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Foi - Page 980

  • Bénédiction abbatiale à Notre-Dame de Fontgombault

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    abbaye-fontgombault7.jpgC’était hier : « Grande effervescence  à Notre-Dame de Fontgombault, dans l’Indre, pour la bénédiction abbatiale de dom Jean Pateau, quatrième père abbé de ce monastère de la Congrégation de Solesmes, élu le 18 août dernier. La date du 7 octobre, fête de Notre-Dame du Rosaire, n’a évidemment pas été choisi au hasard puisque Fontgombault a toujours manifesté un grand attachement à la Vierge Marie.

    Mais c’est aussi la date anniversaire de la bénédiction abbatiale de dom Edouard Roux, premier père abbé de Fontgombault, après la restauration de la vie monastique en ce lieu en 1948. Maître des novices de l’abbaye de Solesmes, dom Roux fut choisi, en effet, à la surprise générale par dom Cozien, quatrième père abbé de Solesmes, pour guider la nouvelle fondation de 1948.( …) » L’article complet est ici : Bénédiction abbatiale à Notre-Dame de Fontgombault

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  • Sommes-nous paralysés par la peur ?

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    Human Life International nous propose cette réflexion de son directeur, le Père Boquet :

    Chère famille de Human Life International,

    La semaine dernière, j'ai déjeuné avec un bon ami, et nous avons passé la grande majorité de notre temps à parler de la crise spirituelle de notre monde. Nous sommes tous deux du même âge et avons vécu des expériences similaires dans notre vie familiale, et nous partageons la même éducation morale, la même éthique de travail et une même fondation solide à notre foi catholique. Je lui ai demandé ce qu'il pensait être le coeur du problème lorsqu'on s'interroge sur cette question. Il n'a pas pris beaucoup de temps pour répondre: "la peur!" Il a déclaré : "La peur est ce qui empêche les gens de faire ce qui est juste."

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  • Nos évêques : "silence radio"

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    Alors que le évêques des Etats-Unis mettent sur pied une commission pour lutter contre la christianophobie, que les évêques de France interviennent pour rappeler les vraies priorités aux candidats et aux électeurs français, que les évêques de Suisse rappellent le caractère immoral du diagnostic pré-implantatoire, etc, nos évêques sont étrangement muets.

    Bien sûr, on sait que Mgr de Tournai est allé à Lille participer aux Etats-Généraux du Christianisme, que Mgr de Malines-Bruxelles était à Tirana avec les autres responsables épiscopaux des Eglises d'Europe, que Mgr de Liège a donné une interview rappelant ses priorités à l'occasion de ses dix ans d'épiscopat... mais tout cela ne fait guère le poids face à la situation dégradée de notre pays : songeons au laxisme des lois en matière de bioéthique, à la subversion de la famille (mariage homosexuel et adoption par des couples de même sexe), à la perte d'identité catholique dans les écoles "libres", au manque de rigueur des cours de religion, à la détérioration du climat économique, social et politique, aux errements de certains clercs ultra-médiatisés, aux menaces pesant sur le patrimoine religieux, ... Tout cela mériterait bien l'une ou l'autre intervention bien sentie de la part de nos évêques mais ceux-ci se taisent, tétanisés -semble-t-il - par les affaires de pédophilie. Alors, il nous faut aller glaner ailleurs les prises de position d'évêques plus "offensifs" et plus diserts.

  • Une voie artistique vers l'oecuménisme ?

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    jpg_1349771.jpgSandro Magister attire l'attention, cette semaine, sur une communauté protestante, la "Community of Jesus", venue d'Orléans (Massachussets) et qui s'est implantée à Florence.

    "Ce sont des protestants, précise S. Magister, mais ils suivent la règle de saint Benoît, et ils veulent que l'art sacré s'inspire puissamment de la liturgie. Ils portent un regard amical sur l'Église catholique, comme avant eux les moines de Taizé."

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  • Rome-Ecône : verra-t-on bientôt le bout du tunnel ?

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    p-copie-7.jpgDans une communication datée d’hier, la Fraternité Saint-Pie X confirme que ses supérieurs se réuniront dès ce 7 octobre pour étudier les récentes propositions  romaines relatives à sa réconciliation possible avec les autorités de l’Eglise catholique.

    La réunion se tiendra à huis-clos, non loin de Rome. Mgr Bernard Fellay est censé informer les responsables de la Fraternité de l'état de la situation. Selon Jean Marie Guénois, rédacteur en chef adjoint du Figaro, « rien ne filtre mais il semblerait qu'aucune décision ne sera annoncée à l'issue des deux jours prévus. Un signe d'ailleurs qui ne trompe pas. Le contraire serait plutôt annonciateur de rupture annoncée ». Le chroniqueur estime que  sans le dire la Fraternité cherche une voie pour sortir de la séparation. Néanmoins,« il est probable - le Saint-Siège s'y attend - que la Fraternité Saint Pie X va demander des précisions sur le "préambule doctrinal" qui a été remis le 14 septembre dernier à l'issue de leur rencontre par le cardinal Levada, Préfet de la Congrégation pour la doctrine de la foi, à Mgr Bernard Fellay supérieur de la Fraternité ».

     

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  • Madame de Gaulmyn et les "poubelles" sur la toile

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    "Benoit et moi" met aujourd'hui en ligne une réponse aux propos tenus par Isabelle de Gaulmyn sur son blogue (La Croix) :

    "Dans un article (http://tinyurl.com/444455t ) mis en ligne le 28 septembre 2011 sur son blogue, Isabelle de Gaulmyn, journaliste du quotidien La Croix, déplorait l’existence de « poubelles » sur la toile :
    Ces poubelles sont partout, mais l’Eglise de France en fait, depuis quelques mois l’amère expérience."

    De cette réponse, soulignons cet extrait :

    "Il n’est que trop vrai que Golias ou la CCBF d’une part, les sédévacantistes de Virgo Maria d’autre part, se répandent effectivement en injures et en calomnies difficilement tolérables. On pourrait de même signaler la prolifération assez inquiétante des vidéos sédévacantistes sur le « youtube catholique » qu’est GloriaTV. De ce point de vue, Isabelle de Gaulmyn n’a pas tort de dire que la toile « favorise les extrêmes » : il est probable que les ultramodernistes de Golias ou les sédévacantistes de Virgo Maria aient une présence sur la toile inversement proportionnelle au nombre de leurs partisans."

    Et cet autre :

    "Je tiens à préciser qu’il ne s’agit aucunement pour moi de nier d’éventuels excès verbaux commis par les « restaurationnistes ». Nous manquons tous de charité, et nous avons tous besoin de nous convertir sans cesse. Mais (...) la charité ne nous demande aucunement de garder le silence sur les erreurs les plus manifestes, surtout lorsque ces erreurs sont publiques et graves..."

    Lire l'intégralité de cette réponse ici : http://benoit-et-moi.fr/2011-III/

  • Fête de Notre-Dame du Rosaire

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    bataille_de_lepante.jpgLa fête de Notre-Dame du Rosaire se célébrait déjà, en 1547, à Tortosa (Espagne), le troisième dimanche d'avril, quand fut instituée par Pie V la fête de Notre-Dame de la Victoire (1572) au premier dimanche d'octobre, en action de grâces pour la victoire de Lépante où, à l'entrée du golfe de Corinthe, la flotte chrétienne fournie par le Saint-Siège, l'Espagne, Venise, la Savoie, Mantoue, Ferrare, Gênes et Lucques, sous le commandement de don Juan d'Autriche, avait écrasé la flotte turque d'Ali Pacha (7 octobre 1571). C'est à cette occasion qu'on ajouta aux litanies de la Sainte Vierge l'invocation Secours des Chrétiens, priez pour nous ! Grégoire XIII qui attribuait la victoire de Lépante aux processions faites à Rome par les confréries du Saint-Rosaire, changea la fête de Notre-Dame de la Victoire en celle du Saint Rosaire et la fixa au premier dimanche d'octobre (1573) ; elle ne fut alors obligatoire que pour les églises romaines qui possédaient une chapelle ou une confrérie du Saint-Rosaire.

    Clément X concéda cette fête à l'Espagne (1671) avant que Clément XI l'étendît à l'Eglise universelle et l'élevât au rit double-majeur (1716), célébrée le jour de l'octave de l'Assomption, à la suite de la victoire de Peterwaradin que le prince Eugène de Savoie avait remportée sur les Turcs (5 août 1716). Léon XIII en fit une fête de seconde classe et adopta l'office et le propre de la messe en usage chez les Dominicains (1887). Pie X la fixa au 7 octobre (1913).

    source : http://missel.free.fr/Sanctoral/10/07.php

  • Le désert de la foi ?

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    tourisme-chapelle-de-la-madelene-5968.jpgNous l’avons déjà évoqué ici  La Wallonie s’interroge : que faire du patrimoine immobilier d’une Eglise désertée ? : face à la désertification des lieux de la foi dans nos contrées, trois solutions sont possibles : la plus radicale consiste à les démolir ou à les réaffecter à des fonctions purement séculières : c’est la tentation d’une Eglise malade qui désespère de guérir. Ceux qui,  parmi les "générations perdues", n’ont pas  "laissé toute espérance", comme Dante au seuil du troisième Chant de l’Enfer,  choisissent de doubler le sanctuaire d’un parvis des gentils pour accueillir des activités culturelles en harmonie avec le culte proprement dit. Ce ne peut être qu’une pierre d’attente, celle du jour où nos diocèses en crise s’ouvriront enfin, sans réticence, à l’œuvre missionnaire des pays ou des congrégations nouvelles qui ont reçu la grâce qui leur a été retirée.

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  • Assise : la "méthode des rustines" ?

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    Le webmestre de MetaBlog le pense :

    "Benoît XVI fera tout pour que soit impossible une interprétation syncrétique d’Assise

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  • « Dieu semblait exister et le Catholicisme semblait être la religion unique et vraie »

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    C'est à propos des JMJ; France Catholique réserve un écho à Vargas Llosal, lequel

    "se penche alors sur la crise qu’il décèle dans la « culture de la liberté ». L’Etat qui autorise la liberté de religion ne peut pas devenir lui-même une religion rivale. Il doit reconnaître ses limites et ses propres besoins. L’institution étatique doit être construite sur des « valeurs éthiques ». Tout Etat constitué a besoin d’une « vie spirituelle riche et florissante comme antidote permanent aux forces anarchiques, destructrices et déstructurantes qui tendent à gouverner le comportement individuel quand l’être humain se sent libre de toute responsabilité. »

    A lire ici : http://www.france-catholique.fr/Vargas-Llosa-a-propos-des-JMJ-Dieu.html

  • Une militante de la prêtrise féminine se convertit au catholicisme

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    Le Forum Catholique relaie cette information parue dans le Catholic Herald :

    "En résumé pour les francophones: Mme Una Kroll a fait campagne pendant des années pour avoir des femmes "Prêtres" dans l'"Église" Anglicane du Pays de Galles (indépendante de celle d'Angleterre). Elle en est elle même devenue une en 1997 jusqu'au jour où, à la surprise de ses ouailles et de sa famille, en 2007, elle a annoncée sa décision de devenir catholique. Elle s'explique de cela aujourd'hui (dans un article appelé la perversité du pouvoir) en disant que bien qu'elle était opposée au PACS pour le clergé anglican homosexuel, elle n'est pas devenue Catholique à cause de ce désaccord avec son "Évêque", mais parce que la grâce de Dieu l'y a poussée. Avec humilité, elle revient sur son passé de militante pour les femmes "Prêtres" puis de femme "Prêtre" en y reconnaissant la tentation du pouvoir. Elle a fait tout cela par goût du pouvoir, et maintenant repentie, elle se dit heureuse de n'être qu'une laïque catholique dans sa paroisse, sans responsabilité d'aucune sorte, ni pouvoir aucun."

  • Un portrait éloquent de clercs de l'après-concile

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    filsconcile2_160.jpgLe site "Benoît et moi" propose le "portrait d'une génération de clercs, désormais âgés, mais qui ont fait beaucoup de dégâts, peut-être à leur insu . Ce sont 17 prêtres "anonymes" décrits dans un livre écrit par deux sociologues espagnols."

    à découvrir ici : http://benoit-et-moi.fr

    Et l'auteur de l'article repris par notre consoeur de conclure :

    "Ces 17 curés qui renient la confession, la récitation du rosaire ou même qui taisent le nom du Pape dans le canon, oublient dans leurs réflexions l’élément le plus notable, leurs églises et leurs paroisses sont vides, tandis que celles des jeunes curés, sans bonnes lectures et incapables de comprendre l’Évangile, sont toujours pleines et réalisent une plus grande tâche sociale en faveur des plus nécessiteux et marginalisés. C’est leur véritable drame et leur frustration..."