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Films - Page 28

  • "Habemus papam"; le Cardinal Barbarin remet les montres à l'heure

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    A la suite de ce blog auquel nous devons tant (Benoît-et-moi), nous avions signalé ce film qui ne mérite pas le détour. C'est à nouveau sur ce blog que nous trouvons une excellente critique de ce film due au Cardinal Barbarin et qui est parue dans la Vie : http://benoit-et-moi.fr/

    "J'ai vu (dans ce film) une belle démonstration par l'absurde que l'Église, sans Jésus, n'est rien. Tout comme la foi, sans la vie éternelle."

  • "Désolé, aucun film ni cinéma trouvé"

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    C'est la réponse que l'on obtient lorsqu'on cherche des films comme "There be dragons" ou "Cristiada" dans les cinémas belges. Seront-ils jamais distribués dans notre pays?

    Pourtant, ces films présentés aux JMJ de Madrid méritent incontestablement le détour. La consultation de cette chronique sur un site ami est convainquante: http://benoit-et-moi.fr/

  • La pédophilie pratiquée à Hollywood ne mériterait-elle pas qu'on y prête attention?

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    Sur LifeSiteNews, Kathleen Gilbert consacre un article aux révélations de Corey Feldman, qui fut acteur durant son enfance, et qui accuse Hollywood d'être un paradis pour les pédophiles.

    15 août 2011 (LifeSiteNews.com) - Célèbre acteur durant son enfance, Corey Feldman décrit comment la pédophilie généralisée fut de longue date le "grand secret" de Hollywood, où il affirme que plusieurs magnats d'Hollywood guettaient les enfants-acteurs "comme des vautours."

    «Je peux vous dire que le problème numéro un à Hollywood a été, est et sera toujours la pédophilie", a déclaré l'acteur Corey Feldman à ABC News, le 10 août dernier.

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  • Les Cristeros présents à Madrid durant les JMJ

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    images.jpg « Vive le Christ Roi ! »

    "Non, ce ne sera pas le thème de ces JMJ qui se tiendront à Madrid la semaine prochaine ; mais pour autant le Christ Roi sera présent puisque la première mondiale du film Cristiada aura lieu à cette occasion. C’est dans la capitale espagnole que cet hommage aux Cristeros du Mexique sera étrenné, dans le cadre des activités qui seront proposées au jeunes du monde entier...

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  • "Lourdes" sur les écrans

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    Alors que plusieurs dizaines de salles françaises ont l'à propos douteux, en cette période de pèlerinages, de programmer le film "Lourdes" de Jessica Hauser (2010), c'est le moment de republier la critique qui en a été faite par Vittorio Messori et qui a été traduite sur "Benoît et moi" en février 2010.

    "Un Lourdes trop sombre pour être vrai"

    Corriere della Sera, 12 Février 2010
    de Vittorio Messori
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    La perspective de Jessica Hausner dans son Lourdes est déclarée immédiatement, dès la scène d'ouverture, avec le plan du réfectoire des pèlerins. Pas de fenêtres, mais une lumière artificielle faible, dans un environnement claustrophobique: noir le sol, noirs les murs où sont accrochés des crucifix noirs, noirs les jupes et les pantalons du personnel, noires les pélerines des Hospitalières avec la croix de Malte, noirs les uniformes des Chevaliers de l'ordre, noirs les clergymen des prêtres.

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  • Harry Potter : la mort d'une poule aux oeufs d'or ?

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    "Au désespoir de millions de fans du monde entier, le dernier film Harry Potter met le point final à la saga de l’élève sorcier. La machine à merchandising va encore tourner à plein régime… une dernière fois. Mais pour certaines actions, la magie continue."

    A lire sur l'Echo : lecho.be/epargner_et_investir/investir/Harry_Potter_et_les_10_actions_magiques.

  • Harry Potter : Liberté Politique nous invite à un approfondissement de la réflexion

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    Sous le titre: "Harry Potter et l’au-delà de la fiction : les dangers spirituels de la magie", Antoine Besson commence la publication d'une série de cinq articles consacrée à la saga qui a connu le succès que l'on sait. Nous avions reproduit ici une analyse parue dans la Bussola Quotidiana que nous avions traduite; certains l'on trouvée trop optimiste. Antoine Besson nous aidera sans doute à y voir plus clair.

    "A l’occasion de la sortie du film qui clôt la saga du jeune sorcier, libertepolitique.com propose à ses lecteurs une réflexion sur l’imaginaire et les valeurs véhiculées par ce phénomène culturel au cœur du quotidien de nombreux adolescents et jeunes adultes. Cette réflexion qui fera l’objet de plusieurs articles d’été s’inscrit fondamentalement dans le domaine politique (au sens philosophique) : elle se propose d’apporter un éclairage objectif sur les valeurs et l’imagination qui façonnent aujourd’hui, à travers la fiction, le sens moral et politique des adultes de demain, et pourquoi pas les futurs décideurs..."

    Lire la suite ici : http://www.libertepolitique.com/

    On pourra verser au dossier la note (très critique à l'égard du phénomène "Harry Potter") de Jeanne Smits, sur son blog : http://leblogdejeannesmits.blogspot.com/2011/07/harry-potter-une-seduisante-porte.html

  • Harry Potter, l'Amour en héritage ?

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    Harry Potter aura constitué un phénomène discuté dans les milieux catholiques; certains ont diabolisé cette oeuvre lui trouvant une odeur de souffre tandis que d'autres en soulignaient les valeurs positives. Voilà que cette "saga" arrive à son terme et que le dernier épisode porté à l'écran fait un tabac. La semaine dernière, l'Osservatore Romano en faisait l'éloge. La Bussola Quotidiana a publié (le 14/7) une critique intéressante du dernier "Harry Potter", sous la plume de Antonio Carriero sous le titre "Le dernier Harry Potter: la vraie magie est de se convertir" (http://www.labussolaquotidiana.it/); nous tâchons de la traduire correctement ici :

    "Harry Potter touche à sa fin. Toute autre aventure possible qui, dans l'avenir, pourrait provenir de l'esprit extraordinaire de son auteur, ne serait qu'un ajout. Bien sûr, les fans de l'oeuvre originale se le souhaiteraient, mais la véritable essence de Harry Potter aura marqué exclusivement ces sept volumes qui trônent dans notre bibliothèque. (lire la suite)

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  • Ces moines qui nous font du bien...

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    Le blog "juridique et culturel" de Denis Merlin mettait en ligne hier (fête de saint Benoît) ce commentaire :

    "En réplique involontaire au film "Le moine", un article du quotidien "Aujourd'hui en France" intitulé "Les moines nous font du bien". (Via le Forum catholique)

    Personne n'oblige les moines et les moniales à vivre leur vie.
    Sans le vouloir, mais par le seul exemple de leurs vies, les moines et les moniales nous rappellent que nous avons tous été créés sans notre consentement et qu'il n'est donc pas interdit de vouer sa vie entièrement à Dieu puisqu'il nous a créés par un décret éternel, librement et qu'il nous racheté non moins librement et plus admirablement encore.
    J'ajouterais à l'article du Parisien que les moines travaillent. Ils (et elles) cultivent la terre, construisent, sculptent, écrivent etc. Ils sont donc un exemple pour tous, ils travaillent pour nous, et ils nous montrent et nous démontrent que l'on peut vivre sans sexe dans une vocation qui n'est déjà plus de ce monde."
  • "Tree of Life" : un film difficile

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    Nous avions relayé (http://www.belgicatho.be) les propos de P. Joncquez au sujet de ce film et sa dénonciation de l'inculture de la plupart des critiques qui n'y avaient pas décelé la dimension spirituelle et biblique.

    Un excellent ami, très bon connaisseur du septième art, réagit à ces propos :

    "Si une grande partie de l'analyse de P. Joncquez est juste, son paragraphe intitulé "Père et Mère universels" est tout à fait extravagant. Comment peut-on appeler Père universel un père frustré, autoritaire, injuste, qui ne respecte pas les règles qu'il établit, qui apprend à son aîné à ne pas être bon pour qu'il apprenne à gagner de l'argent, qui ne tolère aucune esquisse de protestation chez sa femme soumise qu'il maîtrise physiquement à l'occasion? Comment appeler Mère universelle une mère, femme-enfant dominée, qui ne prend pas la défense de ses fils lorsqu'ils sont rudoyés?
    Reste la figure du fils aîné,personnage central qui ressemble à son père tout en étant révolté contre lui. Le film raconte en fait sa "conversion" comme celle du père qui change après son licenciement et celle de la mère qui finit par accepter la mort de son enfant. Le tout certes dans un contexte très religieux.
    Ce film n'est pas à conseiller à n'importe qui: il est dur, difficile, impressionnant et oppressant. Il demande une forte connaissance biblique et cinématographique ne fût-ce qu'au niveau du symbolisme."

  • Films "pro-life" : tout ne fait pas farine au bon moulin...

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    Dans une note précédente, nous avions répercuté l'information suivant laquelle des films "pro-life" ne trouvaient pas de "diffuseurs", notamment "The Life Zone" (cfr http://www.belgicatho.be/archive/2011/06/09/des-films-en-quete-de-distributeurs.html).

    Nous l'avions fait de bonne foi sur la base d'informations parues sur un site généralement bien inspiré. Mais aujourd'hui, Jeanne Smits remet les choses à leur place et dénonce un film douteux, peu susceptible de défendre adéquatement la cause de la vie, l'amour des enfants et de leurs mamans. http://leblogdejeannesmits.blogspot.com/2011/06/life-zone-un-film-pro-vie-non-merci.html

  • Des films "pro-vie" en quête de distributeurs

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    Il n'est pas facile d'aller contre le "culturellement et politiquement correct", surtout en matière de défense de la vie. C'est ce que l'on apprend dans "Nouvelles de France" au sujet de deux films produits aux Etats-Unis et que l'on rechigne à distribuer.

    "Deux nouveaux films financés de façon indépendante et véhiculant un point de vue « pro-vie » cherchent distributeurs, nous apprend le Los Angeles Times : “Doonby”" et “The Life Zone”.

    "Dans les deux cas, la morale de l’histoire est « pro-vie ». Leurs réalisateurs ne s’en cachent pas...

    “Doonby’s” a été tournée dans la ville natale de Norma McCorvey, la célèbre « Roe » manipulée de l’arrêt de la Cour suprême de 1973 qui juge la pratique de l’avortement aux Etats-Unis conforme à la constitution, « Roe vs Wade ». Cette femme convertie au christianisme et militante « pro-vie » (son histoire, L’affaire Jane Roe – Histoire d’une manipulation, a été traduite par mon confrère Daniel Hamiche) joue un personnage qui avertit une jeune femme de Smithville (Texas) tentée d’avorter. « Les enfants sont un miracle, un don de Dieu » explique McCorvey, « vous avez des responsabilités, ma fille ».

    Voir l'intégralité de l'article ICI