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Films - Page 30

  • "Le Rite" : Zenit inteviewe un exorciste

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    Interview du P. Denis Broussat, exorciste du diocèse de Perpignan

    ROME, Vendredi 8 avril 2011 (ZENIT.org) - Alors qu'une semaine de formation sur l'exorcisme, organisée sous la direction de la Congrégation pour le culte divin et de la Congrégation pour le clergé, vient de se conclure à Rome, ZENIT s'est intéressé au livre intitulé Le Rite - La formation d'un exorciste au Vatican.

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  • Un "post" savoureux : "Liz et Elisabeth"

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    Liz Taylor vient de disparaître; à cette occasion, un blogueur a mis cette note en ligne :

    "La mythologie hollywoodienne de la deuxième moitié du siècle dernier fait silence sur un club informel, comprenant un nombre de membres très limité : ceux qui n’ont pas épousé Liz Taylor, ni jamais fricoté avec elle. Si bien qu’il est difficile de déterminer si la gloire d’Elisabeth Taylor est imputable à ses talents d’actrice, à son activisme relationnel – officiel et officieux – ou à son expertise en gemmologie. N’ayant pas, à son grand regret, fréquenté Los Angeles à l’époque où Liz tenait le haut de l’affiche, le signataire ne peut que s’en remettre à la filmographie de l’intéressée. Et il lui faut admettre qu’elle n’était pas seulement une femme exceptionnellement belle ; son jeu s’est nourri de son instinct de diva, et elle crève chaque fois l’écran : passionnée, sulfureuse, envoûtante. De quoi justifier son statut inamovible de star américaine, dans des films… à l’américaine. Qui dans l’ensemble ont vieilli plus vite que l’actrice aujourd’hui disparue. Il n’est donc pas impossible que cette icône du cinéma s’efface rapidement de la mémoire de ceux qui ne l’ont pas connue dans les jeunes années de sa gloire. ./...

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  • 22 mars : Charles de Foucauld au programme de la soirée "Net for God"

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    Une info Catho.be

    "Chaque mois, la Communauté du Chemin Neuf organise une soirée « Net For God ». Son objectif est de proposer un temps de rencontre et de prière pour la paix et l’unité.

    charles_de_foucauld.gifEt pour éclairer la prochaine soirée, ce 22 mars, un film autour de la figure de Charles de Foucauld sera diffusé.

    Créé à l’initiative de la Communauté du Chemin Neuf, ‘Net for propose chaque mois un film, diffusé dans près de 70 pays et traduit dans 22 langues. Des centaines de « Point Net » existent dans le monde et rassemblent des personnes pour voir le film du mois, prier ensemble pour la paix et l’unité, et former ainsi un immense réseau de prière autour de la terre. En Belgique, c’est à  Kraainem et à Louvain la Neuve que ces soirées prennent place." (la suite ICI)

  • "Des hommes et des dieux", l'unanimité? Non pas vraiment...

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    Vous avez dit "consensuel"? Quoi de plus consensuel, en effet, que ce film porté aux nues par les critiques de tout poil, les journalistes de tout bord, les prédicateurs de tout acabit, et pour finir par les membres éclairés du jury cannois.

    Nous prenons le risque de faire entendre ici une voix discordante, celle de Danielle Pister-Lopez, "née à Oran, descendante de familles alsacienne et espagnole, certaines installées en Algérie depuis 1839. Elle a fait des études de Lettres à l’Université de Nancy II. Agrégée de Lettres modernes, Maître de conférences honoraire, de 2004 à 2010 elle a assuré les fonctions de directrice du département de Lettres modernes à l'Université Paul-Verlaine à Metz. Elle est également chargée de cours à l'Université de Luxembourg."

     Derrière la beauté des images et les bons sentiments associés, Danielle Pister-Lopez dénonce "la leçon de dhimmitude intellectuelle que renferme, en filigrane, ce film"...

     

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  • Un film sur le fondateur de l'Opus Dei et la guerre civile espagnole

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    AAAThere-Be-Dragons (1).jpgLe monde du cinéma et le monde catholique sont impatients de découvrir le film que le réalisateur britannique Roland Joffé présentera au printemps prochain « There Be Dragons » dans lequel saint Josemaría Escrivá de Balaguer, fondateur de l'Opus Dei, joue un rôle de premier plan.

    Il s'agit d'un drame, écrit et réalisé par Roland Joffé - également réalisateur, entre autres, de « Mission » et de « La Déchirure » - dont le cadre est celui de la guerre civile espagnole. Roland Joffé affronte des questions comme la sainteté et la trahison, l'amour et la haine, le pardon et la violence, la recherche d'un sens à la vie. S'y trouvent mêlées les histoires de soldats révolutionnaires, d'un journaliste, de son père, de saint Josémaria lui-même, appelé le saint de la vie ordinaire.

    En ce début de l'année 2011, qui marquera le 75ème anniversaire du déclenchement de la guerre civile d'Espagne, Roland Joffé explique, dans cette interview les convictions qu'il a voulu transmettre à travers ce film.

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  • "Le Rite" ou quand le diable fait recette...

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    the-rite-review.jpgLe livre était, paraît-il rigoureux; le film -dit-on-évite d'en faire trop dans le spectaculaire et est accueilli avec bienveillance par certains critiques catholiques, étonnés de ne pas y trouver la vision caricaturale habituelle lorsqu'il s'agit de l'Eglise... Ce n'est d'ailleurs pas l'avis de Frédéric Mounier qui écrit sur son blog : "In fine, une fois de plus, Rome, le Vatican, ses hommes, ses femmes, ses ors, ses pompes et ses pratiques sont réduites à leur plus simple expression : la caricature."

    Peut-être vaut-il mieux s'en remettre à l'avis du Père Verlinde (Docteur ès Sciences), spécialiste en la matière sur ECDQ.tv (Espace médias de l'Eglise du Québec) que l'on découvrira sur cette video ICI ou sur celle-ci :

  • Décès du Docteur Nathanson

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    Décès du Dr. Nathanson, auteur du "Cri silencieux"Le Dr. Bernard Nathanson, gynécologue obstétricien américain, ayant supervisé et pratiqué de nombreux avortements avant de connaître un retournement de conscience complet, est mort d'un cancer à l'âge de 84 ans le 21 février 2011, chez lui, à New York. 

    Le Dr. Nathanson, qui avait formé des milliers de médecins à pratiquer l'avortement, estimait avoir lui-même interrompu 5000 grossesses et se déclarait "personnellement responsable de 75 000 avortements". Son entrée dans le "monde de l'avortement", écrira-t-il, commence dans les années 1940 quand il donne de l'argent à sa petite amie enceinte pour se faire avorter illégalement. En 1969, il aide à la création de l'organisation désormais connue sous le nom de NARAL Pro-Choice America et dans les années 1970, il dirige le Centre de Manhattan pour la santé reproductive et sexuelle, qui est alors le plus grand fournisseur d'avortements aux Etats-Unis.

    L'arrivée des nouvelles technologies, dont l'imagerie par ultrasons et les enregistrements du cerveau et du coeur du foetus, l'amène à refuser de pratiquer des avortements. "Pour la première fois, écrira-t-il dans son autobiographie, on pouvait vraiment voir le foetus humain, le mesurer, le regarder, et vraiment s'attacher à lui et l'aimer". Auteur d'un film de 28 minutes intitulé "Le Cri Silencieux",  qui montre au moyen de l'échographie l'avortement en temps réel d'un foetus féminin de 12 semaines, le Dr. Nathanson fut au coeur du débat tumultueux sur l'avortement au milieu des années 1980. Les images montrent un processus violent et effrayant. "Une fois encore, nous voyons la bouche de l'enfant grande ouverte dans un cri silencieux", décrit-il tandis que le médecin insère un tube d'aspiration. "Pour la première fois, nous allons regarder un enfant être déchiré, démembré, désarticulé, écrasé et détruit par les instruments en acier insensibles de l'avorteur." Le Dr. Nathanson connaît alors un revirement complet. A la fin des années 1970, il devient une figure éminente du mouvement pour l'abrogation des lois sur l'avortement. Son film est largement diffusé et projeté à la Maison Blanche par le président Ronald Reagan qui presse les membres du Congrès américain de voir le film et d' "agir rapidement pour mettre fin à la tragédie de l'avortement". En 1985, Allan Rosenfield, alors président du Planning familial d'Amérique déclarera que ce film était "la plus puissante chose que le mouvement pour le droit à la vie ait présenté". Le Dr. Nathanson a produit un autre film intitulé "L'Eclipse de la Raison", qui décrit explicitement les avortements tardifs. En 1996, il est diplômé en bioéthique à l'Université Vanderbilt.

    Genethique.org (Washington Post (Emma Brown) 22/02/11)

  • Thierry Bizot : Avoir la foi, c'est comme tomber amoureux

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    "Avoir la foi c'est comme tomber amoureux"
    envoyé par Europe1fr. - L'info internationale vidéo.

  • Du gourou à Jésus

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    images.jpgA la fois à Louvain-la-Neuve et à Kraainem, la communauté du Chemin Neuf propose sa soirée mensuelle de rencontre et de prière pour la paix et l’unité autour d’un film. Cette fois, il s’agira « Du gourou à Jésus ».

    La communauté internationale du Chemin Neuf a été fondée en 1973. C’est à son initiative qu’a été lancé Net for God, un  » réseau de prière, de formation et d’évangélisation ». Dans ce cadre, chaque mois, un film est proposé dans une soixantaine de pays et plus d’une vingtaine de langues. En Belgique, deux lieux de rassemblement ont vu le jour à Kraainem et à Louvain-la-Neuve. 

    209.gifLa quête de sens et la recherche de l’Absolu ont conduit le père Joseph-Marie, Jacques Verlinde à l’époque, à faire le ‘grand plongeon’ dans le Grand Tout. Initié aux pratiques ascétiques orientales – le yoga, la médiation transcendantale -, c’est aux Indes qu’il a approfondi la tradition religieuse de l’hindouisme et du bouddhisme. Emmené par la suite dans les pratiques occultes, il raconte son expérience et la confronte avec la vérité du Christ, venu le chercher aux extrémités du monde.


    Prêtre d’origine belge, docteur en philosophie et en théologie, Jacques Verlinde est aujourd’hui prieur de la Communauté monastique de la Famille de Saint-Joseph, en France. Il répond à des questions brûlantes de notre société, en se basant sur l’oeuvre de Dieu dans sa vie et l’influence des pratiques orientales en Occident.

    Date : 22 février 2011
    Lieux : avenue Arthur Dezangré, 3 à Kraainem et chapelle des Bruyères, à Louvain-la-Neuve
    Site Internet : http://www.chemin-neuf.be/

    sur catho.be

  • Odyssée pour un pardon : “Les Chemins de la liberté” de Peter Weir

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    16 Février 2011 | Hélène Bodenez sur Liberté politique souligne la grandeur du film de Peter Weir : 

    "Grand film d’aventure, voilà ce que sont ces Chemins de la liberté de Peter Weir. Ceux qui aiment histoire, héros, grande fin seront servis et aimeront la dernière fresque épique de l’auteur de Witness ou de Master and Commander. On s’étonne, abasourdi, de la critique molle et injuste qui devrait plutôt essayer de convaincre les jeunes en mal de conquête de soi.

    Soljenitsyne avait donc bien raison. Dans son discours à Harvard sur Le Déclin du courage, l’auteur du Premier cercle s’en prenait à la presse « lieu privilégié où se manifestent cette hâte et cette superficialité qui sont la maladie mentale du XXe siècle ». Comment ne pas saluer le dernier film de Peter Weir avec plus de force ? Toutes les grandes valeurs humaines que la société du bien-être et du bonheur érode jour après jour émergent à chaque plan d’un film hors du commun, objets d’un hymne majestueux et sobre..."

    découvrir la suite en cliquant ici

  • "Le discours d'un roi"

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    discoursroi.jpg

     

    Un film qui passe sur les écrans belges et qu'il ne faut pas manquer.

    "George VI était affligé d’un bégaiement terrible et il n’était monté sur le trône que parce que son frère aîné Édouard VIII avait abdiqué pour épouser une Américaine déjà mariée deux fois. Ce couple de roman-photo n’est pas montré à son avantage dans le film. Cela renforce la sympathie qu’on éprouve d’emblée pour le cadet, George VI, roi d’Angleterre à son corps défendant (et père de l’actuelle reine Elizabeth). Lire la suite ICI

  • Quand la grenouille veut se faire aussi grosse que le boeuf...

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    "Audiences décevantes pour les Magritte du Cinéma

    Avec 13.000 téléspectateurs et une part de marché de 0,8 % (contre 0,6 % d’habitude pour la chaîne…), la cérémonie a réalisé une audience qui équivaut à zéro. Sans même parler du niveau lamentable de cette émission et de sa demi-heure d’introduction (suivie par… 842 téléspectateurs, soit moins que la call-TV nocturne), l’opération voulue par la Communauté française d’intéresser le public belge à son cinéma est donc un plantage total.

    À titre de comparaison, à la même heure, 300.000 personnes ont regardé « Qui veut gagner des millions ? » sur TF1 et 270.000 « Julie Lescaut » sur la RTBF."

    dans Le Soir

    Sans compter les fonds qui ont été largement dépensés et bien mal employés à cette occasion.