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Films - Page 29

  • Harry Potter : la mort d'une poule aux oeufs d'or ?

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    "Au désespoir de millions de fans du monde entier, le dernier film Harry Potter met le point final à la saga de l’élève sorcier. La machine à merchandising va encore tourner à plein régime… une dernière fois. Mais pour certaines actions, la magie continue."

    A lire sur l'Echo : lecho.be/epargner_et_investir/investir/Harry_Potter_et_les_10_actions_magiques.

  • Harry Potter : Liberté Politique nous invite à un approfondissement de la réflexion

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    Sous le titre: "Harry Potter et l’au-delà de la fiction : les dangers spirituels de la magie", Antoine Besson commence la publication d'une série de cinq articles consacrée à la saga qui a connu le succès que l'on sait. Nous avions reproduit ici une analyse parue dans la Bussola Quotidiana que nous avions traduite; certains l'on trouvée trop optimiste. Antoine Besson nous aidera sans doute à y voir plus clair.

    "A l’occasion de la sortie du film qui clôt la saga du jeune sorcier, libertepolitique.com propose à ses lecteurs une réflexion sur l’imaginaire et les valeurs véhiculées par ce phénomène culturel au cœur du quotidien de nombreux adolescents et jeunes adultes. Cette réflexion qui fera l’objet de plusieurs articles d’été s’inscrit fondamentalement dans le domaine politique (au sens philosophique) : elle se propose d’apporter un éclairage objectif sur les valeurs et l’imagination qui façonnent aujourd’hui, à travers la fiction, le sens moral et politique des adultes de demain, et pourquoi pas les futurs décideurs..."

    Lire la suite ici : http://www.libertepolitique.com/

    On pourra verser au dossier la note (très critique à l'égard du phénomène "Harry Potter") de Jeanne Smits, sur son blog : http://leblogdejeannesmits.blogspot.com/2011/07/harry-potter-une-seduisante-porte.html

  • Harry Potter, l'Amour en héritage ?

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    Harry Potter aura constitué un phénomène discuté dans les milieux catholiques; certains ont diabolisé cette oeuvre lui trouvant une odeur de souffre tandis que d'autres en soulignaient les valeurs positives. Voilà que cette "saga" arrive à son terme et que le dernier épisode porté à l'écran fait un tabac. La semaine dernière, l'Osservatore Romano en faisait l'éloge. La Bussola Quotidiana a publié (le 14/7) une critique intéressante du dernier "Harry Potter", sous la plume de Antonio Carriero sous le titre "Le dernier Harry Potter: la vraie magie est de se convertir" (http://www.labussolaquotidiana.it/); nous tâchons de la traduire correctement ici :

    "Harry Potter touche à sa fin. Toute autre aventure possible qui, dans l'avenir, pourrait provenir de l'esprit extraordinaire de son auteur, ne serait qu'un ajout. Bien sûr, les fans de l'oeuvre originale se le souhaiteraient, mais la véritable essence de Harry Potter aura marqué exclusivement ces sept volumes qui trônent dans notre bibliothèque. (lire la suite)

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  • Ces moines qui nous font du bien...

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    Le blog "juridique et culturel" de Denis Merlin mettait en ligne hier (fête de saint Benoît) ce commentaire :

    "En réplique involontaire au film "Le moine", un article du quotidien "Aujourd'hui en France" intitulé "Les moines nous font du bien". (Via le Forum catholique)

    Personne n'oblige les moines et les moniales à vivre leur vie.
    Sans le vouloir, mais par le seul exemple de leurs vies, les moines et les moniales nous rappellent que nous avons tous été créés sans notre consentement et qu'il n'est donc pas interdit de vouer sa vie entièrement à Dieu puisqu'il nous a créés par un décret éternel, librement et qu'il nous racheté non moins librement et plus admirablement encore.
    J'ajouterais à l'article du Parisien que les moines travaillent. Ils (et elles) cultivent la terre, construisent, sculptent, écrivent etc. Ils sont donc un exemple pour tous, ils travaillent pour nous, et ils nous montrent et nous démontrent que l'on peut vivre sans sexe dans une vocation qui n'est déjà plus de ce monde."
  • "Tree of Life" : un film difficile

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    Nous avions relayé (http://www.belgicatho.be) les propos de P. Joncquez au sujet de ce film et sa dénonciation de l'inculture de la plupart des critiques qui n'y avaient pas décelé la dimension spirituelle et biblique.

    Un excellent ami, très bon connaisseur du septième art, réagit à ces propos :

    "Si une grande partie de l'analyse de P. Joncquez est juste, son paragraphe intitulé "Père et Mère universels" est tout à fait extravagant. Comment peut-on appeler Père universel un père frustré, autoritaire, injuste, qui ne respecte pas les règles qu'il établit, qui apprend à son aîné à ne pas être bon pour qu'il apprenne à gagner de l'argent, qui ne tolère aucune esquisse de protestation chez sa femme soumise qu'il maîtrise physiquement à l'occasion? Comment appeler Mère universelle une mère, femme-enfant dominée, qui ne prend pas la défense de ses fils lorsqu'ils sont rudoyés?
    Reste la figure du fils aîné,personnage central qui ressemble à son père tout en étant révolté contre lui. Le film raconte en fait sa "conversion" comme celle du père qui change après son licenciement et celle de la mère qui finit par accepter la mort de son enfant. Le tout certes dans un contexte très religieux.
    Ce film n'est pas à conseiller à n'importe qui: il est dur, difficile, impressionnant et oppressant. Il demande une forte connaissance biblique et cinématographique ne fût-ce qu'au niveau du symbolisme."

  • Films "pro-life" : tout ne fait pas farine au bon moulin...

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    Dans une note précédente, nous avions répercuté l'information suivant laquelle des films "pro-life" ne trouvaient pas de "diffuseurs", notamment "The Life Zone" (cfr http://www.belgicatho.be/archive/2011/06/09/des-films-en-quete-de-distributeurs.html).

    Nous l'avions fait de bonne foi sur la base d'informations parues sur un site généralement bien inspiré. Mais aujourd'hui, Jeanne Smits remet les choses à leur place et dénonce un film douteux, peu susceptible de défendre adéquatement la cause de la vie, l'amour des enfants et de leurs mamans. http://leblogdejeannesmits.blogspot.com/2011/06/life-zone-un-film-pro-vie-non-merci.html

  • Des films "pro-vie" en quête de distributeurs

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    Il n'est pas facile d'aller contre le "culturellement et politiquement correct", surtout en matière de défense de la vie. C'est ce que l'on apprend dans "Nouvelles de France" au sujet de deux films produits aux Etats-Unis et que l'on rechigne à distribuer.

    "Deux nouveaux films financés de façon indépendante et véhiculant un point de vue « pro-vie » cherchent distributeurs, nous apprend le Los Angeles Times : “Doonby”" et “The Life Zone”.

    "Dans les deux cas, la morale de l’histoire est « pro-vie ». Leurs réalisateurs ne s’en cachent pas...

    “Doonby’s” a été tournée dans la ville natale de Norma McCorvey, la célèbre « Roe » manipulée de l’arrêt de la Cour suprême de 1973 qui juge la pratique de l’avortement aux Etats-Unis conforme à la constitution, « Roe vs Wade ». Cette femme convertie au christianisme et militante « pro-vie » (son histoire, L’affaire Jane Roe – Histoire d’une manipulation, a été traduite par mon confrère Daniel Hamiche) joue un personnage qui avertit une jeune femme de Smithville (Texas) tentée d’avorter. « Les enfants sont un miracle, un don de Dieu » explique McCorvey, « vous avez des responsabilités, ma fille ».

    Voir l'intégralité de l'article ICI

  • "Tree of Life" : l'ignorance crasse de la critique...

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    Pierre Joncquez, sur le causeur.fr, met en évidence l'inculture des critiques qui n'ont pas su discerner le message fondamental du film de Terence Malick :

    "Ayant décidé de snober les classiques qui fondent sa propre culture, et notamment la Bible, la critique française est passée complètement à côté de Tree Of Life de Terence Malick. Bien que le personnage qui crève littéralement l’écran s’appelle Dieu, je n’ai en effet pratiquement rien lu évoquant sa présence de bout en bout du film[Seuls La Croix et Valeurs Actuelles ont su témoigner de la nature chrétienne de Tree of life.].

    Une blague raconte qu’un jour un jeune homme rendit visite à un rabbin en se présentant comme un libre penseur.
    – Avez-vous étudié la Bible avec attention ? demande le rabbin
    – Non, répond le libre-penseur.
    – Alors vous n’êtes pas un libre-penseur, mais un ignorant.

    L’égarement interprétatif de la quasi-totalité des média me rappelle la désinvolture du libre-penseur de la blague. Ce refus de voir que Tree of life est fondamentalement, viscéralement et uniquement chrétien, incite à établir un constat de mort cérébrale des sphères prétendument cultivées..."

    la suite est à lire ICI

  • "Le gamin au vélo" et "L'arbre de vie"

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    Il faut savoir se réjouir de ce qui se fait de bien, de beau et de vrai et ne pas bouder son plaisir lorsque des créateurs produisent des œuvres d'art qui illustrent le propos de Dostoïevski lorsqu'il affirmait que la beauté sauverait le monde.  Nous sommes volontiers ronchons et prompts à maudire les ténèbres au point de ne plus savoir discerner le rayon de lumière qui devrait susciter notre enthousiasme. Et, à propos des frères Dardenne, pourquoi nous priverions-nous de la savourer le plaisir d'être Belges? Mais laissons la parle à Pascal Wintzler, administrateur apostolique de Poitiers, au sujet de ces deux films que nous avons déjà évoqués :

    "On s’accorde à reconnaître que le cru cannois 2011 fut d’excellente qualité. Et ce avant tout en raison de la présence dans la sélection d’œuvres des meilleurs cinéastes du moment : Terrence Malick, Lars von Trier, Pedro Almodovar, les frères Dardenne, Aki Kaurismaki, Nanni Moretti, d’autres encore. Peut-être faut-il cependant regretter que nous n’ayons pas découvert cette année celui ou celle qui sera un grand de demain.

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  • La Palme d'Or du Festival de Cannes serait-elle catholique ?

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    Tree of Life Movie Poster.jpg

    Du moins c'est ce que pense l'Abbé de Tanouärn :

    La Palme d'or ? Mais c'est catho !

    Nous avons tous mangé du fruit de l'arbre de vie. L'arbre de vie ? C'est The tree of life, le cinquième film de Terrence Malick, le plus ambitieux - et sans doute le plus grand. Vivants, nous vivons forcément quelque chose qui nous dépasse, nous le vivons jusqu'au bout, même si nous n'en avons pas envie. En vie sans envie ? Encore faut-il savoir ce qu'est la vie.

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  • "Le gamin au vélo", grand prix au Festival de Cannes

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    Un grand coup de chapeau à nos frères Dardenne pour ce beau message d'humanité!

    C'est dans le Soir, et c'est "l'avis de la rédaction" :

    "...ce conte de notre temps, la nouvelle histoire des Dardenne a les vertus d'une caresse. Car il est grand temps d'apaiser les colères et trouver sa grâce intime parce que quelqu'un vous regarde, vous écoute, vous serre contre son coeur. Plus sereins les gars de Seraing ? Totalement même si leur film inscrit dans ici et maintenant contient toujours les fondamentaux d'un cinéma dur et frontal et poursuit sans esbroufe le constat violent du monde dans lequel on vit. Mais on peut parler de changement dans la continuité. Avec du soleil dans tous les plans, une actrice connue en guise de bonne fée et de la musique ici et là. Le tout d'une maîtrise sans faille. Enfourchez votre vélo et osez ce film qui trouve sa paix intérieure de façon bouleversante avec une rare intensité. Vous verrez à quel point les clichés de l'ennui qui collent au ciné des Dardenne volent en éclats au profit d'une oeuvre lumineuse et apaisante. Ça fait un bien fou !"

    Luc Dardenne répondait à un journaliste du Soir : "La violence du gamin n'est pas rare. C'est présent partout. La seule manière d'apaiser ça, c'est l'amour. Je ne parle pas des colères politiques comme dans les pays arabes actuellement. Mais d'une violence existentielle – se sentir mal aimé, ne pas être respecté, ne pas pouvoir être éduqué. D'être seul, je pense que c'est insupportable et à l'origine de beaucoup de violence dans la société. Pour ce gamin qui souffre, c'est important de pouvoir se dire qu'il y a quelqu'un qui l'aime sans compter, qui peut s'oublier, mourir pour lui. Cet enfant a une blessure énorme, il a besoin de sentir qu'on peut le faire passer au premier rang."

  • Attention aux arbres qui cachent un grand désert"

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    A propos du festival de Cannes, la Croix titre "la spiritualité s'affiche avec bienveillance sur les écrans".

    La foi serait-elle "tendance"? Une brèche serait-elle ouverte dans cette culture généralement hostile au message chrétien?

    Les auteurs de l'article, après avoir souligné la quête de sens, la présence de la question de Dieu, un intérêt pour l'Eglise, concluent de façon assez peu optimiste :

    "Faut-il donc y voir, en ces temps de sécularisation, une occasion de réconcilier le grand public et l’Église ? Pas certain, si l’on croit Michèle Debidour, qui rappelle au passage que « le phénomène ne date pas d’hier », et que ces « demandes de spiritualité ne passent pas toujours par du religieux ». 

    Même prudence de Vincent Mirabel, qui s’attend à ce que les prochains films produits dans cette veine n’atteignent pas les sommets de Des hommes et des dieux , faute de bénéficier de « l’effet de surprise et l’originalité du thème ». « Attention, donc, aux arbres qui cachent… un grand désert. »