ANG/ VIS 20111003 (370)
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Le « prêtre, journaliste, écrivain, théologien et vice-recteur émérite de l'UCL Gabriel Ringlet » se confie dans le Vif.be ce lundi 3 octobre. Les colonnes des médias sont largement ouvertes à cet ecclésiastique dont les positions ouvertement en porte-à-faux par rapport à celles de l’Eglise sont d'autant plus appréciées. Il est intéressant de comparer ce traitement avec celui qui est réservé par ces mêmes médias à Mgr Léonard ou à toute autre personne en communion avec Rome. Gabriel Ringlet est évidemment plus proche de Frédéric Lenoir (qui n’est pas catholique) que de Benoît XVI. La tactique du vice-recteur est sempiternellement la même : il incarne la compréhension, l’esprit de dialogue, l’empathie, l’humanité face à une hiérarchie butée, bloquée, sourde, incapable de rencontrer et de secourir l’homme d’aujourd’hui. Quelle prétention ! Heureusement que les députés anglais, et même allemands, qui ont réservé au pape une « standing ovation » de plusieurs minutes ne l’on pas entendu de cette oreille, ni les intellectuels réunis aux Bernardins, ni la foule immense rassemblée devant les Invalides, ni les deux millions de jeunes présents à Madrid. Mais les discours doucereux de l’abbé Ringlet sont hélas en phase avec certains milieux catholiques belges dont l’apostasie rampante est manifeste.
EUROPE/POLOGNE - Où que l'on récite le Rosaire, la prière pour les Missions ne peut faire défaut
Czestochowa (Agence Fides) - « Le Rosaire, un trésor à redécouvrir » : tel a été le thème du Congrès du Rosaire de l'Archidiocèse de Czestochowa dédié au Bienheureux Pape Jean Paul II qui a eu lieu le 1er octobre au Sanctuaire de Notre-Dame du Rosaire de Myszków Mrzyglód. Selon les informations parvenues à l'Agence Fides, ont participé au Congrès les groupes du Rosaire vivant et les différents groupes du Rosaire missionnaire. Etait également présent le Père Bogdan Michalski, Secrétaire national de l'OEuvre pontificale missionnaire de la Propagation de la Foi et de l'OEuvre pontificale de Saint Pierre Apôtre.
Nous lisons sur Europe1, sous le titre "Benoît XVI assure que les anges existent" cet entrefilet :
"Benoît XVI a affirmé dimanche à Rome lors d'un angelus que les anges existaient. C'est la première fois qu'un pape clame urbi et orbi leur existence. L'église est d'habitude plutôt discrète sur le sujet.
D'après le pape, les anges "sont la manifestation de la proximité de Dieu avec l'Homme" et "de sa naissance à sa mort, chaque être est accompagné de son ange gardien"."
Voilà donc, d'après l'auteure, une croyance "encombrante" sur laquelle le pape aurait bien fait de ne pas insister. Comme dirait Madame Tout-le-monde : "quand on pense à tout ce qu'on nous a fait croire quand on était petit!"
Nous pourrions nous attarder sur la bizzarerie de ces quelques lignes qui semblent ignorer que le pape prend la parole chaque dimanche midi lors de l'angelus (et non "lors d'un angelus") et que ce qu'il dit à cette occasion fait partie de son enseignement "ordinaire", mais nous nous contenterons de rappeler que la croyance en la présence à nos côtés d'un ange gardien est constante dans la foi de l'Eglise, comme le rappelle cette notice figurant sur http://missel.free.fr/Sanctoral/10/02.php qu'on lira avec profit...
Voir également : http://benoit-et-moi.fr/2011-III/
C’est le point de vue d’un article paru dans la Libre Belgique ici Benoît XVI : bilan en demi-teintes sous la signature de l’incontournable Christian Laporte. Nous y avons-nous-mêmes fait écho sous le titre: Benoit XVI en Allemagne : un voyage en demi-teintes ?
Un lecteur attentif de notre site, M. Mutien-Omer Houziaux, ancien maître de conférence à l’Université de Liège, nous propose aujourd’hui une réaction sur le mode de fonctionnement de ce chroniqueur « religieux ».
« Dans les colonnes de La Libre Belgique, M. Christian Laporte vient de consacrer deux comptes rendus à la récente visite du Pape en Allemagne. Le 24 septembre, il note – avec une satisfaction que je partage – : « Benoît XVI rend hommage à Luther et prône des retrouvailles dans la prière ». Son analyse le conduit même à écrire que les éloges décernés aux « recherches théologiques » et au « combat intérieur » de l’ex-prêtre fondateur du protestantisme situaient le discours du Pape « aux antipodes de ‘Dominus Jesus’ » – et là, nous divergeons. Pour comprendre ces « antipodes », il faut savoir que, document donné à Rome le 6 août 2000 et signé Joseph Card. Ratzinger, Préfet de la Congrégation pour la Doctrine de la Foi, « Dominus Jesus » porte un sous-titre très explicite : “sur l’unicité et l’universalité salvifique de Jésus-Christ et de l’Église”. Selon M. Laporte, Benoît XVI aurait donc fait volte-face sur Joseph Ratzinger : absurde...
Nous trouvons ici cette notice biographique de saint Gérard de Brogne qui doit beaucoup au sanctoral des RP Bénédictins, éditions Letouzey & Ané, 1952.
Bien que l'Eglise [ en Occident] tombée au pouvoir des laïques ait vécu, au 10ième siècle, une des périodes les plus sombres de son histoire, elle cessa si peu de montrer la force du ferment qu'elle porte en elle que des saints purent s'épanouir dans ce milieu particulièrement ingrat et arrivèrent à la perfection malgré les abus innombrables.
Gérard naquit sur la fin du 9ième siècle, à Stave, au canton de Fosses (Belgique), de parents appartenant à la haute noblesse = son père Santio aurait été "de la race d'Haganon, duc d'Austrasie (?) " ; sa mère, "Plectrude, soeur de l'évêque de Liège, Étienne". Gérard entra au service du comte de Lomme, Béranger, qui l'honora de sa confiance. A la lisière de la forêt de Marlagne, au milieu d'un vaste domaine que Gérard possédait de plein droit en qualité d'alleu, s'élevait un oratoire dont on attribuait la fondation à Pépin 2 et la dédicace à saint Lambert. Il était assez délabré et le pieux propriétaire voulut le reconstruire et l'agrandir aux dépens d'une maison voisine habitée par un prêtre nommé Anselme qui refusa de la quitter. Un dragon sorti du clocher vola sur son toit et se mit à cracher des flammes : le lendemain, un incendie détruisait sa demeure et les maçons arrivés aussitôt entreprenaient la construction de la nouvelle église; ils se rappelaient encore longtemps après que pas une goutte de pluie n'était venue contrarier leur travail (914).
Nouvelles de France relaie l'information :
"L’Aide à l’Eglise en détresse (site) organise un colloque sur le thème « Le christianisme aura-t-il encore sa place en Europe ? » le 9 novembre 2011 de 9h à 18h30 à l’espace Charenton (12e arrondissement de Paris).
Une table ronde sur le thème : « Christianophobie : peut-on vraiment en parler en Europe occidentale ? » avec Alexandre Del Valle, journaliste, géopolitologue et auteur de Pourquoi on tue des chrétiens dans le monde aujourd’hui ? : La nouvelle christianophobie, Gérard Leclerc et Grégor Puppinck sera modérée par Marc Fromager, le directeur national (France) de l’Aide à l’Eglise en détresse.
PAF : 20 euros. S’inscrire >>>
Récite ton chapelet, dit Dieu,
et ne te soucie pas de ce que raconte tel écervelé :
que c'est une dévotion passée et qu'on va abandonner.
Cette prière-là, je te le dis
est un rayon de l'Evangile :
on ne me le changera pas.
Ce que j'aime dans le chapelet, dit Dieu,
c'est qu'il est simple et qu'il est humble.
Comme fut mon Fils.
Comme fut ma Mère.
Récite ton chapelet : tu trouvera à tes côtés
toute la compagnie rassemblée en l'Evangile :
la pauvre veuve qui n'a pas fait d'études
et le publicain repentant qu ne sait plus son catéchisme,
la pécheresse effrayée qu'on voudrait accabler,
et tous les éclopés que leur foi a sauvés,
et les bons vieux bergers, comme ceux de Bethléem,
qui découvrent mon Fils et sa Mère...
Récite ton chapelet, dit Dieu,
il faut que votre prière tourne, tourne et retourne,
comme font entre vos doigts les grains du chapelet.
Alors, quand je voudrai, je vous l'assure,
vous recevrez la bonne nourriture,
qui affermit le coeur et rassure l'âme.
Allons, dit Dieu, récitez votre chapelet
et gardez l'esprit en paix.
Charles PEGUY
Radio Vatican synthétise le message du pape à l'occasion de l'Angelus :
Benoît XVI est revenu Place Saint Pierre ce dimanche pour l’angélus. Méditant sur l’Evangile du jour le Pape a dénoncé "l’orgueil et l’égoïsme qui empêchent de reconnaître et d’accueillir jusqu’au don de Dieu le plus précieux: son fils unique".
Benoit XVI a aussi relevé la grande responsabilité de ceux qui sont appelés à travailler dans la vigne du Seigneur, tout particulièrement ceux qui ont des "rôles d’autorité". Au premier jour de son pontificat, le 19 avril 2005, souvenez-vous, le Pape s’était présenté pour la première fois aux fidèles comme "un simple et humble travailleur de la vigne du Seigneur".
Ce dimanche le pape a affirmé que Dieu avait un projet pour ses amis, mais que la réponse des hommes était souvent orientée vers l’infidélité, qui se traduit par le refus.
S’adressant aux pèlerins de langue française, le pape a évoqué la rentrée universitaire et souligné que le savoir était important, mais plus encore la formation de la personne pour discerner où se trouve la vérité et faire des choix libres.
A écouter ici : http://www.oecumene.radiovaticana.org/fr1/Articolo.asp?c=525538
Notre amie de Benoît et moi (qui a ouvert un nouveau site : http://benoit-et-moi.fr/2011-III/) a mis en ligne la traduction d'un article paru en allemand intitulé "la révolution Benoît" :
"Armin Schwibach, le correspondant à Rome de KATH.NET, résume ainsi ces quatre jours inoubliables: «Les jeux sont faits». Soit l'Eglise allemande suit le Pape, soit elle consolide un schisme existant de facto. Le testament du Pape est le défi absolu qui va déterminer l'avenir de l'Eglise allemande (2/10/2011)"
à découvrir ici : http://benoit-et-moi.fr/2011-III/0455009f700cc020c/0455009f7209da402.html
Depuis les années conciliaires, on a observé (de l’aveu même du cardinal Danneels) un « lent déclin » de la pratique religieuse en Belgique. Avec la disparition des générations éduquées avant 1960, ce déclin se solde aujourd’hui par un véritable effondrement général, dont témoigne matériellement la désertification du patrimoine religieux immobilier : églises, chapelles, couvents, monastères et autres bâtiments à vocation ecclésiale.
Parmi les 2.800 biens classés en Wallonie, plus de 700 sont destinés à l'exercice d'un culte, avec les répercussions financières que l'on sait sur les pouvoirs publics tant régionaux que locaux. De plus, 380 églises sont classées comme monuments et 200 chapelles bénéficient de la même protection. Parmi ces 380 églises protégées, 38 sont reprises sur la liste du Patrimoine exceptionnel de Wallonie.
Voilà comment se présente ce blog que l'on consultera avec intérêt (il figure parmi nos liens) :
atholique et passionné par les arts et la culture, il m'a semblé intéressant, via un blog, de faire connaître et de susciter l'intérêt pour les richesses de l'art chrétien.