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Films - Page 28

  • Michaël Lonsdale : l’artiste et le croyant

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    GMED_9F9D2BCD-CA57-45CD-B903-C49E12CB9694.JPGLe Progrès.fr publie une interview de Michaël Lonsdale :

    Depuis quand avez-vous la foi ?

    C’est le plus grand cadeau que j’ai reçu dans cette vie. Cela n’a pas de limite, c’est quelque chose d’immense. C’est arrivé très lentement. Ma mère m’a offert un livre sur Jésus quand j’avais 6-7 ans. Ca me plaisait. Cet homme avait l’air gentil. Entre 15 et 17 ans, j’étais très en recherche. J’ai rencontré un comédien musulman qui m’a parlé de Dieu, d’Allah, comme personne ne m’en a jamais parlé. J’avais aussi une amie qui m’amenait à la cathédrale à Rabat. Puis, rentré en France, j’ai entendu un père dominicain raconter ce que j’avais envie d’entendre : que l’on pouvait être artiste et croyant.

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  • Quand La RAI censure une série allemande...

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    La RAI a "censuré" un épisode d'une série allemande très populaire en Italie, dans lequel deux hommes se "marient" dans un couvent catholique. On imagine le tollé dans le monde médiatique du politiquement et culturellement correct!

    "Cette série allemande est très longue, nous devions enlever un épisode avant le début des programmes de la rentrée", s'est justifié Mauro Mazza, le directeur de la chaîne. A propos de l'épisode intitulé "Roméo et Roméo", qui aurait dû être diffusé mercredi matin, il a expliqué que la chaîne avait "choisi de sacrifier celui-ci dans la mesure où le mariage homosexuel se déroulait devant l'autel d'une église catholique, en présence d'une religieuse et du maire".

    Sur le site de "Benoît et moi", on trouvera la traduction d'un article de Massimo Introvigne paru dans la Bussola Quotidiana de ce jour (9/9/2011) :

    c'est ici : http://benoit-et-moi.fr/ete2011/0455009f1b06c3101/0455009f5b0817d06.html

  • Tu es Petrus…(Matt., 16,18) - le Père Delhez et le pape

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    A271110_8.jpgDans le « Dimanche Express » à paraître le 11 septembre, le Père Charles Delhez s.j. consacre son éditorial au rôle de la papauté. Notre confrère et néanmoins ami « Cathobel » publie cette réflexion qui prend pour point de départ la sortie sur les écrans du film de Nanni Moretti « Habemus papam ». Le directeur de l’hebdomadaire paroissial interdiocésain écrit en guise de commentaire :

    « Le nouveau pape ne se présente pas au balcon ! Il veut renoncer à sa charge, parce que trop lourde. Et il disparaît. Telle est l'intrigue de "Habemus Papam !"(…) En fait, jamais pareille situation ne s'est présentée. Or les responsabilités qui pèsent sur les épaules d'un seul homme sont de plus en plus grandes. Plus d'un milliard de catholiques et des liens diplomatiques avec un nombre croissant d'États. Ce film-ci - bien sympathique, à notre estime - est donc de la pure fiction et nous ne pouvons que remercier ceux qui, jusqu'à présent, ont accepté cette tâche. Sans doute, comme tous les cardinaux du film, se disaient-ils, juste avant leur élection : "Non, pas moi, Seigneur !" La papauté est une chance - une grâce. Dans un monde éclaté, l'Église, malgré toutes ses divisions, parvient à maintenir une réelle communion entre croyants de tous les continents et de toutes conditions sociales. Certes, les tensions ne manquent pas, mais n'est-ce pas un gage de vitalité ?

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  • Piccoli , un "immense acteur" qui peut dire d'immenses bêtises

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    Michel Piccoli est interviewé dans le Soir à l'occasion de la sortie d'Habemus Papam. Etonnant!

    Extrait :

    Que pensez-vous du pape Benoît XVI ?

    C'est un érudit de la religion catholique, mais il arrive après Jean-Paul II qui fut un pape d'exception, un homme d'exception, un voyageur d'exception, un croyant d'exception. Il avait une beauté physique d'exception. Ça compte, non ?! Même si on est pape, on a le droit d'être beau ou laid. Benoît XVI ne voyage pas, reste enfermé dans son bureau et on ne sait pas ce qu'il pense. Mais il a quand même dit des choses importantes sur la vie privée des religieux, la pédophilie et d'autres sujets douloureux pour les croyants. Je me méfie beaucoup du vedettariat ou non-vedettariat des papes.

    Ah! Il ne voyage pas : Madrid, Saint-Jacques de Compostelle, Barcelone, Royaume-Uni, Chypre, Portugal, Malte, République Tchèque, Terre Sainte, Cameroun, Angola, France, Australie, Etats-Unis, Mariazell, Brésil, Turquie, Bavière, Valence, Pologne, Cologne. Non, il ne voyage vraiment pas!

    Quant à ce qu'il pense, on ne le sait vraiment pas! On s'en rendra tout de suite compte en cliquant sur le lien suivant : http://www.vatican.va/holy_father/benedict_xvi/index_fr.htm

  • Consécration vaticane pour les frères Dardenne

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    Dépêche Cathobel (info.catho.be) :

    "Mgr Claudio Maria Celli, président du Conseil pontifical pour les communications sociales, a remis, lundi 5 septembre, le prix Robert-Bresson aux cinéastes belges Jean-Pierre et Luc Dardenne pour l'ensemble de leur oeuvre.  

    Le prix est attribué, depuis l'an 2000, à l'occasion de la Mostra de Venise, par la Fondation italienne des entreprises du spectacle, en lien avec les Conseils pontificaux pour la culture et pour les communications sociales. Manoel de Oliveira, Giuseppe Tornatore, Krzystof Zanussi, Wim Wenders avaient déjà reçu cette distinction, en raison de leur réalisation « tournée vers la recherche du sens spirituel de la vie ».

    Cette année, ce sont les frères Dardenne qui sont en grâce auprès du Vatican. Leur travail est, pour Mgr Celli, « une véritable parabole de rédemption ». « À notre époque où le cinéma fait prévaloir les effets spéciaux spectaculaires, l'oeuvre des frères Dardenne, continue-t-il, me semble contenir en son sens le plus profond l'idée d'un cinéma qui met le spectateur face aux interrogations de la vie et de la foi, tout en l'aidant dans son parcours personnel de recherche et de croissance ». « Dans chacun de leurs films, histoires douloureuses d'injustice, de solitude, d'abandon, histoires d'hommes désespérés et prêts à tout, conclue le président du Conseil pontifical pour les communications sociales, on sent le souci d'une recherche inquiète de l'homme, du pardon, d'une véritable rencontre »."

  • Une fiction vaticanesque sur nos écrans : Habemus papam

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    habemus_papam,0.jpgSur le site de Famille Chrétienne, nous trouvons cette critique de ce film qui illustre la focalisation  pas toujours bienveillante sur l'institution pontificale.

    Écrasé par la charge qui l’attend, un pape nouvellement élu ­s’enfuit du Vatican… C’est le scénario loufoque du dernier film d’un grand réalisateur italien, ­l’agnostique Nanni Moretti.

    Après La messe est finie, Nanni Moretti revient à un film sur le catholicisme, religion dans laquelle il a été élevé avant d’abandonner la foi. Si le héros du film de 1985 était un prêtre – figure trop méprisée dans le cinéma italien, d’après Moretti –, Habemus papam change de dimension en mettant en scène le Saint-Père.

    Est-ce l’occasion pour l’Italien de réaliser une nouvelle satire, comme il l’avait fait pour son ­dernier film, Le Caïman (2006), sur Berlusconi ? La présentation d’Habemus papam à Cannes et à Rome a dissipé les craintes… sans pour autant empêcher certaines critiques...

    Voir la suite ici : http://www.famillechretienne.fr/croire/pape-et-vatican/-habemus-papam
  • Les Etats-Généraux du Christianisme

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    Nous vous soumettons cet évènement avec son programme ambitieux et la participation de personnalités très variées. En cliquant sur l'image ci-dessous, vous aurez accès au programme complet que vous pourrez télécharger. Parmi les intervenants, on nous annonce des figures dont nous nous sentons proches (Jean-Marie Le Méné, Chantal Delsol, François de Lacoste de Lareymondie, Fabrice Hadjadj...) et d'autres, plus éloignées. Mais pouvons-nous nous enfermer dans nos cénacles sans entendre ce qui peut se dire ailleurs?egc-2011-lille.jpg

    Tous les renseignements se trouvent ici : http://www.lavie.fr/religion/etats-generaux-du-christianisme/

  • "Habemus papam"; le Cardinal Barbarin remet les montres à l'heure

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    A la suite de ce blog auquel nous devons tant (Benoît-et-moi), nous avions signalé ce film qui ne mérite pas le détour. C'est à nouveau sur ce blog que nous trouvons une excellente critique de ce film due au Cardinal Barbarin et qui est parue dans la Vie : http://benoit-et-moi.fr/

    "J'ai vu (dans ce film) une belle démonstration par l'absurde que l'Église, sans Jésus, n'est rien. Tout comme la foi, sans la vie éternelle."

  • "Désolé, aucun film ni cinéma trouvé"

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    C'est la réponse que l'on obtient lorsqu'on cherche des films comme "There be dragons" ou "Cristiada" dans les cinémas belges. Seront-ils jamais distribués dans notre pays?

    Pourtant, ces films présentés aux JMJ de Madrid méritent incontestablement le détour. La consultation de cette chronique sur un site ami est convainquante: http://benoit-et-moi.fr/

  • La pédophilie pratiquée à Hollywood ne mériterait-elle pas qu'on y prête attention?

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    Sur LifeSiteNews, Kathleen Gilbert consacre un article aux révélations de Corey Feldman, qui fut acteur durant son enfance, et qui accuse Hollywood d'être un paradis pour les pédophiles.

    15 août 2011 (LifeSiteNews.com) - Célèbre acteur durant son enfance, Corey Feldman décrit comment la pédophilie généralisée fut de longue date le "grand secret" de Hollywood, où il affirme que plusieurs magnats d'Hollywood guettaient les enfants-acteurs "comme des vautours."

    «Je peux vous dire que le problème numéro un à Hollywood a été, est et sera toujours la pédophilie", a déclaré l'acteur Corey Feldman à ABC News, le 10 août dernier.

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  • Les Cristeros présents à Madrid durant les JMJ

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    images.jpg « Vive le Christ Roi ! »

    "Non, ce ne sera pas le thème de ces JMJ qui se tiendront à Madrid la semaine prochaine ; mais pour autant le Christ Roi sera présent puisque la première mondiale du film Cristiada aura lieu à cette occasion. C’est dans la capitale espagnole que cet hommage aux Cristeros du Mexique sera étrenné, dans le cadre des activités qui seront proposées au jeunes du monde entier...

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  • "Lourdes" sur les écrans

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    Alors que plusieurs dizaines de salles françaises ont l'à propos douteux, en cette période de pèlerinages, de programmer le film "Lourdes" de Jessica Hauser (2010), c'est le moment de republier la critique qui en a été faite par Vittorio Messori et qui a été traduite sur "Benoît et moi" en février 2010.

    "Un Lourdes trop sombre pour être vrai"

    Corriere della Sera, 12 Février 2010
    de Vittorio Messori
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    La perspective de Jessica Hausner dans son Lourdes est déclarée immédiatement, dès la scène d'ouverture, avec le plan du réfectoire des pèlerins. Pas de fenêtres, mais une lumière artificielle faible, dans un environnement claustrophobique: noir le sol, noirs les murs où sont accrochés des crucifix noirs, noirs les jupes et les pantalons du personnel, noires les pélerines des Hospitalières avec la croix de Malte, noirs les uniformes des Chevaliers de l'ordre, noirs les clergymen des prêtres.

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