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Films - Page 26

  • L'exorcisme à la une

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    Un procès sensationnel à Bruxelles, un film à Cannes ("Au-delà des collines"), et voilà l'exorcisme projeté à l'avant-plan. Même s'il s'agit d'exorcismes pratiqués en-dehors de l'Eglise (musulman dans le premier cas, orthodoxe dans le second), on se doute bien qu'on ne manquera pas de mettre en cause cette pratique dans le contexte catholique. Christian Laporte fait écho à cette question et propose un "éclairage" du Père T. Scholtès :

    L’exorcisme n’est pas ce que l’on croit - Christian Laporte

    Bien des inexactitudes ont été lancées à propos de l’exorcisme autour des assises de Bruxelles. Mises au point catholique mais aussi musulmane…

    Éclairage

    Le procès autour de la mort brutale de Latifa Hachmi devant la cour d’assises de Bruxelles a donné lieu à moult interprétations à propos de l’exorcisme dans plusieurs religions.

    Dans l’islam, bien entendu, puisque cette religion a été directement mise en cause, mais aussi à propos de l’Eglise catholique que l’on a associée un peu rapidement à certaines dérives dans lesquelles même les musulmans ne se retrouvent nullement. Démontons ces assertions...

    lire la suite : l'exorcisme n'est pas ce que l'on croit

    Voir aussi : l'exorcisme, ça existe encore aujourd'hui (catholique.org) où l'on conclut ainsi:

    Si l’exorcisme est aujourd’hui méconnu, il n’en demeure pas moins important pour la foi chrétienne, comme a voulu le rappeler Jean Paul II dans son discours du 24 mai 1987 :

    "Cette lutte contre le Démon, qui spécifie le personnage de l’Archange Saint Michel, est bien actuelle aujourd’hui encore, puisque le Démon est toujours vivant et agissant dans le monde. En effet, le mal qui est présent sur terre, le désordre..., l’incohérence ... ne sont pas seulement les conséquences du péché originel, mais aussi l’effet de l’action dévastatrice et obscure de Satan. »

  • Les ravages du libéralisme au grand écran

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    Un observateur critique (mais qui nous est très cher) de notre blog m'adresse cette invitation :

    Je sais que le cinéma ne te mobilise pas souvent mais à tout hasard, je te signale (pour un soir de désoeuvrement) deux films intéressants vus cette semaine.

    Elena d'Anndreï Zviaguintsev (Le retour, Le bannissement). Nous étions 5 dans la salle! Un film sobre, bien construit, qui, à travers une famille, peint, de manière saisissante, la gangrène de la société russe. La première et la dernière séquences montrent que le réalisateur a sans doute lu Shakespeare!

    Detachment de Tony Kaye, injustement, à notre avis, égratigné par La Libre Belgique. Nous étions deux dans la salle !! Sur un sujet traité vingt fois au cinéma, un film remarquable par sa construction et ses images (enfin!). Le portrait profond, attachant, original d'un professeur blessé et bon confronté à une société qui se désagrège. On regrette presque d'avoir quitté l'enseignement secondaire...
    Pour nous, le film le plus intéressant depuis des mois...
     
    Deux films qui, à leur manière, nous parlent des ravages du libéralisme...
    Si les yeux vous en disent...
  • Génocide des Arméniens : la vérité a ses droits

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    arslan-antonia-masalouettes-2007.jpgRencontre avec Antonia Arslan (Traduction d'Hélène Ginabat, avec Anita Bourdin) sur ZENIT.org

    Le génocide des Arméniens perpétré en 1915 par les nationalistes turcs a été commémoré le 24 avril : c’était le premier génocide du XXe siècle. Il a fait au moins un million deux-cent mille victimes.

    Malgré le négationnisme présent dans certains milieux turcs, « les recherches sur la vérité historique avancent », déclare Antonia Arslan  qui affirme la nécessité de « guérir enfin le pays de la haine ».

    C’est un événement tragique connu par peu de monde, mais devenu fameux en Italie grâce à Antonia Arslan et à son premier roman Le Mas des alouettes. Publié en 2004, le livre a obtenu le prix Campiello (2004) et eu un très grand succès auprès du public. (...)

    Antonia Arslan, diplômée en archéologie, a enseigné la littérature italienne moderne et contemporaine à l’université de Padoue.

    A travers l’œuvre du grand poète Daniel Varujan, dont elle a traduit (avec Chiara Haiganush Megighian et Alfred Hemmat Siraky) les recueils Le chant du pain (1992) et Mari di grano (1995), elle a redécouvert son identité arménienne profonde et jusqu’alors inexprimée (en effet, le véritable nom de sa famille est Arslanian).

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  • Séminaristes et souverains poncifs

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    Arte programme une série sur les séminaristes pour l'automne prochain, intitulée "Ainsi soient-ils". Isabelle Francq, dans La Vie, commente cet "évènement" :

    Ainsi soient-ils, la série télé qui met en scène des séminaristes

    Arte diffusera à l'automne une série (8 x 52 mn) qui prend pour cadre un séminaire parisien. Nous avons vu les quatre premiers épisodes, présentés au festival Séries Mania du Forum des Images, le 20 avril dernier.

    L'annonce risque de faire frémir les catholiques chatouilleux (en serions-nous ?), ceux qui sont persuadés que le monde en général et la TV en particulier leur veulent du mal (quelle idée biscornue!). Pour les autres téléspectateurs, la perspective d'une série entre les murs d'un séminaire n'a rien d'affriolant. Pourtant, lors de l'avant-première d'Ainsi soient-ils, le 20 avril, au festival Séries Mania du Forum des images, à  Paris, la salle était pleine. Et elle ne s'est guère vidée au cours de la projection des quatre premiers épisodes qui s'est prolongée tard dans la soirée.

    Il faut dire que la bande de séminaristes dont on suit les premiers pas vers la prêtrise est bien troussée - et bien interprétée. Cinq profils archétypaux, certes, mais pas caricaturaux. Surtout, on sent la bienveillance des scénaristes pour leurs personnages.

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  • BXL, 31 mai : Qui a envie d'être aimé ?

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    S’inscrire asap car max 750 places disponibles : etreaime@ymail.com

  • Une guerre perdue ?

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    vaticanII-460x273.jpgNous avons déjà présenté ici Vatican II: cinquante ans après  le débat organisé par Radio-Notre Dame entre Grégory Solari, directeur des Editions « ad solem  et Patrick Benquet le réalisateur de l’ émission « La guerre perdue du Vatican » (diffusée sur France 3 ce lundi 2 avril à 20h30).

    Sur le contenu de cette émission «  « La Libre » publie aujourd’hui con amore  un billet de sa « correspondante » à Paris, une certaine Virginie Roussel, tout en dévotion au célèbre « esprit du concile ».Voici un large extrait de sa prose, qui donne le ton du  film documentaire commis par Patrick Benquet (un protestant devenu athée, selon ses propres dires) :

    « (…). En 1958, Jean XXIII est élu pape. Il est conscient des changements de société. Les églises sont désertées, le recrutement des séminaristes s’avère de plus en plus rude. Il annonce alors la tenue d’un concile pour réformer l’institution. Ce qui devait être réglé en une quinzaine de jours prendra trois ans et va considérablement faire évoluer ce qu’est devenue l’Eglise au cours de ses 2 000 ans. Finit(sic) la messe en latin, il s’agit d’être compris de tous. La liberté de conscience est admise. Les laïcs ont un rôle à jouer. Des pistes de réflexion sur le rôle des femmes dans l’église, le célibat des prêtres et la contraception sont même lancées. Mais cet examen de conscience provoque des réactions de crispation, de peur. Pendant 40 ans, Jean Paul II soutiendra les "légionnaires du Christ", des prêtres obéissants. Et durant tout ce temps, il protégera son fondateur, Macial Maciel, un homme qui abusa de nombreux enfants. Il promouvra aussi l’Opus Dei. Son successeur, Benoît XVI, pour grossir les effectifs, accueillera les ultras tels que Monseigneur Lefebvre, en France. Refusant toute évolution sur le statut des prêtres et la morale conjugale, le Pape actuel a également autorisé le retour de la messe en latin, favorisant ainsi un courant traditionaliste et réactionnaire qui se manifeste d’autant plus fermement qu’il se sent légitime. Mais cette radicalisation de l’Eglise a conduit certains prêtres à désobéir au Pape, à revendiquer le droit de se marier et poussé des femmes à souhaiter être ordonnées.

    Aujourd’hui, deux courants coexistent au sein de l’Eglise : ceux qui tentent l’ouverture en s’accordant au message du Christ et ceux qui se réfugient dans une récusation belliqueuse et élitiste de la tradition. Des témoignages, dans les deux camps, nourrissent cette enquête fouillée : le cardinal Roger Etchegaray, collaborateur privilégié de Jean-Paul II ; Père André Depierre, prêtre ouvrier ; Don Helder Camara, porte-parole de la théologie de la libération ; Herbert Vorglimmer, théologien allemand ; Monseigneur Lefebvre, fondateur de la fraternité St Pie X ; Juan Vacca, ancien légionnaire du Christ, abusé par le père Macial Maciel ; Guy Aurenche, président du CCFD Terre solidaire ; Jean Vannier, fondateur de l’Arche ; Père Helmut Schüller, initiateur autrichien de l’appel à la désobéissance ; Anne Soupa et Christine Pedotti, fondatrices de la Conférence des baptisés. Autant d’éléments qui permettront à chacun de se faire une opinion sur l’actuelle stratégie du Vatican »

    C’est ici : Le Vatican se fourvoie-t-il ?

    Une émission qui s’annonce comme un regard extérieur au catholicisme, superficiel, partisan, sans nuance : bref, peu fiable, contrairement à ce que « La Libre » donne à croire.

    Peut-on, en effet, mieux faire dans le genre caricatural ? Il suffit de consulter les statistiques pour savoir que c’est après le concile et non avant celui-ci que l’Eglise occidentale a connu une chute abyssale des vocations religieuses  et que tous les indicateurs de la foi et de sa pratique se sont mis durablement au rouge. Et cette première contrevérité n’est pas la seule : non, le concile n’a pas aboli la messe en latin (ce sont les réformes postconciliaires qui lui furent infidèles), non, le concile n’a pas abordé le problème de la contraception, non le concile n’a pas inventé la liberté de conscience dans l'Eglise, non Mgr Lefèbvre n’a pas réintégré celle-ci (il est mort excommunié) etc.

    Si les mots ont un sens, un concile appelle normalement à la conciliation. Tout indique, hélàs, que c’est le contraire qui s’est alors produit. Bien plus que le Vatican, c’est l’ "esprit" infructueux du concile qui a perdu la guerre et engendré au sein du catholicisme la dépression spirituelle et les désordres que nous connaissons.  

  • Grand succès pour un film pro-vie aux USA

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    6a00d83451619c69e20167645345a2970b-320wi.jpgComme le rapporte Philippe Carhon, October Baby "cartonne" aux Etats-Unis. "

    Ce film pro-vie démarre très bien aux Etats-Unis. Sorti le 23 mars, il est dans le top 10 du box-office américain du dernier week-end. 10% des bénéfices iront à des associations pro-vie.

     

    Vivement qu'il sorte en France..."

    et en Belgique!

    Voir également : ndf.fr

  • Séries télévisées : la foi au risque de l'asphyxie

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    Il y a, bien sûr, les attaques en règle contre l'Eglise. Nous en savons quelque chose dans notre petite terre d'héroïsme où la campagne menée à la faveur des affaires de pédophilie n'arrête pas de rebondir.

    Mais il y a ces choses qui s'insinuent quotidiennement à travers la "culture" médiatique, et notamment dans les séries. Ainsi, le premier épisode ("l'affaire Sainte-Maxime") d'une série créée par le mari de Laurette Onkelinx (Marc Uyttendaele) met en scène une affaire de pédophilie dans un collège catholique; ainsi, dans un épisode lointainement inspiré par Agatha Christie, "la plume empoisonnée", la coupable n'est autre qu'une pauvre femme fanatique qui voulait à tout prix faire de son fils un prêtre catholique; ainsi encore, dans Barnaby, où une des dernières enquêtes s'effectue dans un couvent de religieuses pas si catholiques que ça.... Tout cela vient d'être programmé, coup sur coup, sur des chaînes françaises ou belges.

    Et on pourrait, bien sûr, continuer d'énumérer ces "productions" qui égratignent quotidiennement l'Eglise, distillant le doute et le soupçon, minant la confiance et suggérant le rejet. C'est ainsi que le téléspectateur lambda, sans trop s'en rendre compte, est peu à peu chargé d'énergie négative à l'égard de tout ce qui s'apparente à la foi catholique. Il faut être fort pour résister à cette propagande insidieuse qui en remet quotidiennement des couches et pour ne pas succomber à la désaffection générale qui finit par éloigner les "chrétiens sociologiques" (mais y en a-t-il encore?) des églises.

  • Et les anges le servaient...

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    Homélie de Benoît XVI pour le premier dimanche de carême

    En ce premier dimanche de Carême, l’Evangile, dans le style sobre et concis de saint Marc, nous introduit dans le climat de ce temps liturgique : « L’Esprit pousse Jésus au désert. Et dans le désert il resta quarante jours, tenté par Satan » (Mc 1, 12). En Terre Sainte, à l’ouest du fleuve du Jourdain et de l’oasis de Jéricho, se trouve le désert de Judée dont les vallées pierreuses, dépassant un dénivelé d’environ mille mètres, montent jusqu’à Jérusalem. Après avoir reçu le baptême de Jean, Jésus s’enfonce dans cette solitude, conduit par ce même Esprit Saint qui s’était posé sur Lui en le consacrant et en le révélant comme Fils de Dieu. Dans le désert, lieu de l’épreuve, comme l’expérience du peuple d’Israël le montre, la réalité de la kenosi, du Christ qui s’est laissé vider, qui s’est dépouillé de la condition de Dieu (cf. Ph 2, 6-7), apparaît de manière dramatique. Lui, qui n’a pas péché et ne peut pécher, se soumet à l’épreuve et peut pour cela compatir à notre infirmité (cf. He 4, 15). Il se laisse tenter par Satan, l’adversaire qui dès le départ s’est opposé au dessein salvifique de Dieu en faveur des hommes.

    Les anges, figures lumineuses et mystérieuses, apparaissent presque à la hâte, dans la brièveté du récit, face à cette figure obscure et ténébreuse qui ose tenter le Seigneur. Les anges, dit l’Evangile, « servaient » Jésus (Mc 1, 13) ; ils sont le contrepoint de Satan. « Ange » veut dire « envoyé ». Nous trouvons ces figures, qui aident et guident les hommes au nom de Dieu, dans tout l’Ancien Testament. Il suffit de se souvenir du Livre de Tobie, dans lequel apparaît la figure de l’ange Raphaël, qui assiste le protagoniste dans tant de vicissitudes. La présence rassurante de l’ange du Seigneur accompagne le peuple d’Israël dans tous ses événements bons et mauvais. Au seuil du Nouveau Testament, Gabriel est envoyé pour annoncer à Zacharie et à Marie les heureux événements qui sont le début de notre salut ; et un ange, dont on ne dit pas le nom, avertit Joseph, l’orientant dans ce moment d’incertitude. Un chœur d’anges annoncent aux pasteurs la bonne nouvelle de la naissance du Sauveur ; ce sont aussi des anges qui annonceront aux femmes la joyeuse nouvelle de la résurrection. A la fin des temps, les anges accompagneront la venue de Jésus dans la gloire (cf. Mt 25, 31). Les anges servent Jésus, qui est certainement supérieur à eux, et sa dignité est ici, dans l’Evangile, proclamée de manière claire, quand bien même discrète. En effet, même dans une situation d’extrême pauvreté et d’humilité, quand il est tenté par Satan, Il reste le Fils de Dieu, le Messie, le Seigneur.

    Chers frères et sœurs, nous enlèverions une part importante de l’Evangile si nous laissions de côté ces êtres envoyés par Dieu, qui annoncent sa présence parmi nous et en sont un signe. Invoquons-les souvent, pour qu’ils nous soutiennent dans l’engagement de suivre Jésus jusqu’à nous identifier à Lui...

  • "La Boutique de l'Orfèvre" projetée à Bruxelles le 8 février

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    boutique_orfevre_8_fev2012.jpg

    Inscription gratuite et obligatoire avant lundi 6 février 2012 sur www.fafce.org

    La Fédération des Associations Familiales Catholiques en Europe, FAFCE, est reconnue par le Conseil de l'Europe comme Organisation Non-Gouvernementale et dotée du statut participatif. Elle assure la représentation politique pour toutes les familles, d'un point de vue catholique, c'est-à-dire en se référant à l'enseignement social et familial de l'Eglise catholique ainsi qu'au témoignage de foi et au savoir empirique des chrétiens au sein de l'Eglise et de la société.

  • Inde : les persécutions contre les chrétiens s'intensifient

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    L'agence Fides publie cette information alarmante :

    ASIE/INDE - Nouveau rapport sur les persécutions à l’encontre des chrétiens : plus de 2.000 cas en 2011 - un chiffre en augmentation constante

    Bombay (Agence Fides) – Les chrétiens ayant fait l’objet d’agressions, d’attaques et de persécutions en 2011 sont au nombre de 2.144 sans compter leurs familles, parents et amis, qui sont des victimes indirectes. Il est prévu que les persécutions, œuvre de groupes extrémistes hindous, augmentent en 2012. C’est le scénario tracé dans le nouveau Rapport 2011 relatif aux Persécutions en Inde, publié ce jour par le « Catholic Secular Forum » (CSF), organisation œcuménique fondée par des catholiques indiens et soutenue par S.Em. le Cardinal Oswald Gracias, Archevêque de Bombay. Le Rapport, envoyé par le CSF à l’Agence Fides, dresse un sombre bilan, dans lequel la violence antichrétienne des hindouistes radicaux est qualifiée de « virus qui infecte la société ». En effet, les persécutions « sont devenues plus répandues et elles intéressent presque tous les Etats du pays ».

    Au moins 1.000 familles chrétiennes ont été touchées par ces attaques : le rapport dénonce « une campagne préméditée » contre des cibles faibles et, aux vues des indications déjà reçues, prévoit une augmentation en 2012. Le texte met en évidence 250 crimes graves et soulève des questions importantes en ce qui concerne la liberté de foi, l’abus des droits humains et des droits constitutionnels. Selon le CSF, les épisodes recensés représentent seulement ceux qui sont connus et dénoncés par les moyens de communication de masse. Si l’on ajoutait ceux qui n’ont pas été enregistrés, le nombre total pourrait tripler.

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  • La Guerre de Vendée à l'écran

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    Une belle production retraçant l'histoire de cette contre-révolution catholique à découvrir ici (en anglais) : http://www.navispictures.com/category_s/34.htm

    La bande annonce : http://www.youtube.com/user/navispictures#p/c/0/Tk8ORQZUdqs