Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Eglise - Page 1496

  • Sur la mort cérébrale et le don d'organes

    IMPRIMER

    Jeanne Smits aborde, de façon approfondie, cette problématique délicate. On pourra trouver les trois parties d'un entretien avec le Dr Paul Byrne en cliquant sur les liens suivants :

    « Mort cérébrale » et don d’organes : « l’une des racines de la culture de mort »

    « Mort cérébrale » et don d’organes : « l’une des racines de la culture de mort » (II)

    « Mort cérébrale » et don d’organes : IIIe partie

  • Aujourd'hui, l'Helvétie fête son saint national

    IMPRIMER

    Sur un site suisse, on détaille la vie de saint Nicolas de Flue. Il s'agit d'une biographie due à un curé, l'abbé O.Knecht, parue en français à Fribourg en 1946. Le ton est assez caractéristique, antediluvien, c'est-à-dire pré-conciliaire :

    "La vie de notre saint national, Nicolas de Flue, ne saurait être trop connue, et quoique son souvenir soit dans tous les coeurs suisses, on nous pardonnera volontiers de publier encore cette petite biographie. Il est plus que jamais opportun de présenter aux populations, surtout à la jeunesse, le récit d'une existence laborieuse, austère et cachée, à qui Dieu donna pourtant un grand éclat public. Cette vie est pleine d'enseignements pour nos contemporains et elle jette de la lumière, non seulement sur le présent, mais encore sur l'avenir, qu'elle éclaire d'un rayon d'espérance. Que ces pages fassent connaître et aimer le saint protecteur de la Suisse ; qu'elles suscitent des imitateurs de sa foi, de sa sainteté et de son patriotisme ! Qu'elles recrutent de nouveaux membres pour la Ligue de prières en l'honneur du Bienheureux, à qui l'Eglise a décerné la couronne glorieuse des « saints » ! Que notre Helvétie, suivant l'exhortation de son saint pacificateur, conserve à jamais « sa vieille foi et ses vieilles bannières »"

    Pour découvrir cette biographie : http://www.abbaye-saint-benoit.ch

  • La visite apostolique en Irlande

    IMPRIMER

    Si l'on veut connaître le rapport de la visite apostolique effectuée en Irlande suite au drame des abus sexuels qui ont obscurci la vie de l'Eglise dans ce pays, on pourra lire ici la note rendue publique par le Bureau de la salle de presse du Saint-Siège : http://www.vis.va/ Y apprend-on vraiment quelque chose de nouveau? Notre sentiment est mitigé; ne faudrait-il pas un "grand projet", d'une toute autre envergure, pour revivifier nos communautés exsangues?

  • Les catholiques et la démocratie

    IMPRIMER

    cathosdemo061.jpgLes relations complexes entre les catholiques et la démocratie ont fait l'objet d'un colloque du Collège Supérieur (institut para-universitaire lyonnais), dont les actes viennent de paraître.

    Une première partie, historique, présente des figures de chrétiens du XIXe siècle confrontés à l'avènement de la démocratie libérale : Lamennais, Montalembert, Lacordaire, Ozanam (contributions d'Anne Philibert, du P. Daniel Moulinet et de Jean-Noël Dumont).

    Dans une deuxième partie, le P. Paul Valadier montre comment le vieux philosophe Jürgen Habermas s'ouvre sur le tard à une certaine reconnaissance du facteur religieux, Frédéric Crouslé décortique allègrement la démocratie-chrétienne et Chantal Delsol s'inquiète des dérives de la démocratie contemporaine.

    Dans une troisième partie, Thibaud Collin démonte le concept de laïcité ouverte, Denis Sureau présente la déconstruction théologique de la raison séculière et de la laïcité développée par John Milbank et le mouvement Radical Orthodoxy, et Vincent Aubin tente de dégager les traits d'un esprit laïque. Au milieu de tout ce petit monde, Jacques Barrot apporte son témoignage de vieux routier démocrate-chrétien qui espère encore et malgré tout dans l'«État de droit» et le Conseil constitutionnel...dont il est membre.

     Les catholiques et la démocratie

    Actes du colloque du Collège Supérieur

    Le Collège Supérieur / Ed. de l'Emmanuel, 

    186 p., 25 €

  • Liens du jour (20 mars 2012): place à l'Histoire...

    IMPRIMER

    19 mars 1882 : La Sagrada Familia (Herodote.net)

    Vichy face à la "Solution finale" (Herodote.net)

    Le génocide vendéen... et son mémoricide (Itinerarium)

  • L'horrible attentat de Toulouse

    IMPRIMER

    Anita Bourdin, sur ZENIT.org, fait écho aux déclarations du Père Lombardi et aux réactions de l'Eglise de France :

    ROME, lundi 19 mars 2012 (ZENIT.org) – L’attentat de Toulouse contre une école juive est fermement condamné par le directeur de la salle de presse du Saint-Siège du Saint-Siège, le P. Federico Lombardi.

    Un professeur de religion de 30 ans, ses enfants de 3 et 6 ans, et un autre enfant de 10 ans, ont été tués ce lundi matin à Toulouse, par un tireur arrivé en deux roues qui est parvenu à prendre la fuite. Un jeune de 17 ans est dans un état grave.

    Répondant à une question de Zenit sur l’attentat de Toulouse, le P. Lombardi a déclaré : « L’attentat de Toulouse contre un enseignant et trois enfants juifs est un acte horrible et ignominieux, qui s’ajoute à d’autre actes récents de violence absurde qui ont blessé la France ».

    Le directeur de la salle de presse du Saint-Siège condamne fermement cet attentat en disant : « Il suscite une profonde indignation et désarroi et la plus ferme condamnation et exécration notamment pour l’âge et l’innocence des jeunes victimes et parce que cela s’est produit dans une institution juive pacifique d’éducation. »

    Le P. Lombardi conclut par ces paroles de solidarité : « Comme l’archevêque de Toulouse l’a déjà affirmé, nous exprimons aux familles des victimes et à la communauté juive notre plus vive participation, notre préoccupation pour ce fait horrible et notre solidarité spirituelle la plus profonde. »

    Lire la suite

  • Les chrétiens victimes de l'intolérance et de la discrimination en Europe

    IMPRIMER

    ROME, lundi 19 mars 2012 (ZENIT.org) – L’Observatoire de l’intolérance et de la discrimination des chrétiens en Europe publie un rapport détaillé pour l’année 2011.

    Ce compte-rendu décrit les principales entorses à la liberté religieuse et les cas les plus frappants d’intolérance et de discrimination contre les chrétiens en Europe.

    L’Observatoire présente également l’avis de différentes institutions ou de particuliers sur ce sujet de société. Le rapport contient différents éléments de statistique ainsi que des analyses sur la signification de la liberté religieuse dans le contexte européen.

    (Téléchargez le Rapport 2011 en fichier .pdf ou demandez une version imprimée)

    Gudrun Kugler, présidente de l’Observatoire, explique: « Certaines études montrent qu’en Europe, 85% des crimes de haine sont dirigés contre les chrétiens. Il est grand temps que le débat public s’intéresse à cette réalité de notre société ! Nous constatons également des limitations anti-chrétiennes dans le domaine professionnel : une application restrictive de la liberté de conscience conduit à mettre les chrétiens au ban de certaines professions comme celles de médecin, infirmier, sage-femme ou encore pharmacien. Les enseignants ou parents d’élève chrétiens se retrouvent également en difficulté en cas de désaccord avec « l’étique sexuelle » telle qu’elle est établie par l’état. Notre travail de recherche montre que c’est seulement par une approche plus conciliante de la religion et particulièrement du christianisme que l’Europe pourra être à la hauteur de ses valeurs fondamentales de respect de la liberté. »

    Lire la suite

  • Les Coptes d’Egypte face à leur destin

    IMPRIMER

    289969_la-depouille-de-chenouda-iii-chef-de-l-eglise-copte-orthodoxe-exposee-a-la-cathedrale-saint-marc-du-caire-le-18-mars-2012.jpgDe Natalia Trouiller, ce matin, sur le site de “La Vie” :

    La mort ce samedi de Chenouda III, pape des 10 millions de coptes orthodoxes depuis quarante ans, signe la fin d'une époque. Pour le meilleur ou pour le pire? (…) Le 117e successeur de l'évangéliste saint Marc, mort samedi, est exposé à la vénération des fidèles assis dans ses vêtements d'apparat. (…). Pape de la minorité copte depuis presque 41 ans, Chenouda, cet ancien journaliste devenu prêtre, puis évêque, puis primat de la communion copte, laisse un vide qu'il sera difficile de combler - une situation qu'il n'a pas peu contribué à créer. Car sous son pontificat, l'Eglise copte a voulu être la seule voix de la minorité chrétienne égyptienne. Avec succès: le pape Chenouda, très aimé de ses fidèles, était tout à la fois le porte-parole politique et le chef religieux des coptes. (…) .La mort de Chenouda tombe au pire moment qui soit: arrivée d'une assemblée constituante islamiste au pouvoir, tractations pour que les coptes ne soient pas les oubliés de la nouvelle Egypte, choix dans les semaines à venir d'un nouveau président... Seul le pape avait l'envergure et l'autorité nécessaires pour faire peser la minorité copte dans le débat. Et les quelques leaders issus de la société civile sont bien faibles (…).Et du côté des clercs, la figure de Chenouda ne laissait guère de place à l'émergence d'un autre évêque. Celui qui assurera l'intérim, Mgr Bakhomious, jusqu'à l'élection d'un nouveau pape, est conformément au canon copte le plus âgé des évêques. Trois noms sont cités pour devenir le 118e pape: Mgr Moussa, chargé de la jeunesse et qui fut le premier officiel copte à soutenir la Révolution; Mgr Bishoy, discrédité aux yeux des musulmans pour des propos jugés insultants sur le Coran; Mgr Youanis, secrétaire du défunt pape. C'est probablement l'un de ces trois hommes qui aura pour tâche de permettre aux chrétiens d'Egypte de rester dans l'histoire de leur pays.

    Tout l’article ici: Les coptes entre douleur et incertitude après la mort de Chenouda III

    Les Coptes constituent la minorité historique des Αγύπτιοί (Egyptiens) -appellation déformée par l’usage en Kuptioί, d’où vient leur nom- demeurés fidèles au christianisme de l’Egypte antique après la conquête arabe de 641. Ils  représentent environ 10% environ de la population . Face à l'actuel « revival » musulman, la survie de cette minorité dépend de son unité autour d’un patriarche solide…  

  • Vendredi-Saint 6 avril 2012 à Rome : : Chemin de croix de la famille au Colisée

    IMPRIMER

    Lu sur le site de l’agence Zenit :

    Les méditations des quatorze stations du Chemin de Croix du Colisée, vendredi 6 avril, Vendredi Saint, seront centrées pour la première fois sur la vie de la famille : Benoît XVI les a confiées à Danilo et Anna Maria Zanzucchi.

    Ce couple de laïcs italiens est responsable du mouvement des « Familles nouvelles », branche du mouvement des Focolari, fondée en 1967.

    Comme chaque année le Chemin de Croix du Vendredi Saint, à Rome, présidé par Benoît XVI, sera retransmis en direct du Colisée en mondovision à 21 h 15.

    «  Familles Nouvelles »  fait partager aux familles le charisme de « l’unité » du mouvement des Focolari – ou "Œuvre de Marie" selon son nom canonique -, fondé par Chiara Lubich en Italie du Nord, à Trente, lorsque, jeune étudiante en philosophie, elle se consacra à Dieu, le 7 décembre 1943.

    «  "Que tous soient un", c'est pour ces paroles que nous sommes nés, pour l'unité, pour contribuer à la réaliser dans le monde », disait Chiara Lubich en citant la prière du Christ rapportée par l'évangile de saint Jean (Jn 17, 21).

    C’était justement, hier, 1e 14 mars, le quatrième anniversaire de la disparition de Chiara Lubich, à Rocca di Papa, près de Rome, en 2008: un anniversaire marqué par de nombreuses manifestations dans le monde entier.

    Le mouvement compte aussi, entre autres, des branches pour les jeunes et pour les professionnels, et rassemble des personnes de tous états de vie: laïcs, consacrés, prêtres, dans 182 pays.

  • Retrouver le chemin du sacrement de la réconciliation

    IMPRIMER

    ROME, dimanche 18 mars 2012 (ZENIT.org Anne Kurian) – Benoît XVI encourage les catholiques à recevoir le sacrement de la réconciliation régulièrement pour faire l'expérience de "l'amour miséricordieux": c'est ainsi, fait-il observer, que  « l’on trouve la vraie paix et la vraie joie ».

    Avant l’angélus, le pape s’est en effet adressé aux milliers de visiteurs réunis sous le soleil de la place Saint-Pierre, ainsi qu’à tous ceux qui l’écoutaient sur les ondes, ce 18 mars 2012 à midi.

    C’est seulement en « s’ouvrant à la lumière », et « en confessant sincèrement ses fautes à Dieu », que l’on trouve « la vraie paix et la vraie joie », déclare Benoît XVI.

    C’est pourquoi, poursuit-il, « il est important de s’approcher avec régularité du sacrement de la pénitence », en particulier durant le Carême, pour « recevoir le pardon du Seigneur et accentuer notre chemin de conversion ».

    La confession n’est pourtant pas toujours un acte facile à poser : ainsi, quand l’homme est « lié » à ses péchés, constate le pape, il préfère « les ténèbres » à « la lumière ».

    Pourquoi la reconnaissance des péchés est-elle si importante ? Citant saint Augustin, le pape répond : « Quand ce que tu as fait commence à te déplaire, alors commencent tes œuvres bonnes, car tu condamnes tes œuvres mauvaises. Les bonnes œuvres commencent avec la reconnaissance des œuvres mauvaises ».

    En d’autres termes, de la même façon qu’il est nécessaire de « reconnaître que l’on est malade, pour pouvoir être guéri », fait observer Benoît XVI, ainsi il est nécessaire de reconnaître son péché « pour que le pardon de Dieu, déjà donné sur la Croix, puisse avoir un effet dans son cœur et dans sa vie ». Il en va donc de la conversion réelle du cœur.

    « Si l’amour miséricordieux de Dieu », ajoute-t-il, est « infini » jusqu’à même « donner son Fils unique en rançon pour notre vie », notre « responsabilité » aussi est « grande » dans cette démarche de demande de pardon.

  • Offrir aux jeunes des raisons de croire

    IMPRIMER

    arton9323-88b65.jpgC'est France Catholique qui fait cette proposition que nous relayons bien volontiers tant il est rare de trouver quelque chose de semblable dans l'univers de la culture "jeune". Il suffit de parcourir les rayons de BD dans les librairies pour en faire le constat et pour réaliser combien nos enfants sont en voie de déchristianisation complète.

    Offrons aux jeunes des raisons de croire … vérifiables. Double album « les indices pensables ». (Tomes 1 et 2)

    C’est la grande nouveauté et la grande raison d’espérer de ces dernières années : pour réfléchir à la question de Dieu, il y a du neuf, car désormais, nous disposons d’un bon nombre d’indices vérifiables.

    Nous pouvons y voir un véritable cadeau du Ciel, car ce que demande cette génération, de plus en plus formée à la démarche scientifique, c’est précisément de pouvoir vérifier toute affirmation.

    Non pas que les découvertes des sciences soient en mesure de nous parler de Dieu de façon directe, mais parce qu’elles nous y conduisent, de façon indirecte, en confirmant l’intuition de saint Augustin qui disait : il existe deux « Livres » pour connaître le Créateur. Celui de la Révélation (Ancien et Nouveau Testament) et celui de… la Création elle-même.

    Lire la suite