui avait momentanément fait perdre. »

    Nous sommes assez sensibles à cette distinction qui est faite entre la lettre des textes du Concile et le "souffle" qui l'anime. Cette assemblée a-t-elle enclenché une dynamique de "libération" allant toujours plus loin dans une surenchère qui éloigne l'Eglise de sa Tradition ? Comme la tenue des Etats Généraux en 1789 a été saluée comme la fin de l'Ancien Régime, Vatican II, dans la mentalité collective, apparaît effectivement comme une révolution qui a ouvert des brèches dans lesquelles se sont précipités les réformateurs de tout poil. Mais nous ne sommes que des laïcs qui ne pouvons nous prononcer sur le fond. Pourtant nous aspirons à un grand moment de restauration catholique que pourrait constituer, par exemple, un concile Vatican III.

  • Benoît XVI à Cuba : le Seigneur Jésus est le Chemin, la Vérité et la Vie

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    Lors de l'homélie prononcée à Cuba devant plusieurs centaines de milliers de fidèles, le 28 mars, le pape a donné cet enseignement fort à propos de la vérité :

    (...) « Si vous demeurez dans ma parole, vous êtes vraiment mes disciples ; vous connaîtrez la vérité et la vérité vous affranchira » (Jn 8, 31). Dans ce texte de l’Évangile qui a été proclamé, Jésus se révèle comme le Fils de Dieu le Père, le Sauveur, le seul qui puisse dévoiler la vérité et donner l’authentique liberté. Son enseignement provoque résistance et inquiétude parmi ses interlocuteurs, et il les accuse de chercher sa mort, faisant référence au suprême sacrifice de la croix, déjà proche. Même ainsi, il les exhorte à croire, à demeurer dans sa Parole pour connaître la vérité qui libère et rend digne.

    En effet, la vérité est un désir de l’être humain et la chercher suppose toujours un exercice d’authentique liberté. Nombreux sont ceux, en revanche, qui préfèrent les raccourcis et qui essaient d’échapper à cette tâche. Certains, comme Ponce Pilate, ironisent sur la possibilité de pouvoir connaître la vérité (cf. Jn 18, 38), proclamant l’incapacité de l’homme à l’atteindre ou niant qu’existe une vérité pour tous. Cette attitude, comme dans le cas du scepticisme ou du relativisme, provoque un changement dans le cœur, le rendant froid, hésitant, loin des autres et enfermé en soi-même. Des personnes qui se lavent les mains comme le gouverneur romain et laissent filer le cours de l’histoire sans se compromettre.

    D’autre part, il y a les autres qui interprètent mal cette recherche de vérité les portant à l’irrationalité et au fanatisme, les enfermant dans « leur vérité », et qui entendent l’imposer aux autres. Ils sont comme ces légalistes aveuglés qui, en voyant Jésus frappé et en sang, crient, furieux : « Crucifie-le ! » (cf. Jn 19 , 6). Cependant, qui agit irrationnellement ne peut pas parvenir à être disciple de Jésus. Foi et raison sont nécessaires et complémentaires dans la recherche de la vérité. Dieu a créé l’homme avec une vocation innée à la vérité et pour cela, l’a doté de raison. Ce n’est certainement pas l’irrationalité, mais le désir de vérité qui promeut la foi chrétienne. Tout homme doit être chercheur de vérité et opter pour elle quand il la rencontre, même s’il risque d’affronter des sacrifices.

    De plus, la vérité sur l’homme est un présupposé inévitable pour atteindre la liberté, car nous découvrons en elle les fondements d’une éthique avec laquelle tous peuvent se confronter, et qui contient des formulations claires et précises sur la vie et la mort, les droits et les devoirs, le mariage, la famille et la société, en définitif, sur la dignité inviolable de l’être humain. Ce patrimoine éthique est ce qui peut rapprocher toutes les cultures, tous les peuples et toutes les religions, les autorités et les citoyens, et les citoyens entre eux, les croyants dans le Christ et ceux qui ne croient pas en lui.

    Le christianisme, mettant en évidence les valeurs qui sous-tendent l’éthique, n’impose pas mais propose l’invitation du Christ à connaître la vérité qui rend libre. Le croyant est appelé à l’offrir à ses contemporains, comme le fit le Seigneur, avant même le sombre présage du rejet et de la croix. La rencontre personnelle avec Celui qui est la vérité en personne nous pousse à partager ce trésor avec les autres, spécialement par le témoignage.

    Chers amis, n’hésitez pas à suivre Jésus-Christ. Nous trouvons en lui la vérité sur Dieu et sur l’homme. Il nous aide à vaincre nos égoïsmes, à abandonner nos ambitions et à vaincre ce qui nous opprime. Celui qui fait le mal, celui qui commet un péché en est esclave et n’atteindra jamais la liberté (cf. Jn 8, 34). Ce n’est qu’en renonçant à la haine et à notre cœur dur et aveugle, que nous serons libres, qu’une nouvelle vie jaillira en nous.

    Convaincu que le Christ est la vraie mesure de l’homme et sachant que c’est en lui que l’on trouve la force nécessaire pour affronter toutes les épreuves, je désire vous annoncer ouvertement que le Seigneur Jésus est le Chemin, la Vérité et la Vie. Vous trouverez tous en lui la pleine liberté, la lumière pour comprendre avec profondeur la réalité et la transformer par le pouvoir rénovateur de l’amour. (...)

  • Un nouveau monastère bénédictin dans le Var

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    [Dom Aidan - Le Baptistère] Une nouvelle fondation bénédictine dans le Var

    SOURCE - Dom Aidan - Le Baptistère (n°63) - 24 mars 2012

    En décembre 2011, Monseigneur Dominique Rey, Evêque de Fréjus-Toulon, a érigé le Monastère Saint-Benoît, une nouvelle communauté monastique selon la règle de Saint Benoît qui célèbre la liturgie sacrée selon les formes classiques et anciennes du rite monastique romain. Le supérieur, Dom Aidan, a donné cet entretien au site New Liturgical Movement et à notre demande d’interview nous en a donné une traduction française.

    Révérend Père Prieur, pouvez-vous nous raconter les origines de ce monastère?
    Les origines de notre monastère trouvent leurs racines dans notre désir de vivre une vie monastique selon la Règle de Saint Benoît. Certains d’entre nous ont été formés et professés moines bénédictins par le passé mais nous nous sentions frustrés de devoir vivre notre vocation dans des circonstances dont nous n’avions pas le contrôle. D’autres ont également rencontré cette difficulté mais souhaitaient tout de même être moines. Il en a résulté une vie menée loin de la vie monastique qui, bien que pénible, a renforcé notre désir de vivre la vie monastique traditionnelle et, chaque jour, son harmonie naturelle dans le rite liturgique classique et l’office. Dans des circonstances qui se sont avérées tout à fait providentielles, nous avons pu exprimer notre désir à Monseigneur Rey.

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  • L'abbé Pierre François, nouveau conseiller religieux des Scouts d'Europe de Belgique

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    C'est une information publiée par catho.be :

    Les évêques de Belgique ont nommé l’abbé Pierre François comme conseiller religieux national des Scouts d’Europe – Belgique et ceci pour une durée de trois ans. Il succède au Frère Gonzague de Longcamp, membre de la Communauté des Frères de Saint-Jean, qui a terminé son mandat.

    Né à Hasselt le 11 mai 1957, Pierre François est prêtre du clergé de la Prélature de la Sainte-Croix et Opus Dei.
    Louveteau à la Vlaams Verbond van Katholieke Scouts (VVKS) et Éclaireur à la Fédération des Scouts Catholiques (FSC) dans sa jeunesse, il fut d’abord aumônier de Scouts catholiques néerlandophones et francophones. En 1992, il est entré en contact avec les Scouts d’Europe, où il est actif depuis, dans plusieurs groupes locaux et dans les équipes nationales.

    Ingénieur Civil en Mathématiques Appliquées (UCL), il a travaillé comme informaticien jusqu’à son ordination sacerdotale le 12 juin 1983. Après un doctorat en Théologie à l’Université de Navarre (Espagne), dans le domaine de la Christologie, il s’est spécialisé en liturgie.
    Depuis 1985, ses activités pastorales se sont développées en milieu étudiant à Louvain et à Amsterdam, et comme aumônier dans le monde professionnel, surtout à Anvers.

  • Nouvelles persécutions antichrétiennes en Inde

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    Persécution des chrétiens au Madhya Pradesh, accusés de pratiquer des « conversions forcées »

    Bhopal (Agence Fides) - Deux épisodes de persécution à l'encontre des chrétiens ont eu lieu ces derniers jours dans l'Etat du Madhya Pradesh (dans le centre de l'Inde) mettant en alarme la communauté locale. C'est ce qu'indique à l'Agence Fides l'association « Isai Mahasangh », fédération oecuménique de mouvements chrétiens de l'Etat, promue par l'Eglise catholique.

    Le premier incident a eu lieu Dimanche dernier, 25 mars, dans le district de Chindwara, où trois chrétiens ont été arrêtés au cours d'une réunion de prière se tenant dans une maison du village de Bichua, dans une zone très reculée. Vijay Mohar, responsable de la communauté locale a déclaré : « Il s'agit de membres de mon église. Ils sont faussement accusés de conversions forcées. La police les a arrêtés et ne leur a pas d'utiliser aucun moyen de communication ».

    La police locale est intervenue sur la base d'une plainte indiquant que « ces personnes cherchaient à convertir par des moyens illégaux, créant tension entre les communautés ». Ils sont accusés d'avoir violé la loi sur la liberté de religion (Religious Freedom Act approuvé au Madhya Pradesh en 1968) et resteront en détention préventive pendant 12 jours. Selon les fidèles locaux, « la police a agi sous la pression de groupes fondamentalistes hindous » attendu que « les fidèles étaient simplement en prière ».

    Dans le cadre d'un second incident, intervenu dans le district de Barwani, la police a interrompu une Convention de trois jours organisée au cours de la fin de semaine dernière par les communautés chrétiennes locales. Le pasteur Kiran a indiqué à Fides : « Nous avions l'autorisation de l'administration pour une manifestation de trois jours. C'est pourquoi nous nous sommes opposés à l'ordre de la police parce que nous étions parfaitement dans la légalité ». L'épisode a créé beaucoup de tension entre les chrétiens, les forces de l'ordre et les groupes extrémistes hindous, qui ont exercé des pressions afin de faire annuler la manifestation.

    La communauté chrétienne au Madhya Pradesh a annoncé l'organisation d'une marche de protestation qui se tiendra le 14 avril prochain. A la marche en question adhéreront la fédération oecuménique « Isai Mahasangh », d'autres associations et des hommes politiques chrétiens qui signaleront la situation des minorités religieuses au gouverneur du Madhya Pradesh. (PA) (Agence Fides 28/03/2012)

  • L'enseignement de la haine

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    Voici un article de Guy Haarscher, publié sur le site de La Libre Belgique : http://www.lalibre.be/debats/opinions/article/728971/toulouse-le-retour-de-l-antisemitisme-pur-et-dur.html avec un préambule qui est un véritable négationnisme historique :

    « L’enseignement de la haine. Je reprends à un mot près le titre d’un beau livre de l’historien Jules Isaac (“L’enseignement du mépris”), qui avait en son temps montré à quel point l’antijudaïsme de l’Eglise avait alimenté la haine des Juifs et ainsi contribué, fût-ce indirectement, à la solution finale, c’est-à-dire à l’extermination. »

    C'est incroyable que Guy Haarscher puisse raconter des énormités pareilles. L'antisémitisme en Europe est réellement né avec les idées de Voltaire, qui réclamait publiquement l'éradication du peuple juif de la surface de la Terre. Il reprochait à ce peuple d'avoir écrit la Bible et d'avoir donné naissance au Christ, et donc à l'Église catholique, dont il réclamait aussi la destruction.

    Le judéo christianisme est en fait une branche du judaïsme, qui s'est ouvert à tous les peuples, à tous les êtres humains, donc universelle ou catholique. Tous les catholiques apprennent et respectent l'histoire du peuple juif et l'enseignement des prophètes juifs. En attaquant le judaïsme, Voltaire s'attaquait donc en réalité aux bases mêmes de l'Église catholique, sa véritable cible. En enseignant la haine des juifs, il enseignait la haine des catholiques et il sapait les fondements de l'Église.

    Et l'on a d'ailleurs bien vu comment, dans les années 1790 en France, les disciples fanatisés de Voltaire ont mis en œuvre l'éradication brutale de l'Église, avec de véritables génocides de catholiques, qui ont 'justifié' tous les autres génocides qui ont suivi. Mais tout cela, Guy Haarscher n'aime pas l'évoquer. Il cherche à défendre les idées de Voltaire, et donc travestit la vérité.

    Pour illustrer cet « enseignement de la haine », on peut citer la façon dont le nazisme endoctrinait la jeunesse. En 1938, fut publiée une directive officielle pour la formation des jeunesses hitlériennes, en cinquante articles. Une véritable charge, d'inspiration très voltairienne (et aussi nietzschéenne) contre le christianisme, traitée de « religion pour les esclaves et les imbéciles ».

    Voici quelques articles :
    « Il n'y a pas de civilisation chrétienne »,
    « Les dix commandements sont un résumé des plus bas instincts de l'humanité »,
    « Comment mourut le Christ ? Gémissements sur la croix. Comment mourut Planetta (*) ? Heil Hitler ! Vive l'Allemagne ! »
    « Néron eut bien raison de persécuter les chrétiens. Il a extirpé l'esprit juif, c'est-à-dire le christianisme. »

    (*) Nazi autrichien, assassin du chancelier Dollfuss qui combattit le nazisme.

    M. Guy Haarscher, en reprenant à son compte les idées de Voltaire, ne fait-il pas que prolonger cet « enseignement de la haine » contre les catholiques ?

  • Liège : prière pour les martyrs durant la Semaine Sainte

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    La Communauté de Sant'Egidio, Liège, nous communique :

    Depuis plusieurs années, la Communauté de Sant'Egidio débute la Semaine Sainte en se souvenant des martyrs contemporains. Cette année encore, Sant'Egidio organise à Liège une prière oecuménique en mémoire des martyrs contemporains, le lundi 2 avril 2012 à 19H00, à l'église Saint-Barthélemy. La prière sera présidée par Monseigneur Aloys Jousten, en présence des représentants oeucuméniques. En particulier, au XXe siècle, sous l'oppression communiste, il y a eu un véritable oecuménisme des martyrs qui est né.

    Au cours de la prière, nous nous souviendrons de tous ceux et toutes celles qui ont donné leur vie pour la foi au cours des dernières années. Parmi eux figureront Shabbaz Bahtti, ministre chrétien des minorités au Pakistan, assassiné il y a un an. Sant'Egidio commémore les martyrs contemporains depuis 2000 et accueille des reliques et souvenirs des martyrs de notre temps dans la basilique San Bartolomeo à Rome.

    Sant'Egidio célèbrera aussi la Semaine Sainte à Liège, du jeudi au samedi saint, à l'église Saint-Barthélemy.

    www.santegidio.be - www.santegidio.org

  • "Le Roi que les jeunes triomphalement acclament"

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    « Le Roi que les jeunes triomphalement acclament », par le P. Daniel-Ange

    Se préparer au Dimanche des Rameaux et à la JMJ !

    ROME, mardi 27 mars 2012 (ZENIT.org) –  Le P. Daniel-Ange propose aux lecteurs de Zenit de participer à l’entrée du Christ à Jérusalem, en la contemplant et revivant de l’intérieur, en préparation au Dimanche des Rameaux, dimanche prochain, 1er avril, qui est aussi la Journée mondiale de la jeunesse 2012 et le grand porche de la Semaine Sainte.

    Le Roi que les jeunes triomphalement acclament

    [Lc 19, 28-44 ; Mt 21, 1-11 ; Mc 11, 1-11]

    La joyeuse entrée dans sa Cité

    Viens et vois Jésus tout embaumé, prenant sa dernière nuit de repos chez ses amis. La dernière de ces nuits qui ont si souvent refait ses forces durant ses courses apostoliques.

    Tôt le lendemain, la petite troupe reprend la route de Jérusalem. Ils gravissent ces quelques centaines de mètres qui les séparent du sommet du mont des Oliviers : le petit hameau de Bethphagé. Et là-haut, tout à coup, en ce dimanche matin : la Ville sainte dans son éclatante splendeur ! Cette Ville sainte, telle que Jésus – de ce même endroit – l’avait découverte avec ses yeux émerveillés d’enfant de 12 ans.

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  • Hongrie: le cardinal Mindszenty enfin réhabilité

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    Lu sur le site de “La Vie” :

    20040428-101916_7.jpgIl aura fallu vingt-deux ans pour que la mémoire du cardinal catholique Joszef Mindszenty (1892-1975) soit enièrement réhabilitée. Cette figure incontournable de la Hongrie était en effet un résistant acharné à toute forme d'oppression; emprisonné en 1919, sous le régime de la République des conseils de Hongrie (d'inspiration communiste), puis à nouveau en 1944-45 sous la férule fasciste des Croix fléchées, il est de nouveau condamné à perpétuité par le régime communiste en 1949. Il sera libéré en 1956 lors de l'insurrection du pays contre l'URSS et trouvera refuge à l'ambassade américaine où il vivra durant 15 ans avant de pouvoir partir pour Rome, puis Vienne où il est mort. L'Office du procureur principal hongrois a clos officiellement le processus de réhabilitation cette semaine.

    Ici: HONGRIE: LA MEMOIRE DU CARDINAL MINDSZENTY REHABILITEE

     Ce n’est pas trop tôt. Mais il n’a pas fallu attendre cet acte juridique pour reconnaître en lui un héros national.

  • "Soyez toujours dans la joie du Seigneur", le message du pape aux jeunes du monde entier

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    Message de Benoît XVI aux jeunes du monde entier pour la Journée mondiale de la Jeunesse 2012 (dimanche des Rameaux)

    ROME, mardi 27 mars 2012 (ZENIT.org) – « Soyez toujours dans la joie du Seigneur ! » : ce verset de l’Epître de saint Paul aux Philippiens est le thème du message de Benoît XVI pour la Journée mondiale de la Jeunesse 2012, dimanche des Rameaux, 1er avril.

    Message de Benoît XVI :

    « Soyez toujours dans la joie du Seigneur ! » (Ph 4, 4)

    Chers jeunes,

    Je suis heureux de pouvoir à nouveau m’adresser à vous à l’occasion de la XXVIIème Journée Mondiale de la Jeunesse. Le souvenir de la rencontre de Madrid, en août dernier, reste très présent à mon esprit. Ce fut un temps de grâce exceptionnel au cours duquel Dieu a béni les jeunes présents, venus du monde entier. Je rends grâce à Dieu pour tout ce qu’il a fait naître lors de ces journées, et qui ne manquera pas de porter du fruit à l’avenir pour les jeunes et pour les communautés auxquelles ils appartiennent. A présent nous sommes déjà orientés vers le prochain rendez-vous de Rio de Janeiro en 2013, qui aura pour thème « Allez, de toutes les nations faites des disciples ! » (cf. Mt 28, 19).

    Cette année, le thème de la Journée Mondiale de la Jeunesse nous est donné par une exhortation de la lettre de saint Paul apôtre aux Philippiens : « Soyez toujours dans la joie du Seigneur ! » (Ph 4, 4). La joie, en effet, est un élément central de l’expérience chrétienne. Et au cours de chaque Journée Mondiale de la Jeunesse, nous faisons l’expérience d’une joie intense, la joie de la communion, la joie d’être chrétiens, la joie de la foi. C’est une des caractéristiques de ces rencontres. Et nous voyons combien cette joie attire fortement : dans un monde souvent marqué par la tristesse et les inquiétudes, la joie est un témoignage important de la beauté de la foi chrétienne et du fait qu’elle est digne de confiance.

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