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Films - Page 29

  • "Tree of Life" : l'ignorance crasse de la critique...

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    Pierre Joncquez, sur le causeur.fr, met en évidence l'inculture des critiques qui n'ont pas su discerner le message fondamental du film de Terence Malick :

    "Ayant décidé de snober les classiques qui fondent sa propre culture, et notamment la Bible, la critique française est passée complètement à côté de Tree Of Life de Terence Malick. Bien que le personnage qui crève littéralement l’écran s’appelle Dieu, je n’ai en effet pratiquement rien lu évoquant sa présence de bout en bout du film[Seuls La Croix et Valeurs Actuelles ont su témoigner de la nature chrétienne de Tree of life.].

    Une blague raconte qu’un jour un jeune homme rendit visite à un rabbin en se présentant comme un libre penseur.
    – Avez-vous étudié la Bible avec attention ? demande le rabbin
    – Non, répond le libre-penseur.
    – Alors vous n’êtes pas un libre-penseur, mais un ignorant.

    L’égarement interprétatif de la quasi-totalité des média me rappelle la désinvolture du libre-penseur de la blague. Ce refus de voir que Tree of life est fondamentalement, viscéralement et uniquement chrétien, incite à établir un constat de mort cérébrale des sphères prétendument cultivées..."

    la suite est à lire ICI

  • "Le gamin au vélo" et "L'arbre de vie"

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    Il faut savoir se réjouir de ce qui se fait de bien, de beau et de vrai et ne pas bouder son plaisir lorsque des créateurs produisent des œuvres d'art qui illustrent le propos de Dostoïevski lorsqu'il affirmait que la beauté sauverait le monde.  Nous sommes volontiers ronchons et prompts à maudire les ténèbres au point de ne plus savoir discerner le rayon de lumière qui devrait susciter notre enthousiasme. Et, à propos des frères Dardenne, pourquoi nous priverions-nous de la savourer le plaisir d'être Belges? Mais laissons la parle à Pascal Wintzler, administrateur apostolique de Poitiers, au sujet de ces deux films que nous avons déjà évoqués :

    "On s’accorde à reconnaître que le cru cannois 2011 fut d’excellente qualité. Et ce avant tout en raison de la présence dans la sélection d’œuvres des meilleurs cinéastes du moment : Terrence Malick, Lars von Trier, Pedro Almodovar, les frères Dardenne, Aki Kaurismaki, Nanni Moretti, d’autres encore. Peut-être faut-il cependant regretter que nous n’ayons pas découvert cette année celui ou celle qui sera un grand de demain.

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  • La Palme d'Or du Festival de Cannes serait-elle catholique ?

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    Tree of Life Movie Poster.jpg

    Du moins c'est ce que pense l'Abbé de Tanouärn :

    La Palme d'or ? Mais c'est catho !

    Nous avons tous mangé du fruit de l'arbre de vie. L'arbre de vie ? C'est The tree of life, le cinquième film de Terrence Malick, le plus ambitieux - et sans doute le plus grand. Vivants, nous vivons forcément quelque chose qui nous dépasse, nous le vivons jusqu'au bout, même si nous n'en avons pas envie. En vie sans envie ? Encore faut-il savoir ce qu'est la vie.

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  • "Le gamin au vélo", grand prix au Festival de Cannes

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    Un grand coup de chapeau à nos frères Dardenne pour ce beau message d'humanité!

    C'est dans le Soir, et c'est "l'avis de la rédaction" :

    "...ce conte de notre temps, la nouvelle histoire des Dardenne a les vertus d'une caresse. Car il est grand temps d'apaiser les colères et trouver sa grâce intime parce que quelqu'un vous regarde, vous écoute, vous serre contre son coeur. Plus sereins les gars de Seraing ? Totalement même si leur film inscrit dans ici et maintenant contient toujours les fondamentaux d'un cinéma dur et frontal et poursuit sans esbroufe le constat violent du monde dans lequel on vit. Mais on peut parler de changement dans la continuité. Avec du soleil dans tous les plans, une actrice connue en guise de bonne fée et de la musique ici et là. Le tout d'une maîtrise sans faille. Enfourchez votre vélo et osez ce film qui trouve sa paix intérieure de façon bouleversante avec une rare intensité. Vous verrez à quel point les clichés de l'ennui qui collent au ciné des Dardenne volent en éclats au profit d'une oeuvre lumineuse et apaisante. Ça fait un bien fou !"

    Luc Dardenne répondait à un journaliste du Soir : "La violence du gamin n'est pas rare. C'est présent partout. La seule manière d'apaiser ça, c'est l'amour. Je ne parle pas des colères politiques comme dans les pays arabes actuellement. Mais d'une violence existentielle – se sentir mal aimé, ne pas être respecté, ne pas pouvoir être éduqué. D'être seul, je pense que c'est insupportable et à l'origine de beaucoup de violence dans la société. Pour ce gamin qui souffre, c'est important de pouvoir se dire qu'il y a quelqu'un qui l'aime sans compter, qui peut s'oublier, mourir pour lui. Cet enfant a une blessure énorme, il a besoin de sentir qu'on peut le faire passer au premier rang."

  • Attention aux arbres qui cachent un grand désert"

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    A propos du festival de Cannes, la Croix titre "la spiritualité s'affiche avec bienveillance sur les écrans".

    La foi serait-elle "tendance"? Une brèche serait-elle ouverte dans cette culture généralement hostile au message chrétien?

    Les auteurs de l'article, après avoir souligné la quête de sens, la présence de la question de Dieu, un intérêt pour l'Eglise, concluent de façon assez peu optimiste :

    "Faut-il donc y voir, en ces temps de sécularisation, une occasion de réconcilier le grand public et l’Église ? Pas certain, si l’on croit Michèle Debidour, qui rappelle au passage que « le phénomène ne date pas d’hier », et que ces « demandes de spiritualité ne passent pas toujours par du religieux ». 

    Même prudence de Vincent Mirabel, qui s’attend à ce que les prochains films produits dans cette veine n’atteignent pas les sommets de Des hommes et des dieux , faute de bénéficier de « l’effet de surprise et l’originalité du thème ». « Attention, donc, aux arbres qui cachent… un grand désert. »

  • "Le gamin au vélo" : "Une belle histoire d'amour filial et de rédemption"

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    LE-GAMIN-AU-VELO.jpgSur "UniversCine Belgique", sous la plume de Thibaut Grégoire, nous lisons ceci à propos de la présentation à Cannes du dernier film des frères Dardenne "Le gamin au vélo" :

    "Pour leur cinquième sélection en compétition officielle, les frères Dardenne restent fidèles à eux-mêmes et emportent une nouvelle fois l’adhésion avec une belle histoire d’amour filial et de rédemption. Avec, comme d’habitude, la révélation d’un jeune acteur, Thomas Doret, qui livre une prestation physique impressionnante..." lire la suite ici

  • Hallucinant

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    Into Eternity ou l'histoire vertigineuse des déchets nucléaires

    "S'enfoncer toujours un peu plus sous terre, dans ce qui sera le premier dépôt de stockage éternel de déchets nucléaires et, être saisi de vertige : qui peut assurer que personne n'y viendra durant 100.000 ans ? Comment dire le danger à nos descendants ? Nous comprendront-ils ?

    C'est cette incursion que propose le film-documentaire Into Eternity (une plongée dans l'éternité) du Danois Michael Madsen, sorti mercredi en France."

    Voir la suite ici

  • Caviezel mis au ban par Hollywood

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    "C’était un acteur riche de promesses et de bons contrats. On se souvient de ses exceptionnelles prestations d’acteur dans The Count of Monte Cristo et The Thin Red Line, pour ne parler que de ces deux films à succès. Mais voilà, Jim Caviezel accepta, en 2003, d’interpréter le rôle de Jésus dans La Passion du Christ de Mel Gibson. Et il est, depuis, ostracisé par Hollywood…"

    Daniel HAMICHE, sur Nouvelles de France; découvrir cet article ICI

  • "Habemus papam", un film qui ne semble pas mériter le détour

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    Le site "Benoît et moi" consacre un petit dossier à ce film dont les commentateurs ne disent pas grand bien :

    "A une semaine de Cannes, où le film est en compétition, les critiques de Francesco Colafemmina (Fides et Forma) et Vittorio Messori (4/5/2011)

    Nous sommes à une semaine du festival de Cannes, la grand'messe du cinéma intello-barbant, qui se déroulera du 11 au 22 mai prochain.
    L'un des films-vedette en compétition est l' "Habemus Papam" de Nanni Moretti, que nous avons déjà évoqué à travers les "critiques" d'Andrea Tornielli (plutôt indulgent. Il semble soulagé de l'avoir trouvé moins méchant que ce qu'il attendait; il parle d'un film à ne pas prendre trop au sérieux), et de Salvatore Izzo, qui n'a pas vu le film, et n'ira pas le voir, estimant que ce n'est pas aux catholiques de lui faire gagner de l'argent... et surtout, que nous, les catholiques, le Pape, nous l'avons!)"

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  • "L'Agence", un nouveau film inspiré de l'univers de Philippe K. Dick

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    images.jpgSous le titre "Damon contre le Démon" - "L'Agence, un film augustinien mais sans la grâce", Isabelle Marchandier publie cette critique sur Causeur.fr

    "Qui tire les ficelles du monde ? Les agences de notation ? Les as du storytelling politique ? Les wikileaks et autres big brothers numérisés ? Pas du tout. Vous n’y êtes pas. Qui donc alors ? Pour le savoir, vous n’avez qu’à courir aussi vite que Matt Damon, attention vous êtes prévenu, le gars a du souffle et l’entraînement de Jason Bourne derrière. Alors pour le suivre, n’oubliez pas de vous munir d’un chapeau melon. C’est très utile pour ouvrir les portes à New York et passer du MOMA au stade de baseball des Yankees. Non, sérieusement, vous n’êtes pas dans le monde de Lewis Carroll, et vous ne suivez pas le lapin d’Alice. Vous rentrez dans le premier film de Georges Nolfi, L’Agence qui, après Blade runner de Ridley Scott etMinority report de Spielberg, est le nouveau film inspiré de l’univers de Philippe K. Dick..." lire la suite ICI

  • Katyn sur Arte ce jeudi à 20H40 : à ne manquer sous aucun prétexte

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    Le film « Katyn » sera diffusé jeudi 14 avril à 20h40 sur Arte. Une rediffusion est prévue sur la même chaîne le mardi 19 avril à 01h30 du matin.

    Ce film se déroule dans la Pologne soviétique où trois femmes ne se remettent pas des meurtres de leurs proches par la police secrète russe. Le massacre, ainsi que les circonstances qui l’ont entouré sont dépeintes par le cinéaste polonais Andrzej Wajda. A 75 ans, ce dernier met  en scène un film qui est tiré, en partie, de son histoire familiale, son père étant mort lors du massacre de Katyn, sa mère n’ayant jamais pu l’admettre.

    Le film a été nominé en 2008 aux Oscar dans la catégorie meilleur film étranger. A ne pas manquer! (NDF)

  • Sydney Lumet, pourfendeur de la culture de masse, n'est plus

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    Sydney Lumet se méfiait, dit-on, des groupes et des Eglises. Cela n'empêche que sa dénonciation de la culture de masse est plus que jamais d'actualité :

    "Le cinéaste ne sèmera plus la terreur parmi les vendeurs de rêves. L’artiste est décédé des suites d’un cancer à 86 ans, a annoncé le New-York Times. Frondeur, il était un fin observateur du petit écran. Dans Main basse sur la télévision, il passe au scalpel les effets dévastateurs de cet outil, son emprise sur les individus, le pouvoir des animateurs et des multinationales. « L’image n’est pas la vérité. » Ni l’Évangile. C’est le message qu’il n’a cessé de répéter, de son vivant, quitte à agacer ses contemporains.

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