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Films - Page 30

  • "Le gamin au vélo" : "Une belle histoire d'amour filial et de rédemption"

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    LE-GAMIN-AU-VELO.jpgSur "UniversCine Belgique", sous la plume de Thibaut Grégoire, nous lisons ceci à propos de la présentation à Cannes du dernier film des frères Dardenne "Le gamin au vélo" :

    "Pour leur cinquième sélection en compétition officielle, les frères Dardenne restent fidèles à eux-mêmes et emportent une nouvelle fois l’adhésion avec une belle histoire d’amour filial et de rédemption. Avec, comme d’habitude, la révélation d’un jeune acteur, Thomas Doret, qui livre une prestation physique impressionnante..." lire la suite ici

  • Hallucinant

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    Into Eternity ou l'histoire vertigineuse des déchets nucléaires

    "S'enfoncer toujours un peu plus sous terre, dans ce qui sera le premier dépôt de stockage éternel de déchets nucléaires et, être saisi de vertige : qui peut assurer que personne n'y viendra durant 100.000 ans ? Comment dire le danger à nos descendants ? Nous comprendront-ils ?

    C'est cette incursion que propose le film-documentaire Into Eternity (une plongée dans l'éternité) du Danois Michael Madsen, sorti mercredi en France."

    Voir la suite ici

  • Caviezel mis au ban par Hollywood

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    "C’était un acteur riche de promesses et de bons contrats. On se souvient de ses exceptionnelles prestations d’acteur dans The Count of Monte Cristo et The Thin Red Line, pour ne parler que de ces deux films à succès. Mais voilà, Jim Caviezel accepta, en 2003, d’interpréter le rôle de Jésus dans La Passion du Christ de Mel Gibson. Et il est, depuis, ostracisé par Hollywood…"

    Daniel HAMICHE, sur Nouvelles de France; découvrir cet article ICI

  • "Habemus papam", un film qui ne semble pas mériter le détour

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    Le site "Benoît et moi" consacre un petit dossier à ce film dont les commentateurs ne disent pas grand bien :

    "A une semaine de Cannes, où le film est en compétition, les critiques de Francesco Colafemmina (Fides et Forma) et Vittorio Messori (4/5/2011)

    Nous sommes à une semaine du festival de Cannes, la grand'messe du cinéma intello-barbant, qui se déroulera du 11 au 22 mai prochain.
    L'un des films-vedette en compétition est l' "Habemus Papam" de Nanni Moretti, que nous avons déjà évoqué à travers les "critiques" d'Andrea Tornielli (plutôt indulgent. Il semble soulagé de l'avoir trouvé moins méchant que ce qu'il attendait; il parle d'un film à ne pas prendre trop au sérieux), et de Salvatore Izzo, qui n'a pas vu le film, et n'ira pas le voir, estimant que ce n'est pas aux catholiques de lui faire gagner de l'argent... et surtout, que nous, les catholiques, le Pape, nous l'avons!)"

    voir la suite ICI

  • "L'Agence", un nouveau film inspiré de l'univers de Philippe K. Dick

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    images.jpgSous le titre "Damon contre le Démon" - "L'Agence, un film augustinien mais sans la grâce", Isabelle Marchandier publie cette critique sur Causeur.fr

    "Qui tire les ficelles du monde ? Les agences de notation ? Les as du storytelling politique ? Les wikileaks et autres big brothers numérisés ? Pas du tout. Vous n’y êtes pas. Qui donc alors ? Pour le savoir, vous n’avez qu’à courir aussi vite que Matt Damon, attention vous êtes prévenu, le gars a du souffle et l’entraînement de Jason Bourne derrière. Alors pour le suivre, n’oubliez pas de vous munir d’un chapeau melon. C’est très utile pour ouvrir les portes à New York et passer du MOMA au stade de baseball des Yankees. Non, sérieusement, vous n’êtes pas dans le monde de Lewis Carroll, et vous ne suivez pas le lapin d’Alice. Vous rentrez dans le premier film de Georges Nolfi, L’Agence qui, après Blade runner de Ridley Scott etMinority report de Spielberg, est le nouveau film inspiré de l’univers de Philippe K. Dick..." lire la suite ICI

  • Katyn sur Arte ce jeudi à 20H40 : à ne manquer sous aucun prétexte

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    Le film « Katyn » sera diffusé jeudi 14 avril à 20h40 sur Arte. Une rediffusion est prévue sur la même chaîne le mardi 19 avril à 01h30 du matin.

    Ce film se déroule dans la Pologne soviétique où trois femmes ne se remettent pas des meurtres de leurs proches par la police secrète russe. Le massacre, ainsi que les circonstances qui l’ont entouré sont dépeintes par le cinéaste polonais Andrzej Wajda. A 75 ans, ce dernier met  en scène un film qui est tiré, en partie, de son histoire familiale, son père étant mort lors du massacre de Katyn, sa mère n’ayant jamais pu l’admettre.

    Le film a été nominé en 2008 aux Oscar dans la catégorie meilleur film étranger. A ne pas manquer! (NDF)

  • Sydney Lumet, pourfendeur de la culture de masse, n'est plus

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    Sydney Lumet se méfiait, dit-on, des groupes et des Eglises. Cela n'empêche que sa dénonciation de la culture de masse est plus que jamais d'actualité :

    "Le cinéaste ne sèmera plus la terreur parmi les vendeurs de rêves. L’artiste est décédé des suites d’un cancer à 86 ans, a annoncé le New-York Times. Frondeur, il était un fin observateur du petit écran. Dans Main basse sur la télévision, il passe au scalpel les effets dévastateurs de cet outil, son emprise sur les individus, le pouvoir des animateurs et des multinationales. « L’image n’est pas la vérité. » Ni l’Évangile. C’est le message qu’il n’a cessé de répéter, de son vivant, quitte à agacer ses contemporains.

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  • "Le Rite" : Zenit inteviewe un exorciste

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    Interview du P. Denis Broussat, exorciste du diocèse de Perpignan

    ROME, Vendredi 8 avril 2011 (ZENIT.org) - Alors qu'une semaine de formation sur l'exorcisme, organisée sous la direction de la Congrégation pour le culte divin et de la Congrégation pour le clergé, vient de se conclure à Rome, ZENIT s'est intéressé au livre intitulé Le Rite - La formation d'un exorciste au Vatican.

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  • Un "post" savoureux : "Liz et Elisabeth"

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    Liz Taylor vient de disparaître; à cette occasion, un blogueur a mis cette note en ligne :

    "La mythologie hollywoodienne de la deuxième moitié du siècle dernier fait silence sur un club informel, comprenant un nombre de membres très limité : ceux qui n’ont pas épousé Liz Taylor, ni jamais fricoté avec elle. Si bien qu’il est difficile de déterminer si la gloire d’Elisabeth Taylor est imputable à ses talents d’actrice, à son activisme relationnel – officiel et officieux – ou à son expertise en gemmologie. N’ayant pas, à son grand regret, fréquenté Los Angeles à l’époque où Liz tenait le haut de l’affiche, le signataire ne peut que s’en remettre à la filmographie de l’intéressée. Et il lui faut admettre qu’elle n’était pas seulement une femme exceptionnellement belle ; son jeu s’est nourri de son instinct de diva, et elle crève chaque fois l’écran : passionnée, sulfureuse, envoûtante. De quoi justifier son statut inamovible de star américaine, dans des films… à l’américaine. Qui dans l’ensemble ont vieilli plus vite que l’actrice aujourd’hui disparue. Il n’est donc pas impossible que cette icône du cinéma s’efface rapidement de la mémoire de ceux qui ne l’ont pas connue dans les jeunes années de sa gloire. ./...

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  • 22 mars : Charles de Foucauld au programme de la soirée "Net for God"

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    Une info Catho.be

    "Chaque mois, la Communauté du Chemin Neuf organise une soirée « Net For God ». Son objectif est de proposer un temps de rencontre et de prière pour la paix et l’unité.

    charles_de_foucauld.gifEt pour éclairer la prochaine soirée, ce 22 mars, un film autour de la figure de Charles de Foucauld sera diffusé.

    Créé à l’initiative de la Communauté du Chemin Neuf, ‘Net for propose chaque mois un film, diffusé dans près de 70 pays et traduit dans 22 langues. Des centaines de « Point Net » existent dans le monde et rassemblent des personnes pour voir le film du mois, prier ensemble pour la paix et l’unité, et former ainsi un immense réseau de prière autour de la terre. En Belgique, c’est à  Kraainem et à Louvain la Neuve que ces soirées prennent place." (la suite ICI)

  • "Des hommes et des dieux", l'unanimité? Non pas vraiment...

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    Vous avez dit "consensuel"? Quoi de plus consensuel, en effet, que ce film porté aux nues par les critiques de tout poil, les journalistes de tout bord, les prédicateurs de tout acabit, et pour finir par les membres éclairés du jury cannois.

    Nous prenons le risque de faire entendre ici une voix discordante, celle de Danielle Pister-Lopez, "née à Oran, descendante de familles alsacienne et espagnole, certaines installées en Algérie depuis 1839. Elle a fait des études de Lettres à l’Université de Nancy II. Agrégée de Lettres modernes, Maître de conférences honoraire, de 2004 à 2010 elle a assuré les fonctions de directrice du département de Lettres modernes à l'Université Paul-Verlaine à Metz. Elle est également chargée de cours à l'Université de Luxembourg."

     Derrière la beauté des images et les bons sentiments associés, Danielle Pister-Lopez dénonce "la leçon de dhimmitude intellectuelle que renferme, en filigrane, ce film"...

     

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  • Un film sur le fondateur de l'Opus Dei et la guerre civile espagnole

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    AAAThere-Be-Dragons (1).jpgLe monde du cinéma et le monde catholique sont impatients de découvrir le film que le réalisateur britannique Roland Joffé présentera au printemps prochain « There Be Dragons » dans lequel saint Josemaría Escrivá de Balaguer, fondateur de l'Opus Dei, joue un rôle de premier plan.

    Il s'agit d'un drame, écrit et réalisé par Roland Joffé - également réalisateur, entre autres, de « Mission » et de « La Déchirure » - dont le cadre est celui de la guerre civile espagnole. Roland Joffé affronte des questions comme la sainteté et la trahison, l'amour et la haine, le pardon et la violence, la recherche d'un sens à la vie. S'y trouvent mêlées les histoires de soldats révolutionnaires, d'un journaliste, de son père, de saint Josémaria lui-même, appelé le saint de la vie ordinaire.

    En ce début de l'année 2011, qui marquera le 75ème anniversaire du déclenchement de la guerre civile d'Espagne, Roland Joffé explique, dans cette interview les convictions qu'il a voulu transmettre à travers ce film.

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