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Eglise - Page 1491

  • L'évangélisation, priorité absolue

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    DES EGLISES JEUNES POUR UNE EGLISE UNIVERSELLE FORTE

    (VIS). Benoît XVI s'est adressé ce matin (7/9/2012) aux évêques de mission récemment consacrés, participant au cours de la Congrégation pour l'évangélisation des peuples. Soulignant la grande variété des situations de l'Afrique à l'Asie et de l'Amérique à l'Océanie, il a insisté sur leur engagement commun dans l'évangélisation et la consolidation de la foi dans des diocèses "qui sont presque tous de récente fondation. Ces communautés présentent les avantages et les défauts d'une histoire courte, une foi vivante et vécue, entre enthousiasme et zèle apostolique et moments d'instabilité et d'incohérence. Malgré cela, ces Eglises grandissent grâce à l'action pastorale et à la communion des saints, ce qui crée une osmose de la grâce avec les Eglises anciennes mais aussi entre l'Eglise qui chemine et celle du ciel". Depuis peu, le nombre des missionnaires y diminue, compensé par l'augmentation des vocations autochtones, "qui constitue une nouvelle forme de coopération missionnaire. Certains de ces jeunes diocèses ont commencé d'envoyer des prêtres à des diocèses nationaux ou continentaux qui en manquent. Ce type de communion doit toujours caractériser l'évangélisation. Les jeunes Eglises doivent donc être des signes d'espérance pour l'avenir de l'Eglise universelle".

    Une juste inculturation, a poursuivi le Saint-Père, "aide à l'incarnation de l'Evangile dans la culture des peuples et favorise" l'enracinement de ses principes. "C'est un processus long et difficile qui ne doit aucunement compromettre la spécificité et l'intégrité de la foi chrétienne... Portez sur le monde le regard de la foi afin de le comprendre vraiment. Ayez à son endroit un coeur généreux, prompts à entrer en communion avec les femmes et les hommes de ce temps... Le monde a besoin de personnes parlant à Dieu afin de parler de lui. C'est seulement ainsi que la Parole salvatrice portera des fruits. Vos Eglises connaissent l'instabilité sociale qui pèse dangereusement sur la vie des gens. Les carences alimentaires, sanitaires et éducatives touchent les communautés ecclésiales et les impliquent pratiquement... A cela s'ajoutent des discriminations culturelles et religieuses...fruit de fondamentalismes ayant une vision anthropologique erronée qui porte à sous-évaluer ou à ignorer le droit à la liberté religieuse, au respect des faibles, enfants, femmes, handicapés. Il y a également le retour de conflits entre ethnies ou castes avec leurs injustifiables violences. Ayez confiance dans l'Evangile et dans sa force rénovatrice, dans sa capacité à réveiller les consciences en provoquant de l'intérieur le rachat des personnes et une solidarité nouvelle. La diffusion de la parole du Seigneur favorisera la réconciliation comme l'unité des peuples... La foi est absolument un don à accueillir dans nos coeurs et dans nos vies, pour lequel il faut sans cesse remercier le Seigneur. La foi est faite pour être partagée comme un talent reçu est fait pour être fructifié, non une lumière qui serait concédée et resterait cachée". En conclusion, Benoît XVI a encouragé ces jeunes évêques à répondre à la priorité absolue que représente l'évangélisation.

  • Rimsha Masih en liberté sous caution

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    Nous lisons ICI : Rimsha Masih libérée !

    ...une dépêche en italien de 10 h 22 de l’agence Asia News, me signale que le tribunal d’Islamabad a ordonné la libération sous caution de Rimsha Masih. Deo gratias !

    Daniel Hamiche

    Source : Asia News

    Fides développe et commente cette information :

    Ce matin, le juge pakistanais Muhammad Azam Khan a disposé la remise en liberté sous caution de Rimsha Masih, la fillette chrétienne arrêtée au Pakistan sous l'accusation de blasphème pour avoir brûlé un certain nombre de pages du coran. La caution a été fixée à 500.000 roupies pakistanaises soit environ 4.500 EURuros. La demande de liberté sous caution a été acceptée dans la mesure où les preuves ont été jugées insuffisantes pour prolonger la détention de la mineure, par ailleurs handicapée mentale. La décision du juge, dans un premier temps annoncée pour 15h00 locales - et donc après la prière du vendredi - a ensuite été anticipée par surprise.

    « La décision en faveur de la fillette est positive pour de nombreuses raisons » déclare à l'Agence Fides le Pr. Mobeen Shahid, enseignant de pensée et religion islamiques à l'Université pontificale du Latran. Selon le Professeur, « pour la première fois, il a été possible de démontrer de manière évidente que la loi sur le blasphème peut être manipulée sur la base de fausses accusations. Ceci aide la réflexion déjà en cours à propos de possibles modifications des procédures d'application de la loi en question ». Shahid indique un certain nombre de points pouvant faire l'objet de rectifications : « Avant de prendre en considération une plainte pour blasphème, il est nécessaire que les faits soient évalués de manière rigoureuse au travers d'une enquête adéquate. De plus, les accusateurs doivent eux aussi être placés en isolement afin d'éviter d'instiguer les masses à des réactions de haine et ce tant que la véridicité de l'accusation n'a pas été prouvée. Si par la suite, les accusations se révèlent être fausses - et ceci est également suggéré par les Ulémas - les accusateurs doivent être punis ».

    « Le cas de Rimsha - ajoute pour Fides le Père Inayat Bernard, co-directeur du magazine « The Christian View » de Lahore - constitue une opportunité pour réexaminer l'application de la loi sur le blasphème dans son ensemble, loi qui, par le passé, a fait nombre de victimes parmi les minorités religieuses mais surtout chez les musulmans du fait des nombreux abus. La nouvelle prise de conscience que le cas de Rimsha a provoqué au sein de l'opinion publique pakistanaise constitue un progrès et une chance à ne pas perdre pour affirmer le respect de la dignité humaine et de ses droits au sein de la société pakistanaise. En tant que communauté chrétienne, nous espérons que les institutions, les forces politiques et les communautés religieuses, à la lumière de ces derniers développements, pourront s'accorder afin d'éviter l'usage instrumental de la religion au Pakistan ». (GV). (Agence Fides 07/09/2012).

    note mise à jour (7/9/2012 - 16H54)

  • Le patriarche d'Antioche espère que la visite du pape au Liban contribuera à la paix et à la réconciliation

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    L'Osservatore Romano publie un Entretien avec le patriarche d’Antioche des Syriens sur la visite du Pape au Liban

    Vérité et justice en arabe

    « Le mot arabe haqq a deux significations: vérité et droit, dans le sens de justice. Aucune autre langue, que je sache, ne possède cette richesse particulière exprimée dans un seul mot. Pour les peuples arabes n’est-ce pas une coïncidence significative, et même un engagement, qu’il existe un lien aussi fort entre vérité et justice? ». Pour Ignace Youssef III Younan, patriarche d’Antioche des Syriens dont le siège est précisément dans le quartier syrien de Beyrouth, « si la violence est toujours une horreur, au Moyen-Orient elle l’est peut-être plus encore ». Des paroles que le patriarche prononce « avec douleur », constatant combien en revanche « la paix est malheureusement en ce moment si éloignée de la vie de nos populations ». Syrien d’origine, le patriarche relance dans l’entretien à notre journal la proposition d’une table ronde pour la paix afin de mettre un terme aux violences et trouver une solution pacifique et partagée qui garantisse plus de démocratie et le respect des droits humains. Dans cette perspective l’on attend beaucoup de l’imminente visite de Benoît XVI, qui devrait arriver à Beyrouth vendredi 14 septembre. Pour le patriarche « l’idée de fond est simple: réaffirmer de manière claire la volonté des chrétiens et des musulmans de vivre ensemble, en paix, en collaborant pour construire un système plus démocratique de coexistence pluraliste ». Dans le cadre complexe du Moyen-Orient, la visite du Pape pourrait justement « ouvrir de nouvelles perspectives, pour l’instant impensables, et susciter des espoirs de paix et de réconciliation ». Et les musulmans sont prêts à l’écouter.

    Texte intégral en italien de l’entretien

  • La fatigue du vieux continent

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    Nous lisons dans l'Osservatore Romano :

    Un continent fatigué et en crise d’identité qui doit retrouver le sens de l’absolu

    «L’Europe ne sait plus bien quel est son rôle dans le monde», «elle est  retranchée» dans une perspective qui, dans une optique historique, est «perdante», « elle souffre d’une crise d’identité culturelle» et elle est parfois «masochiste», surtout lorsque la nécessaire autocritique «tourne à l’effondrement de nos valeurs», à «l’incapacité de saisir la grande vocation» du continent. Et certains signaux qui viennent aussi des récentes sentences de la Cour européenne des droits de l’homme «font soupçonner un cheminement, peut-être à petits pas, vers un libéralisme éthique dangereux». Voilà quelques-uns des passages clés de l’entretien accordé à notre journal par l’Observateur permanent du Saint-Siège auprès du Conseil de l’Europe, Mgr Aldo Giordano, à l’occasion de la rencontre organisée par cet organisme européen à Durazzo, intitulée «Taking responsibility for tomorrow’s Europe: the role of young people in the religious dimension of intercultural dialogue». Mgr Giordano s’est aussi arrêté sur l’état du dialogue interreligieux et œcuménique. Les visions différentes sur les thèmes éthiques, à l’intérieur des confessions chrétiennes, constituent «un grave problème œcuménique». Sur ces questions la «réflexion commune» n’a encore  enregistré que «de maigres progrès».

  • Valeurs non négociables et engagement des catholiques en politique

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    Zenit a mis en ligne un "dialogue entre un défenseur de la vie humaine et un prédicateur". (Propos recueillis par Thácio Siqueira et traduits par Océane Le Gall). Il s'agit du Brésil, mais ces propos peuvent s'appliquer aux catholiques de tous les pays concernés par l'adoption de nouvelles lois libéralisant l'avortement, l'euthanasie, le "mariage" homosexuel, etc.

    (ZENIT.org) – Il y a, dans la société, pour les catholiques, « trois types de valeurs non négociables », explique le P. Paul Ricardo. La légalisation de l’avortement prévue dans le projet de réforme du Code pénal du Brésil, inquiète la communauté catholique du pays.

    ZENIT a organisé à ce sujet une conversation entre le professeur Paulo Fernando Melo, vice-président du mouvement pour la défense de la vie humaine te de la famille et membre du comité de bioéthique de l’archidiocèse de Brasilia, et le P. Paulo Ricardo Azevedo Jr, du diocèse de l’archidiocèse de Cuiabá, célèbre pour ses prédications.

     

    Prof. Paulo Fernando - Comment voyez-vous la situation de la communauté catholique, de la société en général, face à la légalisation de l’avortement prévue dans le projet de réforme du Code pénal ?

    P. Paulo Ricardo - Le catholique est malheureusement tenu à l’écart de la vie politique. Parmi les catholiques il s’est créé une mentalité selon laquelle, sous prétexte que l’Etat est laïc, les personnes ne peuvent exprimer, en politique, leurs valeurs éthiques et religieuses. Cette mentalité est complètement absurde, car nous savons bien que chaque loi est la manifestation d’un ethos, d’une vision du monde et d’un tableau de valeurs.

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  • 100 questions sur Dieu

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    Un livre des éditions Artège

    (12,00 € - 2012 - 148 pages)


    Présentation de l'éditeur

    Bien souvent les questions les plus simples nous laissent sans réponse… Et qui n’a pas rêvé de s’entretenir avec des spécialistes pour répondre aux questions que soulève sa foi?

    Le frère Emmanuel Pisani a réalisé ces rencontres pour interroger de façon simple et complète de grands noms de l’Église ou de la pensée contemporaine tels le cardinal Georges Cottier, Mgr Robert Le Gall, Maurice Gilbert, Pierre Gardeil et bien d’autres.

    Après s’être interrogés sur Dieu lui-même, ils répondent aux questions à propos de Sa Parole, transmise par l’Écriture Sainte. Au final sont abordées de nombreuses questions très variées comme par exemple : « La Trinité est-elle une invention des théologiens? » ; « Peut-on penser Dieu après Darwin? » ; « Y a-t-il une bonne traduction de la Bible? »

    Des réponses claires et sans détour aux questions les plus difficiles de la foi.

    L'auteur :
    Emmanuel Pisani, dominicain de Montpellier, doctorant en islamologie, est également enseignant en islamologie à l’Institut catholique de Paris. Il a pendant quatre années animé l’émission « le café théologique » sur Radio présence à Toulouse.

  • Les Jeux paralympiques et le paradoxe de nos sociétés

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    La discrimination des personnes handicapées dans les législations

    (ZENIT.org) – Au village paralympique, règne « une passion vibrante et tangible pour la vie » : James Parker, un catholique, est coordinateur pour l’Eglise catholique britannique de l’aumônerie des Jeux olympiques et paralympiques de Londres et relève ce paradoxe dans une société occidentale qui discrimine les personnes handicapées avant même leur naissance.

    Il a appelé les chrétiens et tous ceux qui donnent du prix à la vie humaine à interpeller les responsables politiques du Royaume Uni pour changer ce qu’il considère comme des « lois discriminatoires et dépassées sur l’avortement ». James Parker, qui est le premier aumônier catholique laïc au service des Jeux, a lancé cet appel lors d’un entretien accordé à Radio Vatican le 5 septembre.

    Alors que les Jeux paralympiques vont s’achever le 9 septembre, M. Parker a parlé du temps passé à travailler pour les Jeux et avec certains des athlètes en disant : « Mon expérience personnelle du village paralympique, le lieu d’accueil sous haute surveillance de tous les athlètes et officiels le long du parc olympique, est que c'est un endroit sacré ».

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  • Bangladesh : des centaines d'enfants chrétiens enlevés et convertis de force à l'Islam

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    BANGLADESH : près de 300 enfants chrétiens enlevés et convertis de force à l'Islam (source Asia News)
    Pris en charge par des intermédiaires après avoir convaincu les familles du village de payer pour une éducation dans de pseudo auberges pour jeunes, les enfants sont en fait incorporés à des madrassas (écoles islamiques) où les imams les forcent à abjurer le christianisme. Le dernier cas a cependant connu un heureux dénouement puisque 11 enfants ont pu échapper à la captivité.
    (Dhaka) Au Bangladesh, des enfants chrétiens des tribus Tripuri ont été enlevés à leurs villages et convertis de force à l'Islam. Selon des sources catholiques locales, qui ont demandé de ne pas livrer leurs noms, près de 300 enfants ont été envoyés aux madrassas (écoles islamiques).

    L'histoire est toujours la même. De soi-disant intermédiaires, provenant de la même ethnie Tripuri, visitent les communautés pauvres où ils convainquent les familles d'envoyer leurs enfants dans des missions, à charge de payer entre 6 000 et 15 000 taka (US$ 500 à 1 200) pour l'école et la pension. Après avoir empoché l'argent, les intermédiaires vendent ces enfants à des écoles islamiques situées ailleurs dans le pays.

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  • Ecologie : l'homme gardien de la création

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    (VIS). Benoît XVI a fait parvenir un message au XX Congrès oecuménique international de spiritualité orthodoxe, qui se tient au monastère de Bose (Italie) du 5 au 8 septembre: "L'homme gardien de la création": Pour la tradition chrétienne d'orient comme d'occident, habiter la terre est une mission confiée à l'homme, hôte et gardien de la terre. Tel est le thème dont débattent notamment le Prieur de Bosé Enzo Bianchi, Ioannis Zizoulas, Métropolite de Pergame et représentant du Patriarche oecuménique, auxquels le Pape a souhaité que la rencontre favorise la fraternité, la connaissance réciproque et le partage de la foi, afin a raviver l'engagement commun à sauvegarder le don divin qu'est la création. Le congrès rassemble des prélats orthodoxes, anglicans, réformés, et catholiques, dont le Cardinal Roger Etchégaray, Vice Doyen du Sacré Collège, Mgr.Antonio Mennini, Nonce en Grande Bretagne, Mgr.Mansueto Bianchi, Evêque de Pistoia et Président de la Commission épiscopale italienne pour le dialogue inter-religieux, des représentants aussi du Conseil oecuménique des Eglises et du Conseil pontifical pour l'unité. Pendant ces quatre jours de débat, ouverts au public, les participants approfondissent la dimension spirituelle et théologique du rapport entre l'homme et son environnement, s'interrogent sur les valeurs devant inspirer des décisions responsables face à la crise écologique causée par l'homme, et dont les conséquences sont parfois irréversibles pour la vie de la planète. Les positions orthodoxes sur cette problématique seront exposées par l'Evêque Amvrosij, Recteur de l'Académie de théologie de St.Petersbourg. La bonté de la création selon le récit biblique, le rapport entre la nature blessée et la nature guérie au long de l'histoire, la perception du lien homme nature dans la perception des pères de l'Eglise, d'Irénée de Lyon à Maxime Le Confesseur ou les pères syriaques, seront abordés par des chercheurs comme John Behr (USA), Nestor Kavvadas (Tübingen) ou Assade Elias Kattan (Münster).

  • Les conférences épiscopales européennes au chevet de l'Europe

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    Nous lisons, sur catho.be :

    En crise, l’ attire surtout l’attention par les tentatives de solutions pour résorber les déficits publics des états et leurs dettes souveraines. Pourtant, penser l’avenir du Vieux Continent sous le seul aspect financier et économique est réducteur. Lors d’une rencontre organisée actuellement par le Conseil des Conférences épiscopales d’ () à Chypre, le vice-président de la a estimé que « l’Europe est beaucoup plus que l’euro » et qu’elle doit « retrouver son unité de fond » pour trouver des solutions à la crise.

    Lire la suite sur catho.be

    N.B. : lorsque nous publions une information parue sur catho.be, ou ailleurs, nous citons la source. Dommage que la réciproque ne soit pas toujours vraie et que, sur de nombreux sites où l'on utilise notre blog, on évite soigneusement d'indiquer la référence à belgicatho.

  • Mensuel "La Nef": le numéro de la rentrée et son dossier consacré à l'islam

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    Un certain nombre d'articles sont en ligne et donc accessibles en cliquant sur le titre.

    Sommaire du n°240 de septembre 2012

    SOMMAIRE DU N°240 DE SEPTEMBRE 2012

    EDITORIAUX

    Un peu d’espérance…, par Christophe Geffroy
    Richard Millet et la France, par Jacques de Guillebon

    ACTUALITÉ
    Anniversaire : La mission de Jeanne d’Arc, par Michel Toda
    Les enjeux du voyage de Benoît XVI au Liban, par Annie Laurent
    Ichtus : « Apprendre à voir », entretien avec Nicole Buron
    L’apostasie silencieuse, par Karim Ouchikh
    Vie de l’Église : Mgr Gerhard Müller, par Loïc Mérian
    Rome et la FSPX : Dans l’attente d’un accord, par Christophe Geffroy
    Série Vatican II (8) : La Constitution Dei Verbum, par l’abbé Christian Gouyaud
    Les « droits reproductifs », par Pierre-Olivier Arduin
    Géopolitique d’abord : Causes et conséquences, par Paul-Marie Coûteaux
    Chronique : Lettre ouverte à… Napoléon, par Henri Hude
    Chronique Vie : L’homoparentalité discréditée, par Pierre-Olivier Arduin

    ENTRETIEN
    Se recentrer sur le Christ, entretien avec le cardinal Marc Ouellet
    Cardinal Marc Ouellet : portrait, par le Père Geoffroy de la Tousche

    DOSSIER : L’ISLAM DANS L’IMPASSE
    Le marasme de l’islam, par Annie Laurent
    Islam et islamisme, par Annie Laurent
    Islam et démocratie, par Annie Laurent
    Islam et immigration, entretien avec Christopher Caldwell
    Moderniser l’islam ?, par Annie Laurent
    Un dialogue nécessaire, entretien avec Mgr Bernard Ginoux
    L’islam est-il réformable ?, entretien avec le Père Samir Khalil Samir

    VIE CHRÉTIENNE
    Prier avec saint François d’Assise (1/2), par Falk van Gaver
    Question de foi : Devisons, par l’abbé Hervé Benoît

    CULTURE
    Renan ou le clerc retourné, par Michel Toda
    Au fil des livres : Evelyn Waugh, par Philippe Maxence
    Notes de lectures, chroniques musique, cinéma, sortir, internet, livres jeunes
    Un livre, un auteur : Florian Michel
    Portrait : Frédérique Bedos, par Marine Tertrais

    BRÈVES
    Toutes nos annonces du mois en ligne

    Voir ici: Sommaire du dernier numéro

  • La polémique au sujet du testament spirituel du cardinal Martini

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    Après Martini, une dispute à propos de son testament spirituel

    "La polémique a été provoquée par sa dernière interview, publiée après sa mort et que la haute hiérarchie de l'Église a passée sous silence, à la seule exception du cardinal Ruini. Raison de plus pour en faire une analyse critique

    par Sandro Magister

    ROME, le 6 septembre 2012 – "Le cardinal Martini ne nous a pas laissé un testament spirituel, au sens explicite du mot. Son héritage tient tout entier dans sa vie et dans son magistère et nous devrons continuer à y puiser longtemps. Mais il a choisi la phrase à inscrire sur sa tombe. Elle est tirée du psaume 119 [118] : 'Ta parole est la lumière de mes pas, la lampe de ma route'. Ce faisant, il nous a lui-même donné la clé qui permet d’interpréter sa vie et son ministère".

    En s’exprimant ainsi, le 3 septembre, au cours de l’homélie qu’il a prononcée pour les funérailles de son prédécesseur le cardinal Carlo Maria Martini, le cardinal Angelo Scola, archevêque de Milan, a refusé la qualité de "testament spirituel" à l'interview de Martini publiée au lendemain de sa mort par le "Corriere della Sera" :

    Lire la suite