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Foi - Page 978

  • Le pape ira-t-il à Assise le 26 octobre ?

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    Yves Daoudal note sur son blog : « A propos de la réunion d’Assise, le cardinal Peter Turkson, président du Conseil pontifical Justice et Paix, déclare que « cette fois l’accent est mis sur le pèlerinage, et non sur la prière ».

    Confirmant qu’il n’y aura pas de prière interreligieuse, il souligne qu’il y aura en revanche, la veille au soir, une veillée de prière spécifiquement catholique à Saint-Pierre de Rome. « Ainsi la prière n’aura-t-elle pas lieu à Assise, mais elle aura lieu à Rome, et ce sera par le pape au milieu de son peuple, des catholiques. »

    Il ajoute que le programme n’est pas encore complètement établi et qu’il donnera les détails dans une conférence de presse mardi prochain.

    Il est curieux de constater que sur l’agenda du pape il y a bien la veillée de prière à Saint-Pierre de Rome le 26, mais qu’il n’y a rien de prévu le 27, ce qui a suffi à engendrer la rumeur que le pape n’irait pas à Assise… »

    Pas de prière interreligieuse à Assise lors de la commémoration du 25e anniversaire de la rencontre organisée par Jean-Paul II. Est-ce un scoop ? C’est le contraire, tout de même, qui eut été étonnant. Reste à savoir si les bouddhistes, hindouistes, chamanistes et autres animistes vont une fois encore squatter les églises de la ville de saint François pour célébrer leurs rites, même si le Cardinal Turckson annonce que « l’accent » sera mis cette fois « sur le pèlerinage et non sur la prière ». Qu’est-ce qu’un pèlerinage sans prière ? Il faut attendre mardi prochain pour disposer (peut-être) d’une clarification.

  • Transmettre la foi : dix clés

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    Dix clés pour transmettre la foi par Juan Manuel Mora (http://fr.didoc.be)

    La transmission de la foi est une problématique ancienne, qui a toujours été présente dans les deux mille années de vie de la communauté chrétienne.

    Celle-ci s’est toujours considérée comme messagère d’une annonce qui lui a été révélée, et qui est digne d’être transmise. Il s’agit d’une question ancienne mais aussi d’un thème d’une actualité brûlante. De Paul VI à Benoît XVI, les papes n’ont cessé d’insister sur la nécessité d’améliorer la transmission de la foi.

    Cette problématique est souvent liée à celle de la « nouvelle évangélisation ». Dans ce contexte, Jean-Paul II affirmait que la transmission de la foi doit être nouvelle « dans son ardeur, dans ses méthodes, dans son expression ». Dans cet article, nous accorderons une attention particulière à la nouveauté dans les méthodes.

    Il y a des facteurs externes qui font obstacle à la diffusion du message chrétien et sur lesquels il est difficile d’agir. Mais on peut réaliser des progrès dans d’autres domaines, qui sont à notre portée. Dans ce sens, celui qui prétend communiquer l’expérience chrétienne doit connaître la foi qu’il désire transmettre, et connaître aussi les règles du jeu de la communication publique.

    En partant, d’un côté, des documents les plus importants de l’Eglise, et de l’autre, de la bibliographie essentielle du secteur de la communication institutionnelle, j’articulerai mes réflexions en une série de principes. Les premiers se rapportent au message à diffuser ; les suivants, à la personne qui communique ; et les derniers, au moyen de transmettre ce message à l’opinion publique.

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  • La Libre Belgique a jugé Monseigneur Léonard

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    Le mensuel « Pastoralia » (revue du diocèse de Malines-Bruxelles) publie depuis le mois de mai une série d’articles de Mgr Léonard sur le sacrement du mariage. Dans le numéro d’octobre, l’archevêque aborde le problème des personnes divorcées et remariées. Il écrit notamment que ces derniers « peuvent et même doivent participer à la vie de l’Église sous ses divers aspects. Ils ne sont en aucune manière excommuniés! ». Mais ajoute ensuite qu’ « Ils éviteront cependant de solliciter des tâches qui les mettraient en position délicate de porte-à-faux, comme l’enseignement de la religion, par exemple, ou la direction d’une école catholique. »

     L’archevêque rappelle simplement ici une loi morale imprescriptible de l’Eglise de Dieu : les divorcés remariés sont en contradiction objective et publique avec le prescrit de l’évangile (cfr St Marc, ch. 10, 1-12) relatif au mariage. Lorsqu’il leur demande de s’abstenir de communier au corps du Christ dans cet état ou, sur un autre plan, d’assumer une fonction impliquant une responsabilité spécifique dans le témoignage de la Parole du Christ, le pasteur s’adresse à leur conscience de chrétiens. Ceci est particulièrement vrai pour les éducateurs en charge d’un cours de religion ou de la direction d’une école catholique.

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  • Mendelssohn, chantre de l’Ancien et du Nouveau Testament

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    Le jeudi 20 octobre à 20h00

    le Chanoine Jean-Pierre Mondet, professeur à l’UCL

    donnera une conférence sur le thème

    « Mendelssohn, chantre de l’Ancien et du Nouveau Testament »

    aux Ateliers des FUCaM, salle 15, 1er étage,

    (entrée et parking : rue du Grand Trou Oudart, 7000 Mons).


    Cet événement est une organisation d’« Art et Spiritualité ». Cette association montoise active depuis 2000 veut donner ou redonner une vie culturelle à certains lieux de culte et alimenter une réflexion sur la dimension chrétienne de l’art.

    Infos : 065.33.86.64

  • Audience du mercredi : une prière ouverte à l'espérance et ferme dans la foi

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    Benoît XVI à l'audience générale de ce mercredi 12 octobre (http://www.zenit.org/) :

    « Dans la prière nous devons toujours rester ouverts à l’espérance et fermes dans la foi en Dieu », déclare Benoît XVI qui a poursuivi mercredi son « école de prière » en commentant le psaume 126, lors de l’audience place Saint-Pierre, en présence de milliers de visiteurs.

    « Ce psaume, a expliqué le pape, nous enseigne que dans la prière nous devons toujours rester ouverts à l’espérance et fermes dans la foi en Dieu. Notre histoire, même si elle est souvent marquée par la douleur, des incertitudes, des moments de crise, est une histoire du salut et de ‘rétablissement des situations’. En Jésus, tous nos exils prennent fin, et toute larme est essuyée, dans le mystère de sa croix, de la mort transformée en vie, comme le grain de blé qui éclate dans la terre et devient épi ».

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  • Egypte : réactivation de la propagande anti-copte

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    Dans Lalibre.be, un reportage de Marion Guénard (Libération) intitulé "Ne pleure pas, c'est un martyr" illustre le déchaînement anti-copte qui a atteint un sommet dimanche lorsque l’armée s’est attaquée à des manifestants. Toute une propagande haineuse anti-copte a été réactivée depuis dimanche.

    Le reportage de Marion Guénard, correspondante au Caire est à lire ici : http://www.lalibre.be

  • Benoît XVI confie les jeunes à Notre-Dame de Fatima

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    Demain, souvenir de la denière apparition de 1917

    ROME, Mercredi 12 octobre 2011  (ZENIT.org) – Le pape Benoît XVI a confié les jeunes à la Vierge de Fatima en les exhortant: « Répondez généreusement à l’appel du Seigneur ! » On rappellera demain la 6e et dernière apparition de 1917.

    Au terme de l’audience du mercredi, place Saint-Pierre, Benoît XVI a en effet salué, comme à l’accoutumée, les jeunes, les malades et les nouveaux mariés.

    « Ma pensée se tourne vers la Vierge de Fatima, dont on rappellera demain la dernière apparition. Je vous confie, chers jeunes à la céleste Mère de Dieu, afin que vous puissiez répondre généreusement à l’appel du Seigneur », a exhorté le pape.

    A l’adresse des malades et des nouveaux mariés, Benoît XVI a dit : « Que Marie soit pour vous, chers malades, un réconfort dans la souffrance, et qu’elle vous accompagne, chers nouveaux mariés, dans votre chemin familial qui commence ».

    « Chers amis, notre existence, souvent marquée par des incertitudes, est une histoire de salut et de libération, a déclaré le pape. Puissions-nous marcher avec Jésus vers la maison du Père, notre vraie patrie et chanter avec la Vierge Marie les merveilles de Dieu dans notre vie ! »

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  • Les nouveaux évangélisateurs se réunissent en congrès…

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    mgr-rino-fisichella.jpgSelon l’agence Zenit, « le pape recevra samedi prochain, 15 octobre, dans la salle Paul VI au Vatican, les participants au congrès pour la Nouvelle évangélisation organisé par le nouveau dicastère du même nom.

    Le lendemain, dimanche 16 octobre, le pape présidera la messe pour les « Nouveaux évangélisateurs » en la basilique vaticane (à 9 h 30). Le pape devrait en parler lors de l’angélus dominical.

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  • Le C.I.L. ou quand le "peuple de Dieu" est censé ouvrir son coeur...

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    Christian Laporte, dans la Libre d'aujourd'hui, nous expose les conclusions de l'auto-proclamé "Conseil interdiocésain des laïcs." C'est une illustration de plus des fruits pourris que porte l'arbre d'une certaine mentalité post-conciliaire.

    Tout d'abord, je ne sais qui ce Conseil prétend représenter. Père de quatre enfants (dont un religieux), responsable d'un Conseil de Fabrique d'église, co-responsable d'un centre de distribution alimentaire vincentien (600 personnes aidées chaque semaine), je n'ai jamais été en contact avec ce soviet suprême censé représenter le laïcat.

    Alors, quand on  écrit que "le “peuple de Dieu” a ouvert son coeur au Conseil interdiocésain des laïcs", cette pseudo "instance de réflexion, de concertation et de prise de parole de laïcs engagés dans l’Eglise et dans la société", cette curieuse prétention à prendre la parole en notre nom me laisse perplexe.

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  • Une diatribe du Père Daniel-Ange contre l’idéologie du « gender »

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    media-118422-3.jpg"Pauvres fans du gender ! Soyez logiques, allez jusqu'au bout de vos thèses. Pendant que vous y êtes, supprimez aussi les admirables différences complémentaires des grandes races humaines. Naître Asiatique ou Africain noir : intolérable, discrimination imposée par la nature. Proposez aux petits camerounais de devenir blancs, à la petite Chinoise de devenir noire. Hormones, chirurgie faciale et ça y est. Enfin libre de choisir ma race, ma physionomie. Et si un petit anglais veut le facies slave : no problem. Tout est possible (…)

    Mais alors, soyez logiques : supprimez les odieuses différences chez animaux et végétaux, qui aussi se reproduisent par bi-polarité. Ou faut-il dire la coq et le poule ? Quelle discrimination ! Le coq qui féconde la poule : odieuse domination ! (…)

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  • Les fruits amers de l'"esprit du concile"

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    jpg_1342797.jpgLes fruits amers de l’ “esprit du concile”

    Dans un an jour pour jour, on commémorera le 40e anniversaire de l’ouverture du concile Vatican II (11 septembre 1962)? Le bilan de ce “gulf stream de la grâce” (dixit feu le cardinal Suenens) ne prête cependant guère à se réjouir: il n’est plus permis de fermer les yeux sur l’effondrement du catholicisme dans les pays dont les évêques ont été à la manoeuvre de cet événement: chez eux, tous les voyants statistiques sont au rouge et le “petit troupeau” incertain qui demeure est lui-même menacé d’un double schisme: sur sa gauche comme sur sa droite.

    Comme le note “La Vie” qui trouve tout cela “émouvant”, l’actualité du jour, ce sont notamment les prêtres contestataires en Irlande et en Autriche. Des réalités bien différentes les ont amenés à s'insurger contre leurs hiérarchies respectives;

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  • 11 octobre 1962 : ouverture de Vatican II...

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    Voici comment Wikipedia présente cet évènement :

    "Le IIe concile œcuménique du Vatican, plus couramment appelé Vatican II, est le XXIe concile œcuménique de l'Église catholique romaine. Il a été ouvert par le pape Jean XXIII en 1962 et clos sous le pontificat de Paul VI en 1965.

    On le considère généralement comme l'événement le plus marquant de l'histoire de l'Église catholique au XXe siècle, symbolisant son ouverture au monde moderne et à la culture contemporaine faite de progrès technologiques considérables, d'émancipation des peuples et de sécularisation croissante. Des réponses aux questions modernes furent cherchées dans un retour aux racines du christianisme : la Bible (sur la base de nouvelles recherches bibliques) et la grande Tradition.

    Le déroulement inattendu du concile s'explique par les différences importantes entre la première et la deuxième session. Un programme préétabli par des cardinaux de curie (avec des textes quasi prêts à être votés) fut rejeté. Les pères conciliaires prirent alors leur agenda en main. Les cardinaux Léon-Joseph Suenens, Giacomo Lercaro, et Julius Döpfner, trois des quatre modérateurs, semblent avoir été à l'origine de cette « révolte ». Le changement de procédure fut immédiatement accepté par Jean XXIII. Tout fut alors très différent, et les discussions plus libres.

    On y a débattu notamment des célébrations liturgiques, du rapport que devait entretenir l'Église catholique avec les autres confessions chrétiennes, avec les autres religions, et la société en général, mais aussi de problèmes plus spécifiquement théologiques, comme la liberté religieuse et la Révélation."

    On connaît la suite. 50 ans plus tard, on peut se demander ce qui compte le plus : l'"en soi" de la chose ou l'exploitation qui en a été faite. Un peu comme si le Concile avait été l'équivalent d'une assemblée constituante produisant des textes qui n'auraient pas été le terme répondant aux attentes mais dont le mérite, aux yeux des réformateurs de tout poil, est d'avoir mis fin à une période de l'histoire de l'Eglise pour en ouvrir une autre où toutes les remises en cause seraient autorisées.

    Il y a quelques semaines, dans le cadre du processus de main tendue par le Vatican à la Fraternité Saint Pie X, on a découvert avec surprise (et bonheur en ce qui nous concerne) que le Saint-Siège s'est dit prêt à accepter de discuter de certaines formulations du concile Vatican II.

    Cela irrite les "intégristes" de Vatican II pour lesquels ce Concile compte plus que tout et qui n'imaginent pas que l'on puisse en remettre en question le moindre iota! Pourquoi cette "fétichisation" d'un concile alors que les mêmes ne seraient nullement heurtés par une remise en cause d'un des conciles antérieurs (Latran, Trente, ou encore de Vatican I)?

    Quant à nous, nous nous réjouirions de voir ouverts des débats sur certains points cruciaux de Vatican II qui ne semblent pas s'inscrire dans la continuité de la Tradition de l'Eglise et qui ont été exploités depuis lors dans une perspective de rupture qui a produit les fruits que l'on sait.