Une belle production retraçant l'histoire de cette contre-révolution catholique à découvrir ici (en anglais) : http://www.navispictures.com/category_s/34.htm
La bande annonce : http://www.youtube.com/user/navispictures#p/c/0/Tk8ORQZUdqs
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Une belle production retraçant l'histoire de cette contre-révolution catholique à découvrir ici (en anglais) : http://www.navispictures.com/category_s/34.htm
La bande annonce : http://www.youtube.com/user/navispictures#p/c/0/Tk8ORQZUdqs
Sur son blog, "Jesus Prem's", Jean-Baptiste Maillard présente ce film :
Hier soir, je suis allé voir Intouchables au cinéma. C’est une petite merveille d’une heure 50, qui explique à elle seule son succès. A peine deux semaines après sa sortie en salle, 5,3 millions de spectateurs sont déjà allés la voir, et la fréquentation est en hausse de 45 % ! A titre de comparaison, Des hommes et des Dieux avait réalisé dans le même temps 950.000 d’entrées en 2010. Intouchables s’invite même sur le podium du box-office 2011, devant le Tintin de Spielberg, juste derrière Rien à déclarer et Harry Potter. Selon Allociné, cela est dû en premier lieu à bouche-à-oreille incroyablement performant. Bonne nouvelle pour le film : selon un sondage Ifop pour Radio Alouette, 68% des spectateurs comptent le revoir.
lire la suite ici : http://www.jesusprems.com/2011/11/intouchables-une-magistrale-lecon-dhumanite/
On lira, dans les commentaires ci-dessous, des réflexions moins enthousiastes sous la plume de Criticus, cinéphile éclairé.
C'est à découvrir et à soutenir. Cliquer ici : http://www.libertepolitique.com/
7 bonnes raisons de soutenir la nouvelle Plateforme Multimédia :
Porter plus haut et plus fort la voix des chrétiens dans la société
Etre très présent dans les débats de société
Réformer le climat culturel dans lequel nous vivons
Enraciner notre pensée politique dans une vision chrétienne de l’homme et de la société
Préparer une société de confiance et de vie juste pour nos enfants
Porter une nouvelle Espérance
Représenter un poids politique dont il faudra tenir compte
Catho.be s'est fait écho, hier, d'un article de l’Osservatore Romano (7 novembre) qui fait longuement l’analyse du film « Les Aventures de Tintin – Le secret de la Licorne ».
"Un bel hommage du journal du Vatican au réalisateur Steven Spielberg, et au personnage hautement célèbre d’Hergé, Tintin…
"Tintin est un « héros catholique ». Tel sont les termes que l’écrivain français Denis Tillinac emploie pour décrire le jeune reporter belge, dans un article repris par l’Osservatore Romano.
C’est un symbole de l’ »humanisme chrétien », analyse le journaliste Antonio Carriero.
Voir la suite ici : http://info.catho.be/
Il est clair, n'en déplaise aux esprits grincheux qui ont vu dans cet article une tentative de "récupération" par le Vatican du phénomène Tintin, que Hergé et son héros ont participé à ce beau moment de la bande dessinée belge inspirée par le catholicisme, à une époque où celui-ci n'était pas ostracisé quotidiennement par les médias comme c'est le cas aujourd'hui.
Le 6 mai 2009, le Salon Beige mettait cette note en ligne sous la signature de Michel Janva :
"Anges & Démons : un film cathophobe"
Dans un dossier de 5 pages, L'Homme Nouveau décrypte le film Anges & démons, qui sort bientôt au cinéma. On y lit notamment cette révélation du père Bernard O’Connor, prêtre canadien qui travaille à la Congrégation pour les Églises orientales et chroniqueur régulier du magazine américain Inside the Vatican, dans lequel il a raconté être allé se mêler à l’équipe d’Anges et Démons à Rome :
Sur Liberté Politique, 9 Septembre 2011 |
"Kafkaïen. L’erreur judiciaire que relate le film Présumé coupable de Vincent Garenq [1], récompensé par le Prix du meilleur film européen à la Mostra de Venise, montre ad nauseam le scandale de l’impossible acquittement que cherche pourtant un innocent acculé à prouver son innocence. Face à lui, un juge qui ne fait pas son travail de juge d’instruction, à savoir prouver la culpabilité de celui qu’il accuse. D’où le titre. Englué dans l’inflexibilité du jeune juge Burgaud (Raphaël Fernet) épris de son autorité, de sa fatuité cassante, Alain Marécaux se trouve un matin d’automne pris au piège d’une machine qui le broie sans pitié. L’huissier de justice qui avait prêté serment de la servir, elle la justice, est trahi par les siens.
Le Progrès.fr publie une interview de Michaël Lonsdale :
Depuis quand avez-vous la foi ?
C’est le plus grand cadeau que j’ai reçu dans cette vie. Cela n’a pas de limite, c’est quelque chose d’immense. C’est arrivé très lentement. Ma mère m’a offert un livre sur Jésus quand j’avais 6-7 ans. Ca me plaisait. Cet homme avait l’air gentil. Entre 15 et 17 ans, j’étais très en recherche. J’ai rencontré un comédien musulman qui m’a parlé de Dieu, d’Allah, comme personne ne m’en a jamais parlé. J’avais aussi une amie qui m’amenait à la cathédrale à Rabat. Puis, rentré en France, j’ai entendu un père dominicain raconter ce que j’avais envie d’entendre : que l’on pouvait être artiste et croyant.
La RAI a "censuré" un épisode d'une série allemande très populaire en Italie, dans lequel deux hommes se "marient" dans un couvent catholique. On imagine le tollé dans le monde médiatique du politiquement et culturellement correct!
"Cette série allemande est très longue, nous devions enlever un épisode avant le début des programmes de la rentrée", s'est justifié Mauro Mazza, le directeur de la chaîne. A propos de l'épisode intitulé "Roméo et Roméo", qui aurait dû être diffusé mercredi matin, il a expliqué que la chaîne avait "choisi de sacrifier celui-ci dans la mesure où le mariage homosexuel se déroulait devant l'autel d'une église catholique, en présence d'une religieuse et du maire".
Sur le site de "Benoît et moi", on trouvera la traduction d'un article de Massimo Introvigne paru dans la Bussola Quotidiana de ce jour (9/9/2011) :
c'est ici : http://benoit-et-moi.fr/ete2011/0455009f1b06c3101/0455009f5b0817d06.html
Dans le « Dimanche Express » à paraître le 11 septembre, le Père Charles Delhez s.j. consacre son éditorial au rôle de la papauté. Notre confrère et néanmoins ami « Cathobel » publie cette réflexion qui prend pour point de départ la sortie sur les écrans du film de Nanni Moretti « Habemus papam ». Le directeur de l’hebdomadaire paroissial interdiocésain écrit en guise de commentaire :
« Le nouveau pape ne se présente pas au balcon ! Il veut renoncer à sa charge, parce que trop lourde. Et il disparaît. Telle est l'intrigue de "Habemus Papam !"(…) En fait, jamais pareille situation ne s'est présentée. Or les responsabilités qui pèsent sur les épaules d'un seul homme sont de plus en plus grandes. Plus d'un milliard de catholiques et des liens diplomatiques avec un nombre croissant d'États. Ce film-ci - bien sympathique, à notre estime - est donc de la pure fiction et nous ne pouvons que remercier ceux qui, jusqu'à présent, ont accepté cette tâche. Sans doute, comme tous les cardinaux du film, se disaient-ils, juste avant leur élection : "Non, pas moi, Seigneur !" La papauté est une chance - une grâce. Dans un monde éclaté, l'Église, malgré toutes ses divisions, parvient à maintenir une réelle communion entre croyants de tous les continents et de toutes conditions sociales. Certes, les tensions ne manquent pas, mais n'est-ce pas un gage de vitalité ?
Michel Piccoli est interviewé dans le Soir à l'occasion de la sortie d'Habemus Papam. Etonnant!
Extrait :
Que pensez-vous du pape Benoît XVI ?
C'est un érudit de la religion catholique, mais il arrive après Jean-Paul II qui fut un pape d'exception, un homme d'exception, un voyageur d'exception, un croyant d'exception. Il avait une beauté physique d'exception. Ça compte, non ?! Même si on est pape, on a le droit d'être beau ou laid. Benoît XVI ne voyage pas, reste enfermé dans son bureau et on ne sait pas ce qu'il pense. Mais il a quand même dit des choses importantes sur la vie privée des religieux, la pédophilie et d'autres sujets douloureux pour les croyants. Je me méfie beaucoup du vedettariat ou non-vedettariat des papes.
Ah! Il ne voyage pas : Madrid, Saint-Jacques de Compostelle, Barcelone, Royaume-Uni, Chypre, Portugal, Malte, République Tchèque, Terre Sainte, Cameroun, Angola, France, Australie, Etats-Unis, Mariazell, Brésil, Turquie, Bavière, Valence, Pologne, Cologne. Non, il ne voyage vraiment pas!
Quant à ce qu'il pense, on ne le sait vraiment pas! On s'en rendra tout de suite compte en cliquant sur le lien suivant : http://www.vatican.va/holy_father/benedict_xvi/index_fr.htm
Dépêche Cathobel (info.catho.be) :
"Mgr Claudio Maria Celli, président du Conseil pontifical pour les communications sociales, a remis, lundi 5 septembre, le prix Robert-Bresson aux cinéastes belges Jean-Pierre et Luc Dardenne pour l'ensemble de leur oeuvre.
Le prix est attribué, depuis l'an 2000, à l'occasion de la Mostra de Venise, par la Fondation italienne des entreprises du spectacle, en lien avec les Conseils pontificaux pour la culture et pour les communications sociales. Manoel de Oliveira, Giuseppe Tornatore, Krzystof Zanussi, Wim Wenders avaient déjà reçu cette distinction, en raison de leur réalisation « tournée vers la recherche du sens spirituel de la vie ».
Cette année, ce sont les frères Dardenne qui sont en grâce auprès du Vatican. Leur travail est, pour Mgr Celli, « une véritable parabole de rédemption ». « À notre époque où le cinéma fait prévaloir les effets spéciaux spectaculaires, l'oeuvre des frères Dardenne, continue-t-il, me semble contenir en son sens le plus profond l'idée d'un cinéma qui met le spectateur face aux interrogations de la vie et de la foi, tout en l'aidant dans son parcours personnel de recherche et de croissance ». « Dans chacun de leurs films, histoires douloureuses d'injustice, de solitude, d'abandon, histoires d'hommes désespérés et prêts à tout, conclue le président du Conseil pontifical pour les communications sociales, on sent le souci d'une recherche inquiète de l'homme, du pardon, d'une véritable rencontre »."
Sur le site de Famille Chrétienne, nous trouvons cette critique de ce film qui illustre la focalisation pas toujours bienveillante sur l'institution pontificale.
Écrasé par la charge qui l’attend, un pape nouvellement élu s’enfuit du Vatican… C’est le scénario loufoque du dernier film d’un grand réalisateur italien, l’agnostique Nanni Moretti.
Après La messe est finie, Nanni Moretti revient à un film sur le catholicisme, religion dans laquelle il a été élevé avant d’abandonner la foi. Si le héros du film de 1985 était un prêtre – figure trop méprisée dans le cinéma italien, d’après Moretti –, Habemus papam change de dimension en mettant en scène le Saint-Père.
Est-ce l’occasion pour l’Italien de réaliser une nouvelle satire, comme il l’avait fait pour son dernier film, Le Caïman (2006), sur Berlusconi ? La présentation d’Habemus papam à Cannes et à Rome a dissipé les craintes… sans pour autant empêcher certaines critiques...
Voir la suite ici : http://www.famillechretienne.fr/croire/pape-et-vatican/-habemus-papam