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Eglise - Page 1493

  • Au Mexique, la ferveur et les foules sont au rendez-vous

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    A découvrir, sur ZENIT.org :

    Voyage au Mexique

    Documents

  • La solennité de l'Annonciation du Seigneur

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    botticelli_annonciation.jpgL'Annonciation par Sandro Botticelli         

           L'Annonciation de la Sainte Vierge et l'Incarnation de Jésus-Christ, base de notre sainte religion, ne forment, pour ainsi dire, qu'un seul et inséparable mystère. Depuis plus de quatre mille ans, la terre attendait le Sauveur promis ; l'heure de la délivrance a sonné enfin : voici le Rédempteur ! Une scène d'une grandeur toute mystérieuse se passe dans les splendeurs du Ciel ; la sainte et adorable Trinité tient conseil.

             Pour réparer l'injure infinie faite à la Divinité par le péché, il faut une réparation infinie et par conséquent divine : le Fils de Dieu descendra de son trône éternel, Il prendra une chair humaine et sera tout ensemble Dieu et homme.

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  • Le voyage du pape au Mexique et à Cuba

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    Nous vous invitons à visiter le site "Benoît et moi" qui consacre plusieurs notes à cet évènement :

    Fabuleux bain de foule à Léon 700 000 personnes sur le parcours de la papamobile, entre l'aéroport et le lieu de résidence du Saint-Père. Reportage. (24/3/2012)

    Un geste spontané conquiert le Mexique Reportage de l'envoyé de l'Agence AGI, Salvatore Izzo, sur l'arrivée du Saint-Père au Mexique (24/3/2012).

    Mexique et Cuba: perspectives d'un voyage Massimo Introvigne énumère ce qu'il nomme les trois noeuds du "voyage le plus difficile du Pontificat": la tradition anticléricale du Mexique, qui a connu il y a moins d'un siècle, la guerre des cristeros. Les affaires de pédophilie, au pays du Père Maciel, le fondateur des LC. Et enfin, Cuba, et l'énigme Castro. Mais il y a le protagoniste redouté des medias: le peuple catholique. (24/3/2012)

    Un pape eurocentrique, vraiment? Quelques remarques personnelles sur une désinformation qui prend de l'ampleur (24/3/2012)

    Ambiance dans l'avion vers le Mexique Grâce à Teresa, des photos inédites de la Conférence de presse papale. (24/3/2012)

    L'arrivée du Pape à Leon Video, récit, discours à l'aéroport. (24/3/2011)

    Castro et le Pape La rencontre prévue entre Fidel Castro et le Saint-Père sera peut-être, par sa charge symbolique, l'un des temps forts du voyage. Article dans "Il Foglio" (23/3/2012)

  • Martyr et "juste parmi les nations"

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    On fait mémoire aujourd'hui de ce prêtre martyrisé pour avoir voulu sauver des enfants juifs (source : http://www.martyretsaint.com/emilian-kovch/) :

    Omeljan Kovc est né le 20 août 1884 dans la famille d’un prêtre gréco-catholique à Kosmach, un petit village près de Kosiv, en Ukraine occidentale (dans l’Église gréco-catholique, de rite oriental, les futurs diacres peuvent choisir de se marier ou de rester célibataires). Emilian Kovtch a ensuite fait ses études de théologie à Lviv, puis à Rome. Ordonné prêtre en 1911, il commença son travail pastoral dans des paroisses de Galicie, avant d’être envoyé auprès des ukrainiens émigrés en Yougoslavie. En 1919 il devint aumônier dans l’armée ukrainienne qui combattait les troupes bolchéviques. En 1922 une nouvelle page de son service pastoral s’ouvrait : il devenait curé d’un petit village des environs de Lviv appelé Peremychlyany. La plupart de ses 5 mille habitants étaient Juifs. Grâce à ses efforts la vie pastorale du village devint particulièrement dynamique : congrès eucharistiques, pèlerinages, travail avec les scouts et la jeunesse étudiante. Sa maison – connue comme “la maison ou les anges volent sur le toit”! – offrait toujours un abri aux enfants pauvres et aux orphelins, bien que le P. Kovtch ait déjà lui-même six enfants. À la suite de l’invasion des troupes nazies, les Juifs commencèrent à être persécutés et exterminés. C’est alors que le P. Emilian Kovtch se mit à baptiser les juifs en masse pour mettre leur vie à l’abri de la persécution, et ceci en dépit de l’interdiction de l’occupant. Mais il fut arrêté en décembre 1942 et jeté en prison. De nombreuses personnalités, dont le métropolite André Cheptytsky alors à la tête de l’Église ukrainienne gréco-catholique, firent tout leur possible pour obtenir sa libération. En août 1943, le P. Kovtch fut déporté au camp de concentration de Majdanek. Même là, il continua à célébrer la sainte liturgie eucharistique et à confesser. Dans une lettre adressée à ses enfants, il écrit : « Le ciel mis à part, c’est ici le seul endroit où je veuille me trouver. Ici, nous sommes tous égaux: Polonais, Juifs, Ukrainiens, Russes. J’y suis le seul prêtre. Lorsque je célèbre la Liturgie, ils prient tous. Chacun dans sa langue. Mais est-ce que Dieu ne comprend pas toutes les langues ? » Selon les archives du camp, il mourut gazé le 25 mars 1944. La veille de sa mort il écrivait encore aux siens : « Hier, cinquante prisonniers ont été exécutés. Si je n’étais pas ici, qui les aiderait à passer ce moment-là ? Que pourrais-je demander de plus au Seigneur ? Ne vous inquiétez pas pour moi. Réjouissez-vous ensemble, avec moi ». Omeljan Kovc fut désigné le 9 septembre 1999 comme un « Juste » ukrainien par le Conseil Juif d’Ukraine.

  • "LE" concile, encore et encore...

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    S'adressant aux évêques de France réunis à Lourdes, le pape leur communique un message où l'on trouve notamment ceci :

    "Le Concile Vatican II a été et demeure un authentique signe de Dieu pour notre temps. Si nous savons le lire et le recevoir à l’intérieur de la Tradition de l'Église et sous la direction sûre du Magistère, il deviendra toujours plus une grande force pour l'avenir de l'Église. Aussi, je souhaite vivement que cet anniversaire (le cinquantième) soit, pour vous et pour toute l'Église qui est en France, l'occasion d'un renouveau spirituel et pastoral. En effet, il nous est ainsi donné de pouvoir mieux connaître les textes que les Pères Conciliaires nous ont laissés en héritage et qui n'ont rien perdu de leur valeur, afin de les assimiler et d'en faire produire des fruits pour aujourd'hui.

    Ce renouveau, qui se situe dans la continuité, prend de multiples formes ; et l'année de la foi, que j'ai voulu proposer à toute l'Église en cette occasion, doit permettre de rendre notre foi plus consciente et de raviver notre adhésion à l'Évangile. Cela demande une ouverture toujours plus grande à la personne du Christ, en retrouvant notamment le goût de la Parole de Dieu, pour réaliser une conversion profonde de notre cœur et aller par les routes du monde proclamer l'Évangile de l'espérance aux hommes et aux femmes de notre temps, dans un dialogue respectueux avec tous. Que ce temps de grâce permette aussi de consolider la communion à l'intérieur de la grande famille qu'est l'Église catholique et contribue à restaurer l'unité entre tous les chrétiens, ce qui fut l'un des objectifs principaux du Concile."

    Cela nous déconcerte. Le cardinal Suenens n'arrêtait pas de nous vanter ce printemps de l'Eglise inauguré par Vatican II. Subissant aujourd'hui les rigueurs d'un impitoyable hiver spirituel, inédit dans l'histoire de l'Eglise, nous avons du mal à concevoir qu'il faille continuer à célébrer les mérites d'une assemblée qui, selon nous, est à l'origine de toutes les dérives que nous connaissons. Nous savons qu'on nous répondra que "l'herméneutique de la continuité" devrait assurer la juste lecture des textes conciliaires qui s'intégreraient ainsi harmonieusement dans la grande tradition de l'Eglise, mais cela ne nous rassure pas vraiment. C'est bel et bien au nom de ce concile, devenu LE concile (comme s'il n'y en avait pas eu des dizaines d'autres), que l'on a justifié - et que l'on justifie encore - tous les abandons qui font la misère de l'Eglise d'aujourd'hui. Il faudra bien qu'un jour ou l'autre cet héritage discuté soit passé au crible en recourant au magistère infaillible de l'Eglise.

  • Benoît XVI dans l’île rouge

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    Cuba-pretres.jpgOn se souvient de l’accueil fort prévenant que le régime communiste cubain avait réservé à Jean-Paul II que Fidel Castro tenait, semble-t-il, en grande estime. Mais qu’en est-il de la situation réelle du catholicisme dans l’île, à la veille de la visite de Benoît XVI ? 

    C’est ce que le bimensuel « L’Homme Nouveau » a demandé à Don Jean-Yves Urvoy. prêtre de la Communauté Saint-Martin,  installé, avec trois autres membres de cette communauté, depuis six ans à Placetas, petite ville située au centre de l'île de Cuba.

    La Communauté Saint-Martin est une association de prêtres et de diacres séculiers désirant vivre leur apostolat en vie commune au service  des évêques désireux de leur confier des missions apostoliques variées : paroisses, aumônerie de collège et d’internat, sanctuaire, maison de retraite… Et cela en France ou à l’étranger. D’inspiration liturgique et doctrinale très classique, cette communauté a donné récemment un nouvel évêque à l’Eglise : Mgr Marc Aillet, évêque de Bayonne.

    Voici l’interview de Don Urvoy :

    À quelques jours de la visite du Pape à Cuba, pouvez-vous nous faire un état des lieux de l'Église sur cette petite île ?

     40 % de la population se reconnaissent catholique aujourd'hui à Cuba, autant se disent protestants, le reste se revendique sans religion. Mais la pratique dominicale ne concerne qu'1 % des catholiques ! Ils se sentent parfois très croyants, mais l'ignorance religieuse est dramatique, bien plus qu'en France ! Parmi ceux qui se disent catholiques et très croyants, certains ne savent même pas que Jésus est le Fils de Dieu…

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  • Corbeaux et colombes

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    « Noé avait un corbeau dans l’arche, il avait aussi une colombe. L’arche renfermait ces deux espèces d’oiseau, et, l’arche était une figure de l’Eglise, vous voyez dès lors que dans le déluge de ce siècle, l’Eglise doit nécessairement contenir ces deux espèces d’homme, le corbeau et la colombe. Qui sont les corbeaux ? Ceux qui recherchent leurs propres intérêts. Qui sont les colombes ? Ceux qui recherchent les intérêts du Christ » 

    Tel est le passage de saint Augustin (Homélie sur l'Evangile de saint Jean, VI, 2) qui inspire à l'abbé Guillaume de Tanoüarn d'opportunes réflexions que l'on pourra lire ici : metablog

  • Première visite de Benoît XVI dans l’hispanité américaine : le Mexique et Cuba

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    Dans « Le Figaro », Jean-Marie Guénois commente :

    (...) Le Mexique, second pays catholique du monde en population après le Brésil, connaît une guerre ouverte du gouvernement contre de féroces prédateurs: les parrains de la drogue. Le bilan, invraisemblable mais certifié, est aujourd'hui de 45.000 morts. Le Pape devrait donc dénoncer la sauvagerie des bandes rivales, paradoxalement marquées par une forte religiosité.(…).Son message, il le délivrera surtout dimanche lors de l'homélie de la grande messe, sur le thème du «tu ne tueras pas». Elle sera célébrée près du sanctuaire du Christ roi de Léon, cœur battant de cet État du Mexique, Guanajuato, du nom de sa capitale et centre géographique exact du pays. Autre rendez-vous important, l'après-midi, avec tous les évêques d'Amérique latine et du Mexique, autant dire près d'un quart de l'épiscopat mondial. Cette région du monde est stratégique pour l'avenir de l'Église. Le propos portera sur la lutte contre les évangéliques, ces groupuscules protestants qui gagnent partout du terrain.(…).

    L'autre partie de cette tournée commencera lundi par une seconde étape : à Cuba. Benoît XVI est attendu en début d'après-midi (à 21 heures heure de Paris) à Santiago de Cuba, seconde ville de l'île, située à 800 km de La Havane. Il y a là un sanctuaire marial majeur, celui de la sainte patronne de l'île, «la Vierge de la Charité del Cobre». Des pêcheurs avaient retrouvé cette statue de bois, déjà séculaire, en 1612.(…).Le lendemain, mardi après-midi, Benoît XVI reprendra l'avion pour gagner La Havane, où l'attendra Raul Castro, président en titre, ainsi probablement que son frère Fidel. Le Vatican a fait savoir que le Pape était «disponible» pour rencontrer cette haute figure de Cuba. Fidel Castro avait accueilli Jean-Paul II, il y a quatorze ans, en 1998. Le pape polonais avait célébré une messe historique sur la place de la Révolution à La Havane. Benoît XVI reproduira ce geste dans la matinée de mercredi avant de rentrer par un vol de nuit à Rome, où il doit arriver jeudi matin prochain.

    Voir tout le commentaire de Jean-Marie Guénois ici :Le Mexique et Cuba attendent Benoît XVI

  • Le voyage du pape au Mexique

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    Radio Vatican rend compte des moments forts du périple pontifical :

    Benoît XVI : "le premier devoir de l'Eglise est d'éduquer les consciences à la responsabilité morale"

    Benoît XVI est arrivé au Mexique

    Voyage au Mexique et à Cuba : Benoît XVI accueilli dans la liesse

    Discours du pape à son arrivée au Mexique

    Aucun pouvoir n'a le droit de dévaloriser la dignité humaine

    Voir, sur KTO :

    Samedi 24 mars

    09h35 : Flash matin ‘Le pape dans l'avion'

    20h35 : Flash soir ‘Mexique les enjeux de la visite'

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  • Rendre le Christ plus visible que nous-mêmes

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    Beata_Maria_Karlowska_C.jpgTel était l'objectif de la Bienheureuse Maria Karlowska, fêtée aujourd'hui :

    Maria KARLOWSKA est une polonaise née en 1865 dans les territoires occupés par la Prusse (Poméranie). Là, elle a accompli une action de véritable samaritaine parmi les femmes touchées par une grande misère sociale et morale. Son zèle attira autour d'elle d'autres femmes avec lesquelles elle fonda la Congrégation des Sœurs Servantes du Bon Pasteur et de la Divine Providence. Pour les Sœurs et pour elle-même, elle avait établi l'objectif suivant: "Nous devons annoncer le Cœur de Jésus, c'est-à-dire vivre de lui, en lui et par lui de façon à devenir semblables à lui et nous devons faire en sorte que dans nos vies, il soit plus visible que nous-mêmes". Sa dévotion au Sacré-Cœur du Sauveur suscita en elle un grand dévouement pour les hommes et un amour qui ne dit jamais: "Assez". Grâce à cet amour et dans la mouvance du Saint Esprit, elle redonna la lumière du Christ à de nombreuses âmes et les aida à retrouver leur dignité perdue. Elle mourut en 1935. (source : abbaye-saint-benoit.ch/hagiographie)

  • Marche pour la Vie, un soutien massif de l'Eglise ?

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    Lors du débat sur l'avortement à l'émission "Et Dieu dans tout ça?" du 18 mars dernier, il a été fait état d'un "soutien massif de l'Eglise catholique" à l'organisation de la Marche pour la Vie. Cette affirmation paraît bien exagérée lorsqu'on sait que seule la participation de deux évêques est annoncée, lorsqu'on constate que les médias catholiques n'ont fait qu'annoncer timidement l'organisation de cette marche, lorsqu'on s'aperçoit que l'agenda de dimanche prochain n'a pas été libéré pour inciter les fidèles à y participer, lorsque - la plupart du temps - les affiches pour la marche ne sont pas présentes au fond des églises, etc. Affirmer que les clercs, même mitrés, se sont mobilisés avec beaucoup de conviction pour participer à cette Marche et/ou pour la soutenir constitue, à notre sens, une appréciation peu conforme à la réalité.

    Mais il y a d'heureuses exceptions allant jusqu'à des prises de position courageuses : http://minisite.catho.be/ericdebeukelaer/

  • Encore la démission du pape

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    « Une certaine émotion a été provoquée par deux articles publiés récemment en Italie qui envisagent l’hypothèse d’une démission de Benoît XVI, démission dont le but serait, entre autres, d’influer sur le choix de son successeur.

    Les auteurs de ces articles sont Giuliano Ferrara, qui a publié le sien le 10 mars dans le quotidien "Il Foglio", dont il est le directeur :et Antonio Socci, dont l’article est paru dans le quotidien "Libero", le 11 mars :Ferrara n’est pas croyant, Socci est catholique militant. L’un et l’autre sont connus pour leur sincère admiration envers le pape Joseph Ratzinger. Mais, au-delà des bonnes intentions des deux journalistes, l’hypothèse qu’ils ont esquissée ne paraît pas fondée. Tout d’abord parce que ceux qui ont eu l’occasion de rencontrer Benoît XVI, y compris après la publication des deux articles, n’ont pas du tout eu l’impression d’avoir en face d’eux un pape envisageant de démissionner. Bien au contraire. Que ce soit par sa capacité à saisir les liens qui lui est nécessaire pour tout acte de gouvernement, ou par la vision non limitée dans le temps en fonction de laquelle il assure, toujours "s’il plaît à Dieu", la direction de l’Église universelle. Ensuite parce que rien n’est plus étranger à l’histoire et à la personnalité de Ratzinger que l’idée qu’il pourrait recourir à des manœuvres, même avec de nobles intentions, en ce qui concerne sa propre succession. Cette hypothèse-là est, au point de vue canonique, “subversive”. Pour un souverain pontife, la seule manière légitime d’influer sur le choix du futur pape est de créer des cardinaux. Et si l’on parcourt la liste de ceux qui ont été choisis par Benoît XVI entre 2006 et aujourd’hui, on ne peut pas y discerner une volonté claire d’hypothéquer le futur conclave, celui-ci devant, dans la "mens" de Ratzinger comme dans celle de tout bon croyant, être confié avant tout au Saint-Esprit.

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